Mon dieu, je détestais ma vie. Genre vraiment. Genre puissance mille même. Y avait trop de truc qui n'allait pas. Et le tout premier, la chose -appelons la comme ça- qu'il y avait tout en haut de ma liste, c'était Nemo. Enfin, pas lui à proprement parler puisqu'il aurait été méchant de ma part d'accuser un poisson, mais plutôt le mariage avec lui. Quelle idée de tarée quand même. Allier deux pays ? Oui, très bien, pas de souci. Utiliser un mariage arrangé pour ça ? Non mais allo, on vivait plus au moyen âge quoi. Puis merde, on aurait au moins pu m'en donner de pas gay. Parce que ouais, j'aurais peut être pu faire un peu plus d'effort dans cette option et avec un peu d'espoir -et beaucoup d'idiotie- on aurait pu tomber follement amoureux l'un de l'autre. Sauf que en revenant à la réalité, il était gay. Et moi j'étais une fille c'qui faisait donc que forcément, ça collait pas du tout. Donc, c'était triste comme histoire. Les princesses étaient pas censés vivre des contes de fée ? Parce que pour moi, c'était clairement pas le cas. Et j'savais même pas comment j'pouvais pas être en train de me taper la tête contre les murs parce que PUTAIN -et excusez moi du mot-, j'suis sûre que ça serait moins atroces de perdre mes neurones par millier. Enfin bref, j'avais fini les cours et j'pouvais enfin rentrer chez moi. Merci titine qui allait au moins m'enlever l'horreur de me coltiner les transports en commun. Les bus bondés et l'odeur de transpiration, très peu pour moi. Clouc-clouc. Oui, c'était le bruit qu'elle faisait quand j'appuyais sur le bouton pour l'ouvrir et PAF. Aoutch. Ça c'était la réaction quand on fonçait droit dans quelqu'un.

   Tu n’avais pas revu Nemo depuis la classe de neige. Ce n’était pas plus mal, non, après tout tu ne voyais même pourquoi tu y pensais. Ce mec était un vrai con, sans intérêt, et c’était tes sentiments passés qui te faisaient souffrir, rien de plus. C’était la haine qui te rongeait, voilà tout, il n’y avait pas besoin d’autant y penser. T’avais tellement de choses à faire, tellement de cours à suivre… T’en revenais pas d’encore penser à ce con avec tout ça. T’avais assez de soucis comme ça, assez de choses à penser, et le retour aux Etats-Unis après ce petit séjour au Canada t’avais parut bien brutal. D’abord il y avait eu la reprise des cours, puis cette histoire de violeurs, la terreur que ça avait fait régné sur Harvard, ta prise de tête avec ton père et puis surtout la maladie de ta mère. Au fond, c’était peut-être mieux de penser à Nemo, ça te faisais oublier à quel point elle était proche du vide. A quel point tu risquais le burn-out à tout moment, à quel point rien ne la remplacerait. C’était la merde.
Tu filais sur le parking. Avec toute cette histoire t’avais finis par complètement oublié où t’avais pus garé ta foutue caisse. Tu la cherchais des yeux, râlant des injures incompréhensibles – ou du moins seulement par toi. C’est là que tu entrais en collision avec quelqu’un, et que tu te retenais de péter un câble. Tu ouvras la bouche pour l’engueuler, mais tu reconnaissais alors celle que tu avais traitée de pétasse blonde lorsque t’étais tombé sur la diffusion du mariage de Nemo à la télé.  Un immense sourire cynique s’empara alors de tes lèvres. « Voyez vous ça, ce ne serait pas MADAME GRIMALDI ? » Tu éclatas de rire. « Je crois que l’on a pas eu l’occasion de se rencontrer encore. » Tu souris en coin. « Toutes mes félicitations pour votre mariage. Qu'est-ce que ça fait d'être mariée avec un mec qui préfère les hommes ? » Tu lui jetas alors un regard noir.
   

