Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityFélix G. Rosenbach ► Ed Westwick
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    Félix G. Rosenbach ► Ed Westwick
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    Lien du postMer 7 Jan 2015 - 16:48
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    Fiche Étudiant


       
    C'est le vingt-deux décembre 1990 à londres, england, que les membres de la famille rosenbach m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé félix gabriel archibald.  Je suis coureur de jupons et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis amoureux de ces dames et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale bourgeoise et riche. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de politique en majeur et de relations internationales en mineur depuis six ans ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les eliot house ou les winthrop house.

       
    Pourquoi eliot house ou winthrop house ?
       
    ELIOT HOUSE.
       La question se pose, mais elle possède une réponse claire et précise. Si Félix doit intégrer la Eliot House, c'est tout d'abord parce qu'il est né avec une cuillère en or (et non en argent) dans la bouche, son compte en banque compte des dizaine de zéros. D'autre part, son père n'est autre que le conte de Bridgwater, une ville située près de la mer -même si elle en reste tout de même éloignée et que l'eau reste glaciale-. Il est donc le futur conte de Bridgwater à la mort de son père. Il fut élevé dans ce but précis. C'est le fils d'un homme important en Angleterre, surtout que le jeune garçon est le 13ème prétendant au trône d'Angleterre. Cet enfant a dès sa naissance acquis un avenir prestigieux, loin de la misère, mais dont les difficultés et sacrifices vont se succéder. Le jeune homme ne se prend pas pour n'importe qui, il est assez hautain, il connaît son titre sur les bouts de ses doigts et sait que sa position est très importante parmi les aristocrates du royaume. Sa place semble donc parfaite au sein de la grande maison des eliot.

       WINTHROP HOUSE.
       Le deuxième choix du jeune homme s'est immédiatement déposé sur les winthrop. Certes, il ne ressemble pas à George Clooney, il n'est pas mannequin, ni même un gand sportif avide de sensations fortes, mais le jeune homme a une grande qualité, il a un véritable charisme. Il a une véritable prestance physique, quand il se déplace, il dégage un grand charme qui ne peut laisser personne insensible. De plus, il est un parfait orateur capable de captiver une foule lors d'un discours. Il a une parfaite maîtrise des mots et sait très bien en jouer. C'est un homme qui sait bien se comporter avec les femmes, il est capable de leur tenir la porte, leur parapluie, et sait qu'il doit servir lui-même une femme lors d'un dîner. Tous ces gestes, il les a appris par son père. En effet, à cause de sa position, il a dû apprendre à être un véritable gentleman, capable de séduire une femme rien qu'en la regardant, mais il est tout aussi capable de respecter les femmes, c'est une chose acquise, qui réside dans ses gênes. .
    Mon personnage c'est le plus beau
       
    (ajoutez "checked" pour cocher une case, 12 cases à cocher, sous la forme "l'un ou l'autre")
       
    EXTRAVERSION (E) - INTROVERSION (I)
    Expansifou Tranquille
    Audacieux ou Réservé
    Ouvert ouSecret

       SENSATION (S)- INTUITION (N)
       
    Factuelou Abstrait
    Pragmatique ou Innovateur
    TraditionnelouOriginal
    PENSÉE (T)  - SENTIMENT (F)
       
    Impartialou Empathique
    Détaché ou Compatissant
    Logique ou Subjectif

       ORGANISATION (J)- ADAPTATION (P)
       
    Structuré ou Souple
    Circonspect ou Spontané
    Conformiste ou Non-conformiste

       APRÈS LA BOMBE
       Durant l'attaque de la bombe, je n'étais pas à l'université, j'étais à Paris pour gérer la boutique de ma mère ou plutôt, je convoitais le fameux shooting de ses dernières collections. De nombreux mannequins étaient présents, il fallait bien que je puisse un peu m'amuser. C'est par un coup de fil inattendu de mon père que je fus au courant de cette attaque. Ce dernier appelait pour savoir si sa progéniture était toujours apte à prendre sa relève, mais je n'étais pas là-bas, je n'ai pas vraiment pu intervenir, ni même aider les autres, et même si j'y avais été, je ne fais pas médecine, donc je n'aurais servi à rien sauf à voir ces pauvres blesser, parler de leur triste sort en me racontant cette mésaventure. Sans rire, je ne sais pas vraiment écouter, j'ai dû mal à capter certains sons. Certains diront que je suis égoïste, et ils ont raison ! Cette attaque m'a marqué, il est vrai ! J'aurais voulu aider, mais je n'ai rien pu faire ! Mais à mon retour à l'université, j'ai tout de même tenté d'aider ceux qui avaient beaucoup perdu dans l'accident, en faisant du mieux que je pouvais. Ce n'était pas parfait, mais ce fut le seul petit geste que je pus offrir.

