J’aimais particulièrement écouter de la musique en ce moment, cela arrivait à me calmer un peu. J’avais posé mes valises près du piano et je mettais posé à côté d’Alaska comme elle me l’avait demandé. Je savais que les musiciens n’aimaient pas spécialement quand on arrête un morceau alors que celui-ci n’est pas terminé. Mais elle semblait ne pas s’en préoccupé. Je finis par oser les épaules acceptant de chanter pour elle-même si je n’étais sûrement pas le plus doué à cela. Je la laisse choisir le morceau. Prend ce que tu sais le mieux jouer. dis-je avec un sourire au coin. Je tapais du pied les pulsions alors qu’elle commence à jouer une chanson de passenger. Je me mis à chanter comme elle le souhaitait, je faisais de mon mieux pour ne pas me taper la honte tout de même et je pense me débrouiller plutôt bien. La chose que je n’avais pas prévu c’est qu’elle s’arrête en plein milieu une nouvelle fois. Je chantais dans le vide et je finis par arquer un sourcil. pourquoi tu t’arrêtes en plein milieux comme cela Alaska ? dis-je sans comprendre son comportement. Je compris finalement qu’elle avait remarqué mes valises. Elle me demandait si je partais pour Vanille, je ne suis pas assez con pour fuir à cause d’une fille non plus. Je ne m’en vais pas à cause d’elle ne t’inquiète pas Alaska. dis-je en souriant doucement. Et pour le cas, j’allais revenir, je ne savais pas quand mais j’allais de toute façon revenir pour mes études. Je reviendrai, je ne sais pas quand mais je reviendrai dans tous les cas. J’ai des choses à régler dans mon pays et je ne sais pas j’en aurais pour combien de temps. dis-je en haussant les épaules. Cela dépendait du temps que je m’étais pour trouver ma vraie famille et mes origines –enfin s’ils sont encore en vie.  

et puis y a toi, et puis y a nous.;

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La voix de Trung était l'une des voix masculines les plus belles que j'ai entendue, et j'en ai entendu des voix. Je faisait partie de la choral autant que musicien et jamais un garçon n'avais réussi à m'impressionnais, jusqu'à lui. Il était timide au début, c'est jamais facile de se montrer tel qu'on est, de peur d'être jugé, je m'y connais en la matière. Et pourtant, une note a suffit pour me mettre sur le cul pendant un bon mois. Je me stopper à la vue de sa valise, il partait vraiment ? Il partait à cause de Vanille. Je fût prise de panique, alors qu'il était des plus calme. « Pourquoi tu pars alors ? » dis-je inquiète. Je ne savais pas grand chose de sa vie, à part qu'il était sorti avec ma colocataire et qu'il était le demi-frère de Sky. On n'a jamais eu l'occasion d'en parler, et je ne savais pas si c'était correct d'évoquer le sujet, alors je l'ai évité. Il y a des personnes qui n'aiment pas parler de leurs vies en dehors du campus, au début, j'en faisais partit. Je voulais oublier l'Alaska qui a pu exister en dehors de ses murs, bien qu'elle soit toujours là. C'était un nouveau départ, mon nouveau départ et parler sans cesser de ce que j'ai fait au lycée, alors que j'étais à présent à l'université me déranger. Après, j'ai compris que je ne pouvais cacher ses choses éternellement. Comme ma maladie, j'avais beau cacher que j'avais une leucémie, il ne suffisait qu'un toucher sur n'importe qu'elle partit de mon corps pour se rendre compte que j'étais glacer. « Je sais que j'aurais dû te prévenir pour Vanille et Max, ça se voyait qu'ils s'aimaient, mais je penser qu'elle aller te choisir toi. Je suis une mauvaise amie. » dis-je en lui faisant face. Je n'avais pas était honnête envers lui, mais c'est le girl code qui m'a obligeais à lui cacher certaine chose. Sinon, vous pouvez être sûre que je lui aurais déjà tout raconté. Il me répondit qu'il ne partait pas à cause de Vanille, j'eus un poids en moins sur le cœur. Mais qu'il ne savait pas quand, est-ce qu'il allait revenir. « Ne me dit pas que tu arrêtes les cours ? » Ce serait stupide de faire ça, sachant qu'il était bizut chez les Dunster, soit l'élite des élites. Il allait devenir une tête de classe d'ici les bizutages passer et sûrement l'un des garçons les plus séduisants de notre maison. Je ne pouvais imaginer les Dunster sans lui. « Me laisse pas seule. » suppliai-je presque.