On frappe à ta porte. Tu pousse un léger grognement alors que tu étais encore à moitié endormie. Alors que tu étais encore en plein rêve. T'avais bien fait la fête la veille et tu avais du mal à te réveiller. Tu ne savais pas exactement quelle heure il était. Mais ça, c'était le dernier de tes soucis, tu étais tellement mieux dans ton lit. Sous ta couette bien au chaud. Mais cette voix que tu entends derrière la porte finit finalement par te sortir de ton lit. Tu perds légèrement l'équilibre en shootant dans un talon que tu avais laissé la veille sur le passage. Puis t'arrive finalement à la porte sans encombre. Quand tu l'ouvres, la lumière du jour te fait mal aux yeux et tu fronces légèrement les sourcils, ne comprenant pas. Que faisait ici ton Aidan ? T'étais décidément pas encore bien réveillée Lizie. T'as le temps de dire un mot qu'il te prend dans ses bras. Il te fait virevolter légèrement comme une plume. Tu le serre doucement contre toi pour pas tomber. En fait, cela te rappelle ton enfance, tes frères pour être plus précise. Ce n'était pas pour rien que tu considérais le jeune homme comme ton frère même si vous ne partagez pas le même sang. Aidan finit par rentrer dans ta chambre. T'as honte de l'accueillir dans cet état mais tu te demande toujours ce qu'il fait là. Pas que sa compagnie te dérange, bien au contraire. Juste que t'es pas du tout en état de l'accueillir. Puis tu comprends enfin pourquoi il est venu. C'est vrai il avait tout à fait raison, cela faisait trop longtemps que vous n'aviez pas eu du temps juste pour vous deux. Haaan! C'est bien parce que c'est toi que j'accepte Ô grand président ! tu le charrie. je file m'habiller ! tu continues avant de t'éclipser dans la salle de bain. En fait, tu te rends compte que tu sais pas du tout où il t'emmène, alors t'enfile un de tes maillots au cas ou et par dessus un short et un t'shirt. Un petit coup de toilette, de peigne aussi et le tout est joué. Je suis prête ! tu t'exclame en sortant de la salle de bain et en t'approchant d'Aidan qui t'attendait toujours sagement sur le lit. Enfin.. Presque! tu lui dis avec un sourire avant de de sauter sur lui pour lui faire un calin c'est que tu m'avais trop manqué toi, tu sais !