       
    Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Maude et j'ai 20 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à je ne sais plus du tout.  Très beau design, excellente activité, et bonne présentation du contexte en général et tenue du RPG alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise ed westwick comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bazzart. Je fais environ 1 à 2 pages word par RP et mon personnage est un personnage inventé.

       Mot de la fin ? ▲  Félix G. Rosenbach ► Ed Westwick 1001568715
       Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
       
    adhérer un flood d'intégration (?)
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    Lien du postMer 7 Jan 2015 - 16:49
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    Il était une fois...
    Ce 22 décembre 1990 fut une journée glaciale, où la jeune héritière de Cartier (la célèbre boutique de bijoux) Célina de Quercize Rosenbach avait décidé de travailler sur un croquis d’une nouvelle bague qu’elle comptait présenter à son père pour la collection printemps/été 1991. Seulement, tout ne se passa pas comme prévu, la jeune femme sentit une grande douleur en elle, elle posa délicatement une main sur son ventre. Elle était enceinte de sept mois, le petit ne devait pas venir maintenant. Sous la douleur, elle se pinça la lèvre, se recroquevillant sur le sol. Elle saisit le téléphone qui était posé sur son bureau pour appeler son mari qui était encore à l’ambassade américaine pour régler des conflits à propos d’une histoire passée en son pays natal. Elle tomba sur sa secrétaire qui transféra le message, ainsi qui appela les secours pour la jeune mère prête à accoucher. Célina s’était mariée, il y avait maintenant deux ans. Ce mariage fut celui d’un amour d’enfance, elle connaissait son mari sur le bout des doigts et l’aimait comme au premier jour. Cet amour s’était concrétisé par leur enfant. Mais s’il y avait bien une chose qui manquait à la jeune Parisienne, ce fut les paysages de sa ville natale. Elle n’avait jamais voulu habiter à Londres, mais elle avait suivi son mari qui était originaire de ce pays et qui avait un poste important. Ce fut donc une longue et périlleuse attente qui se fit sentir. Elle attendait patiemment que son petit sorte, tout en espérant que ce ne soit qu’une fausse alerte. Elle avait peur de le perdre, comme celui qu’elle avait eu lors de son mariage. Elle avait tant pleuré, tant prié, la chance avait certainement tourné. Son mari mit du temps à arriver, cela faisait des heures qu’elle attendait seule, les larmes aux yeux, elle se retrouvait seule. Non pas qu’elle n’en avait pas l’habitude, mais elle sentit le travail commencer, elle pensait perdre son bébé, elle était impuissante face à son destin. Soudain, une tête aux cheveux de jais fit son entrée. Elle reconnut William, son mari, son regard habituellement mélancolique noisette était encore plus prononcé, ses dents étaient serrées, et elle pouvait également distinguer sa légère veine sur sa joue lui jouer un tour. « Célina, mon amour, je suis tellement désolé, ne m’en veux pas ! J’ai été retenu à cause de ces Américains qui se croient tout permis ! L’ambassadeur ne voulait pas me laisser partir. Je m’en veux tellement… Pourquoi pleures-tu ? Il s’est passé quelque chose avec le bébé ? » Le jeune homme attendait également cet enfant avec impatience. La perte du premier fut tragique pour le couple qui avait réussi à tenir grâce à leur amour, et ce petit être. La jeune femme commença à crier. Le travail avait réellement commencé, William resta à ses côtés durant tout l’accouchement, supportant les cris, les insultes et les coups de sa femme. Dès que l’enfant vint au monde, les deux se mirent à pleurer de joie, sauf les médecins remarquant que l’enfant peinait à respirer. Ce fut une longue lutte, ces derniers commencèrent à lui faire de nombreux soins afin de ne pas le perdre. Il fut enlevé aux parents pour être finalement placé un peu plus tard dans une couveuse. Le médecin était enfin revenu. Cette naissance si prématurée avait perturbé l’enfant. Il était maintenant souffrant, mais il était dur pour lui d’analyser sa maladie.
    C’est quelques mois plus tard que les parents apprirent la vérité, leur enfant était atteint de la mucoviscidose. C’est dans une grande fatalité qu’ils se voyaient déjà sans enfant. Leur amour avait supporté beaucoup d’épreuves, mais celle-ci fut la plus dure. Leur enfant souffrait d’une maladie dont le médecin les avait accusés d’avoir apporté le fameux gêne. C’est à partir de ce moment que les visites à l’hôpital se succédèrent pour leur jeune enfant qui portait le nom de Félix Gabriel Archibald Rosenbach.
