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Lien du postVen 31 Mar - 22:27
Les originesTURQUE.
feat. Aslihan Malbora
1 MARS 1993 (30 ans) - née à New York (USA).
américaine
célibataire et hétérosexuelle
urgentiste spécialisée en traumatologie et romancière
très aisé
menteuse
impulsive
intelligente (H.P.I.)
secrète
prétentieuse
créative
Résumé de l'histoire
Anna-Katrina n'a pas eu une vie facile. Ses parents sont décédés alors qu'elle se retrouvait être jeune et elle a été envoyé dans un orphelinat. C'est là-bas qu'elle a trouvé sa véritable famille : ses frères et sœurs, eux aussi, abandonné par les leurs. Étudiant toujours, elle a commencé à écrire des histoires lorsqu'elle s'y trouvait et a été publié tandis qu'elle faisait ses études de médecine. Personne ne sait qu'elle est auteure de best-sellers et aujourd'hui, elle est urgentiste spécialisée en traumatologie à l'hôpital de Boston.
Les anecdotes
- ( 01 )Un père absent lors de l’accouchement. Une mère qui se sait dépasser alors même qu’elle n’a pas encore vu son nourrisson. Un bébé innocent qui ne s’imagine pas qu’il va être abandonné tandis qu'il n’a que quelques de mois. Une famille d’ores et déjà brisée, à cause d’un accident de la route et d’une peur d’être une mauvaise mère.
- ( 02 )Un grand classique : l’abandon d’un bébé devant les portes d’un hôpital. C’est ce qu’à fait la mère d’Anna-Katrina qui s’est vu refusé d’être aidé par qui que ce soit pour affronter sa maternité. "Au-dessus de ses forces", de ses capacités, c’est ainsi qu’elle a décrit les choses lors de son accouchement sans lui. Préférant attendre son époux, elle a finalement dû accoucher quand, on lui a appris (après ce dernier) qu’il était décédé aux urgences, à cause d’un fichu accident. Durant trois mois, elle s’est essayé à devenir une bonne mère, seulement, elle n’y est pas parvenue. Elle en était tout bonnement incapable, trop jeune à son goût, puis seule, sans l’homme de sa vie qu’elle avait perdu, elle en était incapable. Lorsqu’elle a délaissé sa petite fille dans son landau, elle était certaine qu’elle ne regretterait jamais son choix.
- ( 03 )Un nourrisson est davantage adopté qu’un enfant de huit ou neuf ans. Seulement, Anna, une petite brune au caractère bien trempée, ne semblait pas être née sous une bonne étoile. Car malgré son regard clair et sa beauté flagrante, elle n’a pas été choisi lors de sa première année d’existence. Mais la chance allait forcément lui sourire, non ? C’est ce qu’imaginaient les personnes qui s’occupaient d’elles. Seulement, il faut savoir sourire à la chance et non pas la refuser.
- ( 04 )Un premier couple a été choisi comme famille d’accueil pour Anna-Katrina alors qu’elle n’avait que cinq ans et demi passé. Une véritable poupée, c’est ce que l’époux avait dit à sa femme au sujet d’Anna qui ne voulait pas quitter l’orphelinat. Elle n'avait certes aucun parent, mais elle refusait de quitter les jupes de la femme qui y travaillait et veillait à ce qu’elle s’en aille avec ceux qui s’apparenteraient à son nouveau foyer. Des mots rassurants, c’est ce qu’elle lui avait chuchoté au creux de son oreille tandis qu’elle hurlait de toutes ses forces tout en pleurant, mais rien n’y faisait. Anna devait s’en aller et tandis que l’épouse l’a prise dans ses bras, la petiote lui a griffé la joue.
- ( 05 )Anna-Katrina a été à l’image d’une tornade dans ce foyer qui s’est fracturé à son passage. Colérique, hargneuse, elle n’a pas mené une vie facile à ceux qui désiraient s’en occuper et qui ont fait des pieds et des mains afin qu’elle se sente aimer, choyer. Seulement, ce n’a pas été le cas. Déjà brisé par ce qui s’est produit à sa naissance, comme si un fragment de la souffrance ainsi que la douleur de sa mère s’était imprégnée en elle, la petite brune a fait vivre un véritable enfer à ceux qui se sont essayés de la faire intégrer leur fratrie. Objets jetés au sol, crises de colère, hurlements à n’importe quelle heure, la petite brune n’a fait que communiquer son mal-être. Seulement, lorsque leur propre fille a vu le jour, le couple n’a pu tenir la cadence. C’est à l’orphelinat dans lequel Anna a vécu qu'ils l'ont ramené, afin qu’elle retourne y vivre, malgré la souffrance qu’ils ont ressenti en la délaissant à leur tour.
