Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Foeh et j'ai 19 ans. Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à top-site/forum de pub/autre.  Vos impressions sur le forum alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Rosie Tupper comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par moi. Je fais environ nombre mots par RP et mon personnage est un scénario crée par C. Blue-Ivy M.-Silver.

Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)

J'ai vu le jour le 24 mars 1993 après l’accident qui a coûté la vie à mes parents, après que ma sœur ce soit fait enlever. C'était peut-être un signe pour me dire que je n'étais pas la bienvenue sur cette terre, pour me faire comprendre que je serais éternellement toute seule et que personne ne voudrais de moi!... J'ai pourtant eu une enfance assez facile. J'ai vécu chez ma grand-mère où dès mes cinq ans ma cousine, Satten, m'a rejoint. Je m'en foutais de savoir pourquoi on l'avait envoyé là-bas, je m'en foutais royalement parce que tout ce que je voyais c'était qu'elle fût avec moi et qu'on s'amusait bien toutes les deux, presque inséparable les deux petites chipies. Elle comblais un eut l'absence de ma sœur que je n'avais pas pu connaitre à cause de ses gens horribles qui l'ont enlevé... Je n'ai jamais arrêté d'espérer qu'elle aller revenir un jour pour me dire qu'elle va bien, pour me perler de sa vie loin de notre famille...
Me concentrer sur ma famille, voilà ce qui ma permit de ne pas devenir folle et de croire que malgré l'ombre qui plane sur ma naissance moi aussi j'ai les droits d'être aimé et surtout d'être heureuse... J'avais de quoi l'être une famille rassurante, des amis. Je ne manquais de rien. Ma vie était rire caprice et insouciance. J'allais à l'école comme tout le monde et bien que timide je me liais facilement d'amitié avec tout le monde. Je me sentais un peu comme une princesse toujours bien habiller et bien coiffer avec des manières de lady, ou plus exactement de petite fille qui veut jouer à la princesse. Il avait toujours quelque chose pour que je m'amuse, toujours quelque chose pour me distraire ou encore me faire sourire comme me faire froncer les sourcils. Je savais déjà ceux que j'aimais et ce que je n’aimais pas. C'était bien simple parce que je pouvais avoir tout ce que je voulais tant que je le demandais gentiment... Je n'avais de nombreux caprices mais jamais de crise de nerfs pour une poupée ou une robe.
J'aimais bien grand-mère, elle m'a appris beaucoup de choses comme elle l'a fait avec chacune de nous, quand elle est morte ça m'a fait un choque et puis mes démons sont revenus. Je me sentais un peu responsable de sa mort. Je me reprochais sans scène que j'aurais dû faire plus pour l'aider dans sa maladie, je voulais qu'elle vive plus longtemps... Maintenant j'ai pris conscience que la mort était peut-être la meilleure des choses pour elle, mourir c'est un peu comme la délivrance dans un sens. Elle était vieille et malade elle souffrait et ne le montrait jamais devant nous. Je l'ai toujours vu comme une femme forte capable de déplacer les montagnes par un simple regard et pourtant elle était fragile et tendre comme toutes les femmes, comme moi aussi... Je garde pourtant l'image de cette femme qui me prenait dans ses bras et me raconter des histoires avant que je ne parte pour le pays des rêves quand j'étais enfant.
J'avais appris en grandissant que tout devait arriver un jour que ce soit peiné ou joies, il fallait un peu de tout pour que la vie ne soit pas ennuyeuse... J'ai continué à vivre ma vie comme tous les jours. Je suis sortie brillamment du collège et je suis entré en interna au lycée à New-York Satten étant partie à Miami avec ses parents. Je n'avais pas vraiment envie de perdre les quelques repères qu'il me restait, j'avais peur de partir avec eux et je suis resté passé les week-ends chez un cousin où une cousine et je profitais de mes soirées, des garçons, je buvais un peu en jouant les filles prudes pour leur faire tourner la tête et puis finalement il s’avérait que je tenais plutôt bien l'alcool bien que ce n'était pas une excuse pour en abuser. Je m'étais découvert une passion pour le Chinois et l'indi mais je m'en sortais bien mieux en Chinois puisque l'indi n'était pas enseigné au lycée.
Et puis me voilà, étudiante à Harvard entourer de mes cousins et de mes amis. J'ai eu quelque déception amoureuse sans gravité bien que j’estimais qu'une relation soit basée sur la confiance et l'entente. J'ai grandi je suis devenu une femme que ce soit physiquement ou moralement. J'ai perdu toute timidité mais je ne vais pas non plus aller danser à moitié nue dans les jardins publics pour montrer aux gens que j’existe et que j'aime ma vie.