tu prends clairement tes aises en t'asseyant sur lui, mais c'est pas comme si ça changeait quoi que ce soit des autres moments que vous passiez ensemble. toujours très à l'aise avec lui, il est peut-être même la seule personne avec qui tu es totalement toi même. — ça te dérange? chuchotes-tu un sourire en coin et un sourcil qui se hausse. non parce que tu peux aussi te laisser tomber à côte de lui et t'allonger comme une crêpe sans problème. ses mains baladeuses te font frémir. tu te figes instantanément, ne t'attendant même pas à ce qu'il vienne t'embrasser par la suite. oops, mila l'adolescente folle amoureuse refait surface et dans ton corps tout s'emballe. tu te penches, vient entourer tes mains de son visage pour l'embrasser un peu plus. lèvres qui se décollent des siennes alors que tes doigts caressent délicatement sa peau. — t'es entrain de me convaincre de t'en offrir rapidement.. souffles-tu alors que ton sourire niais révèle tes dents parfaitement alignées.

Forcément, entre vous où rien n’est encore vraiment mis au clair en dehors de ce que vous pouvez ressentir l’un pour l’autre. Seulement, vous n’avez pas les mêmes envies vous concernant et c’est là que ça part en sucette. Enfin ça n’aide pas quand elle se met sur toi et que tu essayes de rester de marbre quand tu es avec elle. C’est presque mission impossible. ❝ Non, pas le moindre du monde. Sinon, tu ne ferais pas de cette proximité une réelle complicité, venant caresser ses fermes et finalement venir presser tes lèvres contre les siennes. Rien ne vient vous séparer en dehors de ses paroles. ❝ Ah ouais ? Genre, j’ai trouvé le moyen de pression ? Petit sourire en coin, tu viens embrasser sa nuque et remontes jusqu’à sa mâchoire, puis son lobe. ❝ Je veux un gros bouquet bien garni. que tu viens murmurer.

limites floues et poreuses dans lesquelles tu t'infiltres si rapidement que faire chemin inverse est impossible à moins de le braquer et de toute façon, tu n'en a même pas envie. tu tombes bien trop rapidement dans ses filets, un sourire et tu fonds. tu sais pourtant que les choses sont loin d'être simple entre vous et que tu t'en voudras plus tard de ne pas avoir résister à la tentation. ses lèvres embrassent ton cou et tu gigotes à cause d'un frisson qui t'envahit. t'es chatouilleuse, il le sait pertinemment depuis le temps, alors tes éclats de rire raisonnent dans la pièce. — promis t'en aura un énorme mais fait pas ça c'est de la torture ! la voix rieuse, tu ne bouges pourtant pas, bien installée contre lui.

On dirait que tu te donnes totalement les moyens pour l’avoir ce bouquet de fleurs. Tu y es tiens particulièrement ? Absolument ? Non en réalité tu t’en moques, mais t’aimes beaucoup soutenir le contraire et aller à fond dans cette idée qui vient l’embêter. Tu sais qu’elle viendra se donner les moyens pour te l’offrir. Ce n’est qu’une question de temps. Baisers qui parcourent sa peau de sa nuque à son lobe, elle gigote dans tous les sens, riant aux éclats. ❝ Ok ok j’arrête. T’arrêtes les baisers, mais tes mains viennent entamer une danse, la chatouillant. ❝ Tu préfères ça ? dis-tu avec un grand sourire.

t'es hyper chatouilleuse et ce n'est pas une nouveauté. tous les gens qui te connaissent un minimum le savent alors simeon est particulièrement bien placé pour le savoir. pourtant, il n'hésite pas une seule seconde à jouer de ça, à te taquiner volontairement et encore plus quand tu lui fait remarquer. au fond, t'es bien ça, qu'il te cherche de cette manière. — aaaah ! arrêêêête ! cries-tu entre deux fous rire. tu ne peux pas t'empêcher de gigoter dans tous les sens. tu te tords de rire et de douleur à la fois car cette sensation est aussi bien agréable que désagréable. tu ne sais plus te débattre ou le faire s'arrêter, t'es foutu jusqu'à ce qu'il décide que t'en aura eu assez. les larmes aux yeux, les cheveux ébouriffés et les vêtements sans dessus dessous, tu ressembles certainement à rien à cet instant mais peu importe, tu t'amuses comme une petite folle. — c'est booon dis-tu, épuisée de rire.

