Jackie me connaissait que trop bien, elle savait quand je me sentais mal à l'aise ou pas et ce que j'appréciais malgré sa folie douce, c'est qu'elle n'en faisait jamais trop avec moi, quand ça n'allait pas, elle ne me poussait pas à bout c'était cool. Dans ce cas, j'aimais la taquiner, parce que je n'avais pas envie de venir ici et être obligée de me montrer quasi nue alors que je n'avais pas le physique de la belle blonde devant moi, mais je savais qu'on allait quand même s'amuser, c'était fais à ça le SB. S'amuser. « Héééééééé allez pas question de te voir comme ça. On va profiter de nos vacances ! » Je confinais d'un mouvement de la tête je ne pouvais pas faire la tronche, elle avait raison on devait s'amuser, j'acquiesçait puis je venais à poser LA question ses amours. J'avais toujours du mal à la suivre, mais je vivais mes amours à travers les siens. Non je suis pas folle. « Je suis en couple avec Sam. Donc j’ai pas le droit de faire de connerie. » « Sam le mec sexy, je t'envie Jackie. » L'était canon elle avait carrément super bon gout j'espère qu'elle l'aimait assez en tous les cas pour ne pas faire de connerie et lui de ne pas lui briser le coeur. « S'il te rend malheureuse j'irai lui casser la gueule d'abord. » Avouais-je en rigolant tendrement. « Et toi ma Cerceï raconte moi tout ? » Je pouffais. « Moi ? » Je riais pas certaine de savoir quoi répondre, je n'avais pas une liste interminable de prétendant. « tu sais tous les hommes sont à mes trousses, je ne sais pas qui choisir.. » Plus sérieusement je désirais lui faire part de l'expérience étrange que je vivais avec... Kirill. « Plus sérieusement je crois qu'un gars me drague, il est carrément canon sans dire qu'il a un cul... Pff j'en pleurs rien que d'y penser, mais c'est trop... Je veux dire, il me drague ouvertement, c'est bizarre. Kirill doit avoir un soucis, y'a pas d'autre explication. » ajoutais-je en m'installant près d'elle tranquillement. J'avais besoin de conseil, vraiment mais je ne savais pas comment demander ce genre de chose.

Etais-je amoureuse ? Non, les sentiments étaient quelques choses que je ne donnais pas facilement. Sam avait ma confiance. Chose essentiel, bien plus que l’amour. Je l’appréciais mais le temps se chargerait du reste. Je ne me prenais pas la tête. Je me sentais libre, un avantage qui n’était pas à exclure. Sam ne m’étouffait pas. Il me laissait l’espace nécessaire et tout sa me plaisait. « Sam le mec sexy, je t’envie Jackie » je me mis à rire Cercei n’avait pas tord. Sam était incroyablement sexy, un vrai corps d’apollon qui ne laissait aucune fille indifférente. Je lui fis : « rooooooh tu vas le trouver ton appolon, tu vas voir » dis-je avec un petit sourire. Cercei n’avait aucune raison de m’envier. Mes relations étaient certes nombreuses mais peu enrichissante. Elle finit par me dire à nouveau : « S’il te rend malheureuse j’irai lui casser la gueule d’abord » je me mis à rire. Me sentir soutenu me faisait du bien. Je lui fis : « T’inquiète pas ce petit cœur là est solide comme une pierre » dis-je en point ma poitrine. L’autodéfense était la meilleure des choses, j’avais finis par l’apprendre. Cercei était une fille intelligente, bien plus intelligente que certaines filles d’Harvard. Je m’allongeais sur le lit et attendais patiemment qu’elle me déballe ses petites histoire. Après une once d’ironie que je ne pris pas en compte. Elle me fit : « Plus sérieusement je crois qu’un gars me drague, il est carrément canon sans dire qu’il a un cul… pfff j’en pleurs rien que d’y penser, mais c’est trop… Je veux dire, il drague ouvertement, c’est bizarre. Kirill doit avoir un soucis, y a pas d’autre explication » Tout me paraissait parfaitement normal avant qu’elle n’énonce son prénom. Kirill ? Je le connaissais du moins il m’était arriver de passer des soirées avec lui. Mignon, mais mystérieux. J’affichais un petit sourire et lui fis : « Rouuuuuuuuh Cercei serait elle en train de craquer ? » dis-je avec un petit sourire. Il était évident que j’allais mener mon enquête. « Et vous vous parlez depuis quand ? » dis-je avec un petit sourire.