    Malgré les épreuves rudes que leur offrait la vie, les jeunes Rosenbach étaient encore ensembles s’aimant toujours comme au premier jour à la plus grande joie du petit garçon âgé de cinq ans. En ce dimanche de juillet 1996, ses parents l’avaient amené à Paris, la ville de sa mère. Le petit garçon découvrit avait grande stupeur la grande place Vendôme où était la boutique de sa mère qui était maintenant devenue l’héritière à la suite de la mort de son père. Elle marcha main dans la main avec son fils jusqu’à accéder à la grande boutique. Elle se mit à sa hauteur pour le regarder dans les yeux. « C’est la boutique de maman, un jour, à mon décès se serra la tienne ! » Elle lui fit un grand sourire en caressant sa joue, elle savait qu’il y avait peu de chance qu’il ne dépasse ses vingt ans, mais elle s’accrochait à ce brin d’espoir. « Mais papa, il a dit que j’étais le conte de Bridgwater, je peux pas avoir de magasins moi ! Les contes, ils ont des châteaux comme celui qu’on a à la maison, maman ! Puis, j’aurais un cheval blanc pour sauver ma princesse, je peux pas avoir de magasins, je te le jure ! C’est écrit dans tous mes bouquins ! » Sa mère éclata de rire, son plus cadeau était son fils. Son père se rapprocha de lui afin de l’embrasser sur le front. « Mon garçon, tu apprendras que tu as beau être un conte, tu auras une vie autre que celle dans les châteaux. Maman ne te mens pas, ce magasin est bien à toi, et je suis sûr que tu pourras très bien être un conte et un grand vendeur ! » Le petit garçon fronça les sourcils, ne comprenant pas toute la situation. Il regarda à son tour son père et sa mère et s’exprima à sa façon. « De toute façon, je suis Anglais, et non Français ! Je vivrai dans mon grand château et j’aurai pleins de chevaux, vous verrez ! Mais dis, papa, on rentre bientôt à la maison ? Ca fait tellement longtemps que je n’ai pas vu Nanny Lydia ! » William se mordilla la lèvre en regardant sa femme, le jeune homme allait rentrer seul à Bridgwater, sa femme devait rester à Paris une année entière pour s’occuper des affaires de son défunt père et tous les deux avaient décidé de laisser Félix avec sa mère pour bénéficier d’un nouveau paysage et de meilleurs traitements sur place. Il posa une main sur son front qu’il frotta. « Félix, il va falloir rester sur Paris pendant plus longtemps que prévu, ta mère a beaucoup de choses à régler ici, mais tu rentreras très vite ! Moi je partirai à la fin du mois à la maison, mais je te promets de revenir aussi vite que possible dès que tu auras besoin de maman. Je compte sur toi ! Tu seras l’homme qui va protéger maman, prends soin d’elle ! » . Le petit garçon comprit très vite que son père ne plaisantait pas. Il avait un regard si sérieux, que son fils s’empressa aussitôt d’avaler sa salive pour ne pas manifester son comportement. C’était une des conditions de son éducation, il était peut-être égoïste, mais en aucun cas il ne devait se résoudre à défier l’autorité de ses parents sous peine d’une punition exemplaire. Mais il fut tout de même fier de la tâche imposée par son père, pour une fois ce n’était pas lui qui était le plus faible, son père lui avait bien précisé qu’il devait veiller sur sa maman, une tâche particulièrement difficile pour un enfant d’un âge si bas. « Compte sur moi ! Je serai le chevalier de maman, aucun méchant ne l’approchera ! » A cet enthousiasme, les deux parents se mirent à éclater de rire. Leur fils était de plus en plus surprenant.
    C’est ainsi qu’à la fin du mois de juillet, William prit l’avion en direction de son pays natal laissant derrière lui sa progéniture et sa femme les larmes aux yeux. La maternelle et l’enfant décidèrent de se hâter au travail. C’est durant cette année-là, que Célina reprit le flambeau de l’une des plus grandes bijouteries du monde, excellant son chiffre d’affaire par des créations de plus en plus ingénieuses. Elle était enfin devenue la femme d’affaire qu’elle espérait tant ! Quant à Félix, il avait fini par rester plus d’un an en France pour aller à une école privée du centre où il apprit la langue de Molière tout en continuant de suivre des cours de sa langue d’origine Shakespeare afin de ne pas prendre de retard. Le petit garçon rentrait très souvent après l’école pour rejoindre sa mère au bureau. Il avait appris la différence entre la topaze, les différents diamants, les rubis, l’émeraude… Il connaissait toutes les pierres précieuses ainsi que leur particularité et commençait même à surprendre ses parents dans cet apprentissage extra-scolaire au cours duquel il avait plaisir d’être avec sa mère.
