Ta soirée a été éprouvante. Tu t'es donner sur scène. Mais ton conjoint s'est donné aussi à ton retour. Tu as été battue. Et bien plus que d'habitude. Les coups sont tombés. Toi aussi tu es tombé. Tu t'es retrouvé au sol. Recroquevillé au sol. Sur toi-même, tel un fœtus, tu t'es laisser aller a ce malaise qui t'as emmené loin de tout ça. Tu as perdue connaissance. Plusieurs fois. Alors en ce mardi soir, entre deux malaises, tu as pu attraper ton portable afin de passer un coup de téléphone. A qui ? Aux urgences ? Non. A Kōh. Cet ami si doux. Si compréhensif. Si présent.... Tu as entièrement confiance en lui. De part son passé bien trop similaire à ta vie. De part sa protection. De part ses conversations en tout genre que vous pouvez avoir. Car oui c'est un ami, sur qui tu pouvais compter. L'un des seuls que tu as. Avec ta vie de marginale, tu as peut de vraie vie sociale. Ta vie se limite à la musique dans les rues et les bars. Tu n'as pas plus de socialisation que cela au final. Bien sûre, tu parles aux clients après tes concerts. Tu parles avec le responsable des lieux. Mais peu d'ami tu as... En même temps, ton bourreau fait en sorte que tu n'ai pas de vie extérieur. Il refuse d'avoir du monde à la maison. Il ne te flic pas, tu fais ta vie dehors. C'est vrai que tu pourrais te faire des amis mais tu préfères ramener un peu d'argent à la maison. Vous ne roulez pas sur l'or. Faut que tu bosses si tu veux manger.

C'est donc après une soirée au bar que tu as prolongé au comptoir, à ton retour les coups ont été donnés. Inconscience. Tu perds connaissance. Tu appelles Kōh puis plus rien. Heureusement que la porte d'entrée est toujours ouverte. Comme ça, il a pu entré. Et te trouver, inconsciente. Encore une fois. Il te secoue. Tu réagis. Tu l'appelles. Tu lui donne un signe de vie avec ta voix tremblante. Il prend soin de toi et t'emmène aux urgences. Tu refuses. Mais tu n'as aucune envie d'y aller. Cependant, tu n'as pas ton mot à dire vraisemblablement. Alors tu te laisses faire. Il te porte pour t'emmener à la voiture. Puis, arrivée aux urgences, tu te sens forte, assez en état pour te déplacer. Mais non. Tu manque de t'effondrer sur le trottoir. Il le voit, Kōh. Il vient te porter une nouvelle fois pour venir te déposer sur une table. Une table d'auscultation. Froide. Inconfortable. Tu es encore faible. L'envie de dormir est forte. Mais le médecin demande à ce que tu restes éveillée. C'est dur... Très dur... Mais tu comprends sa demande. Même si tu ne l'approuve pas. Donc tu luttes.
A ce moment-là, il demande a Kōh de sortir. Tu grimaces. Tu souhaites qu'il reste. Mais il sort. Pas longtemps. Il revient et explique qu'il veut rester. Tu souris timidement. S'il vous plaît... J'aimerai qu'il reste... Non, tu n'as pas peur. Tu veux juste pas être seule. Pas avec un inconnu. Tu n'es pas à l'aise quand tu es seule avec un homme. Et ça peut se comprendre. Il est médecin certes, mais tu as peur d'être seule.Je n'ai rien à lui cacher.

La colère de Koh et descendu, mais il a envie tout de même d'aller retrouver cet homme et lui expliquer son point de vue. Mais il sait que s'il fait cela, il sera bon pour être derrière les barreaux. Venant prendre quelque chose que son mentor lui avait conseil. Une sorte de médicament à base de plante, puis il vient se calmer après 20 minutes.

Il entre de nouveau dans la petite pièce, voyant le médecin, une chose aussi qu'il ne souhaite pas mentionné publiquement. Mais il déteste les hôpitaux, les médecins en blouse blanches qui pense être tout permis. Depuis un jour dans son enfance le médecin a été assez froid avec lui. Puis quand Leas vient demander à ce que Koh reste, il vient s'avancer doucement pour venir se mettre près de la table d'auscultation. Ne voulant pas gêner ni toucher le corps abîmer de Leas.
Le doc vient acquise de la tête et commence à ausculter doucement Leas sous les yeux de Koh.

Mais le doc s'arrête et Koh comprend et se retourne puis le médecin ausculte doucement découvrant des bleus sur ventre, la taille. Puis vient dire qu'il doit regarder un peu plus haut. Et voilà que Leas se trouve sans son haut pour une auscultation et il vient la recouvrir du draps. Demandant a Koh de se retourner et examine les bras et la tête.
Pour sortir qu'il faut faire des radios, pour voir si rien n'est de fracturé pour réparer. Avant cela il vient nettoyer les plaies et pars un moment.

S'il te plaît...Fait les radios et si tu dois être opérer...Je resterais près de toi, je te promets il ne te touchera pas...Et tu pourras venir chez moi après si tu veux.

