⊹ Come on mom, let's do some shopping !

Quand on grandit, on change de caractère, de points de vue. On devient un ado, en quête de devenir un adulte. Mais quoi qu'il arrive, une maman reste toujours la femme la plus importante.

Deux semaines avant la rentrée des classes. Les vacances avaient passé incroyablement vite. Entre trois semaines en Italie chez ta famille paternelle, et le reste du temps à Cambridge à être divisée entre ta mère et tes amis, tu n'avais pas vu le temps passer. Sauf qu'aujourd'hui t'avais rien de prévu, et que tu t'ennuyais parce que Hermès était chez un de ses potes. T'étais toute seule dans ta chambre, allongée sur ton lit avec ton mac sur le ventre. Et puis ta maman entre dans ta chambre et te propose une journée shopping, rien qu'entre filles. Tu ne peux pas refuser une telle proposition, surtout que tu as besoin de te trouver quelques fringues pour aller au lycée. Et puis tu adores faire les magasins. Elle te laisse le temps de te préparer, juste le temps de te changer, de te coiffer et de te maquiller un peu. T'attrapes ton sac à mains avant de sortir de ta chambre et de rejoindre ta mère qui t'attendait. Tu lèves les yeux au ciel lorsqu'elle te dit que ton short est vraiment court. N'importe quoi ! Dans la voiture, tu chantonnes l'air de tes chansons préférées qui passent à la radio, tout en tapotant sur l'écran tactile de ton nouveau portable flambant neuf. Tu réponds vaguement aux questions que ta mère te pose. Tu l'aimes ta maman, mais en ce moment vous vous disputez souvent. Et quand t'essayes d'en parler à d'autres, ils te répondent que c'est la crise d'adolescence, et que ça passera. En tout cas, tu l'espères vraiment. Après tout elle fait partie des personnes les plus importantes dans ta vie, avec ton frère, ton père, ta marraine et quelques amis proches. « Il me faut de nouveaux jeans m'man. Et une nouvelle paire de chaussures. » Tu la préviens. Sous-entendu : j'ai besoin de pleins de choses, alors on va devoir faire tout les magasins. Une fois qu'elle s'est garée, tu descends de voiture et réajuste ta veste en jean. Tu t'avances près de ta mère vers l'entrée du centre-commercial.

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Quand on grandit, on change de caractère, de points de vue. On devient un ado, en quête de devenir un adulte. Mais quoi qu'il arrive, une maman reste toujours la femme la plus importante.

Les vacances, ou peut-etre bien le seul moment ou tu pouvais reelement te reposer. Avec Gaia et Hermes qui sont chez leur grand-paternelles et leur pere, pendant 3 semaines, tu pouvais te reposer et penser a toi. A leur retour, fallais partir aussi, et c'etait beaucoup de boulot des jumeaux adolescents. Et pourtant, tu ne l'avais jamais regrette que tu aies garde Gaia et Hermes. Au contraire meme, bien qu'en ce moment, tout allais de travers avec ta fille. Hermes lui etait plus calme, un peu comme son pere. Mais Gaia, tu voyais clairement en ce comportement que t'avais toi-meme eu dans ta jeunesse, aussi lointaine qu'elle soit maintenant. Hermes n'etait pas la aujourd'hui, il n'y avait que toi et Gaia dans la grande maison ou tu vivais maintenant. T'avais pas quitte Cambridge apres l'universite. Parfois, t'aurais voulu retourner au Japon pour continuer a etendre ta culture technologique, mais tu etais bien ici a Cambridge. Tu travaillais en ce moment pour une petite start-up et en attendant la rentree, tu avais pris la semaine de libre. Gaia etait dans sa chambre. Il faisait beau, vous devriez sortir et profiter du fait de n'etre qu'a deux, sans homme a la maison. Tu montais a sa chambre et lui demanda si elle voulait venir faire du shopping avec toi. Elle acquiesça instinctivement. Pourquoi ca ne t'etonnait meme pas. Tu redescendis au rez pour finir de te preparer rapidement. Gaia ne tarda pas et tu arquais un sourcil en la voyant vetu d'un short le plus court possible. "Et plus court, y avais pas!" Ca ne servait a rien en fait que tu commentes, elle ne t'ecoutait meme pas. Non, elle ne faisait que taper sur son portable. Argh, victime de la technologie que toi-meme, tu developpais. Logique hein. Vous arriviez au centre commercial et tu garais au premier endroit libre que tu trouvais. Il ne semblait pas y avoir trop de monde, ce qui etait bien. « Il me faut de nouveaux jeans m'man. Et une nouvelle paire de chaussures. » Aaaaah, ca commencait deja bien. Tu savais qu'a cause de son status de princesse, Gaia avait l'habitude d'avoir ce qu'elle voulait surtout en Italie et elle venait d'y passer 3 semaines en se faisant traiter comme la reine. Si il y avait bien une chose que tu n'aimais pas, c'etait cela. Y avait une difference entre chez toi et chez la famille d'Elios, meme si Mr Bolden les gataient pas possible, au moins il reste un peu ferme niveau argent, La-bas, tu voulais meme pas savoir ce qui se tramait. "Une nouvelle? T'en as pas deja assez? Faudrait plutot te trouver des nouvelles robes, les autres sont trop petites non?" Faire du shopping pour des trucs qu'on avait deja, tu comprenais pas trop le principe.

