01/06/2023 02:00 am

J'avais passé une partie de la fin de la nuit à fixé la plafond, revoyant le visage de Saya. Impossible de dormir pour le moment. Mais je fini par dormir sur le dos comme à chaque fois. Pour ne faire qu'un sommeil. Rêvant de multiples choses. Mon réveil programmé à 5h alors que je commence à 9h. Mais c'est pour pouvoir apprendre en solo sur la chirurgie même si j'ai tout, je veux me perfectionné.

Le réveil sonne et je viens à me levé. Après une douche, je viens enfilé ma chemise d'un blanc pur et un pantalon noir. Accompagné d'un café je viens étudier la chirurgie néonatale approfondie. Puis je prépare mes affaires. Le réveil sonne, je me dirige doucement vers la chambre de mon fils et viens le caresser ses cheveux. Je le prends doucement et vient lui donner le biberon préparer avant. Puis je lui donne son bain rapidement. Une fois prêt je lui met sa crème et l'habille. Nous voilà prêt!
Direction la crèche pour lui et je donne tout ce qu'il faut. Je remercie encore pour leurs travail et j'embrasse mon fils pour partir vers l'hôpital.

Après une marche normale et un café en main, me voilà au travail. Je regarde le monde et souris. Une bonne journée, je me change troquant ma veste pour ma blouse et mes chaussures pour ceux de l'hôpital. Je prends mes affaires et marche tranquillement dans les couloirs. Je viens regarder mon portable et ne vois pas de message. Mon biper ne donne rien. Mais je vais voir mes patients. Dont mon patient difficile, qui me dit qu'il veut la faire.

Je vais voir au tableau et vois que je suis de garde. Puis une infirmière m'interpelle pour des résultats et je vais la voir, puis regarde le dossier du jeune enfant et lui explique la procédure à suivre. Et lui demande qui sera de garde cette nuit dans les infirmières et autres médecins.

Difficile de dormir ces derniers temps. Depuis la rencontre avec Rui, la belle blonde à du mal à ne pas revoir ce qu'il s'est passé. Son visage est encré dans sa tête et elle ne peut pas l'enlever. Impossible. C'est pour ça que, à deux heures du matin, elle décide d'aller le voir. Le voir à son boulot. C'est une occasion pour voir le petit qui doit se faire opérer. En tout cas c'était la raison que la belle allait donner quand elle serait à l'hôpital. Elle se prépara donc rapidement, quand elle se réveilla, plus ou moins tôt. Saya enfila une robe blanche avec quelques fleurs bleues, mais rien de trop chargé, et enfila des talons. Puis elle se dit que, marcher comme ça, ce serait un peu embêtant. Quoi qu'il faut souffrir pour être belle. A ce que l'on dit. Alors elle préféra mettre des mocassins avec un très léger talon.

En route pour l'hôpital, elle y arriva avec un peu d'avance. Assise sur une chaise, dans un couloir de l'hôpital où on lui avait dit qu'elle pourrait croiser Rui, la jeune femme regarda son téléphone et l'heure. Elle se sentait stressée. Son coeur battait la chamade. Qu'est-ce qui lui arrivait ? Ah non, elle n'était pas amoureuse, mais elle était...piquée ? Elle avait besoin de voir Le Brun qui ne l'attendait sûrement pas aujourd'hui. Elle ne l'avait même pas prévenu.

Puis elle le vie. Il n'était pas très loin, parlait avec quelqu'un. Etait-ce normal qu'elle soit là ? Avait-on réellement le droit de lui dire qu'elle pouvait l'attendre par ici ? Certainement pas. Alors pourquoi l'avait-on fait ? Est-ce que, finalement, il l'attendait et avait prévenu à l'accueil ? Ou ses collègues ? Avec le recul, elle avait l'impression d'être ici depuis tellement longtemps que...et bien qu'elle n'avait pas les idées claires. C'est pour cette raison qu'elle se leva pour repartir, mais il fallait passer derrière Rui. Bon, foutu pour foutu...

"Rui ?" fit-elle, souriant quand il tourna la tête vers elle. "Bonjour...". Pourquoi était-elle timide comme cela ?

Les gardes sont les plus horribles, un plaisir pour égayer la garde tout médecin le demande. Entre siestes, repos dans des couloirs tranquilles accrocher aux biper. Mais pour moi, je n'ai pas envie de fermer l'oeil de la nuit, trop accrocher à mes enfants. Mais aussi il y a son visage, le visage de la belle Saya qui me retiens, plus fort qu'une dose de caféine et sucre. Ses yeux, sa voix son regard reste encore encré dans ma mémoire.
Une mémoire qui fonctionne assez parfaitement et presque H24 en tant que médecin quand je le suis à l'hôpital et la clinique solidaire.
Mais lorsque je suis avec mon fils, je m'accorde à être au plus calme, a ne pas être trop actif.

Discutant avec l'infirmière de garde pour surveiller l'état du jeune. Je viens également signer les dossier. Puis explique que le jeune ne doit plus manger, qu'il va se faire opérer au matin. Que la seule chose qu'il peut c'est un peu d'eau. Et qu'il doit être prêt pour huit heures demain.
Plongé à donné les directives, je ne remarque pas la présence de Saya. Ce n'est lorsqu'elle vient à m’appeler, je reconnais sa voix et tourne la tête.  
Je regarde la pendule derrière elle et vois l'heure, puis la regarde dans sa tenue. Je ne sais pas quoi dire, mes yeux viennes à être remplis d'étoiles.