   En vrai ? Je m'étais ex-plo-ser. Mais un truc de malade quoi. Ça faisais mal de percuter quelqu'un en fait. Surtout à pleine puissance comme ça. Ma tête avait tapée.. Contre son torse ? Ouais vu ma taille et la sienne c'était forcément ça et le mec, il était fait en tablette de chocolat blindé parce que god, j'avais l'impression que quelqu'un jouait de la cymbale dans mon crâne. Autant dire que la sensation était encore pire que se réveiller après une cuite. J'avais même laissée tomber mes clefs par terre et je me baissais pour les ramasser prête à m'excuser puissance mille de ma maladresse légendaire. Pourquoi est ce que j'étais aussi empotée déjà ? Ahem. Y avait peut pas de réponse à tout ça. Et puis le mec -oui oui c'était un meb, nb les tablettes de chocolat- prenait la parole. Il s'moquait de moi là ? Ou alors c'était de l'ironie. Mais l'ironie et la moquerie c'était plus ou moins pareil non ? Disons que oui. Bref, il me connaissait et là, j'pouvais dire merci à la télévision et la presse. Bande de con. J'hésitais un peu entre de la gentille de sa part et.. Ouais ben non, en fait il était carrément pas sympa. J'roulais des yeux posant ma main sur ma bouche. Fallait qu'il le comprenne comme un "Ferme ta gueule" puissant. Et ouais, j'étais sans gêne moi. « M'sort pas un air de killeur hein ? Y a trop de monde ici, tu peux rien me faire. » Tralalalère. Ahem. « Techniquement je préfère Chrissy. Ou Rosen si l'prénom dérange. » Mais pas Grimaldi par pitié. C'était déjà assez affreux pour qu'en plus on m'appelle comme ça. Non non et non. « Disons que c'est marant. C'comme si je sortais avec une copine quoi. » Voilà voilà.
   

   En vrai ? Cette meuf c'était juste physique, tu pouvais pas la voir. Alors qu'en vrai, tu ne la connaissais pas tant que ça, et puis à toi, elle ne t'avait rien fait. Non, elle avait juste eu le fardeau d'épouser ton ex, et toi, ça te plaisais pas du tout. Pas du tout, du tout, du tout même. T'étais pas capable de l'expliquer, pourtant c'était simple, c'était tout bonnement de la jalousie, de la haine. Eh, t'étais con hein, alors que t'étais sensé avoir oublié Nemo depuis des années, voilà qu'il refaisait surface, que t'apprenais qu'il était marié, et que tu te mettais à jalouser comme un con sa nouvelle femme, alors que tu savais très bien qu'il s'agissait d'un mariage forcé - ouais la comédie du "prince tombé amoureux de la princesse" ça marchait pas très bien avec toi, pas du tout même, haha. « Je vais pas te frapper princesse, j'suis pas comme ça. » Fallait pas abuser non plus, et puis de quel droit tu pourrais faire ça ? Non, et puis t'étais contre la violence toi, t'étais un intellectuel... Un intellectuel de 1m88 quoi. « Pourquoi ? Qu'on t'appelle par ton nouveau nom ça te plais pas ? » Tu posais la question mais tu devinais sans mal la véritable réponse, même si elle était sensée répondre que non, et poursuivre sa comédie devant les médias. Mais t'étais pas journaliste toi, ni photographe, tu savais la vérité, elle était pas bien compliquée à voir. « Avec une copine hein ? Au moins t'assume, c'est bien. » T'en revenais pas quoi. « Mais j'crois que j'me suis pas présenté, pardonnez moi votre altesse. » T'allais passer maître dans la maîtrise de l'ironie toi. «J'suis Oscar, l'ex de ton nouveau mec, et je te déteste. » Point final.
   

