Tu as des habitudes, tout le monde le sait. Tes habitudes sont apprécier par le monde qui t'entoure. Tu es toujours ponctuel. Si tu es en retard c'est une bonne raison. Tu détestes être en retard. Tu détestes le travail bâcler, inachevé. Mais tu n'aimes pas mettre ceux que tu aimes dans tes histoires ou alors qu'ils aient de la pitié pour toi. Donc tu vas jusqu'au mensonge pour les protéger de tes problèmes.

Et c'est ce que tu vas devoir faire pour Jael, lui annoncer la vérité pour qu'il s'inquiète et qu'il four son nez au risque de se faire aussi frappé. Tu refuses, tu ne veux pas. Tu as appris à te défendre solo de tes problèmes. Quand on t'a dit après ton retour du centre médical que tu étais le malade, tu as simplement souris et garder la douleur que tout le monde, te voyait comme un malade. Une personne a même dit "pourquoi ne pas dire la vérité? Que de prendre des coups". Seulement tu refuses, de dire que la vraie raison de ton séjour dans le centre et parce que tu as choc post trauma, cela ne regarde personne. Cela serait facile pour tout le monde et les complainte tu n'en veux pas.

Face à Jael, la lèvre en sang, tu viens à l'essuyer rapidement avec ta main. Et souris doucement pour dire que tout va bien. Tu viens lui dire quelque chose que tu espères qu'il gobera. Tu regardes par dessus son épaule son frère dormir et tu dis de façon à ce qu'il entend seulement lui.

C'est en réparant une voiture, je me suis cogner. Je vais bien t'en fais pas.

Il vient à te pousser pour t'emmener vers la salle des infirmières. Tu ne veux pas le contrarier et dans un hôpital tu refuses de crée une dispute. Tu essaies de le regarder, mais tu as peur de te prendre quelqu'un.

Jaja je vais bien, c'est rien de grave.

Tu vois qu'il a les trait d'une personne énerver sur le fait que tu laisses traîner tes blessures minimes ouvertes. Tu as envie de lui dire que ce n'est pas la première fois, mais tu ne veux pas qu'il soit en colère. Car tu sais qu'il pourrait être un ours. Enfin tu le ressens, simplement en le regardant. Vous n'êtes qu'amis, différents de caractères,de la maison, de famille. Mais vous avez eu cette accroche tout les deux, qui fait que vous êtes amis.
Tu viens à poser ton doigt sur ses sourcils pour les détendre, au fond cela te fait rire qu'il fasse le papa, voir le grand-frère que tu as toujours rêver d'avoir. Car en effet dans la famille que tu as atterri, ils t'on ignoré voir rabaissé, parce que tu es un adopté. C'est pour cette raison que tu as coupé les liens avec eux, que tu ne prends contact par l'avocat et que tu vis à la Kirkland House. Tu essaies de t'en sortir avec deux travail pour te trouvé un appartement, car au bout d'un moment entendre ton voisin ramener son partenaire du soir, cela est contrariant la nuit.

Tu te retrouves assis sur une chaise, une simple chaise, tu regardes autour de toi. Puis tu te sens ailleurs, tu vois ses blouses blanches, le mot désinfectant qui raisonne à ton oreille. Cet épisode revient sans te prévenir. Tu vois Jael venir avec le coton, tu es ailleurs, mais la sensation du désinfectant sur ta lèvre vient à te faire réagir.
Tu lui saisi le poignet rapidement, comme si tu ne lui autorisait pas qu'il te touche. Et tu viens à te lever directement impossible de pouvoir à te contrôler. Lui tenant toujours son poignet ignorant ce que tu fais.
Pour lui dire en colère presque violent.

T'es qui pour savoir ce que je fais? Et alors? Qu'es que ça peut te faire? Demain on ira te voir si tu ne réponds plus. Moi qui se demande si je vais bien? J'aurai dû y rester y a vingt ans tu vois.

Rapidement des infirmiers arrivent pour me maintenir et m'éloigner de toi. Et d'un coup je viens à pleurer, je sais que une fois que cela sera fini, je me souviendrait d'avoir été horrible. Et les personnes ne voudront plus me regarder ou me parler. Mais dans ma vie je n'ai jamais été violent envers Jael et je m'en voudrait de mes actions envers lui.