Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Aelyth et j'ai seize ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce au fait que j'ai déjà été inscrite ici il fût un temps.  Malgré qu'il paraisse un peu compliqué à comprendre et apprivoiser d'abord, il est magnifique, et actif, alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Lindsay Hansen comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Wild Heart & Nelliel. de Bazzart. Je fais environ 1000 à 2000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

   Mot de la fin ? ▲ J'aime le chocolat.   
   Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
    être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
    participer à la roulette RP (?)

FIRST; enfant modèle dans une famille étrange.
Varsovie, capitale de la Pologne. Je suis née dans une ville particulièrement colorée, et que j'ai toujours trouvée très belle. Portant le nom d'un diminutif d'une marque de bière d'origine française et d'une déesse grecque dite de la chasse, je suis une espèce d'étrange mélange qui ne tient pas du tout à mes origines. Pourtant, mes parents ont toujours été très.. carré sur l'héritage culturel, alors, je ne les comprends pas. Fille d'une avocate et d'un médecin, j'avoue avoir grandi dans une ambiance proche du luxe, et je peux dire avoir été éduquée comme une princesse. Dès l'école primaire, j'avais déjà des cours supplémentaires le soir, des cours d'anglais. L'anglais est la langue la plus parlée dans le monde, voilà pourquoi on s'attendait à ce que je sache la parler aussi. Consacrant mon temps libre aux études, je ne voyais mes amies qu'à l'école et lorsque ma mère organisait des réceptions à la maison. Si elle ne lésine pas sur les moyens, mon père aura tendance à hurler à la dépense inutile dès les invités renvoyés. Néanmoins, mes parents s'entendaient bien, et s'attendaient à ce que ma vie aussi soit "parfaite" en tout point. De longues études, un travail stable et qui rapporte, un mariage précoce et deux beaux enfants dont un garçon pour que notre nom perdure dans le temps. Quelle façon superficielle de voir la vie. Je n'avais donc que deux choix; la médecine ou le droit. Je me rappelle que déjà enfant, je m'étais promise de ne jamais suivre leurs pas à la trace. Sinon, je sombrais dans le côté superficiel de ce monde. Pour l'instant, j'étais bien obligée de suivre leurs directives, je ne pouvais pas passer à côté, après tout. Mais un jour, je prendrais un autre chemin, quitte à être supprimée de leur testament et à ne plus avoir de l'argent coulant à flots dans le compte bancaire qu'ils ont créés avant même que je ne naisse. Lorsque je fus au collège, je commençai déjà à changer, moralement. J'avais fait un caprice à ma mère pour que mes cours du soir ne cessent, ayant désormais anglais directement en cours, ce qu'elle a finit par accepter, à contrecoeur. J'excellai en cours et parfois, je restai plus tard pour aider l'une de mes amies à faire ses devoirs, étant en difficulté scolaire de par sa dyslexie. De là commencèrent les nombreuses demandes d'aide, qui aboutirent sur bien d'autres demandes. On voulait que j'écoute, que je conseille, bien que ces personnes, je n'en ai rien à faire, je ne les connais ni d'ève ni d'adam, je ne comprenais pas pourquoi elles voulaient absolument que je les aide. Au lycée pourtant, j'ai commencé à prendre goût à l'aide que j'apportais aux autres. Faire plaisir aux gens, c'était devenu comme un petit but que je m'étais fixé. De plus, lors des galas de charité qu'organisait ma mère en collaboration avec les journaux ou autres entreprises qu'elle avait pu défendre, je participai énormément, et on a commencé à me connaître pour ça. Pourtant, je n'étais pas un ange. Dès lors que je saturai, il m'arrivait d'avoir des sautes d'humeur assez violente, du fait que je sois d'un naturel impulsif. Mon premier copain, que j'eus au courant de mon année de première, faisait les frais de toutes les plaintes que je ne faisais que raconter. Bien qu'il ne m'encouragea, il m'arrivait parfois de m'effondrer totalement sous le poids des responsabilités. Je suis fragile, susceptible, mais j'ai également énormément de mal à me décider lorsqu'il y a trop de pression sur moi. La peur d'échouer, de laisser tomber, je l'ai connue dès ce jour. En parlant de peur, j'ai également une peur bleue des profondeurs. Et pour cause, j'ai manqué à me noyer deux fois. Une fois alors que j'étais trop petite pour vraiment m'en souvenir, et une autre lorsque j'étais en vacances en France, dans le sud, et que j'ai failli me noyer un jour de grand courant. Mais j'ai également peur du noir. Disons que j'ai une âme assez enfantine, au final. Plus étonnant encore, j'ai une véritable phobie de l'abandon. Sûrement parce que mes parents ne me consacre pas une minute, seulement pour me rappeler quel poids pèse sur mes épaules. Alors les personnes proches de moi en font les frais. Parfois, je me dis que je dois avoir l'air bipolaire. Entre mes pleurs, puis mes crises de jalousie, due à ma possessivité, ma peur de l'abandon, ma peur de la solitude.. J'en faisais voir de toutes les couleurs aux personnes proches de moi. Être seule était également un léger problème, pour moi. Pas pour l'image que je renvoyais, non, je savais que celle-ci était positive. Mais comme j'avais prit l'habitude d'être entourée, je détestais qu'on me laisse d'un coup seule, sauf lorsque je le désirais. J'étais définitivement quelqu'un de très indécis, alors qu'intérieurement, je savais pourtant ce que je voulais.