Je choisi de prendre sa main et annonce que je prends ma pause, l'infirmière me dit de prendre mon temps. Puis je sors dans le parc avec Saya puis la regarde toujours avec douceur et émerveillement. Découvrant une déesse devant moi. Je viens retirer ma blouse pour la mettre sur elle puis viens lui caresser sa joue.

Tu me fais une belle surprise, tu es une déesse. Tout vas bien? Tu n'as mal nulle part?

Je viens à sourire puis viens prendre sa main doucement pour l'embrasser sur le dos de cette dernière. Puis j'entends mon portable et viens le sortir en gardant la main de Saya. J'apprends que je peux rentré chez moi, puis remercie. Je viens à raccrocher et me lève avec Saya toujours la main dans la mienne.
Je me dirige vers les vestiaires et la laisse devant en lui disant que j'en ai pour cinq minutes. Après ses cinq minutes, je sors et viens lui mettre ma veste sur ses épaules.

Nous sortons de l'hôpital et je viens ouvrir ma voiture, que j'avais pris dans l'après-midi. Je la laisse monté. Puis démarre et reste concentré direction chez moi. Une fois arrivé je m'arrête, puis reste un moment et viens m'adosser au volent pour la regarder et lui dit.

Tu sais que tu es magnifique dans cette robe?

Après de longue minutes de contemplation, je viens l'embrasser caressant son visage. Puis viens me reculer un peu, pour la regarder et sors rapidement de la voiture, retrouvant ma jeunesse. Venant lui prendre sa main après avoir ouvert la portière passagère et la faire descendre. Je ferme la voiture et me dirige avec elle vers la porte.

Saya ne se souvenait plus pourquoi elle était tombé sous le charme de Rui. Puis il avait posé son regard sur elle et...woaw...Elle se sentait si spéciale. Si importante, d'un coup. Comme si rien, non rien, ne pouvait venir les déranger dans leur bulle. Comme si plus rien ne pouvait les atteindre. Du moins c'était le sentiment de la blonde qui avait envie de prendre dans ses bras l'homme en face d'elle. D'habitude elle serait moins douce, mais elle se sentait si rassurée et si sereine qu'elle ne pouvait que se dire : "Oui, je vais être moi-même. Enfin...mon autre moi.". Celui qu'elle ne réserve qu'à ses petit(e)s ami(e)s. Alors que Rui ne l'est pas. Pas encore. Mais elle sent qu'il y a quelque chose de spécial entre eux. "Je vais très bien, ne t'inquiète pas.". Elle vient poser sa main sur la joue du bel homme, sans même se douter de ce qu'il était vraiment derrière ce visage doux, ce travail si important. Est-ce qu'elle serait dérangé pour autant ? Peut-être pas. Mais elle ne garda pas sa main très longtemps sur la joue de Rui qui vint lui déposer un baiser dessus.

Puis ils sont interrompus par la sonnerie du téléphone du chirurgien qui peut finalement rentrer. D'un coup, comme si...elle savait qu'il allait se passer quelque chose, elle stressa. Mais rapidement il la mis à l'aise et ils montèrent dans sa voiture. Elle lui faisait confiance. Elle ne pouvait que lui faire confiance. Cet homme ne lui inspirait que bonté et gentillesse. Et quand ils arrivèrent devant chez lui, elle le regarda. Pendant un moment, d'ailleurs. Elle ne saurait dire combien de temps exactement. Saya n'entendit presque pas Rui dire qu'elle était magnifique. Mais elle le remercia, laissant ses mots partir dans le vague avant de regarder ses lèvres et de se dire qu'elle devrait faire le premier pas. Pourtant...il le fit. Elle était aux anges. Alors qu'ils ne se connaissaient que depuis peu. Etait-ce un coup de foudre ? Sans doute.

Le coeur qui s'emballe comme une jeune, s'était bien la première fois que je ressentait cela. Comme expliqué auparavant depuis la séparation avec la mère de mon fils. Mais cette femme au nom de Saya n'est pas une femme comme les autres. Une chose que je ne serais dire s'en dégage, la proie entre les pattes du lion comme disent souvent les hommes. Les hommes en mettant hommes et femmes pour déterminer ce mot. Alors que je ne suis pas un lion, mais serpent comme mon signe astrologique et le tatouage dessiné sur mon dos qui actuellement est recouvert par mes vêtements.

Mes yeux sombres dans ceux de la blonde, elle vient me rassurée qu'elle n'a rien. Mais il faut dire que venir à une heure tardive à l'hôpital m'inquièterai. Surtout venant d'elle, j'en serai bien inquiet. Pourquoi? Je ne serais dire, surtout après seulement l'avoir rencontré seulement une fois réellement, même si je l'avais déjà remarquer depuis longtemps au restaurant et admirer durant le service. Mais cette chance qu'elle soit venue à moi ce soir là, fut cette nuit de sa chance. Et si s'était pas elle, c'est à moi qui serait venue à elle.
C'est en ayant eu cette nouvelle que je pus rentré et cela tombais parfaitement bien, être en compagnie de la plus belle femme à mes yeux

De l'hôpital à chez moi en voiture, le trajet paraît plus court, mais le choix de l'admirer une fois garer et plus délectable. Il paraît même que quand un homme regarde une femme en s'appuyant sur le volant, c'est que les femmes on gagner. Que l'homme en question est tomber sous le charme, ce qui est mon cas envers Saya et dans le baiser donner. La température monte rapidement que j'en suis obligé de quitté ses lèvres, sinon je serais obliger de la dévêtir dans la voiture

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