« rooooooh tu vas le trouver ton appolon, tu vas voir. » Je riais à sa remarque et j'espérais vraiment qu'elle puisse trouver le sien, ou qu'elle ne soit pas malheureuse. « Tu sais je ne le cherche pas vraiment. » C'était un mensonge car malgré tout ce que je pouvais avouer, dire, penser ou faire, nous recherchons toute à un moment donné l'amour, celui qui pourra partager ça avec nous. Mais j'étais aussi du genre et c'est là que c'était le plus triste, penser que je finirais ma vie seule. J'ai beau essayer de penser le contraire, cette idée ne me quittait jamais. « T’inquiète pas ce petit cœur là est solide comme une pierre. » Je l'espérais vraiment, je ne voulais pas que ma meilleure amie souffre, non je l'aimais beaucoup même si je ne le montrais pas, elle était mon amie, elle ne devait pas souffrir. « Rouuuuuuuuh Cercei serait elle en train de craquer ? » Je répliquais par une grimace et une tête de fille surprise et outrée. « Non, noooon. N'y pense pas, mon coeur reste de pierre face aux hommes. » Pas tout à fait vrai, je suis une vraie éponge et imagine me marier avec tous les hommes qui croisent ma route, même si je déteste le principe même de mariage. « Et vous vous parlez depuis quand ? » Je grimaçais, s'introduire dans ce genre de confidence très peu pour moi, mais je ne pouvais pas lui demander de se confier à moi si en retour je ne donnais rien. Alors bon, je fis l'effort du siècle. « Depuis le début de l'année, il... N'arrête pas de m'aborder, de me faire comprendre que je l'intéresse, je sais pas quoi penser, il m'a embrassé également je l'ai embrassé aussi, je crois avant de partir comme un mal propre. Je crois qu'il doit se faire soigner. » La meilleure des défenses c'est le déni ou le refus de comprendre qu'il joue avec moi, après tout je ne sais rien de lui, si ça se trouver il s'amuse vraiment et moi je me laisse prendre. BORDEL je suis pitoyable. « Il embrasse super bien. » Lui confiais-je sincèrement.

« Tu sais je ne le cherche pas vraiment » à comprendre Cercei n’était pas difficile. Cette jolie brune était tout aussi compliquée que moi. Un esprit est une image totalement différente de notre vrai nature. J’affichais un petit sourire et lui répondis : « Peut-être par directement mais on fond… » dis-je en m’étant ma tête sur le cotée. La tranquillité de la vie de célibataire était confortable parfois ennuyeuse mais confortable. « J’aime pas la vie de couple mais ça m’empêche pas de vouloir parfois une épaule solide près de moi » dis-je avec honnêteté. Parler de moi, ne me ressemblait pas mais avec Cercei s’était différent. Plus facile. Je m’allongeais sur le lit, les croisées pour regarder mon amie. « Non, non. N’y pense pas, mon cœur reste de pierre face aux hommes » je me mis à sourire puis à rire. Nous étions définitivement pareils. Une barrière qui nous permettait de tenir et à laquelle je n’étais pas prête à renoncer. Je lui fis ensuite : « C’est bien ! Ne donne pas tout d’un coup. Un cœur sa se m’hérite » dis-je avec un petit sourire. Cerceï semblait apprécier ce Kirill. Son sourire la trompait. J’étais contente pour moi mais toujours autant réservé. « Depuis le début de l’année, il… N’arrête pas de m’aborder, de me faire comprendre que je l’intéresse, je sais pas quoi penser, il m’a embrassé également je l’ai embrassé aussi, je crois avant de partir comme un mal propre. Je crois qu’il doit se faire soigner » je levais les yeux au ciel. Cerceï semblait surprise de ce comportement. La jolie brune faisait partie des rares personnes que je trouvais intéressantes. Elle avait quelque chose, un certain charme. « Ça te paraît si surprenant qu’il s’intéresse à toi ? » dis-je sincèrement avant de rajouter à nouveau : « par contre, s’il se fout de toi ! Autant te dire que jackie ne sera pas gentille » dis-je avec un sourire. Je me redressais pour m’asseoir en tailleur, regardant toujours mon amie qui déballait ses affaires. « Il embrasse super-bien » je me mis à rire et lui fis : « C’est vraiiiiii ? » dis-je en bougeant les sourcils et je lui fis : « je vois qu’il te plait ».

