Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility« The chamber. » anna et clay. / HOT/
I LOVE HARVARD
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    « The chamber. » anna et clay. / HOT/
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    Lien du postVen 21 Aoû - 11:44
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    J’ai supporté toute la soirée leurs regards, et j’ai appréhendé leurs soupirs, suis morte à petit feu à chacun de leurs rires, j’ai apprivoisé leurs envies quand j’ai bu les verres qu’on m’a proposé, et j’ai entendu un des videurs me dire de faire attention. J’ai fait semblant, comme je le fais depuis trop longtemps, j’ai oublié le mariage, j’ai omis l’argent. J’ai fait en sorte de faire passer plus vite le temps.  

    J’ai trop bu. C’est tout ce que j’arrive à réellement réaliser. J’ai trop bu, encore une fois et je me dis que cela fait partie des lois de bosser au Nirvana. Je ne saurai définir l’heure qu’il est, ni même ce que j’ai fait sur la fin de la soirée, je me souviens avoir dansé, avoir touché du bout des doigts un semblant de liberté.

    J’ai mis un costume, et ça les a fait rire, à moi aussi. J’ai continué malgré le fait que la salle se vidait. J’ai cru, l’espace d’un instant, à la vie. Je me suis dit, que la normalité n’était qu’à un pas, mettant de côté la reine des glaces pour essayer, oui, juste essayer. Et l’alcool, et le bordel dans mes pensées.

    « Anna à toi. » m’a dit une des filles, et j’ai pris place sur le podium, mes talons ont claqué sur l’asphalte, et j’ai commencé à mimer une des chorégraphies que par cœur, je connais, depuis le temps. J’ai continué à caricaturer le moment où elles enlèvent leurs vêtements, j’ai fait comme si, pour atténuer le fait que j’essaie ma robe de mariée, jeudi. Pour rendre sa victoire moins grande, abaisser son importance, en provoquant ma décadence. J’ai nargué mon père en m’inventant un destin sur lequel on n’aurait pas à prendre le même chemin.

    « Je te ramène. » Je l’ai entendu prononcer, ce fameux videur, et c’est en riant que je me suis entendue lui répondre « Va mourir. » pour parfaire mes délires. Mais il l’a fait, parce que j’ai dû reconnaitre – de façon muette - que je n’aurai pas pu, seule, me débrouiller. J’ai fredonné une mélodie venue de je ne sais où sur le chemin, tandis qu’il me tenait par la main. Devenant un brin marionnette, ça n’a pas retiré pour autant les idées fragiles et folles de ma tête.

    Au moment où sommes arrivés devant mon bâtiment, ou plutôt le sien, sa gentillesse à vomis des promesses. « Tant que je serai là … » Et elle n’a plus écouté, sa Anna, parce qu’elle a vu venir le torrent de sentiments. J’ai préféré – et de beaucoup en plus ça – exploser d’un rire franc. « Tais toi. » Hilarité. « Non, vraiment. » Pour ton bien, mon grand.

    Trou noir. En ouvrant la porte je me demande encore comment j’ai réussi à me retrouver devant. Mais intérieurement, je me contente de me féliciter de l’avoir fait. Mon sac tombe sur le sol, et riant encore un peu, je m’entends tout de même lui demander de faire moins de bruit. Mes pas, toujours talonnés, me conduisent jusque dans la cuisine, où je me retrouve à boire de l’eau, pour une raison qui me semblait précise, au moment où j’ai eu l’idée, évidemment.

    Alors ma main se pose sur le frigo, réalisant soudainement que j’ai faim. J’accuse le bordel dans ma tête quand je lâche finalement la porte du garde-manger pour aller vers la chambre de mon colocataire. Là, gentiment, je tape à la porte, collant à cette dernière mon oreille en espérant y entendre quelque chose de l’autre côté, mais seulement un bourdonnement me parvient, et pour le coup, je crois même qu’il vient juste de moi.

