En ce jour d'hiver ensoleiller, je décide de prendre un peux de temps pour moi, c'est pourquoi j'ai appeler tôt ce matin la nounou de mon fils pour que je puisse profiter de cette belle journée. Faut dire que depuis que je suis papa à temps plein, j'ai pas beaucoup de temps pour moi et mes passions. Sa fais un moment que je n'est pas dessiner où bien photographier, c'est donc mon cahier de dessins que je tiens depuis l'âge de mes 15 ans et que personne n'a vue que j'arrive au starbucks du coin, je sais que généralement c'est un endroit tranquille et beaucoup de personnes s'y rende pour étudier ou travailler, à cette heure il n'est pas fréquenté par ses étudiants encore vierge et plein de testostérones. Je m'installe à une table après avoir commandé un bon cappuccino plein de crème et un donuts au chocolat, j'ouvre mon cahier sur une nouvelle page et commence à y dessiner ce qui me passe par la tête. Ce cahier est pour moi une façon de m'évader depuis que je suis gamin et c'est surtout un journal intime, c'est pourquoi personne ne la vue.

les flocons glacées, les courants d'air frais et secs, le bouts des doigts rougis et geler après un long moment à scruter cette neige tombant du ciel. Les pavés étaient givrés et glissant, il fallait faire attention où l'on mettait les pieds pour ne pas se retrouver le jeans plein de neige. La soirée était fraîche mais pas intolérable. Soirée parfaite pour prendre une longue marche dans les rues. Le soir, le parc était tout illuminées, les arbres et les chemins étaient tous garnis de millier de lumières blanche. On se croirait sur la voie lacté. Ce n'était plus très loin mais cette itinéraire avait été plus long que prévu. Je n'habite pas si près malheureusement, pas comme quand j'étais chez mes parents et que le jardin donnaient  pratiquement directement dans ma cours. Ô lumière, attendez-moi! Le bout des orteils engourdis par le froid je décida alors d'entré dans le café au coin de la rue juste avant le grand parc pour m'y réchauffé et m'y sucré le bec. Quand la neige tombe comme ce soir je n'ai qu'un envie et c'est de me tremper les lèvres dans un bon chocolat chaud. Je pris ma commande au comptoir et alla m’asseoir à une table en attendant mon chocolat bouillant, les yeux rivé sur la beauté qui tombait su ciel par la fenêtre.

Le crayon à la main je laisse mon imagination se dessiner sur le papier, tout en prenant tout de même le temps de boire mon café. Je redresse seulement la tête lorsque j'entends la petite cloche de la porte sonné pour avertir qu'un client entre ou sort et LA mes yeux se pose sur la plus merveilleuse créature que dieu à crée, sa fait à mes yeux une éternité que je ne l'est pas vue et de la voir ici au même endroit que moi c'est une inconscience vraiment énorme. Alodia, la femme avec qui j'ai le plus souffert mais que j'ai le plus aimé, vous savez le premier amour qui reste à jamais gravé dans votre coeur parce qu'il vous à autant fais souffrir que sourire. Mon coeur bat la chamade comme au premier jour et j'en revient toujours pas qu'elle se trouve ici, il y avais une chance sur mille pour que je la recroise un jour. Je souffle un coup et ferme mon cahier, pour le ranger et je prend mon café en main sans oublier le donuts que j'ai pas encore mangé et m'approche d'elle les jambes complètement flagada. Je me racle la gorge et une fois prêt d'elle je dit "On se connais non?" Je sais que notre histoire c'est plutôt mal terminé mais aujourd'hui nous sommes de vrais adulte et on peux faire face non? Je l'espère.

Ô que la neige à neiger, ma vitre est un jardin de givre! Comme le dirais Émile Nelligan. Je dis ça comme si j'étais une grande poête ou fan de littérature, mais ce n'est pas du tout le cas! Ce n'est pas ma majeur. Enfin, les yeux se baladant sur l'extérieur, j'avais à peine observer l'environnement du café. Brad Pitt aurait pu y être assis et il m'aurais passé complètement inaperçu! "On se connais non?" Je me retournais, certaine de me retrouver face-à-face avec le commis qui venait m'apporter mon chocolat chaud, mais tel n'étais pas le cas. «Er..Eros?» J'aurais sans doute aimé pouvoir hésité quelque seconde, mais la vérité c'est que je l'ai reconnu tout de suite, sans hésitation. Eros... ou encore le fantôme de mon passé. Dans ma poitrine, le rythme accéléré de mon cœur dans ma cage thoracique me rappela un passé que je croirais très lointain. Ça fait si longtemps que je n'avais pas entendu de lui, pas depuis mon départ pour l'Université qui corrélais avec la rupture final. Oui final parce que si je calcules toutes celles qu'il y a eu.. oh je sais même pas. J'arrivais pas à m'articuler, puis je fuis couper par le commis qui me tendit mon chocolat. Même la j'ai eu un retard. Je suis un peu sous le choc, et mon coeur également.

Je ne pensais vraiment pas la revoir et encore moins ici, c'est pourquoi lorsque mes yeux se sont posés sur elle, j'ai cru rêver ou me tromper de personne, mais lorsqu'elle à tourné son joli visage pour me regarder qu'elle à prononcer mon prénom, je réaliste à cet instant que je suis devant mon premier amour et que mon coeur bat toujours autant pour elle, ce que je croyais impossible. Je pose mon café sur sa table avec ma pâtisserie et dépose mes genoux à terre comme un homme qui rend les armes "Tu...tu m'as tellement manqué." Et je l'encercle de mes bras, déposant ma tête contre sa poitrine. Son parfum, ma tellement manqué que en le respirant j'ai l’impression de naître une seconde fois. "Je suis tellement content de te voir." Mes main serre son top et mes bras la compresse un peux plus. Mes yeux se ferme et là à cette instant plus rien n'existe, juste elle est moi.