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Depuis ton plus jeune âge, t'avais l'habitude d'avoir tout ce que tu voulais. Il suffisait juste de le demander. Et si t'es parents te refusaient quelque chose, il te suffisait de passer un coup de téléphone en Italie et tu recevais un colis une semaine plus tard, ou de l'argent pour que tu puisses te l'acheter toi-même. Tu n'avais jamais vraiment abusé de ça avant, mais en ce moment tu le faisais sans arrêt. Parce que tu avais besoin de plus en plus de choses. T'étais une fille matérialiste, c'est vrai. Et pour arranger le tout, tu venais de passer trois semaines dans l'immense demeure des Di-Fabio. Tu avais été traité comme une reine, puisque tout le monde cédait à tes moindre caprice de petite fille pourrie gâtée. T'avait ainsi remplie ton armoire de vêtements d'été hors de prix que tu avais mis une fois chacun. Tu avais insisté pour prendre des cours de danse privés, ainsi que des cours d'équitation et de tennis, que tes grands-parents t'avaient payé. Bref, tu venais de passer des vacances parfaites, à profiter du soleil, et de l'argent de ta famille paternelle. Tellement, que tu t'étais disputée avec Hermès, qui ne reprochait sans arrêt ton comportement. Mais maintenant tu étais de retour à Cambridge, et ta mère ne te laissera certainement pas te comporter comme une princesse trop gâtée ici. Elle vous offrez beaucoup de choses à ton frère et à toi, mais pas autant. Elle avait toujours essayé de vous enseigner la valeur de l'argent, de vous mettre dans la tête qu'on ne peut pas tout avoir, sauf en le méritant et en travaillant pour. Cependant tu espérais quand même qu'elle céderait et t'achèterait des tas de trucs durant votre virée shopping. "Une nouvelle? T'en as pas déjà assez? Faudrait plutôt te trouver des nouvelles robes, les autres sont trop petites non?" Tu soupirais bruyamment. Apparemment non, tu n'auras pas tout ce que tu veux aujourd'hui, à moins que tu arrives à la convaincre une fois les articles essayés. Bon, elle avait raison, tu avais besoin de robes pour l'automne, et pour les fêtes qui allaient probablement avoir lieux à la rentrée. Tu avais pris trois centimètres en un mois, tu grandissais à une vitesse hallucinante. « Ouais, t'as raison. En plus il me faut une robe pour la fête de Damian. Mais il me faut les chaussures qui vont avec ! » Bon ok, en parlant de t'acheter des robes, elle ne parlait probablement pas de robes pour faire la fête chez l'un des meilleurs amis de Hermès. Vous entrez dans l'immense centre-commercial de la ville, ton endroit préféré. « On commence par quoi, m'man ? »

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Quand on grandit, on change de caractère, de points de vue. On devient un ado, en quête de devenir un adulte. Mais quoi qu'il arrive, une maman reste toujours la femme la plus importante.