    De ce fait je me permets, j’ouvre, et pour faire le moins de bruit possible je m’empêche de respirer, ça me parait bien, mais j’avoue n’être pas certaine de mon plan – sur la durée – surtout que j’ai envie de parler. Je m’approche du visage de mon hôte et mords ma lèvre le temps de le regarder, sans pouvoir l’expliquer, avant de murmurer. « Clay  … ? » Puis comme je n’ai – après tout – jamais pris de pincette, l’alcool me donne des ailes quand je dis beaucoup plus fort « Debout lieutenant ! » sans crier, étant donné que c’est pas tout le quartier que je veux réveiller,  ma main sur sa joue, aventureuse à souhait. « Il y a quelque chose que vous devez voir. » Doucereuse se fait ma voix, mon téléphone sur le sol, je lance le lecteur de ce dernier. « Enfin, si vous n’êtes pas trop fatigué. » Taquine je me redresse, tiens quelque secondes ma tête entre mes mains, avant de retirer mon manteau utilisé seulement pour cacher les vêtements avec lesquels je dois bosser. Vêtements que j’ai troqué ce soir pour ceux de celles qui sur la scène aiment se prélasser. Et dans notre claire obscurité, j’attends de la part de mon colocataire qu’il me laisse entendre qu’il est prêt. Pour rire. Pour oublier.
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    Lien du postLun 24 Aoû - 16:40
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    The Chamber  
    Annalynne & Clay / Aout 2015
    Pour une fois il régnait dans l'appart un silence inquiétant. Je n'étais pourtant pas rentré tard cette fois-ci mais déjà Annalynne était partie besogner... dur vie de labeur que de servir et se faire payer pour un geste aussi dérisoire que de verser, hein. Pour toute trace d'elle, j'avais trouvé un paragraphe sur le frigo me concernant. " Excellent ton poulet au gombo.  Xoxo " * Charogne. Un jour, je t'apprendrai à bouffer dans ton écuelle...* Les yeux rivés sur son petit mot, - recherchant dans ma mémoire la signification du dernier - je me l'imaginais déjà très bien dépiauter ma gamelle quelques heures plus tôt.  J'arrachai donc le post-it, le conservant, collé entre les doigts, alors que j'ouvrai la porte du frigo pour effectivement me rendre compte des dégâts: plus rien à bouffer naturellement. Il ne restait plus que ses trucs allégés, pauvre en matière grasse et deux-trois légumes, carottes et cucurbitacées, se battant en duel dans un saladier qu'elle n'avait même pas pris la peine d'essuyer. En m'emparant de l'un d'entre eux, je me fis la réflexion suivante sur M'dame Aimable * C'est à se demander si elle les bouffe ou si elle...* Mes doigts lâchèrent l'apiacée couleur orangée. Dégouté... enfin, pas tellement. En y repensant, l'idée me fit sourire sournoisement, ayant peut-être tenu entre les mains l'objet de son plaisir quelques instants.

    Résigné à commander plutôt qu'à m'intoxiquer, la porte du frigo se referma sur tout ce qu'il contenait. Après quelques pas, je décrochai le combiné pour appeler un numéro préenregistré, celui de la petite Sylvia de service au resto juste en dessous. Toujours aimable et souriante, prête à donner de sa personne - si vous lui plaisez bien évidemment - pour vous satisfaire lorsque votre appétit n'est pas que gustatif. Ce qui n'était pas mon cas, pas ce soir... Pour le moment, je chassai les résidus signés Malcolm, le téléphone contre l'oreille, ramassant ici et là les vêtements qu'elle aurait pu laisser pendant que l'on daignait prendre mon appel. Au moins avait-elle replié le clic-clac ce matin en se levant mais malgré tout le mal qu'elle s'était donné, quelque chose en dépassait. Du bout des doigts je pris le risque d'examiner le bout d'étoffe, voulant en avoir le cœur net tandis qu'une voix fluette me répondit " Hit Wicket que puis-je pour vous? " Le regard fixé sur la dentelle qui de plus en plus se dévoilait, je reconnu tout de même mon interlocutrice au téléphone, ne quittant pas des yeux le porte jarretelle qui se dessinait au fur et à mesure que j'en tirais l'extrémité, " C'est Cooper, j'aimerais passer une commande." " Aaah comment va m'sieur l'agent? " Sylvia était d'une beauté à couper le souffle, mais en ce qui concernait l'acuité intellectuelle, fallait repasser... " Lieutenant Sylvia... Lieutenant.  Tu connais mes préférences et l'adresse ", évidemment. J'aurais du préciser que je ne parlais que de bouffe à cet instant.

