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Time for parents
Ce n'est pas trop son style, ce genre de de soirée, encore moins quand il doit s’y rendre seul, mais il fait l'effort, se disant que c'est important. Pour célébrer la fin de l'année qui approche, et apprendre à mieux se connaître, des parents laissant leurs enfants dans la même crèche que celle où Anders laissait Anaé pendant ses cours avait décidé de faire une petite soirée, sans enfants, pour apprendre à se connaître. Pour profiter d'une soirée sans responsabilités se disait Anders en voyant le bar mis à disposition. Et dans ce cadre, il aurait volontiers laissé sa place à Céleste et gardé Anaé ce soir, si toutes les deux ne commençaient pas à être malade. Alors il n'avait eu d'autre choix que de s'y rendre lui, de montrer que les parents -ou au moins un d'entre eux - d'Anaé étaient là et se souciait également de savoir qui leur fille pouvait être amenée à côtoyer à la crèche. Certaines personnes lui étaient très familières, car il reconnaissait en elles des camarades de classes ou de confréries qu'il était déjà amené à croiser fréquemment, d'autres lui étaient parfaitement inconnues.
Un verre peu alcoolisé à la main, il discutait avec un petit groupe, allait et venait au fil des discussions ou des apostrophes qu'il subissait. Son verre à nouveau vide, il s'éloigna du dernier groupe auquel il s'était greffé quelques minutes plus tôt pour se diriger vers le bar, faire remplir son verre, mais pour cette fois quelque chose de soft. Mais la foule près du bar est dense, et se frayer un chemin sans bousculer qui que ce soit est difficile, ce qu’il finit par faire, lors d'un pas maladroit, avant de s'excuser.” Désolé ! On pourrait croire que ça serait plus simple que d'éviter les jouets qui traînent par terre, mais pas vraiment. “ Plaisanta t-il alors que son salon était de plus en plus souvent confronté au problème, maintenant qu'Anaé grandissait et accédait presque librement à tout l'appartement.
Un verre peu alcoolisé à la main, il discutait avec un petit groupe, allait et venait au fil des discussions ou des apostrophes qu'il subissait. Son verre à nouveau vide, il s'éloigna du dernier groupe auquel il s'était greffé quelques minutes plus tôt pour se diriger vers le bar, faire remplir son verre, mais pour cette fois quelque chose de soft. Mais la foule près du bar est dense, et se frayer un chemin sans bousculer qui que ce soit est difficile, ce qu’il finit par faire, lors d'un pas maladroit, avant de s'excuser.
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