Comme ont dit, les jeunes se font rapidement des films pour les femmes plus âgé qu'eux. Koh sait que Leas retournera avec son mari. C'est comme la relation qu'il avait eu avant avec cette femme marier. Il vient souffler et regarde l'horloge indiquer 0h00.

A ton avis, ils pensent que je suis ton frère? 

Cette soirée est particulière. Elle a commencé comme elle commence quasiment tous les soirs mais là, la différence, c'est que tu as appelé ton ami. Le seul qui est au courant de ta situation. Tu as su t'ouvrir à lui. Tu as su lui parler. Il t'as dit qu'il connaissait ta situation. Il a su trouver les mots pour te rassurer. C'était un soir, à l'arrière du bat où tu te produits qu'il a vu les stigmates de l'amour de ton fiancé. Du fond de teint s'était effacé laissant ton blush bleu apparaître, là sous l'un de tes yeux vert. Un bleu foncé, presque noir. Il avait bien mûrit.
Cette soirée est particulière. Elle a commencé comme elle commence quasiment tous les soirs. Mais là, c'était différent. Tu avais perdue connaissance. Tu as pu appeler ton ami. Ami qui est venu à ton secours. Ami qui t'as trouvé inconsciente dans ta salle de bain, en sang. Ton mec ne t'avais pas loupé cette fois. Il avait eu trop de délicatesse pour te violacé le corps. Corps douloureux. Corps que tu veux abandonner. Tu veux arrêter de souffrir.
Alors que Kōh t'emmène à l'hôpital alors que tu as refusé malgré ton envie de lâcher prise, lâcher ce corps souffrant. Mais il ne t'as pas laissé le choix. Arrivée devant l'hôpital, tu pensais tenir sur tes jambes. Mais non. Il a dû te porter et t'emmener voir un de ses amis médecin. La chance. Il t'as prit directement et t'allonges sur une table d'auscultation. Tu est tremblante. L'ami médecin demande à Kōh de sortir. Ce qu'il fit. Mais il est vite revenu. Il voulait rester avec toi. Et toi tu voulais qu'il reste près de toi. Le médecin fini par accepter.
L'auscultation démarre. Tu grimaces aux palpations. Ton corps endoloris demande à ce que le toubib arrête. Mais il fait son travail. Il ne manque aucune partie de ton corps. Tu finis presque nue sur cette table inconfortable. Froide. Comme toi. Tu as froid. Tu trembles. Tu veux fermer les yeux. Tu es fatiguée. Ça y est, c'est terminé. Le Doc annonce qu'il faut passer des radios. Vérifier que rien ne soit cassé. Toi, tu sais que t'as au moins une voire plusieurs côtes cassées. Tes paupières sont lourdes. Tu es à l'ouest. Tu comprends à peine ce qu'il se passe en fait.
Kōh te parles. Tu captes pas grand chose à ce qu'il te dit. Mais tu entends parler de radios et d'opération. Tu secoues la tête. Je peux pas... Articules tu. Tu ne roules pas sur l'or. Tu ne peux te permettre d'aussi grosses dépenses. Je peux pas Kōh... Puis tu rebondis sur la fin de sa phrase. Il me tueras si je pars...

Alors que son ami médecin, celui avec qu'il avait commencer les études de médecine, dit que c'est terminer pour l'auscultation et quitte la pièce. Regardant Leas, il vient se rapprocher caressant doucement son front. Découvrant un bleu, reconnaissant bien cela avec les combats qu'il fait. Puis il vient l'écouter et lui prend sa main doucement.

Qui t'a dit que tu allais payer les examens? Et tu es victimes et normalement tu n'as pas à payer dans ce cas là. Mais s'il faut je payerais. Et ne discute pas.
Leas...Je suis combattant en MMA, inquiète toi pour ton mari. Car personne n'a réussi à me vaincre jusqu'à présent.

Venant regarder le mur d'en face, il vient se souvenir de son passé et vient passer sa main dans ses cheveux les ramenant en arrière et vient regarder Leas. Puis lui prends sa main pour lui dire.

Tu sais...Lorsque j'étais à New-York j'ai rencontré un gars, j'étais naïf, j'ai cru qu'il serait parfait, le bon. Il m'a fait croire le bonheur. Mais un soir il était énervé que je ne fasse pas correctement ce qu'il voulait et il m'a cogner. Ou quand je refusais de le faire avec lui il me frappait. Et je finissais avec des hématomes. Mais il frappait  là où personne ne verrais. Sauf une fois où il a fait une erreur et ma menacer. Si une amie ne m'aurais pas aider avec un autre ami, je ne serais peut-être plus là.

Je suis là, je peux te protéger. Chez moi c'est une penthouse sécurisé. Mon ami médecin peux t'aider aussi. Alors profite de cette aide.Tu sais que 45 000 femmes et filles, dans le monde, sont tués sous les coups? Tu veux êtres l'une d'elle? Ou celle qui va mettre ton bourreau en prison?

Il était bien placé pour faire la moral, mais pour le moment. Son ex traînait toujours dans Boston. Mais il savait qu'il avait des personnes qui l'entourait. Il vient la regarder encore et lui dit.

Aussi ça me ferait plaisir que tu sois là