    Le temps de me doucher, elle sonna à la porte, se présentant avec un paquet estampillé au nom du restaurant. Et comme d'accoutumée, c'est sans gêne que je vins lui ouvrir, ma nudité recouverte d'une serviette nouée autour de la taille, la payant tout en gardant le silence. Elle resta là quelques secondes, sans doute espérant que je l'invite à rentrer histoire de s'amuser le temps d'une pause bien méritée. " Pas ce soir " lui soufflais-je avant de la voir tourner les talons, la devinant légèrement frustrée lorsqu'elle prit l'escalier en claquant la porte. J'ai longtemps fait le con, abusé des faiblesses des uns et des autres, alors il était temps de prendre de bonnes résolutions... Devant la télé une fois le repas terminé, je profitai de l'absence d'Annalynne pour une dernière fois me laisser aller, bière à la main, une autre cannette vide à mes pieds... voilà en quelques mots mon programme de fin de soirée.


    Ce n'est que quelques heures plus tard que j'émerge, les yeux toujours clos, d'un chuchotement que je pense avoir imaginé durant mon sommeil. La caresse qui s'en suit me tire progressivement de ma léthargie et me retourne pour discerner l'auteur du geste puisque comme d'habitude, je me suis assoupi, ivre, en me vautrant la tête la première. La mélodie qui émerge aux pieds de mon lit finit par me sortir complètement du sommeil, bien que toujours un peu groggy, et me frotte les yeux du revers du poignet pour tenter de discerner cette silhouette. " Annalynne? " J'ai encore quelques doutes sur son identité, la pénombre enveloppant la majeur partie de ses traits.   « ...pas trop fatigué. » " Qu..quoi?  Qui t'as permis de v'nir ici..."  Ma main s'écrase dans le noir sur ma table de chevet et d'un cliquetis recouvert par la bande sonore, baigne la chambre d'un clarté chaude et ambrée. Et là, après avoir croisé ses yeux, je me suis soudainement redressé en la voyant s'exhiber, loin de m'imaginer qu'elle puisse aller jusque là pour se venger. Ce n'est pas que le spectacle me dérange mais l'idée d'un retour ne cesse de me travailler. Je l'observe un bon moment en silence qui se présente dans le plus simple apparat, détaille chaque bout d’étoffe qui ne lui ressemble pas, avant de reprendre sérieusement " Et c'est combien ce coup-ci? 1500? 2000? ". Parce que je n'ai toujours pas digéré le petit tour qu'elle m'a joué lors de notre première rencontre, de cette dette dont je ne me suis toujours pas acquitté et que je ne payerai sans doute jamais. Chaque chose à un prix avec Annalynne, surtout lorsqu'on y rajoute le mot "lit".

