Je faisais ma petite vie dans l'appart d'Elio, qui étais la pu je vivais depuis la rentré de Septembre. Je revenais des cours. Je n'étais pas sortie de l'hôpital depuis bien longtemps alors une journée de cours entière était vraiment fatiguante pour moi. Je posais mes affaires pour aller me chercher un fruit dans la cuisine. J'allais m'installé sur le canapé comme d'hab'. Quand j'entendis les clé dans la porte, je me disais que c'étais Elio qui rentrais. Quand j'entendis un cris je ne pu m'empeché de sursauté. Je ne savais pas qui était cette fille. Quand elle se présenta comme la soeur de Elio, je savais qu'il avait deux soeurs mais je n'en savais pas plus. Bah dans tous les cas j'allais pas l'apprecier elle paraissait très froide en vers moi.
"Bonsoir, oui je suis Abby, bah je vis avec lui depuis la rentré"

c'est mon territoire.

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Je voulais être unique, que ce soit en générale et surtout dans le cœur d'Elio. Chose qui était compliqué, puisque Zita était là elle aussi, et elle aussi était sa petite sœur adorée. Il ne fallait pas en plus de ça, qu'une autre se ramène en se proclamant petite sœur. Abby se présentait à moi, afin que je soit sûre de son identité. Je le savais, mais une confirmation n'était pas de refus, elle affirma également qu'elle vivait avec lui, chose que je ne comprenais pas, puisque le principe des maisons est que chaque membre d'une fratries habite dans ses locaux. Ne pensez-vous que je serais déjà, moi aussi, colocataire de mon frère si les maisons pouvaient se mélanger ? « Je ne comprend pas, t'es pas une Quincy ? Le but des maisons n'est-elle pas qu'on vive dans les maisons auxquelles on a postulé ? » Je suis une Dunster, enfin un bizut pour le moment, et j'aimais les choses droites et carrées. Si des règles existent c'est pour qu'on les suive. « Tu ne devrais pas avoir une coloc dans TA maison et laisser Elio se trouver un coloc? » Continuai-je en accentuant sur le TA maison. Je n'avais rien contre Abby, je ne la connaissais même pas, mais mon instinct de survie me poussait à être méchante et désagréable avec elle, comme si la jalousie qui me ronger m'obliger à tout lui remettre sur le dos. Elle ne méritait pas ça, mais je ne contrôler plus rien quand il s'agissait de mon Elio.
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