Ellie ThatcherCOMITÉ Dark Rises
feat
Arrivée
Multicomptes
Crédits
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Pseudo & pronom IRL
Informations
Âge : 28
Lieu de naissance : San Francisco.
Quartier.s d'habitation & Colocation : Un studio miteux dans le centre.
Situation sentimentale : solitaire abîmée.
Études & Métiers : Serveuse, nourrissant de plus grandes ambitions.
Date d'inscription : 06/08/2023
Pseudo & pronom IRL : Leeloo. (elle)
Icon :
Avatar utilisé : Anya Chalotra
Crédits : Rainbow Stars
Multicomptes : Haiwee, Wendy & Anna
Description un :
Et je mangerais leurs langues
si c'est l'prix du silence.
À marcher entre les rois qui tuent les reines.
si c'est l'prix du silence.
À marcher entre les rois qui tuent les reines.
Warning : Précarité. Programme de protection des témoins (WITSEC). Changement d'identité.
Meurtre. Arme. Sang. Procès.
Alcool, Drogue. Proxénétisme.
Violences conjugales. Sexe.
Langage vulgaire/cru.
Meurtre. Arme. Sang. Procès.
Alcool, Drogue. Proxénétisme.
Violences conjugales. Sexe.
Langage vulgaire/cru.
RPS : 259
Messages : 412
participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
Veritas
Lien du postMar 5 Sep 2023 - 6:01
Feel the rain
Prendre l’air. C’était le but premier de sa sortie matinale, à la vérité. Une envie de se vider la tête et d’appréhender un peu mieux la ville de Boston peut-être. Cela fait maintenant à peine plus d’un mois que la brune est arrivée. Et elle n’a toujours pas l’impression d’y être sa place, de savoir ce qu’elle fait. Mise à part fuir sa réalité, ça c’est une chose avérée, elle se sent toujours au bord du gouffre, à la lisière de sombrer. Esseulée. Bien sûr, elle connait les pourquoi de ses choix, mais elle s’imagine retourner en arrière quelque fois.
Alors aujourd’hui pour tenter de contrer ses tumultueuses pensées, elle a décidé de sortir, de se mettre nouvellement à courir. Ce n’est absolument pas son style, s’apparentant plus à une brindille qu’à une sportive. Cela dit, elle s’est préparée, et après quelques minutes, sur les bords de la rivière Charles, elle est arrivée. La voilà donc sur place, à se demander ce qu’elle fabrique ici, à réaliser qu’il lui faudrait bien plus qu’une sortie pour éradiquer les méandres de son esprit. A regarder le courant de l’eau mouvoir bout de bois et feuillages, elle se sent oppressée, en éprouve quasiment de la difficulté à respirer.
Déglutissant, elle commence à trottiner, s’en revenant à son objectif premier, et au fur et à mesure qu’elle s’use les membres à courir, elle ne remarque pas que l’espace commence à se vider, que les gouttes inondent petit à petit son corps, ses vêtements, engourdit par le froid d’un mois de septembre dans le Massachussetts. Elle se perd même jusqu’à aller fermer les yeux, la pluie dégoulinant le long de ses cheveux, inconsciente de la réalité, elle se fourvoie au point de ne pas ressentir ses poumons brûler. Jusqu’à ce qu’elle heurte quelque chose, quelqu’un, de plein fouet. Un retour brutal dans la réalité.
Alors aujourd’hui pour tenter de contrer ses tumultueuses pensées, elle a décidé de sortir, de se mettre nouvellement à courir. Ce n’est absolument pas son style, s’apparentant plus à une brindille qu’à une sportive. Cela dit, elle s’est préparée, et après quelques minutes, sur les bords de la rivière Charles, elle est arrivée. La voilà donc sur place, à se demander ce qu’elle fabrique ici, à réaliser qu’il lui faudrait bien plus qu’une sortie pour éradiquer les méandres de son esprit. A regarder le courant de l’eau mouvoir bout de bois et feuillages, elle se sent oppressée, en éprouve quasiment de la difficulté à respirer.
Déglutissant, elle commence à trottiner, s’en revenant à son objectif premier, et au fur et à mesure qu’elle s’use les membres à courir, elle ne remarque pas que l’espace commence à se vider, que les gouttes inondent petit à petit son corps, ses vêtements, engourdit par le froid d’un mois de septembre dans le Massachussetts. Elle se perd même jusqu’à aller fermer les yeux, la pluie dégoulinant le long de ses cheveux, inconsciente de la réalité, elle se fourvoie au point de ne pas ressentir ses poumons brûler. Jusqu’à ce qu’elle heurte quelque chose, quelqu’un, de plein fouet. Un retour brutal dans la réalité.
MADE BY @ICE AND FIRE.
Je me sens comme un agneau qui dit pardon au loup d'avoir été trop lent à lui offrir son cou. Et je compte même plus les fois où on m'a traité de chienne... Mais c'est une chienne qui a élevé Rome. Les putes comme moi portent les rêves des hommes. Solann, Rome.
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