"Tes grands parents t'ont pas acheté assez de robe ou quoi? Puis qu'est-ce que tu fais au fête de Damian?" Tu regardais ta mère en haussant un de tes sourcils blonds parfaitement épilés. Premièrement, pourquoi elle réagissait comme ça, hun ? Elle était souvent à cran en ce moment, surtout quand elle était avec toi, en fait. Il était clair que vous ne vous entendiez plus autant qu'avant. En ce moment vous vous tapiez mutuellement sur le système, vous ne vous supportiez plus. Merci l'adolescence ! Était-ce comme ça entre toutes les filles et leurs mères ? J’espérais bien que oui. « Si, ils m'ont acheté pleins de robes. Parce qu'ils ne sont pas radins, eux ! » Bon ok, t'y allais peut-être un peu fort. Tu mériterais même une bonne gifle, mais elle ne se le permettrait pas. Pas dans un lieux autant fréquenté. « Mais je ne les ai pas ramené, il n'y avait plus de place dans ma valise. Et puis c'est des robes d'été. Et au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, il commence à faire un peu plus frais en ce moment. » Arrogante, toi ? Pas du tout.. Ou juste un peu. Quand à sa deuxième question.. Qu'est ce que tu fais aux fêtes de Damian ? Euh.. Tu devais le prendre comment ça ? Tu fronçais les sourcils, cherchant une réponse convenable. « Damian, c'est l'un des meilleurs amis d'Hermès. Et Hermès c'est mon frère. Donc c'est normal que je sois invitée. » Bon, pour dire vrai, t'avais un peu forcé Hermès à t'inviter, parce qu'au début il ne voulait pas que tu y ailles. Il avait trop peur que tu te rapproches trop de certains mecs qui y seront présents. En pensant à ça, tu levais les yeux au ciel. Comme si c'était ton genre. Ou peut-être était-ce le leur après tout.. Ta mère regardait autour de vous pour choisir le magasin par lequel vous alliez commencer. Ici, il n'y avait presque des boutiques hors de prix, que tu adorais tant. "On va chez Guess, tu pourras choisir une paire de chaussure et c'est tout." Tu souris légèrement. Tu adorais cette marque, et cette boutique. Cependant tu fis ensuite la moue quelques instants lorsque tu comprenais que ta mère était bien décidée à t'acheter une seule paire de chaussures. Bon, c'était déjà mieux que rien. Tu te dirigeais donc vers la boutique, située à votre droite. Tu entrais et regardais autour de toi. Ton regard se posa sur une superbe veste de la nouvelle collection, présentée sur un mannequin juste en face de l'entrée. « Maman, je la veux ! S'il te plaaaaaaaaaît ! »

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Quand on grandit, on change de caractère, de points de vue. On devient un ado, en quête de devenir un adulte. Mais quoi qu'il arrive, une maman reste toujours la femme la plus importante.

