save me from myself
with @Sybil Windsor
nuit du 31 octobre au 1er novembre 2023
rue proche hocus pocus, thrist street, près du campus
drogue (cbd, ghb), agression sexuelle


Grosse soirée à l’Hocus Pocus. Voulant aider Poppy c’soir. Enchaînement des cours avec le travail, préparation de mon déguisement sur place directement. Enchaînement surtout d’erreurs. Depuis la fin avec Dimitri, reprise de mon cbd, sauf c’soir. J’ai oublié d’prendre le traitement avec moi. Alors j’ai passé ma soirée à trouver d’quoi m’détendre, même si l’ambiance était au top. La propriétaire a bien fait les choses. Besoin que j’arrive pas définir. Ça aide c’est tout. Douce illusion d’aller bien dans ces moments. Bonheur trouvé, un mec venant fêter Halloween au bar des sorcières. Comprimée donnée, avaler avec un verre d’alcool. Seconde erreur. Le service se termine peu après, mec qui ne m’lâche pas p’tin. Tu veux l’envoyer chier, mais j’sens mes forces qui m’quittent doucement mais sûrement. « J’reviens, j’vais prendre l’air. » lâcher à un collègue, sans savoir qui. Titubant, la rue vacille. Vision floue. La main sur l’front, j’ai chaud, commençant à défaire c’qui m’fait office de veste. Puis ce mec qui est de retour, la main sur mon épaule, frôlant, j’veux pas. Mais impossible de m’débattre. « J’veux pas.. » La voix faible, abandonnant… Cet homme insistant. Le corps qui s’laisse tomber le long du mur.

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tw agression sexuelle


Déguisement Nuit d'Halloween, de toute évidence, cette soirée n'a jamais figuré parmi ses préférences, même si elle prend un plaisir à se délecter des péchés et des dépravations, il semble que la soirée des âmes en peine manque singulièrement d'élégance à l'égard de la Windsor. Malgré cela, elle avait consenti à se joindre à une soirée privée organisée dans un appartement de la ville, profitant de la nuit, des verres qui s'enchainent, des éclats de rire, mais aussi de l'ennui qui finit par lui donner envie de partir. Cette soirée était agréable, mais il lui manquait quelque chose. L'heure qu'elle observe avant de rejoindre sa voiture pour se faire conduire jusqu'au Hocus Pocus. Parce que que ce soir, elle savait que t'étais là et au fond d'elle, elle était peut-être persuadée que t'étais celle qui manquait à sa soirée. Voiture qui s'arrête, princesse qui en ressort, les sourcils qui se froncent lorsqu'elle observait deux silhouettes, reconnaissant rapidement celle de la belle, biche apeurée prête à se faire dévorer par une mauvaise hyène rôdant dans les parages. Elle aurait pu hésiter, rien qu'un instant, mais ça pouvait pas être le cas quand il s'agissait de toi. Les pas qui approchent, coup d'adrénaline, l'impression d'être invincible face à la colère qu'elle ressentait de te savoir en danger. T'approches pas d'elle ! Le bras qui attrape rapidement la carrure masculine pour l'éloigner, faisant mur entre la belle et l'horrible spécimen. Tu crois que c'est malin ? Agresser une fille alors que tout le monde est encore dehors ? Tu te sens puissant c'est ça ? Colère qui s'échappe, feu brulant à travers cette rage qu'elle dégageait. Barres-toi d'ici ou je t'assure que je vais te retrouver et j'ferai en sorte qu'il y est marqué violeur sur ton front, je vais détruire ta putain de vie. Les bras qui le repoussent, l'homme qui hésite un instant à rétorquer avant de finalement s'enfuir en voyant quelques personnes sortir du bar. Silhouette qui se précipite vers la belle, la main qui passe doucement contre sa joue. Ca va aller ? Tu peux te lever ? Regard inquiet, le coeur battant et vibrant face à cet étrange besoin de la protéger.

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nuit du 31 octobre au 1er novembre 2023
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drogue (cbd, ghb), agression sexuelle


J’entends la voix, j’la reconnais. Mais mon corps est lourd, mes paupières s’ferment toutes seules. J’ai sommeil Sybil. Mots faiblement prononcés, pas certaine d’avoir été entendu. J’sens la main de ce mec sur mon épaule qui me quitte violement, et une ombre qui m’protège. Ta silhouette. Tigresse qui sort les griffes pour faire face à l’individu. Mon âme t’crie de faire attention, et qu’tu devrais partir. N’prends pas d’risque pour moi. Tu lui promets de détruire sa vie s’il ne part pas. Intérieurement, j’souris. J’te reconnais bien là Windsor, pile poil c’que j’aurai imaginé qu’tu dises. Bruit de pas qui court, s’éloigne. Le cœur qui bat à tout rompre, sûrement la peur. Mais aussi ton contact. Réassurée par ta présence. « Aide-moi Sybil. » Voix faible, pas certaine d’tenir sur mes deux jambes. Poids mort qu’est mon être. Supplication d’une aide qui n’me ressemble pas, tu l’sais. Tu m’relèves, j’prends appuie sur toi. Baissant les yeux, et remarquant cette longue robe rouge pour la première fois. « Tu reviens d’où ? » Les souvenirs sont flous, mais j’suis certaine de n’pas l’avoir vu à l’Hocus Pocus ce soir. Alors d’où tu sors Jessica Rabbit ?