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    Lien du postMer 26 Aoû - 21:02
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    " Annalynne? " Et mon prénom dans sa bouche, ce soir, je le trouve bon. Je vacille quelques secondes où le temps semble se figer, celui qui lui faut pour qu’il arrive à émerger. Et comme je suis une gentille alcoolisée je lui laisse sans sourciller. Je craque un sourire en m’armant de patience nouvelle à son égard, et lève les yeux au ciel quand il joue les maitres des lieux qui décident où, quand, et comment quelqu’un entrera dans la tanière du grand méchant loup. Comme si un homme – lui – pouvait me donner des ordres. Il n’est pas encore né celui qui pourrait réellement y arriver et je ris intérieurement, parce que je réalise à quel point pour le coup je mens, parce qu’il l’est déjà, et plus communément, je l’appelle papa.  " Qu..quoi?  Qui t'as permis de v'nir ici..."  Mes pensées s’étiolent, et je blâme à nouveau l’alcool, quand je m’entends ricaner alors qu’il allume sa lampe de chevet, je reste muette et à son regard je cède le droit de contempler ma silhouette. Je mords, encore et encore ma lèvre inférieure pour réprimer ce semblant de rire qui a pris d’assaut mon cœur. Les secondes passent et déjà en pensées je me prélasse … Allez Clay, donne-moi le feu vert, qu’on s’amuse un peu, à ma manière.

    " Et c'est combien ce coup-ci? 1500? 2000? " Au grès de ses envies mon rythme cardiaque s’accélère tandis que ma respiration semble peu à peu s’effilocher, à mesure que les informations viennent jusqu’à mon âme, toucher. Je comprends, bien plus vite qu’il ne le faut à une fille saoule, qu’il a peur des représailles, de mon prochain piège, de ma prochaine morsure de serpent, vipère jusqu’au bout des dents. Ma paume va alors se poser sur mon visage, massant de mes doigts mes tempes douloureuses et chassant un je-ne-sais-quoi perfide qui a pris place dans mes veines sans que je ne le vois. Faussement vexée, je m’entends de ce fait, prononcer, d’un ton dérouté. « Le monde entier me prend pour une prostituée ? » J’ai un flot de jérémiades à l’esprit, le genre de plaintes et de pleurnicheries qu’une fille doit sortir, mais avec une volonté qui vient surement d’ailleurs j’arrive à parer cette diarrhée verbale qui semblait pourtant venir. A vomir. A défaut d’un torrent menaçant de gâcher l’instant présent, ma main quitte ma peau pour laisser à mon index le choix de se poser sur ses lèvres dont le côté charnu vermeil promet des merveilles, et je m’accroche à ses prunelles. « Chut … » Ne réponds pas, tais toi.