    Ce fut à la rentrée de ses dix ans que le jeune Félix reprit l’avion en direction de la ville dont il était le conte. Son père avait géré toutes les affaires politiques et avait même hérité du poste de son père au sein de la Cour des Lords en tant que Lord Rosenbach, douzième hérité de la couronne d’Angleterre. Durant le voyage, le garçon avait exprimé des signes d’insuffisances respiratoires, mais rien de bien choquant par rapport aux nombreuses crises qu’il avait subi ces derniers mois. Les médecins n’avaient trouvé aucune évolution à sa maladie, son gène était toujours présent mais ne présentait pas de réels dangers. Les médicaments que prenait l’enfant suffisaient à calmer ses crises. Or à son arrivée, il put tout juste rentrer dans sa crise qu’une plus grande crise se fit ressentir. Elle lui donna le sentiment de recevoir des coups de couteau qui s’enchaînaient les uns après les autres, sans qu’une minute ne puisse intervenir pour le laisser respirer. Il s’écroula sur le sol, n’ayant plus le courage suffisant de supporter sa crise. Cette dernière lui fit doucement fermer les yeux, et baisser son rythme cardiaque. Sa mère, qui venait voir son fils, le retrouva sur le sol subissant un sort d’agoni. Les larmes aux yeux, elle saisit son téléphone portable afin d’appeler les secours. Comment une telle chose pouvait-elle arriver à un enfant si jeune ? L’ambulance en route, la jeune mère prit son enfant dans les bras afin d’être près de lui si son dernier instant venait à venir. Elle cria le nom de William dans toute la grande maison, le jeune homme monta l’escalier et se jeta dans les bras de sa femme et son fils. L’ambulance finit par arriver, le jeune enfant fut transféré dans l’hôpital le plus proche de l’habitation familiale. Les deux jeunes parents attendirent longuement dans ce long couloir blanc qu’ils connaissaient par cœur et qui leur laissait un goût amer de mort. Essayant mutuellement de se calmer l’un et l’autre, un médecin fit son apparition, c’était celui qui suivait le cas de leur fils depuis sa naissance. « Monsieur et Madame Rosenbach, j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne nouvelle est que votre fils a su résister à cette crise, qui était bien trop violente pour son âge. La mauvaise nouvelle que j’ai à vous annoncer n’est pas facile. Vous savez qu’au cœur de la mucoviscidose, chaque année de plus pour un malade est une victoire, certains vivent deux ans, d’autres ont la chance de vivre jusqu’à la fin de leur vie. Votre fils faisait parti de la deuxième catégorie, sa maladie existait mais n’était pas si préoccupante. Maintenant c’est autre chose, cette dernière a violemment évolué. Votre fils ne mourra pas demain, ses examens sont bons, même si à la place de une à deux visites par an à l’hôpital, il devra subir quatre à cinq visites. Ce qui me fait mal au cœur, c’est de vous avouer qu’en faisant mes propres calculs, votre fils ne pourra survivre à l’aube de ses vingt ans. Il va devenir de plus en plus fragile, et devra en temps et en heure subir une greffe des poumons, mais comme vous le savez, ni l’argent, ni la gloire ne vous en feront obtenir légalement un. Il faudra qu’ils attendent comme tous les autres, mais si au moment voulu la greffe ne peut intervenir, votre enfant ne pourra résister à ce qui l’attend… Je pense que je vais vous laisser, vous devez vous reposer et prendre soin de lui car nous avons décidé de le garder en observation ! »La jeune mère éclata en sanglots dans les bras de son mari, elle n’en revenait pas, après une fausse couche, son unique enfant risquait bel et bien de mourir. Elle ne voulait en aucun cas que cela n’arrive. Elle décida donc de rester coûte que coûte avec son fils. « William, tu es celui qui a désormais le plus de responsabilité… Je ne peux pas laisser Félix dans un tel état, je vais veiller sur lui nuit et jour, et je continuerai l’entreprise de mon père. De ton côté, tu pourras continuer ton devoir et venir le voir quand tu le pourras. » A cette annonce, le père de famille fut furieux, elle avait pris elle-même sa décision sans le consulter ou en discuter avec lui. Elle lui imposait toutes ces choses sans lui demander son avis, lui aussi avait envie d’être au chevet de son fils pour veiller sur lui. Il se mordit longuement la lèvre sans laisser entrevoir sa colère qui ne cessait de grandir en lui. Sa seule réaction fut d’aller voir sa progéniture qui était inerte sur son lit. Félix regardait loin devant lui, il n’avait aucune nouvelle de ses médecins, ses parents eux-mêmes devaient lui annoncer le pronostic. En voyant ses parents, son visage s’illumina, sa mère avait longuement essuyé ses yeux avant de rentrer dans sa chambre. « Maman, papa ! Je peux enfin vous voir ! Le médecin m’a dit que je devais garde le lit, et que j’étais prié de rester ici, est-ce vrai ? » La jeune mère acquiesça avant de prendre la parole au détriment de son mari « Oui mon ange ! Papa va retourner travailler, mais je resterai avec to ici, quoi qu’il arrive ! Mais tu devrais te reposer, tu es bien pâle ! » Le petit garçon fit un grand sourire à ses deux parents et les embrassèrent avant de se retrouver dans les bras de Morphée. Ce fut le début d’une guerre lancée entre les deux parents.