Tu detestais pas les parents d'Elios. Ils etaient plutot des personnes gentils et t'avaient quand meme bien accepte au final, en ne disant pas bien sure la derniere dont toi et leur fils s'etiez rencontre. Le truc, c'etait que bah, ils s'en fichaient de l'argent et depensaient tout comme pas possible. Ok, Gaia et Hermes etaient leur petit-enfants, mais quand meme, les gater de la sorte n'apporte pas que du bien et tu le voyais bien avec Gaia qui devenait de plus en plus materialiste. Tu ne disais pas que tu ne l'etais pas et que tu aimais aussi les habits de marques, mais disons que tu ne voyais pas l'utilite d'avoir 36 milles robes qu'on ne porte qu'une fois. « Si, ils m'ont acheté pleins de robes. Parce qu'ils ne sont pas radins, eux ! » Tu roulais des yeux alors qu'elle dit cela. Y avait plus rien qui n'allait avec Gaia en ce moment. Vous n'arretiez pas de vous disputer. Tu savais meme pas si c'etait normal. Quand tu voyais d'autres mamans avec leur fille qui avait la vie parfaite, t'avais l'impression que toi, tu savais pas  gerer ca. « Mais je ne les ai pas ramené, il n'y avait plus de place dans ma valise. Et puis c'est des robes d'été. Et au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, il commence à faire un peu plus frais en ce moment. » Mais, c'etait quoi avec cette attitude? Ils lui ont fait en Italie, du lavage de cerveau. Faudrait que tu parles a Elios un peu. Ok, ils etaient des princes et princesses, mais pas besoin d'etre comme ca. "Gaia, d'un autre ton." Lui dis-tu fermement. Tu n'acceptais pas ce genre de paroles. Pas venant d'un de tes enfants. Tu les avais eduque correctement quand ils etaient petits, et c'etait pas des annees de travails qui allaient partir en fume a cause d'une famille de peteux qui leur donnait tout sur un plateau d'or. « Damian, c'est l'un des meilleurs amis d'Hermès. Et Hermès c'est mon frère. Donc c'est normal que je sois invitée. » Tu laissais echapper un rire las, genre. Enfin tu pouvais pas comprendre ce que c'etait d'avoir un frere ou une soeur, tu etais fille unique. Mais tu te doutais bien qu'on allait pas toujours aux memes fetes. "Tu l'as plutot manipulee pour te faire inviter?" T'avais deja usee de cela, parfois, quand t'etais encore strip avant d'etre tomber enceinte. T'avais bien utilisee tes talents pour te faire inviter a quelques soirees organiser par tes clients. Mais bon c'etait dans le temps. Vous entriez alors dans Guess. T'aimais bien cette marque, c'etait pas aussi cher que certains autres magasins ou Gaia voudrait surement y aller. « Maman, je la veux ! S'il te plaaaaaaaaaît ! » A peine entrer dans le magasin et sa commencait deja. Ca te rendait dingue. Tu jetais un coup d'oeil a la veste et ouais fallait dire qu'elle etait magnifique, mais non. Vous etiez pas venue pour ca. "D'abord la robe et les chaussures et apres on verra pour la veste." Lui dis-tu. Elle voulait des chaussures et une robe, ok, mais alors on achetait d'abord ce dont elle avait besoin et apres le reste.

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"Gaia, d'un autre ton." Tu roulais les yeux toi aussi, comme ta mère venait de le faire quelques instants plus tôt. Même si tu ne voulais pas l'admettre vous vous ressembliez beaucoup elle et toi. Les gens disaient souvent que vous aviez le même sourire, la même démarche, le même front, et des pommettes semblables. Mais votre plus gros point commun, c'était sans aucun doute votre caractère. Tu n'avais pas connu ta mère en tant qu'adolescente, mais tu avais entendu plusieurs fois dire qu'elle te ressemblait beaucoup. Était-ce pour cela que vous e vous entendiez plus si bien qu'avant depuis quelques temps ? Parce que vous aviez un caractère beaucoup trop semblable ? Peut-être que oui. Sinon c'était à cause de l'adolescence, toi même tu ne connaissais pas la cause de ce malaise entre vous deux. Le truc, c'est que vous vous agaciez souvent, trop souvent, mutuellement. Tu ne dis rien de plus, jusqu'à ce que la conversation dérive sur la prochaine fête de Damian, l'ami de ton frère jumeau. "Tu l'as plutôt manipulé pour te faire inviter?" Tu prenais un air faussement choqué. Bon ok, c'était du cinéma, puisque oui en effet, tu avais plus ou moins forcé ton frère à te laisser venir. Tu aimais Hermès, vraiment, mais parfois il était vraiment lourd vis à vis de toi et des autres garçons. Il était méfiant à chaque fois que l'un deux s'approchait trop prêt de toi, et ça avait le don de t'énerver. Mais cette fête, c'était LA fête de la rentrée, et il était hors de question que tu la loupe. « Je lui ai juste gentiment demandé.. Et il a accepté. » Ce n'était pas tout à fait vrai, mais pas tout à fait faux non plus. De toute façon cette histoire ne regardait que ton frère et toi. Vous entriez dans Guess, cette boutique que tu adorais tant, et déjà tu remarquais une magnifique veste que tu demandais à ta mère. "D'abord la robe et les chaussures et apres on verra pour la veste." Ok, ça voulais dire que tu avait encore une chance d'obtenir tout ce que tu voulais. Tu souriais avant d'avancer vers les quelques chaussures exposées dans un coin de la boutique. Tu regardais toutes les paires une par une, à la recherche de celle qui te plaisait le plus. Ton choix se portait rapidement sur une paire de bottines, et une paire de baskets compensées. Tu te tournais alors vers ta mère, une chaussure dans chaque main. « Tu préfères laquelle m'man ? » Elle était toujours d'une aide précieuse dans ce domaine, pare que tu trouvais qu'elle s'habillais toujours bien et qu'elle avait bon goût.