SECOND; ce jour où les choses changent.
Varsovie, capitale de la Pologne. Lors de ma dernière année de lycée, il me fallait choisir un endroit où faire mes études. Cela dit, je ne savais même pas ce que je voulais étudier. C'est mon copain, avec qui j'étais depuis presque un an, qui m'a aidée à trouver ma filière. « Puisque tu aimes aider les gens, deviens psychologue! » Etrangement, je n'avais jamais pensé à ce métier, et après m'être longuement renseignée, je décidai donc de faire des études en psychologie. Je me rappelle encore du visage des autres élèves de ma classe, lorsque nous devions donner le nom des universités dans lesquelles nous comptions aller l'année suivante, et que j'ai dis Harvard. Beaucoup se sont moqués de moi, beaucoup d'autres m'ont encouragée. Moi, j'avais confiance en moi, malgré le fait que je m'étais mise en froid avec la plupart des personnes qui me considéraient "trop prétentieuse". Fièrement, j'ai annoncé avoir été reçue sur facebook, durant les vacances. J'étais fière de moi, et heureuse de pouvoir aller en Amérique. J'ai malheureusement du rompre avec mon copain, consciente que je ne rentrerai pas en Pologne avant d'avoir fini mes études. Mes parents, à qui j'avais menti en disant que j'y allais pour étudier le droit, n'ont pas été ravis lorsqu'ils ont apprit que j'y allais pour apprendre la psychologie. Même pas du tout, en réalité. Ils voulaient que je reprenne leur flambeau, le nom de leur entreprise. A ce moment là, j'ai compris que j'avais commencé à prendre un chemin différent du leur, et j'ai pu commencer à prendre la vie du bon côté. Avant de me rendre à l'université, j'ai décidé de me détendre un peu, et j'ai commencé à me rendre dans les soirées organisées par des personnes que je connaissais. Si j'aimais flirter avec l'excès, je ne faisais rien d'illégal ou ne couchait pas avec le premier venu. Et à la fin des vacances, je m'envolais pour ma nouvelle université.
Université d'Harvard. C'était une nouvelle année qui commençait et c'est avec mon magnifique accent polonais que je parlais anglais. Plusieurs fois on me fit la remarque, et d'ailleurs, on me la fait encore aujourd'hui. J'étais impressionnée, et en même temps terriblement heureuse d'être là. Malgré que j'ai perdu contact avec ceux qui m'avait côtoyée durant des années, je n'ai tardé à me faire des amis, ici, et également à me faire invitée en soirée. Cela dit, malgré le fait que j'adore flirter avec l'ivresse, je ne bois jamais trop en période d'examen, voir même pas du tout, tant je souhaite garder un niveau stable. Mais les études me lassent de plus en plus, je considère n'avoir pas assez profité de ma vie durant toutes ces années. De nature sociable, je n'ai eu aucun mal à me faire des amis, ou à simplement m'attirer la gentillesse de parfaits inconnus. Les américains aiment les personnes souriantes, j'ai l'impression. De plus, je continue d'utiliser mon argent de poche pour faire des dons, que ce soient aux oeuvres caritatives ou à la grande école. Toujours, je suis là pour ceux qui ont besoin de mon aide, mais désormais, je dois me méfier de ceux qui cherchent à m'utiliser. Néanmoins, je suis loin d'être manipulable, et comme je peux me montrer très persuasive, ceux qui tentent une fois ne réessaient pas deux. Je sais que certaines personnes ne m'aiment pas et me trouve peut-être trop naïve, mais ce n'est pas le cas. Je ne suis pas juste une fille qui sourit à tout le monde sans état d'âme. Je peux être aussi froide que la glace avec quelqu'un qui m'agace, et j'ai des opinions propre à moi même. Je ne me laisse pas influencer et je fais ce qu'il me plaît. J'ai beau être d'une famille aisée, je ne dépense pas à tout va. Je ne suis pas superficielle. J'ai besoin des autres pour vivre, certes, mais je n'ai pas besoin de ce qu'ils peuvent m'apporter de matériel. Moi, je veux juste vivre dans le bonheur et éviter au maximum les problèmes et les catastrophes. Je veux juste vivre, sans me soucier de rien.

++ caractère & autres;
intelligente + curieuse + ouverte + dévouée + sociable + souriante + fêtarde + affectueuse + attentionnée + bavarde + énergique + franche + naturelle + responsable + impulsive + fragile + susceptible + possessive + jalouse + indécise + impossible à influencer + peureuse
─ Elle adore les animaux, et aurait voulu avoir un chien.
─ Elle ne supporte pas les gens qui ne font que se vanter de leurs talents.
─ Elle joue du violon depuis son plus jeune âge.
─ Elle fait toujours tout par elle-même.
─ Ce qu'elle préfère chez elle sont ses yeux et ses cheveux.
─ Il y a des jours où un rien l'énerve, et où il vaut mieux ne pas lui parler.
─ Beaucoup de gens la connaissent, et elle se rappelle de chacun d'entre eux.