    A l’aube de ses quinze ans, Félix avait bien grandi, il commençait à devenir le jeune homme dont ses parents aspiraient à ce qu’il soit. Grand, fin et distinguée, le jeune homme n’avait cessé de se perfectionner dans les arts de la table, de bonne conduite, mais également dans les langues. Il savait parler couramment l’anglais, le français et parlait également le chinois et l’espagnol. Ces cours étaient optionnels mais son père avait insisté pour qu’il progresse dans bien des domaines, il allait prendre sa suite donc son enfant devait être parfaitement préparé. Aucune erreur ne devait se produire. Le jeune homme ne trouvait pas sa situation désagréable. Il allait à une école privée du centre très bien réputée et menait d’autres cours à côté. Il avait peu de temps pour lui en plus de ses activités extra-scolaires mais cela ne l’empêchait pas d’avoir un nombre d’amis, restreint certes, mais certains étaient fidèles. Il avait appris que les gens autour de lui étaient soit ses amis pour son argent et sa position, soit ils l’évitaient à cause de sa maladie qu’ils devaient penser contagieuse alors que cette dernière n’affectait que lui. Concernant a maladie, le jeune homme ne voyait aucune amélioration, ses visites à l’hôpital avaient augmenté, il se retrouvait à y aller pour des examens sordides auxquels il avait de moins en moins envie d’y aller car ils étaient de plus en plus durs à supporter. Il avait l’impression d’être un cobaye ! Il devait prendre des médicaments sans moufter, ces derniers devaient l’aider à aller mais certains aggravaient son cas alors que d’autres le stabilisaient. Aucun médicament n’était satisfaisant ! Il ne comprenait pas que des jeunes de son âge puissent mourir, c’était tout simplement impensable. S’il prenait son traitement c’était pour écouter sa mère, rien de plus ! Si ce n’était que de lui, cela aurait fait un moment qu’il aurait arrêté. Aujourd’hui allait être une nouvelle fois tumultueuse, il avait rendez-vous à l’hôpital pour un contrôle de routine, il savait très bien que ses parents discutaient avec les médecins pour savoir la périodicité qu’il lui restait à vivre. En prenant une grande respiration, il rentra dans ce grand bâtiment qu’il connaissait par cœur. Un médecin l’accompagna jusqu’à une salle d’examens où tout se déroula parfaitement bien. On lui conseilla de rester se reposer dans la grande salle qui lui servait de chambre. Pour une fois, il se décida à ne pas écouter. Il se leva fébrilement, à chaque examen c’était la même histoire, il était encore plus faible. Il força sur ses maigres jambes pour atteindre la porte de sa chambre. Au loin, il vit sa mère avec son médecin. Il décida de s’approcher. « Monsieur Rosenbach n’est pas ici ? » Célina haussa les épaules, son mari était devenu distant depuis qu’elle s’occupait plus de son fils, mais elle s’en fichait pas mal. « Oui, monsieur est en rendez-vous, le travail. Je voulais savoir, comment va Félix ? A-t-il une chance de vivre un peu plus ? » Le médecin farfouilla dans le dossier de son patient, il fit une petite grimace avant de regarder la jeune mère. Félix serra de plus en plus sa peau, il ne savait pas qu’il était condamné, personne ne lui avait jamais rien dit à ce propos. « Votre fils ne donne aucun signe d’amélioration, il s’est stabilisé, il est vrai, mais il finira bien sa vie vers ses vingt ans. Ce résultat n’est pas sûr, mais nous en sommes convaincus. Je sais que c’est difficile à attendre, mais votre fils peut même mourir avant, cela dépend de sa capacité à supporter la maladie. » Le jeune homme entendit cette nouvelle en se mordillant la lèvre, il ne lui restait que cinq ans, voir moins Une grande colère prit possession de lui. Il s’afficha d’un grand pas devant son médecin et sa mère, les scrutant avec ce regard noir que possédait son père quand il était en colère. C’est avec une grande fébrilité, qu’il s’adressa aux deux menteurs qui étaient devant lui. « Cela fait donc un moment que vous connaissez mon sort ? Jamais personne ne m’a jamais rien dit ! J’avais et j’ai encore le droit de savoir quand ma vie s’arrêtera ! C’est la mienne et non la vôtre, vous décidez tout à ma place, surtout vous mère ! Vous m’horrifiez ! Comment peut-on cacher cela à son enfant ? Aviez-vous honte ou peur que je n’exauce pas vos volontés avant que je m’éteigne ?! Vous avez tout dirigé dans ma vie, sans rien me dire, maintenant c’est fini ! Je finirai ma vie comme je l’entends ! Cette maladie n’aura pas ma peau, je l’aurais avant qu’elle ne puisse me contrôler ! Ne comptez plus sur moi pour vous écouter ou même être coopératif ! Ce temps est révolu, je ferai ma vie comme je l’entends, si cela ne vous dérange pas car si j’ai bien compris il ne me reste que cinq ans à vivre ou moins ! »Les deux autres interlocuteurs regardèrent avec grand choc, le jeune homme qui venait pour la première fois de s’affirmer avec autant de cran devant toute une foule. Le jeune homme tourna les talons et se dirigea vers sa chambre afin de pouvoir à nouveau se reposer.