   Je savais que ce n'était pas la manière dont je devais agir. Non, là, j'étais juste en train de griller ma couverture. Ou du moins, de ruiner les plans qu'on avait fait pour moi. Et même si j'en mourrais d'envie, même si au fond de moi, ce serait plus un plaisir qu'autre chose de pouvoir casser tout ça, je n'en avais pas le droit. Fallait que je me reprenne. Que je joue l'idiotie. L'amour profond et tout ce qui me donnait continuellement envier de gerber depuis que je devais faire semblant d'être sous le charme du prince de Monaco. Dur routine. Et dire que ça ne devait pas être moi. Les choses seraient moins compliqués si monsieur et madame Rosen n'avait pas lancés eux-même le jeu du mensonge. C'était triste, affligeant. Mélodramatique. La royauté, ça n'avait rien de bien. Seulement du pathétisme encore et toujours. Des histoires de pouvoir, de territoire et surtout d'argent. Un égocentrisme à vous crevez les yeux. Tant de chose qui me rendait malade. « J'me doute. De toute manière, c'est donnant donnant. » Il tape, je tape. Et même si j'pouvais avoir l'air aussi terrifiante qu'un bébé pingouin, j'étais la teigneuse. Je rentrais dans le tas, tout simplement. « J'adooore mon nouveau nom. » Et pour peu, je me serais vomis dans la bouche devant un si affreux mensonge. « Mais j'aime bien l'idée de garder mon identité. C'était tellement du machisme que de devoir prendre le nom de l'homme. » Hypocrisie quand tu nous tiens. Je déversais des flots de parole sans utilité devant un mec que je ne connaissais même pas. Il reprenait la parole. Mots que je n'écoutais que d'une oreille puisque j'voulais être partout sauf ici. J'voulais faire tout sauf parler de mon nouveau mari. Et ça tombais. Ça claquait dans l'air comme une évidence. « Tu sais ce qu'on dis sur les ex ? Comme quoi les reprendre c'comme ravaler son propre vomis tout ça. Fais toi une raison mon grand, t'es juste un détritus dont la famille de Monaco à cherchés à se débarrasser. » L'gros connard qui faisait que maintenant, j'étais mariée pour éviter des rumeurs toujours plus vive sur l’homosexualité du prince.
   

   Elle avait l'air un peu chelou. T'sais le genre de meuf un peu névrosée, comme toutes les princesses. Est-ce qu'elle se droguait ? Peut-être un, les princes et les princesses c'étaient des chelous de toute façon, des consanguins même. Elle était mignonne mais elle avait quelque chose de bizarre, un peu malsain... Peut-être l'alliance de ton ex à son doigt. Ouais, peut importe non ? C'était fait ? Non, t'arrivais pas à le cautionner. Ca te paraissais être beaucoup trop énorme cette histoire, et t'avais du mal à supporter ce cinéma devant les médias. Elle te répondait d'ailleurs que si tu la frappais, c'était donnant donnant, et tu ne pus t'empêcher de sourire, légèrement, en coin. Elle avait du répondait la princesse disney. « Oh, génial. » Tu soufflais, d'un ton faussement joyeux, parce que pff, à quoi ça pourrait bien servir de se battre ? Elle répliquait d'ailleurs qu'elle adorait son nouveau nom, que ce n'était seulement qu'une question d'identité. Bien sûr, et ton cul c'était du poulet aussi ? Tu roulas les yeux. « Oh oui, c'est la fête, youhouuu.» Quelle horreur. « Joue pas la comédie devant moi, j'suis ni journaliste, ni paparazzi, et vos sourires forcés pendant que vous vous échangiez les alliances m'ont juste donné envie de vomir. » Et tu l'imitas, lui adressant un immense sourire, le même que celui qu'elle avait fait aux caméras, en mode "je suis tellement heureuse de ma vie, ohlala". Puis tu roulais les yeux, tiquant sous l'envie de nicotine : t'avais besoin d'une cigarette lorsque t'étais énervé. De toute façon, elle aussi été partie dans l'hypocrisie. Et elle ne se gêna pas pour mordre à son tour au sujet des exs. Tu plissas les yeux, la fixant dans les yeux, d'un regard noir. « Quelle philosophie, quelle classe, il faut croire qu'il ne te manquait que le vomi pour tomber dans la vulgarité. » Ta main droite vint fouiller dans ta poche pour trouver ton paquet de cigarettes. « Tu ne sais rien de ce qui s'est passé avec Nemo, tu n'es qu'un cafard qui s'infiltre dans la vie d'un prince, et qui joue très mal la comédie en plus de ça. Mais moi les cafards, je les écrase. » Tu répliquais, serrant les dents avant de te détourner. Fallait qu'elle s'arrange pour ne pas te recroiser celle là, parce que tu comptais bien faire de sa vie un enfer.
   