« Peut-être par directement mais on fond… » Je regardais Jackie, je me disais bien qu'elle n'était pas non plus simple à vivre elle. Je la regardais tendrement me demandant ce qu'elle allait ajouter. J'étais curieuse, tellement d'ailleurs. « J’aime pas la vie de couple mais ça m’empêche pas de vouloir parfois une épaule solide près de moi. » Oh. Je n'avais jamais eu de véritable vie de couple, alors bon je ne pouvais pas savoir si j'étais faite pour cela ou non. La solitude peut parfois être réconfortante dans le sens où je ne suis pas déçue comme cela, mais en même temps elle avait raison, avoir quelqu'un sur qui compter devait être véritablement agréable. « Qu'est-ce que tu n'aimes pas dans la vie de couple ? » La fidélité, supporter l'autre dans les pires moments, avoir des obligations, être obligé d'être responsable, j'en sais rien personnellement. « C’est bien ! Ne donne pas tout d’un coup. Un cœur sa se m’hérite. » Ses paroles étaient tellement lourdes de sens que je ne pouvais que confirmer ce qu'elle me disait. J'acquiesçais de la tête, confirmant ses paroles, prenant tout son sens, avant qu'elle ne vienne à dire la phrase, qui résumait ce que je suis. « Ça te paraît si surprenant qu’il s’intéresse à toi ? » Elle ne comprenait pas, elle était tellement parfaite, elle avait tout pour elle, des lèvres bien faite, un regard expressif, une chevelure dorée, une allure de princesse. Elle ne me voyait pas d'un regard d'homme. « Rien en moi est sensée l'attirer quand tu vois les jolies créatures qu'il côtoie. » Je ne suis pas née de la dernière pluie, je connais bien les garçons, leur besoin et tout, je ne suis pas idiote. C'est juste difficile à admettre à comprendre et clarifier tout cela. Aidez-moi. « par contre, s’il se fout de toi ! Autant te dire que jackie ne sera pas gentille. » « Il faut toujours se méfier de la tigresse Jackie. GRAOU » Disais-je en mimant des griffes avec mes mains. C'était adorable de sa part, de savoir que je pouvais compter sur elle. Je lui souriais tendrement. « C’est vraiiiiii ? » Face à cette révélation, je la regardais, souriant confirmant ses paroles. Kirill embrassait terriblement bien. Trop bien, je veux dire, on peut que trop bien s'habituer à ce genre de baiser. C'est un tourbillon. « je vois qu’il te plait. » Tu ricanais. « Tu sais, à défaut d'être une idole sur papier glacé, je suis une experte des baisers. Et il faut avouer qu'il était pas mal, mais ne nous emportons pas, c'était bien... » Avouais-je avant d'exploser de rire. « JE SUIS PITOYABLE, ce mec est étourdissant. Faut faut... Que je l'oublie. Oh attend... Tu ne m'as jamais parlé du meilleur baisé que tu es reçu. Je veux un nom. » Je lui faisais mes yeux de petits chiens perdus dans l'espoir d'avoir ma réponse. Pitié, pitié pitié.