    A ses dix-huit ans, le jeune Félix venait enfin de recevoir la lettre qui lui indiquerait quelle fac lui était ouverte. Cette nouvelle, il n’allait pas la partager seule, sa petite amie Anya allait partager cette nouvelle avec lui. Sur l’avis de son père, il avait postulé pour Oxford la prestigieuse université. Il avait opté pour un cursus en politique. Resserrant les lèvres, il ouvrit cette fameuse lettre. En lisant les grandes lignes, il venait de recevoir une réponse positive. Sous cette nouvelle, Anya se jeta dans ses bras, elle aussi avait été prise là-bas, ils allaient enfin pouvoir profiter de leurs années universitaires tous les deux. Cette nouvelle lui mettait du baume au cœur. Courant vers le manoir familial, le jeune homme tomba sur son père, qui était une nouvelle fois au téléphone. Il déposa soigneusement la lettre. A l’effigie de l’université, William déposa le cellulaire sur le bureau en bois d’ébène qui s’imposait au milieu de la pièce. A cette réponse positive, son père décida de lui offrir une voiture, la voiture de collection sport ancienne dont le jeune homme convoitait tant depuis son plus jeune âge. La nouvelle fit rapidement le tour de la famille, tous les hommes de la famille Rosenbach avait fait leurs études à l’université d’Oxford, le jeune homme avait dû s’y plier pour respecter les engagements de ses ancêtres.
    Plus tard dans la soirée, le jeune homme fit son entrée dans la grande maison familiale faisant part à une dispute familiale. Ses parents se retrouvaient l’un en face de l’autre, sa mère venait d’apprendre que pendant toutes ces années, il l’avait trompée avec un mannequin qu’il fréquentait depuis un long moment. Indignée, cette dernière lui balança une gifle dans la figure, elle ne comprenait pas qu’il osait la tromper sous son nez alors qu’elle s’occupait de leur fils qui était à l’hôpital durant cette période. L’homme n’osa même pas répondre, il n’avait pas à se justifier, elle ne lui lassait jamais le choix et elle ne lui laissait rien faire. Ce manque de part de cette dernière l’avait laissé seul, ainsi il avait comblé sa solitude avec une autre. Le jeune homme marqua une pause devant ses parents, avalant une grande part de sa salive, il entendit les deux parler de rupture, et divorce, un nouveau mot qui le perturbait. Son père avait décidé de s’installer avec sa nouvelle compagne pour vivre leur histoire au grand jour. Sa mère allait se retrouver seule. A cette nouvelle, elle décida de faire ses valises. Son choix était fait, elle allait vivre à Paris pour faire fonctionner son entreprise familiale. C’est ainsi qu’aux alentours de trois heures du matin, Célina prit la voiture pour se diriger vers l’aéroport sans vraiment se retourner derrière elle, pour regarder une dernière fois son fils.