   Ouais. En fait, si y avait quelqu'un qui devait être fâchée la maintenant tout de suite, c'était bien moi. Parce que j'avais rien demandée à personne, j'vivais dans mon petit monde peuplée de pailette et de poney et paf. J'devenais Lady Grimaldi. Très honnêtement, rien qui penser ça me donnais sévèrement envie de vomir. Et pourtant, j'allais devoir m'y habituer non ? Parce que jusqu'à preuve du contraire, j'avais aucun moyen de péter tout ça et si j'essayais, ça porterais préjudice à ma soeur. J'ferais jamais rien qui pourrait lui porter du tord. En somme, c'était ferme ta gueule et marche droit. Tant de haine. Mais à bien y penser, lui aussi était totalement fautif. J'étais pas bête, je m'étais un minimum renseignée sur Nemo même si je ne pouvais pas échapper à la fatalité de notre mariage et.. Si y avait pas eu de putain de débordement avec eux, j'serais pas dans cette situation. Alors il pouvait bien aller s'faire foutre avec ses piques à trois francs et ses tentatives de méchanceté. Je l'emmerdais avec toute la prestance et la grâce d'une princesse. Breeef. Il me tapait séverement sur le système à venir m'attaquer comme si ma propre existence était une erreur et j'aurais pas eu tant d'attention portée sur moi ces derniers temps que je lui aurais envoyée un crochet du droit juste pour lui apprendre la vie. Violence, violence. « Si ce n'est que de la comédie comme tu dis, pourquoi est ce que tu m'emmerdes au juste ? Par ailleurs, personne ne te force ni à regarder les diffusions de ce mariage ni à me parler alors fais moi plaisir et lâche moi. » C'était on ne peut plus clair non ? Je roulais une nouvelle fois des yeux ce qui dans mon langage voulait dire : tu m'fais profondément chier alors que Monsieur je suis un casse couille profond reprenait la parole. Oh, moi ? Vulgaire ? Si peu. Je lui accordais une petite révérence signant toute l'hypocrisie que je pouvais avoir. « T'as fini ? Non mais parce que si tu le veux tant ton Nemo, tu le prends et t'arrête de me faire chier. Jusqu'à preuve du contraire je me suis infiltrée dans la vie de personne et je t'emmerde avec toute la délicatesse du monde. »
   

   Ton problème ? C'était elle, et puis c'est tout. Il avait fallut que tu ramène ta fraise pour venir l'emmerder, ça avait été plus fort que toi. Eh, t'étais pas Oscalimero pour rien, le petit poussin noir toujours en train de se plaindre, emmerdeur comme pas deux. Et puis jaloux et possessif même avec tes exs. C'était vraiment ça, rien de plus ? T'admettais pas qu'il soit avec une fille, voilà tout. C'était dingue ce que tu te mentais à toi même Oscar. « Comment ça reprendre ? » là pour le coup, t'avais plus de mal à comprendre. Tu t'attendais vraiment pas ce qu'elle te dise ça, du coup tu restas con un moment sans comprendre. Genre, elle n'y tenait même pas un minimum ? C'était genre "prend le et me fais pas chier" ? Ehhh, et puis de toute façon t'en voulais pas  ! Il ne t'intéressait paaaaas du touuuut, non. « Mais comment ça ? Tu tiens pas plus que ça à lui ? » A vrai dire, dans ta tête, t'étais persuadé qu'il s'agissait d'un amour à sens unique. Dans ton esprit un peu misogyne sur les bords t'imaginais sans mal Chrissy aimant Nemo alors que pour lui il ne s'agissait que d'une histoire forcée. Mais si c'était le cas, pourquoi est-ce qu'elle te répondait aussi simplement qu'elle ne s'infiltrait dans la vie de personne, et que si c'était le problème, t'avais qu'à le reprendre ? « De toute façon c'est pas pour ça que je veux le reprendre, ça me tue juste qu'il soit passé d'une telle perfection qu'est la mienne à toi quoi. » Tu roulas les yeux. La jalousie te bouffait.
   

