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Losing my life • Lorc & Priam

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Il avait fallut une seule soirée. Avec des jeux à la con pour que Paz se retrouve avec un couteau planté non loin du coeur. Les médecins avaient mis plusieurs heures à le stabiliser mais son pronostic vital n'était plus engagé. Il gisait sur son lit d'hôpital inconscient depuis maintenant deux jours. Son portable n'arretait pas de sonner.
@Lorcan Sahin @Priam Lubbers
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Quand j’arrive sur le parking de l’hôpital, j’enlève immédiatement mon casque et mes gants avant de descendre de ma moto. Suivie de près par   @Lorcan Sahin on arrive devant le bureau des admissions de l’hosto. Je ne prends même pas le temps de m’arrêter devant ce bureau et de faire la queue. J’arrête à la voler, une aide soignante sur mon chemin afin de lui demander le numéro de chambre de l’homme que je considère comme mon frère, la seule famille qui me reste. Une fois devant la porte de sa chambre, je ressens un certain stresse qui monte en moi. Je pose ma main sur la poignet de la porte avant de lancer un coup d’œil à Lorc, et de finalement décider de rentrer dans la chambre avec lui. Je me mets instinctivement aux côtés de Paz avant de lui taper sur l’épaule. Ce mec est le gars le plus con et inconscient que j’ai connu sérieusement. Putain Lorc comment on fait pour les jumelles s’il se réveille pas. Mais bordel quelle idée elle a eu Lena de faire ça avec lui. D’un seul geste j’envoies valser le verre d’eau posé sur la table à côté de moi, par terre.
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l'arrêt brutal, crissement des pneus sur le bitume. se débarrasse du casque, libère la suffocation. maudit la route qui avait semblée interminable, malgré les accoups d'ton poignet sur l'accélérateur  @priam lubbers. la sangle vient s'accrocher à l'avant-bras, traverse déjà les portes du mouroir. deux paires d'yeux pour faire pression sur la première infirmière croisée, bégaye sous l'assaut. longe les couloirs dans un silence trop lourd, tension palpable sous les pas pressés. le blanc des murs qui rend aveugle, rappelle les insomnies. ignore le vibreur dans la poche arrière, allez vous faire foutre lena, toi et tes caprices. destruction maladive qu'elle est pas foutue d'cantonner à sa personne, pourtant bien centrée dessus. hochement de tête quand tes yeux demandent l'accord, porte s'ouvre sur la silhouette inanimée.  @tybalt pazelius  la rage qui ronge, les nerfs qui grincent. tourne comme un fauve autour du lit. - il m'en a parlé cette semaine.. il comptait sur toi ou sur moi si tu réapparaissais pas. mais t'es là. revenu pile à l'heure pour voir l'ampleur des dégâts. en témoigne, le verre qui se fracasse contre le mur. - c'était pas une bonne idée d'la laisser rentrer, putain. on le savait, déjà- elle va foutre le bordel parce qu'elle est pas capable de rester à sa place. 
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Quand Annabeth a appris que Paz était à l’hôpital, elle a essayé de le rejoindre, mais en vain. Elle a essayé de nombreuses fois, mais sans succès. Elle décida de se rendre là-bas, afin de le voir et savoir ce qui lui est arrivé. Une fois sur place, elle demanda à l’infirmière le numéro de chambre. Devant la porte, elle entendit deux voix inconnues. Elle ne comprenait pas ce qu’ils disaient, mais décida d’entrer quand même. — Hum… bonjour. C’est la chambre à Paz, non?

@Tybalt Pazelius
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Il y avait beaucoup de choses qui n'allaient pas dans la vie de Paz. Des choses sur lesquelles il n'avait aucun contrôle. Comme un monstre qui se collait à son ombre, prenant petit à petit possession de ce qu'il était. Ne voulant pas suivre un traitement conventionnel, la seule chose qui le soulageait était la destruction. Auto ou non.

Par chance dans son malheur, il était clean lors de son altercation. Cela avait évité des examens supplémentaires sur la toxicologie qui aurait pousser les recherches dans une direction non souhaitée.

Dans cette pièce impersonnelle et immaculée, la seule chose qui animait la salle était les bips, plus ou moins réguliers de l'électrocardiogramme. Au moins il avait éviter le trait-plat...


@Priam Lubbers @Lorcan Sahin @Annabeth Carson
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Haine glaciale qui englobe l’atmosphère de cette putain de chambre d’hôpital. Un long regard vers Paz. Un moment d’égarement et de stresse, voilà ce qui vient de se dérouler. En un rien de temps j’entends un bruit provenant de la porte. Je lance un regard aux aguets vers mon meilleur pote avant de me mettre face à l’entrée. Grande, élancée, blonde : les caractéristiques propres de la femme qui passe le bas de porte. Je la fixe de tout mon être, d’un regard noir hurlant de haine qui n’arrive à s’apaiser. Des qu’elle ouvre la bouche, je n’arrive à décrypter ses paroles, tellement j’ai l’impression d’être à l’ouest. T’es qui toi ? Je me retourne dos à elle, fixant longuement Paz, son corps immobile. Les bruits des machines m’assourdissent et me ramènent quelques années plutôt. Je ne suis pas d’humeur à faire la conversation, j’espère qu’elle a une bonne explication à sa venue. Actuellement j’en veux à la terre entière
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