    Durant l’année de ses dix-neuf ans, le jeune homme avait fait sa rentrée à Oxford. Il avait pris un appartement avec sa petite ami qui était devenue sa fiancée. Leur amour était puissant, et pur, rien ne pouvait le détruire. Du moins, c’est ce qu’il se pensait. En ayant fini plus tôt ses cours, le jeune home avait décidé de faire une dîner en tête-à-tête avec cette dernière. A cette fin, il avait tout acheté : grand vin, homard et son dessert préféré une forêt noire. Montant à grande hâte les escaliers, il finit par ouvrir la porte de leur petit appartement. Sur le canapé, il tomba nez à nez avec elle et un autre homme qui se trouvait être son plus grand ami. Avalant sa salive, il attrapa violemment l’autre jeune homme pour le plaquer contre le mur, c’est avec une grande force qu’il lui donna un coup de poing. Les deux jeunes hommes se donnèrent des coups sans s’arrêter devant les yeux de la jeune femme qui finit par les séparer. Elle finit par renvoyer son amant chez lui pour avoir une discussion avec Félix. « Tu peux m’expliquer ?! »/ La jeune femme eut les larmes aux yeux. Elle tourna ses pouces l’un contre l’autre « Ne m’en veux pas, je suis vraiment désolée ! Mais j’ai eu peur de me retrouver seule. J’ai peur de te perdre, il ne te reste qu’une année à vivre et je ne voulais pas être seule à ton départ. Je t’aime, mais tu peux le comprendre, je ne veux pas avoir à perdre quelqu’un alors que je n’ai que vingt ans c’est trop jeune ! Je ne veux pas me retrouver eule, je ne l’ai jamais été alors je me suis rapprochée de lui, je me suis dit qu’il pouvait faire l’affaire après ton décès… » A ces mots, le jeune homme ne pouvait le croire. Elle venait de le trahir avec un de ses amis. Elle avait été égoïste, se plaçant avant lui pour combler son petit bonheur sans vraiment penser à lui quand il ne serait plus de ce monde. Elle avait eu peur de lui, peur de sa maladie qui le rongeait depuis sa plus tendre enfance. Encore une fois, il se retrouvait seul face au monde. Une haine se mit à le brûler en son fort intérieur. Une profonde haine envers cette jeune femme. Les yeux noirs de rage, il se retrouva devant elle, à quelques centimètres, il pouvait l’entendre encore souffler. [color=cornflowerblue] « Tu me dégoûtes ! Comment ai-je pu te faire confiance ? Comment ai-je pu même t’aimer ?! Tu es une égoïste, une manipulatrice ! Tu attendais quoi de moi ? Que je meure pour te léguer quelque chose ? Tu voulais te faire connaître ? Ou encore mieux, tu voulais te servir de moi pour vivre une romance avec l’autre ? Jamais plus, je ne veu te voir ! Jamais plus, je ne veux entendre parler de toi ! »|/color] Il finit par rassembler le peu d’affaire qu’il pouvait prendre aussi vite possible. Il voulait partir au plus vite, sans la revoir à nouveau. C’est à partir de ce moment-là, que le jeune homme se mit à détester les femmes, il ne voulait plus avoir de contacts avec ces femmes pour être de nouveau manipulé et brisé à cause d’une femme. C’est ainsi qu’il finit par devenir un autre homme. Un homme beaucoup plus froid et à son tour manipulateur.
    C’est l’année suivante que le jeune homme finit par intégrer la prestigieuse université contre l’avis de son père. Il avait mené une vie loin de toute agitation universitaire. Il avait fait le tour du monde, avait profité de la richesse de ses parents pour s’exalter au bord des plages dorées pour profiter de ses atouts. Maintenant qu’il avait franchi le cap de ses 20 ans, il savait que sa vie était fichue, il avait donc décidé de mener sa vie comme il l’entendait et cette nouvelle vie était la meilleure opportunité qui s’offrait à lui.