   Vraiment, il était en train de me taper sur le système. Tellement que si j'fermais les yeux, j'pourrais clairement voir des images de moi en train de lui taper la tête sur le sol. Ahem. Non, peut être que pour ce genre de chose, valait mieux que j'appelle Carrie. Moi j'étais la petite fille parfaite, gentille, adorable et intelligente. Du moins pour les apparences puisqu'en réalité, paraîssait que j'étais un peu trop névrosée. J'allais pas dire le contraire han ? J'étais vraiment bizarre par moment et si moi même j'arrivais à m'en rendre compte, ça montrait bien que y avait peut être un souci quelque part. Quoi qu'il en soit, je refusais que cette idiot sortit de nulle part me prenne pour cible en m'agressant sans raison. Parce que ouais, me reprochait mon mariage c'était pas une bonne raison. Il pouvait hurler sur mes parents, crier à la terre entière à quel point c'était injuste mais il n'avait pas le droit de s'en prendre à moi. « Bah, reprendre quoi. Tu veux une définition ? » God, est ce qu'il était arriéré en plus de ça ? Parce que là, j'en avais presque l'impression. Il comprenait pas ce que je disais. Et... Merde. Fallait peut être que je la ferme. J'étais limite en train d'hurler sur tout les toits à quel point ce mariage était monté de toute pièce en montrant que je me fichais totalement de mon mari. « Mèle toi de ce qui te regardes. » J'pouvais pas être plus claire, si ? « J'trouve ça beau. J'veux dire, l'estime que t'as de toi même. En même temps, si tu regardais la réalité en face, y aurait bien longtemps que t'aurais mis fin à tes jours non ? » Bitch powa. Putain mais c'était tellement pas moi ça. Est ce que je venais vraiment de lui conseiller de se suicider ? Gosh j'avais honte. « Pardon, j'voulais pas dire ça. J'suis désolée. »
   

   Tu savais même pas ce que t'attendais d'elle en vrai. Tu la retenais juste quelques minutes, le temps de la faire chier un maximum. Mais la bougresse avait du répondant, et fallait dire que si elle s'était simplement contentée de baisser la tête, ça aurait été bien moins drôle.« J'ai bien compris, mais tu dis ça comme si tu t'en foutais que je le reprenne. Et puis de toute façon, ça n'arrivera pas. » T'avais ajouté ta dernière phrase avec grande précipitation, comme si c'était le plus important, cette résignation. Puis elle décida de faire la maligne, sans trop que tu saches pourquoi elle te lâcha le genre de pique qu'on pardonne pas. Tu lui jetas un regard noir alors qu'elle s'excusait de suite, comme si elle regrettait ses paroles. « C'est miss valises sous les yeux qui vient me donner son avis ? Je rêve. » T'avais envie de lui en coller une, mais c'était pas ton genre. T'étais trop bien élevé pour ça. « Tu sais quoi ? Sois heureuse avec lui, aussi longtemps que vous vous bernerez d'illusions, mais sâchez juste que votre petit numéro ne dégoûte pas que moi, et que la presse ne tardera pas à se douter de quelques trucs. » Quelle honte quand même, si jamais t'avais été une femme - oh quelle horreur - t'aurais jamais accepté d'épouser, même par arrangement, un mec dont la réputation disait qu'il était très porté sur les hommes. La honte quoi, y'avait que Margaery Tyrell de Game of Thrones qui avait la classe même si son mari couchait avec son frère quoi...