Je n'avais pas revu Eros depuis mon départ, m'étant toujours promis après cela de rester loin parce que je savais alors exactement ou ça me mènerais. Il avait toujours eux les bons mots, toujours posée le geste romantique qui me fessait craquer et retourné vers lui. Aujourd'hui, les choses avaient changées n'est-ce pas!? Le commis m'avait tendu mon café cartonné et prêt à être emporté, seulement mes jambes s'étaient tellement ramollis que je n'osais faire un pas. Je voulu reprendre mes esprits rapidement, j'avais changé, je ne suis plus celle abandonne son monde dès qu'il pose son regard dans le miens. "Tu...tu m'as tellement manqué." Il allait me faire perdre tous mes moyens... j'étais si surprise, mon cœurs battait tellement fort que j'eus peur qu'il puisse l'entendre, tenta de le calmer mais entourés de ses bras et sentant son poids sur moi s'était mission impossible. Je sentais le parfum de sa chevelure, la chaleurs de ses mains... « Eros.. qu..Qu'est-ce que tu fais..?»

Je ne sais pas ce qui me prend, moi qui pensais avoir tourné la page le jour où elle à décidé de partir, ce fameux jour ou les adieux étaient si douloureux que j'en est encore la marque. Je ne sais pas, comme à chaque fois je ne contrôle plus rien à ses côtés, je pensais être guérie et pourtant. Mes bras autour de sa taille, ma tête coller contre sa poitrine, ou mon oreille peux entendre le battement de son coeur si puissant qu'il aurais pu exploser mon tapant si elle ne c'était pas calmé. Je souffle un coup et me redresse à la suite de ses mots "Excuse moi..Une pulsion." Mais quel abrutie je vous jure, je suis vraiment un moins que rien. Je glisse mes mains dans les poches de mon jean et la regarde dans les yeux, avec le temps elle c'est embellie, plus qu'elle ne l'était déjà avant "Je suis étonner de te voir à Cambridge." Je me comporte comme si je n'avais rien fait, alors qu'il y à quelque minute j'étais à genoux les bras encerclant son magnifique corps.

Les regrets et les blessures derrière et l'avenir est en avant! Ça semble si simple en théorie. Pourtant à cet instant j'avais l'impression d'être revenue dans le temps. Seul le lieux avait vraiment changé. Je me mêlait dans la surprise de le revoir ici à Cambridge et des circonstances de cette rencontre. Ma main si près de caresser sa nuque que mes doigts en tremblaient. "Excuse moi..Une pulsion." Il s'était détacher aussi rapidement qu'il s'était attaché à moi! Je devais me reprendre et vite. Il avait chang., il était même plus beau que dans mon souvenir, mille fois plus. En même temps même moi j'avais changé, à l'époque j'étais habillé en écolière la pluspart du temps et je ne connaissais pas vraiment l'usage de maquillage ou de fer plats. -enfin- « oh, hum oui j'imagine et c'est réciproque. Je suis arrivé il y a un peu plus d'un an pour mon travail... wow excuse-moi, je suis vraiment surprise..»

Elle est tellement sexy, elle l'était déjà avant mais la c'est vraiment whoua, maintenant qu'elle connais le maquillage et tout ce qui fait pour rendre une femme d'avantage jolie, c'est la bombe. Je ne sais quoi dire, elle me blogue dans mes pensées, je ne suis plus capable de réfléchir et j'ai peur que en ouvrant la bouche les mots ne sorte pas. Je continue de la regardé et lorsqu'elle s'adresse à moi si normalement je suis complètement perdu. Je fais bonne figure et force un sourire pour ensuite lui dire "Je suis tout autant que toi surpris. Tu es ravissante." Je ne peux m'empêcher de lui dire et si sa tenais qu'à moi je serais déjà accroché à ses lèvres. Je sort mes mains de mes poches et m'installe en face d'elle sans la quitté du regard, elle m'a tellement manqué que j'ai encore du mal à croire qu'elle est en face de moi."Tu fais quoi comme job?" J'essaie de faire la conversation comme je peux, comme si toutes ces années ne c'étaient pas écoulés.

J'étais tellement nerveuse, je devais faire quelque chose. S'était ridicule, je m'étais promis il y a longtemps de laissé le passé où il était. Puis je suis sur qu'il a très bien refais ça vie depuis, il a surment une femme ou une copine mille fois trop sexy pour être regarder à l'oeil nue et toute sa vie qui va avec. De mon coté je n'étais pas non plus mal, jusque là. Qu'est-ce qu'une fille doit faire lorsqu'elle rencontre son ex qui la anciennement démolis... soit forte et sourit! Ce que je m'éfforçais a faire le plus naturellement possible. C'est lorsqu'il me rétorqua sa surprise égale que son compliments me fit rougir, du moins assez pour que ça se voir j'en ai peur. « c'est gentil, tu a bien veillis également.. » Il prend place devant moi et j'emprisonne mon chocolat entre mes mains, mes pupille légèrement pétillante, qu'est-ce qui me prend? Je m’éclaircis la gorge doucement. « Je travail comme graphiste pour Blizzard, tu connais?... et toi, que fais tu à Cambridge?»