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    Bienvenue Félix G. Rosenbach ► Ed Westwick 2109348208
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    bienvenue sur le forum Félix G. Rosenbach ► Ed Westwick 1365124802
    Jasper O. EllingtonI want it, I got it
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    Félix G. Rosenbach ► Ed Westwick 1506444243-1504988286-ligne1
    Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

    Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

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    Warning : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
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    Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t8346-jasper-o-ellington-ian-harding
    Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t133102-repertoire-de-jasper-co#5337312
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    Lien du postMer 7 Jan 2015 - 17:09
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    Ow Ed Félix G. Rosenbach ► Ed Westwick 3850463188 
    Bienvenuuuuuuuuue  hanwii



    - deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor. dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa -
    sing for the wind
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    Lien du postMer 7 Jan 2015 - 17:11
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    ed Félix G. Rosenbach ► Ed Westwick 4205929361 garde moi un lien hanwii
    bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche Félix G. Rosenbach ► Ed Westwick 2109348208 Félix G. Rosenbach ► Ed Westwick 3850463188
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    Lien du postMer 7 Jan 2015 - 17:49
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    ED MON AMOUUUUUUR. Félix G. Rosenbach ► Ed Westwick 4205929361
    bienvenue sur ilh. Félix G. Rosenbach ► Ed Westwick 3850463188
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    Lien du postMer 7 Jan 2015 - 18:13
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    bienvenueeeeeee Félix G. Rosenbach ► Ed Westwick 1001568715
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    Lien du postMer 7 Jan 2015 - 20:12
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    bienvenue et bonne chance pour ta fiche. Félix G. Rosenbach ► Ed Westwick 2605996181 :heaart:
    et tu devrais totalement venir à la DUNSTER HOOOOUSE ( :heaart: ) plutôt, on est super intelligents, super gentils, super drôles, supers fifous, y a the ambiance chez les jaunes, puis on a la super couleur des Poufsouffles tu vois ? :hum: :hum: Vic :sifle: :heaart: j'dis ça, j'dis rien. :sifle: Félix G. Rosenbach ► Ed Westwick 152426858
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    Lien du postMer 7 Jan 2015 - 22:04
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    Bienvenue parmi nous & bonne continuation pour ta fiche Félix G. Rosenbach ► Ed Westwick 1365124802 Félix G. Rosenbach ► Ed Westwick 2511619667.
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