« Qu’est-ce que tu n’aimes pas dans la vie de couple ? » qu’est que ce que je n’aimais pas ? Tel était la question. Pour tout vous avouez, je ne m’étais jamais posé la question. La curiosité de Cercei ne me dérangeait pas. La liberté me semblait être essentielle, voire même vitale. J’avais besoin d’espace et bon nombre d’hommes ne le respectaient pas. L’attachement me faisait peur. J’affichais une petite grimace et lui fis : « la liberté… j’aime être libre » dis-je avec un petit sourire. Étais-je vraiment obligée de préciser mes craintes ? Je ne m’en sentais pas capable. Les sentiments étaient un fléau que je n’abordais que très rarement même avec mes plus proches amies. Peu de personnes étaient au courant de mon incapacité à m’attacher. J’étais devenue hostile en dépit des efforts que je fournissais. L’amour n’était définitivement pas fait pour moi. « Rien en moi et censées l’attirer quand tu vois les jolies créatures qu’il côtoie » ma tête ne se pencha sur le cotée et mon regard resta fixé sur la demoiselle. Cercei était une fille très jolie, elle avait de nombreux atouts qu’elle ne voyait pas. « De jolie créature qui n’ont absolument rien dans le cerveau ! Tu trouves sa jolie, franchement ? » dis-je en la regardant. Les hommes ne voyaient peut-être pas les choses comme nous mais il était évident que le charisme avait une place importante. Cerceï avait tout ceci. « tu es belle Cerceï et je dis pas sa pour te faire sourire. Je le pense vraiment ! » dis-je avec un sourire. S’assumer n’était pas toujours évident. Le monde d’aujourd’hui était tellement exigeant. La société avait changé. Kirill était un garçon mystérieux que j’avais déjà vu auparavant. « Il faut toujours se méfier de la tigresse Jackie. GRAOU » je me mis à rire, cerce avait cependant entièrement raison. En garce accomplie, je pouvais être horrible. Kirill n’a qu’à bien se tenir. Mon rire continua à remplir la pièce. « Bordel j’ai mal au ventre avec tes bêtises. ». Rigoler faisait beaucoup de bien. Je me mis à soupirer avant de m’affaler en étoile de mer sur le lit. « Tu sais à défaut d’être une idole sur papier glacé, je suis une experte des baisers. Et il faut avouer qu’il était pas mal; mais ne nous emportons pas, c’était bien… » dis la fille toute exciter. J’affichais un grand sourire et je lui fis : « Ne nous emportons pas trooooop hein » dis-je en la taquinant avant qu’elle ne dise : « JE SUIS PITOYABLE, ce mec est étourdissant. Faut faut… que je l’oublie. On attends… Tu ne m’as jamais parlé du meilleur baisé que tu es reçu. Je veux un nom. » Mes yeux se levèrent avant que je ne face une grimace. Je me redressais et lui fis : « Mon meilleur bisous est franchement pas intéressant. » dis-je en faisant une moue. En y repensant bien Léo avait été le premier à me faire découvrir ce genre de plaisir. Léo, je ne l’avais pas vu depuis plusieurs mois. Déjà repartie ? Sans doute. Je finis par dire en soufflant : « C’était un enfoiré… » dis-je pour me défendre.

« La liberté… j’aime être libre. » Je pensais la tête sur le côté afin de bien lire l'expression de son visage. Si tu as cette impression-là, c'est que tu n'as pas rencontré le bon, tu sais... Celui qui provoque un envol de papillon dans le ventre. » L'avais-je vécu, je ne suis pas certaine en tous les cas je n'en avais pas vraiment le souvenir ou je refusais de l'admettre et là c'était un autre sujet. Comme celui de ma beauté, je n'aimais pas vraiment parler de cela, parce qu'au fond, je n'étais pas d'accord avec elle. Je ne me voyais pas comme elle, loin de là. « De jolie créature qui n’ont absolument rien dans le cerveau ! Tu trouves sa jolie, franchement ? » Je riais... Moi non, mais tu crois vraiment que les garçons se soucient de la beauté intérieure, non... Ils regardent d'abord le physique, c'est vieux comme le monde. »Elle n'arrivera jamais à me convaincre du contraire, il suffit de regarder autour de soi, peu de gens peuvent se venter de ce genre de choses, les garçons sont comme cela, quand on ne ressemble pas à un canon, on est pas avec quelqu'un. « Tu es belle Cerceï et je dis pas sa pour te faire sourire. Je le pense vraiment ! » Je souris à sa phrase... Tu es mon amie, tu n'es pas objective, tu me vois comme une