Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle fucking face. et j'ai 15 ans. Je suis suisse et j'ai connu le forum grâce à je sais pluuuus.  Il est magique ** alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise willa holland comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bazzart. Je fais environ jsais pas combien de mots par RP et mon personnage est un personnage inventé/.

Mot de la fin ? ▲ vers l'infini et au delà. *baf*
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?) être Summer Camper (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)

Je me suis demandé comment vous parlez de moi, de ma vie... Puis je me suis dis que les rencontres que j’ai pus faire dans le passé m ‘ont amené jusqu’ici, alors autant vous parlez d’eux.

Théodore Murphy (aka géniteur), 38, New York.  Je l’ai vu avant d’entrée à Harvard. C’est un ancien flic, un ripou. Il a fait 12 mois de prison après avoir été attrapé en train d’empocher un pot de vin. Pot de vin bien sûr, et aussi suspecté de participer à un réseau de trafic de drogue, un truc comme ça. Je n’en sais rien. Il ne me connaît pas, ne sait rien de mon existence. Il était marié à ma mère biologique, elle s’est rendu compte qu’elle était enceinte après qu’il soit incarcéré. JE n’ai pas voulu entrée dans sa vie comme ça. Je venais d’être accepté dans une grande université pourquoi m’engager dans une histoire comme celle là un jour avant de partir ? Je l’ai observé pendant longtemps, puis je suis parti sans regret. Il semblait être bien, il avait sa nouvelle fille, nouveau travail, nouvel vie, je n’avais pas à tout chambouler. Ca me fait juste plaisir, qu’il ai changé.

Athéna Murphy (aka mère biologique), 36 ans, New York. Elle, c’est sans doute l’une des personnes que je détesté le plus au monde. J’ai toujours su qui elle était. Je l’ai vu pour la première fois quand j’avais 4 ans, à l’époque je ne comprenais pas encore qui elle était. Elle était passée me voir après avoir appris que ma famille d’accueil m’avait maltraité. Elle avait passé un savon à un tas d’assistants sociaux. Elle en avait eu le culot. C’était un agent de police respecté, avec une réputation en béton et qui ne voulait pas perdre sa place. Les gens avaient réussi à oublier le fait qu’elle était mariée à un ripou, mais ils ne devaient pas apprendre qu’elle avait lâchement abandonné sa fille. C’est l’excuse qu’elle m’avait donné quand j’avais douze ans, et que les Lawrence (famille d’accueil numéro 2) sont morts. Je n’ai même pas voulu en savoir plus, cette dingue m’aurait fait perdre mon temps. Si elle ne m’avait pas donné la vie, je jure devant Dieu que je l’aurais tabassé.

Mrs et Mme Strudwick, mort à mes yeux, Cimetière. Je ne veux et ne vais pas en parler. Il n'en rien apporté de bon dans ma vie, ou peut-être leurs autres enfants qui font partie de la mienne maintenant. Bref, tout se qu'il y a à savoir sur eux c'est qu'ils m'ont battu (Moi et les autres) à plusieurs reprises, et que je ne leur pardonnerai pas.

Olive Reynolds, psychologue, New York. Après l’épisode Strudwick, on m’a placé dans une nouvelle famille d’accueil, assez loin de mon ancien chez moi, chez les Lawrence. Par la suite, un professeur m’a conseillé d’aller voir Mademoiselle Reynolds, la psychologue-conseillère en orientation de mon école. Je devais avoir... 6 ans, c’était deux ans après mon placement. Elle m’écoutait parlé de tout et de rien, parfois elle me posait des questions et on s’entendait bien en somme. Elle me conseillait quelques trucs, dont me faire des amis – elle ne se doutait pas en me disant ça que j’allais avoir Blue comme amie – et de m’habituer à ma nouvelle famille.  Je l’ai vu jusqu’à mes 12 ans, elle m’a beaucoup aidé.

Blue Lawrence-Strudwick, mon frère et meilleur ami imaginaire, New York. Il a fait parti de toute mon enfance lui. Blue c’était mon frère. J’étais fille unique chez les Lawrence alors je m’amusais comme une folle avec mon amie imaginaire. Je le voyais comme ca, comme dans le dessin animé. Blue je l’aimais trop. C’était soit Blue, soit Coco et je n’aurais pas supporté de vivre avec un animal qui dit coco tout le temps. Il m’a souvent sauvé la vie, quand j’étais petite je n’avais pas beaucoup d’amie, j’étais se genre de fille bizarre que personne n’approchais.

Martin et Jennifer Lawrence, famille d’accueil, cimetière de New York. C’était des personnes magnifique, vraiment. Ils m’ont élevés comme si j’étais leur fille et ça ce ne l’oublierai jamais. Ils savaient ce qui c’était passé avec mes anciens parents, et m’avaient promis de ne jamais faire pareil et pour ça : je l’ai aimais, parce qu’il avait tenu leur promesse. J’ai vécu jusqu’à mes 17 ans avec eux. Ensuite, ils sont morts. C’est un accident de voiture qui les a eus, et j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps. C’était eux mes parents pour moi, et c’est pour ça que j’ai changé mon nom en Typhène Lawrence-Strudwick.

Spencer Strudwick, sœur, Cambridge. Dans la famille Strudwick, c’était elle l’ainée. Pour moi, c’était ma grande sœur. J’étais petite donc elle s’occupait de moi et j’aimais ça, je l’aimais elle beaucoup. Elle m’a terriblement manqué, quand nous avions été séparés. Mais à chacun de mes anniversaires je recevais un cadeau de sa part : Je savais qu’elle ne m’oubliait pas et ça me faisait vraiment plaisir. Je sentais que quelqu’un gardais un œil sur moi, et je me sentais plus en sécurité.

Alexander Strudwick, frère, Cambridge. Lui, c’est mon grand  frère, enfin je le considère comme tel. C’était le genre de type super sympa qu’on aimait tout de suite, plus petite il me semble même que je l’adorais, je n’ai pas beaucoup de souvenir après tout j’avais 4 ans. Quand on c’est tous séparé, je l’ai perdu de vue. Puis à 17 ans lorsque les Lawrence sont mort, j’ai fait des recherches sur les personnes que j’avais perdu de vue, j’avais donc retrouvé mes parents biologiques et lui : Alexander. Il était à l’université, l’une des plus réputé même, et j’ai essayé de reprendre contact avec lui. Puis j’ai décidé de le suivre, c’est grâce à cet homme que je suis à Harvard aujourd’hui et je ne regrette rien du tout.

Lip Zuckerman, meilleur ami, cimetière de Cambridge. Lui, c’était mon meilleur ami, l’homme de ma vie, qu’importe. Il n’y avait pas plus parfait que lui et c’est tous ce qu’il y a à savoir. Je l’aimais trop, comme une dingue. On n’était pas forcement ensemble, notre relation était purement platonique, mais on s’aimait comme des fou, le genre de relation qu’on vie qu’une fois dans sa vie. Je me sentais vraiment moi qu’en sa présence et maintenant : et bien il est plus là. Il a laissé un grand, un grand grand vide. Quand il est parti tout a changé, j’ai changé. Mes peintures sont devenu sombre et lugubre, je ne suis plus la même en somme, et je ne serais surement plus jamais la même.