- ( 06 )Une nouvelle année s’est quasiment écoulée entre ses deux familles d’accueil. Assagie, c’est ainsi qu’ils pensaient qu’elle était, Anna, mais la réalité était tout autre. Une bombe à retardement, c’était davantage à cela qu’elle ressemblait puisqu’il y avait eu des accidents au sein même de l’orphelinat, mais ils souhaitaient lui donner une seconde et dernière chance.
- ( 07 )Lorsqu’elle est arrivée dans cette nouvelle maison, la petite fille âgée de huit ans n’a pas prononcé le moindre mot. Silencieuse, comme elle ne l’a jamais été, c’est studieuse et sage, qu’ils l’ont perçu, mais ce n’était qu’un mensonge. Sa fureur allait rapidement se réveiller et ceux qui l’avaient attendu si longtemps allaient être dépassé. Des gifles, des mots inqualifiables, ce fut son quotidien durant le laps de temps où elle est restée dans cette maisonnette. Ses joues rougies à cause des coups qu’elle prenait, les services sociaux en ont eu vent par le biais de l’école dans laquelle elle était scolarisée et ils leur ont retiré Anna, qui est retournée à sa case départ : l’orphelinat.
- ( 08 )Suite aux sévices qu’elle a subis, il a été décidé qu’elle ne serait plus placée. Car même si Anna pouvait se démontrer dure avec les autres, notamment quand elle se pensait punie injustement, elle n’était qu’une enfant et cette période l’avait traumatisée. Craignant que l’on la frappe dès lors que le ton montait à l’une de ses bêtises, ils ont jugé préférable qu’elle ne soit plus envoyer dans le moindre foyer. Avec son âge avancé, ayant dix ans à présent, presque onze, plus aucun couple n’allait l’adopté alors, elle resterait à l’orphelinat jusqu’à sa majorité.
- ( 09 )Faire de nouveau confiance à qui que ce soit n’a pas été des plus évidents pour la jolie petite brune qui entrait dans les prémices de l’adolescence. Craignant les coups de tous, elle se cachait le visage des adultes, se repliait sur elle-même tandis qu’elle donnait les premiers coups aux autres orphelins, préférant n’être plus celle qui recevait. Méfiante, toujours sur ses gardes, il lui arrivait de ne pas dormir de la nuit lorsqu’elle percevait un son, à cause de potentielles représailles.
- ( 10 )Il n’y a qu’étudier qui lui permettait de s’évader, mais aussi de s’épanouir. Anna-Katrina excellait dans chacune des matières qu’elle étudiait, si bien qu’elle pouvait se permettre de crâner. Seulement, elle ne le faisait pas, préférant, et de loin, rester silencieuse au sujet de ses capacités. N’étant pas appréciée par la majorité des autres orphelins à cause de son mauvais caractère, Anna n’en avait que faire. De toute manière, il n’y avait que ceux qui la connaissaient et avaient grandi avec elle qui l’appréciaient réellement, à sa juste valeur. La brunette ne faisait, par conséquent, pas le moindre effort afin que cela change. À quoi bon, de toute façon ? C’est ce qu’elle prononçait toujours, lorsqu’on lui demandait d’être plus agréable avec autrui.
- ( 11 )Apprenant seule, prenant de l’avance sur ses camarades de classe, Anna a fini par passer une classe dans son apprentissage. Il faut dire qu’il suffisait qu’elle écoute avec attention pour retenir ce que les professeurs prononçaient. Son avantage était donc indéniable, si bien, qu’il a été décidé qu’elle passerait des tests afin de savoir si elle était plus intelligente que la moyenne.
- ( 12 )Le verdict a terminé de tomber : Anna-Katrina était ce que l’on nomme H.P.I. : un haut potentiel intellectuel. Cela expliquait sa facilité à tout assimiler, mais aussi son imagination débordante, en plus du reste. Étonner par ce résultat, la brune n’a su comment prendre la nouvelle dans un premier temps, puisqu’elle ne pensait pas que l’on puisse lui trouver quoi que ce soit qui ne soit pas péjoratif. Après tout, elle était peu appréciée et avait été giflé par sa dernière famille d’accueil.
- ( 13 )N’étant finalement pas une moins que rien, elle a su grâce à ce résultat qu’elle finirait par y arriver dans la vie. Ce fut une sorte de déclic pour la jeune fille et adorant plus que tous ses cours de dissertation littéraire, elle a commencé à écrire une histoire inspirée de sa propre existence par pur plaisir. Le gardant pour elle et elle seule, Anna s’est vu écrire durant la nuit, pour ne dormir que durant trois à quatre heures par nuit, ce qui semblait lui suffire amplement.