amie, pas comme un garçon. Je ne suis pas désirable. » Je ne me sentais pas désirable, je devais surement faire un effort de mon côté mais je n'y arrivais tout simplement pas, c'était dangereux je sais, je pouvais finir seule à cause de cela, mais c'était plus fort que tout. Mais bon, soyons plus légère et faire rire Jackie, me faisait rire aussi, c'était facile. « Bordel j’ai mal au ventre avec tes bêtises. » Je ne m'emporte pas du tout, je reste calme, je n'en fais pas trop... Enfin si, je ne pouvais pas faire autrement, ce n'était pas possible, pas en pensant à la façon déroutante qu'il avait eu de m'embrasser... Bon sang, c'était renversant. « Ne nous emportons pas trooooop hein ? » Elle me connaissait trop bien, beaucoup trop d'ailleurs. Je pouvais m'empêcher de crier comme une hystérique et d'avouer combien Kirill était doué dans l'art d'embrasser. Même très bien, mais je tâchais de me modérer en posant la question à Jackie. Elle finira bien par me répondre. « Mon meilleur bisous est franchement pas intéressant. » Je la regardais... Mais bien sur elle veut faire croire ça à qui ? Franchement ça ne sert à rien franchement, un meilleur baisé ne peut pas s'oublier vraiment pas. « C’était un enfoiré… » Je riais à sa réflexion, sincèrement elle était unique et c'est que j'appréciais tant chez elle. Je rajoutais : « un enfoiré mais qui embrassait super bien. Ou qui embrasse super bien ? » Je m'approchais d'elle à la manière de ses filles pour avoir quelques confidences, je riais de ma bêtise avant même de dire quoique ce soit, je n'étais pas une fille princesse, shopping et tout cela. C'était complètement hors de propos avec moi. POAW. Tu m'en parleras pas, je te dirais pas tous mes petits secrets dans ce cas, et j'en ai beaucoup... Sur tout le monde. » Je lui faisais un clin d'oeil avant de me lever du lit et de m'occuper à débarrasser la valise. Et toc, Jackie !

« Si tu as cette impression-là, c’est que tu n’as pas rencontré le bon, tu sais… celui qui provoque un envol de papillon dans le ventre » ce genre de chose avait un arrière-gout de déjà vu. Je connaissais cette mélancolie et sans vraiment le comprendre, je ne rêvais pas de ressentir à nouveau ce genre de sentiment. En fait, je le fuyais pour être plus exact. Sam n’attendait rien de moi et s’était ce dont’il me plaisait. J’avais besoin de ça. Aucune promesse et aucune attache maximale. J’affichais un petit sourire en signe de réponse. M’étendre sur le sujet ne me disait rien. « Moi non, mais tu crois vraiment que les garçons se soucient de la beauté intérieure, non… Ils regardent d’abord le physique, c’est vieux comme le monde. » Elle n’avait pas tort. Les garçons n’étaient pas absorbés par le côté physique de la femme, peu d’hommes prenaient le temps de regarder une femme en sa totalité. Le monde était horrible. Je lui fis : « les garçons sont bien cons. Ils loupent quelques choses » dis-je avec un sourire au coin des lèvres. Tout nous éloignais et pourtant, je me sentais à l’aise avec elle. C’était mon amie, une des meilleures d’ailleurs. « Tu es mon amie, tu n’es pas objective, tu me vois comme une amie, pas comme un garçon. Je ne suis pas désirable. » ma tête se pencha et je lui fis : « allez chut Lawrence ! Kirill te trouve à son gout alors ne dis pas de bêtise ! » dis-je sincèrement. Vint ensuite, le bisou dur souvenir déjà oublier. « Un enfoiré mais qui embrassait super bien. Ou qui embrasse super bien ? » je me mis à rire et lui fis : « Qui embrassait super-bien et Dieu merci il ne touchera plus ça » dis-je en pointant ma bouche. Noon, cette histoire était terminé. « Tu m’en parleras pas, je te dirais pas tous mes petits secrets dans ce cas et j’en ai beaucoup, sur tout le monde » Cercei était une curieuse et une fouineuse. Le genre de fille parfaite pour obtenir quelque information d’ici ou de là-bas. J’affichais un sourire : « HEEEEEE SA SE FAIT PAS ! » dis-je avec un petit sourire avant d’entendre mon téléphone sonner. Sam. Je regardais le message et finis par me mettre à sourire. Je me levais et lui fis : « Sa attendre mademoiselle, je dois allez voir quelques minutes mon petit ami ! Et tu as intérêt de me dire tout ces secrets » dis-je avant de quitter la porte un sourire au lèvre.