    Non sans une caresse sur sa joue mes doigts quittent sa peau, mon regard accroche le sien, lui demande de façon muette de ne pas refuser, d’une seule seconde se permettre de ne pas contempler, et sur le tempo d’une mélodie que joue ce téléphone abandonné sur le bas-côté, je commence à caler mes hanches, me déhanche en toute élégance. Les mouvements sont lascifs, suggestifs, sensuels à souhait, tout est calculé, apprit et maitrisé. Je l’ai vu … tant de fois. Je pourrai presque dire que cela a été fait pour moi. Je sais où se placent mes jambes, mes bras, je sais quels endroits doivent toucher sur moi, mes doigts. Même mon souffle est assujetti dans l’espoir de le faire craquer, d’exploiter et attiser ses sens soudainement par moi aliénés. J’oublie l’alcool quand à chaque secondes j’ose et m’envole, ferme les yeux, parfois, pour ressentir mieux ou pour essayer d’être assez maitresse de moi. D’abord la ceinture ornée de paillettes d’une couleur que j’ai omis, depuis le temps que je l’ai mis. Je m’effeuille sous ses yeux, mords ma lèvre quand je le peux, m’approche et m’enfuis, espère comme toutes celles qu’ici je copie, hanter un jour ses nuits. « Oses dire que ça ne te plait pas. » Mesquine et aguicheuse lui chante ma voix, quand mes mains glissent une nouvelle fois sur moi afin d’aller supposer, que c’est mon bustier qui sera bientôt ôté.
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    Lien du postJeu 3 Sep - 22:26
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    The Chamber  
    Annalynne & Clay / Aout 2015
    Alors perplexe je reste devant sa silencieuse éloquence, versatile lorsqu'elle se touche les tempes de ses airs légèrement outrés avant de rajouter  « Le monde entier me prend pour une prostituée ? » Ce n'est pas ce que j'ai voulu insinuer Malcolm, ma lâcheté a parlé, je croyais pourtant que tu t'en douterais depuis le temps que nous nous cherchons comme des adolescents. Et avant que je ne puisse m'excuser, elle dépose un doigt là où jamais je ne l'aurai imaginé pouvoir me toucher. « Chut … »  Dans le geste, j'ai eu le réflexe de lever la main craignant que la sienne ne vienne violemment s'étaler sur ma joue plutôt que sur mes lèvres doucereusement. Un doigt seulement qu'elle laisse glisser subtilement et redessine les traits d'une mâchoire crispée par l'égarement. Malcolm, à quoi joues-tu bon sang... Elle se contorsionne et je ne peux quitter des yeux son déhanché si particulier, me malaxe la nuque - perturbé - lorsqu'elle se met à danser, ses doigts venant très habilement dégrafer ce dont ses reins étaient parés. « Oses dire que ça ne te plait pas. » Certainement pas. Je ne peux répondre à la question, tout simplement parce que je suis partagé entre deux options: la première - et celle qui me travaille au corps - me dicte de la laisser continuer, la seconde est du domaine de l'intégrité et me conseille de l'arrête. Mais tout s'accélère lorsqu'elle laisse ses mains s'aventurer sur les liens de son bustier, ses doigts s'entrelaçant avec une incroyable dextérité entre les lacets. Je me relève brusquement, marque un temps d’arrêt cependant mais viens la stopper, n'étant toujours pas certain de ce que je désire réellement la concernant. Son attitude, bien différente à mon encontre de ce que j'ai l'habitude d'encaisser, n'est pas pour me rassurer alors je la sonde quelques instants avant de comprendre, la lâchant tout en reculant mon visage du sien " T'as pris quoi? " Nullement inquiet sur ce qu'elle aurait pu ingurgiter mais seulement contrarié de n’être que d'un attrait passager, l'objet d'un désir éphémère qu'elle aura tôt fait d'oublier lorsque de son sang sa légèreté se sera distillée. " Ecsta? Coca? " Mais à quoi bon m'évertuer.... connaissant la belle, espiègle à ses heures sombres, jamais elle ne me l'avouera, je m'en fais une raison.

    C'est à cet instant qu'elle recommence, ré-entame les hostilités en se retournant et en  agrippant mes mains des siennes avant de venir les apposer suavement sur certaines parties, que je devine à son petit sourire en coin lorsque sa tête elle incline, érogènes. Mes yeux se referment, faisant preuve de faiblesse une fois encore devant elle. Ses gestes pour le moins explicites ne me laissent plus aussi indifférent et c'est intéressé que j'approche mon corps du sien, transgressant les limites que nous nous étions tout deux naturellement imposées dès son arrivée. Son fessier qui ne cesse d'onduler contre mon bassin et auquel je ne cesse de penser, duquel je violerai volontiers les secrets, est un appel auquel je ne pourrais encore très longtemps résister. Alors l'enserrant, mes lèvres accolées à son oreille, je lui fais part d'un ressentiment, d'un dessein, en un murmure soufflé " Sais-tu jusqu'où ceci peut aller? " Une question qui n'en est pas une réellement puisque j'estime qu'avant même qu'elle ait commencé à m'allumer, la réponse avait été sérieusement envisagée. Après tout, si elle le désire tellement, pourquoi ne pas en profiter... D'un rapprochement vif, je lui fais pars de mes viles intentions, profiter d'elle alors qu'elle n'a plus toute sa raison. Mes doigts épousent ses bras avant de revenir s'attarder en amont, effleurant les rondeurs soutenues par les coutures de son corset avant de brutalement l'abaisser, laissant apparaitre pour mon grand plaisir deux boutons dans cette semi-clarté qui se dressèrent sous mes caresses en bourgeons enflammés. Les éclats de voix balayés c'est l'écueil de l'amertume surmonté, la colère retombée que mes lèvres épousent sa nuque, ma fierté sous scellés.
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