Tu joues de ses points sensibles. Ceux que tu as appris à connaître par coeur avec le temps. Et tu en joues, encore et encore. Chatouillant ces zones qui viennent la faire rire aux éclats, se tordre dans tous les sens sous des supplices de tout arrêter. Tu laisses s’écouler encore quelques secondes avant de finalement t’arrêter, elle a bout de souffle de cette torture enfantine. ❝ Oui, j’ai fini. Grand sourire qui vient creuser tes fossettes, tu la regardes avec beaucoup de fierté, tout en revenant recoiffer ses cheveux qui ont pris un sacré coup. ❝ Brosse tes cheveux le matin, regarde dans quel état ils sont.

depuis toutes ces années, tu es un livre ouvert pour simeon. il n'y a que peu de choses qu'il ne sait pas de toi et parfois cela ne te rends pas service. comme à ce moment même où il profite de ta faiblesse sur les chatouilles pour te torturer. un asticot ne gigoterait pas autant que toi et même si tu ris aux éclats, tes supplications ne le font pas s'arrêter. il s'en donne à coeur joie jusqu'à ce qu'il se lasse de ce jeu là. tu peux finalement te redresser et reprendre ton souffle. sa réflexion t'arraches un nouveau rire mais tu le laisses te recoiffer.. à la simeon. il fait sûrement plus de noeud qu'autre chose mais ce n'est pas grave, tu trouves ça mignon. — j'aime bien ne pas me coiffer, ça me donne un petit côté sauvage j'crois ! rebondis-tu dans la continuité de la taquinerie. t'attrapes un des oreilles pour le mettre entre tes bras et le serrer contre toi. — c'était vraiment une attaque de traitre ça! tu plisses les yeux, le sourire aux lèvres, à deux doigts de te venger mais tu ne te lances pas car tu sais que sa réponse sera toujours plus excessive. lui envoyer le coussin dans la tête te démange pourtant très fort.

Il est vrai que la coiffure n’est pas ta force, bien au contraire. Tu aurais fait un piètre coiffeur, et une carrière abominable ça n’en fait aucun doute. Enfin, heureusement pour toi, ce n’est pas la voix que tu as suivie. C’est bien mieux la politique. Là, il n’y a pas d’erreur, tu sais que c’est le bon chemin. On dirait que c’est un truc de jumeaux, vu que vous avez tous les deux pris cette direction, en choisissant chacun votre spécialité. ❝ Ah là, t’as un sacré côté sauvage. Aucun doute. Venant t’écraser sur le lit, tu regardes le plafond, avant de tourner ton regard vers celle qui est ta meilleure-amie et plus que ça, complexité de votre relation. ❝ Pas du tout. Tu l’avais cherché moi je dis. Non pas du tout c’était totalement gratuit, mais tu t'en moques bien.

évidemment que t'as un côté sauvage, qu'est ce qu'il insinue. bien sûr, tu sens l'ironie derrière sa remarque. tire la langue comme une gamine pour riposter. t'aurais pas de mots plus juste alors autant fournir une réponse à la hauteur de sa bêtise. l'observant s'allonger, tu hausses les épaules. il est capable de sortir un tas de bêtises à la minute, ça t'étonnera toujours autant mais ça te fait forcément toujours sourire. sourire bêtement. tu deviens presque niaise dès qu'il l'ouvre. tu t'allonges finalement à ses côtés, le coude posé de telle façon à ce que ton visage s'appuie dans ta main. — j'te cherche plus alors non, comme ça il pourra pas te remettre la faute dessus si il dérape encore dans l'une de ses idées farfelues. — pierre, feuille, ciseau de qui choisit un film ? même si tu sais que tu te fou de ce que vous choisirez, c'est juste pour le plaisir de jouer.