@Nila Hadi ✧ Cela fait quelques jours que Theodora a enlevé son plâtre au bras, elle a dorénavant une attelle.. Mais elle a toujours la jambe dans le plâtre, elle est censée l'enlever la semaine prochaine, elle aura une attelle également mais au moins elle passera les fêtes sans plâtre, autant voir le côté positif. Theodora  est bien entourée, Circé vit chez elle et Gustin a également pris ses quartiers le temps qu'elle soit rétablie, mais au fond d'elle elle souhaiterait qu'il y reste même quand elle ira mieux. Blondie révise pour ses cours, même si elle ne se rend pas à l'université elle a adressé un mail à ses professeurs afin d'avoir les cours et ainsi pouvoir passer les examens. Elle a conscience qu'elle devra se rendre sur les bancs de l'université, elle n'est pas enchantée à cette idée et n'est surtout pas prête à voir le regard des autres même si habituellement elle n'en a que faire. Marta arrive, lui signalant qu'elle a de le visite. Fronçant les sourcils, elle n'attendait personne. Gustin n'est pas là aujourd'hui et Circé non plus, ils ont pris leurs clés. Theo fait signe à Marta de laisser entrer la personne. Puis le doux visage de Nila se fait voir, lui adressant un signe de tête princesse Theo est surprise de la voir "Salut..." Theodora ne se souvient pas du prénom de la demoiselle, elle n'est pas la plus sociable, mais elle sait qu'elle est à la pfoho et qu'elles se sont croisées à l'hôpital, c'est déjà une bonne chose.  "Tu n'étais pas obligée de venir me voir." qu'elle lâche alors, ce qui signifie en réalité qu'elle est contente d'avoir de la visite. Discret signe de tête en direction de Marta qui veut dire : préparer le gouter.

@Theodora Pasquier ✧ t'étais sortie indemne de l'explosion. une ou deux égratignures qui ont disparu en quelques jours. ce n'était pas le cas de tout le monde, surtout de theodora. tu l'avais croisé dans les couloirs de l'hopital. t'y étais souvent, pour toi, beaucoup trop à ton avis. une fois dans cet endroit là, ça équivalait à une centaine pour toi. et t'avais développé une sympathie particulière pour les personnes qui y était coincées que ça soit quelques heures ou plusieurs mois. t'avais proposé à la blonde de passer la voir. c'était un peu sorti de nul part étant donné que vos interactions avaient été à limite de l'inexistence et cela même si vous étiez membres de la même maison. alors te voilà, un mois plus tard, devant l'entrée de chez ta confrère. tes yeux, sans que tu ne puisses l'empêcher, sont remplis d'étoiles en voyant où habitait la blonde. ce monde là, du luxe, tu le connaissais moi bien. tu n'y étais pas habituée et chacune de ses entrevisions arrivaient toujours à t'impressionner. tu es accueillie par une femme, martha, que tu imagines être la domestique. elle te laisse dans l'entrée pour aller avertir sa patronne de ta venue. chez toi, ça aurait été un des tes colocs qui aurait crié ton nom. elle finit par te laisser entrer et tu pénètres, cette fois complètement, dans l'antre de theodora. tu lui adresses un large sourire avec un signe de la main. « hey ! » lancé plein d'entrain. le peu de gêne que tu ressentais t'obliges à rester debout devant elle, « non, mais j'en avais envie. j'espère que je t'ennuie pas. » parce-que c'était une possibilité. peut-être que theodora voulait être seule et que t'étais de trop. sentiment récurrent nourri par tes insécurités. « t'as l'air de bien de rétablir. » le doigt qui pointe vaguement vers son membre supérieur qui n'était plus cloitré dans un plâtre.