Spoiler:

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Quand on grandit, on change de caractère, de points de vue. On devient un ado, en quête de devenir un adulte. Mais quoi qu'il arrive, une maman reste toujours la femme la plus importante.

Parfois tu te demandais si tu ne perdais pas la notion des choses quand ca comportait tes enfants. Hermès te filait doucement entre les mains alors qu'il devait doucement se preparer a aller en Italie pour etre avec son pere afin de prendre son role un jour. Et Gaia, elle devenait une vraie Eliot, le genre de fille que tu meprisais et que tu ne voulais pas qu'elle devienne. Mais comment tu pouvais eviter cela. Elle baignant dans la luxe grace a ton travail mais surtout a cause d'Elios et de sa famille, puis tu etais sure que Natalya avait aussi quelque chose a faire la-dedans comment ta fille se comportait. Il faudrait que tu lui parles, parce que tu n'etais pas d'accord. T'avais pas envie que des années de travail pour eduquer tes enfants de maniere juste et modeste, soit foutu a cause d'une madame qui se croyait tout permis avec tes enfants. Au moins, leurs grand-parents devaient etre fiere d'avoir une petite fille aussi parfaite et mondaine que Gaia. Ca t'exasperait un peu, mais tu ne dis plus rien. Les disputes avec ta fille ne faisaient que s'accumuler et fallait ps non plus monter un spectacle dans le centre commercial. «Je lui ai juste gentiment demandé.. Et il a accepté. » T'etais pas tres sure de cela, mais bon, tu ne dirais rien pour cette fois-ci. Non plutot, tu ne dirais rien ici et tu demanderai a Hermes de ne pas plier aux caprices de sa soeur. Une vraie princesse avec tout le monde, c'etait insupportable. Peut-etre que tu l'enverrais un mois au Japon, ou un an, pour qu'elle apprenne enfin ce que c'etait que de gagner le respect de quelqu'un et qu'on avait pas tout en un claquement de doigt. Ouais, c'etait surement une bonne idée, que tu l'envoie chez Hiro pour lui remettre un peu les neurones a la bonne place. Vous vous rendiez alors vers le coin où les chaussures etaient exposé. Tu laissais Gaia choisir ce qu'elle aimait alors que toi-meme, lancais un coup d'oeil aux chaussures qui etaient exposé. Apres quelque temps ta fille se decida enfin, te demandant ce que tu preferais. Tu reflechis quelques temps. "Je trouve que les baskets compensés ca fait trop vieux, on portait deja ca alors que j'avais ton age. Les bottines tu peux les porter sur tout, et c'est plus classe." Si il y avait bien une chose sur quoi vous ne vous disputiez c'etait quand ca parle de mode. T'avais toujours bon gout, t'allais pas mentir que tu aimais t'habiller avec classe et que tu choissais minusieusement tes habits. Quand on avait un grand poste dans une societe, il fallait avoir une bonne image et on pouvait pas juste venir habiller n'importe comment.

[pas de soucis j'etais pas trop la non plus jusqu'a maintenant ]