APRÈS LA BOMBE
Décrivez ici ce que votre personnage a ressenti, sa peur, ses blessures, où il était, etc... (nb : les résidences & le complexe athlétique n'ont pas été touchés)

DUNSTER HOUSE.
Ne vous fiez pas aux apparences, surtout pas. J’ai peut-être une tendance certaine à roter en public, et peut-être aussi que les gens ont tendance à me prendre pour une salope finie avant même de chercher à me connaître – « avant même » que j’ai pu en placer une, en fait. Sauf que, comme on dit, méfiez-vous de l’eau qui dort ! Je doute que cette phrase me sied bien, mais les faits sont là : ce que les gens voient de moi physiquement parlant ne reflète en rien ce qui se passe dans mon crâne. Là-dedans, ça travaille, et dur. Ca chauffe. Parfois, je me dis que de la fumée doit s’extirper de mes oreilles et glisser entre mes boucles pour s’évader en hauteur. Elevée dans l’optique que rien ne s’obtient sans rien, j’ai vite compris que pour devenir une grande personne, seul le boulot est la clé de la réussite ; enfin, si on a pas envie de passer sous le bureau d’un chef.

QUINCY HOUSE.
Ceux qui m’entourent pourront vous crier haut et fort qu’avec moi, pas de prise de tête, pas de soucis. Une bonne oreille, une bonne épaule, de bons bras pour consoler, une bonne bouche pour s… donner des conseils. Psht ! En général, les gens m’aiment plutôt bien, même si la plupart de mes proches râlent sans cesse du fait que, selon eux, je bosse trop et n’accorde pas suffisamment de temps à mes loisirs. Mais ça, c’est bien se tromper sur mon compte. Bref, ne nous étalons pas sur des choses futiles ! On n’ira tout de même pas dire que je suis toujours là, parce qu’on entrerait dans une phase d’exagération ultime, mais les trois-quarts du temps, je suis disponible. Enfin… faut quand même que je dise une chose, et une bonne : les gens ont tendance à venir me voir uniquement quand ça ne va pas. Quand ça va, certains d’entre eux disparaissent comme s’ils n’avaient jamais existé !