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with @Aurea Carlson
tw agression sexuelle

Tigresse prête à bondir à la moindre réaction, prête à tout ravager s'il osait tenter quelque chose. Elle était peut-être naïve d'imaginer pouvoir lui faire face, mais à cet instant, elle réfléchissait pas, elle voulait être là pour toi. Personne a le droit de te faire ça Aurea. Pauvre monstre s'échappant, la queue entre les jambes, incapable d'aller plus loin. Silhouette féminine qui n'attend pas une seconde pour la retrouver, regard inquiet, coeur vibrant par ce besoin de la protéger. Ça va aller, t'es en sécurité, je vais t'aider. Dit-elle alors qu'elle relevait doucement son corps pour l'aider à marcher jusque la voiture toujours garée face au bar, son chauffeur à l'intérieur. T'as vraiment envie de savoir ça maintenant ? La tête qui se secoue avant de l'aider à s'installer sur le siège arrière, princesse qui ne tarde pas à la rejoindre pour s'asseoir à ses côtés. On va rentrer chez moi.. D'accord ? Tu pourras te reposer.. Sourire qui tente d'être rassurant, sa main qui se glisse dans la sienne, les pensées qui tentent de rester en place pour éviter de dévier par cette colère. Cette colère qu'elle sentait jaillir au fond d'elle, ne cessant de se remémorer son visage, encore et encore, prête à le retrouver et lui faire payer.

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nuit du 31 octobre au 1er novembre 2023
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L’impression d’être dans un cauchemar, dans un autre monde. Que c’corps qui est l’mien ne m’appartient plus vraiment. Et j’donnerai tout là pour qu’ça soit le cas. N’pas ressentir la honte qui m’envahie d’avoir céder si facilement à l’appel de la facilité pour oublier que je n’étais pas bien en début d’soirée. A cherché quelqu’un qui avait d’quoi m’détendre. Larmes qui coulent quand t’es là, essayant d’me rassurer. Seule émotion que j’suis capable d’exprimer là. La tristesse et de la peur dans ces gouttes salées. « J’suis désolée.. » Mot sorti de nulle part quand tu m’aides à m’lever, prenant appuie sur toi. Les pas sont fébriles, j’le sens. Trop d’efforts pour mon cerveau que d’comprendre que j’dois mettre un pied devant l’autre. Fatiguée. Impossible d’répondre quand tu m’demandes si j’ai envie d’savoir, de toute façon, j’aurai sûrement oublié d’ici une heure ce qu’tu aurais pu m’dire. Chaleur de l’habitacle qui m’fait frissonner, contraste avec la température extérieur à la limite du glacial. J’sens ta main qui sert la tienne. Conscience qui réalise qu’il est en sécurité avec toi. « D’accord. » faiblement répondu, tête qui s’pose sur ton épaule. L’envie d’te serrer contre moi, d’pleurer tout c’que j’peux. Ame meurtrie.

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La tête qui se secoue à l'écoute de ses excuses, incapable d'entendre ce genre de paroles alors qu'elle était la seule victime de cette soirée, touchée par l'aspect si perfide que ce monde pouvait comporter. Ne t'excuses pas, t'as aucune raison de le faire. Silhouette qui maintient la sienne jusque l'intérieur de la voiture, directement en route vers son appartement. Main qui s'échappe dans la sienne, l'un de ses bras qui vient se passer contre ses épaules pour qu'elle se serre contre elle, lui apportant ce réconfort dont elle avait besoin. Parce qu'elle pourrait pleurer, crier, n'importe, Sybil n'était pas là pour juger. Cette fois, elles faisaient partie de la même équipe. Reposes-toi, on arrive bientôt. Mots murmures avec une douceur si peu familière, baiser qu'elle délaisse sur son front. Les minutes qui passent, reflet des lumières de la ville qu'elle observe à travers la fenêtre, pensées qui tentent de se remettre en place, au moins pour ce soir, pour toi. Demain sera un autre jour pour délaisser sa colère, réfléchir à sa vengeance. Voiture qui s'arrête face à l'immeuble, sa main qu'elle vient doucement passer contre la joue de la brune. On est arrivées. Corps qui retrouvent finalement l'appartement avec l'aide de son chauffeur auquel elle avait délaissée un billet. Aurea déposée sur le lit de sa chambre, les talons qui sont mis de côté, silhouette qui s'approche du lit. Tu as besoin de quelque chose ? Tu veux dormir ? Manger ? Prendre une douche ? Corps qui vient s'asseoir prêt d'elle, léger sourire qu'elle lui délaissait. Dans tous les cas, je reste prêt de toi. Sa main qui serrait toujours la sienne, parce qu'elle avait besoin de savoir que ça allait, qu'à présent, elle se sentait réellement en sécurité.