- ( 14 )Grâce à ses notes excellentes, Anna-Katrina postule dans de nombreuses universités dont une prestigieuse se situant à New York. Seulement, la brune sait dans quoi elle souhaite s’engager et sait (par conséquent) qu’elle va devoir trouver un moyen de se faire de l’argent pour payer ses frais de scolarité, malgré sa bourse d’études qui lui est proposée. Elle décide avec impulsivité de faire le tour de maison d’édition en laissant sous forme de format papier son tout premier roman. En ayant d’ores et déjà écrit trois, elle ruse, faisant croire qu’elle n’a que son premier script en sa possession, bien qu’elle résume l’idée de son second roman, qui en sera la suite. Avec l’avance qu’on lui offre, bien qu’elle doive réécrire certains passages et se relire, Anna décide de publier sous le pseudo de K. Hutton, et son premier roman parait tandis qu’elle se trouve en première année de médecine.
- ( 15 )Ayant déjà fait tout le travail pour son second et troisième roman, respectant les délais qu’on lui impose, la belle s’implique davantage encore dans ses études. C’est pour sa troisième année qu’elle postule à l'université d'Harvard et se trouvant être accepté, elle déménage à Boston.
- ( 16 )Lors de son passage en psychiatrie, Anna pense exceller. Seulement, c’est son égo qui parle à sa place, puisqu’elle souhaite démontrer à tous qu’elle peut parvenir à comprendre les relations humaines. Hors, ce n’est définitivement pas le cas. C’est une bien piètre expérience qu’elle essuie, quand elle s’embarque en traumatologie. Les urgences la grisent, lui insufflent l’adrénaline dont elle a indéniablement besoin, dans le cadre de son travail. Quant à la trauma, elle lui amène plus de satisfaction qu’elle ne l’aurait imaginé ! Lors de cette mise en bouche, l’étudiante en médecine comprend qu’elle est faite pour cela et qu’elle doit s’y spécialiser.
- ( 17 )Comme tout ce qu’elle aime, c’est avec entrain et beaucoup d’application qu’elle se lance corps et âme dans cette spécialité. Appréciant travailler en binôme avec son supérieur, urgentistes spécialisé en traumatologie qui s’avère être titulaire, Anna-Katrina se rend compte qu’elle ressent des sentiments à son égard et malgré le fait qu’il soit marié, elle ne résiste pas à la tentation lorsqu’ils se retrouvent seul, un soir. Leur relation se trouvant être secrète, elle ne s’imagine plus vivre sans lui, seulement, malgré qu’il tienne à elle, son professeur titulaire ne souhaite pas divorcer et abandonner sa famille, ses filles.
- ( 18 )Essuyant ce premier échec sentimental, Anna-Katrina décide que jamais plus, elle ne souffrira. Elle se contente d’entretenir une relation professionnelle avec celui qui était son amant quand enfin, elle se trouve titulariser. Heureuse, elle se jure également de ne jamais plus avoir de relations intimes avec qui que ce soit au sein de son travail. Ce qui prime est les urgences ainsi que sa spécialité et ses ouvrages. Car durant ses années d’études, elle publie le second et troisième romans de sa série policière.
- ( 19 )Aujourd’hui, Anna travaille toujours au Massachusetts general hospital (là où elle a fait son internat) et elle continue d’écrire, après avoir demandé un délai plus long à sa maison d’édition au vu de sa première fonction. Personne ne sait qu’elle est écrivaine à côté de son poste de titulaire aux urgences, spécialisée en traumatologie. Personne ne connait non plus son passé, puisqu’elle s’est inventé une histoire qu’elle raconte à tous, préférant cacher son parcours ainsi que d’où elle vient.
Les originesOrigine allemande qu'il tient de son paternel et origine irlandaise par sa mère.
feat. MICHAEL FASSBENDER
2 AVRIL 1980 (43 ans) - né à Boston
(USA)
(USA)
américaine
marié et hétérosexuel
ancien juge à la cour suprême de Washington - professeur de droit à Harvard
très aisé
nonchalant
orgueilleux
pensif
romantique
charmant
désordonné
À savoir sur Clive :
Clive fume des cigarettes de manière mesurée dans une journée. - Il adore cuisiner, car cela le détend. - Il boit quelques verres de whisky grand en âge (couteux). - Il adore dévorer des muffins et autres gâteaux préparés maisons. - Les élimine en faisant beaucoup de sport (natation, jogging, boxe, musculation). - Aime la tranquillité qu’il ressent lorsqu’il admire le coucher du soleil. - Se sent serein dès que le crépuscule tombe sur la ville. - Regarde le sport à la télévision.
Les anecdotes
- ( 01 )Il est le premier-né de la fratrie Bergmann. Un fils, quoi de plus merveilleux pour un homme comme son père, Hans, qui souhaite que sa famille soit protégée ? Rien. Il en fera son "guerrier", celui qui saura résoudre les problèmes lorsqu’il ne sera pas présent. Clive sera le premier homme de la famille tandis qu’il sera en déplacement et surtout, il lui apprendra à prendre soin de sa mère, ainsi qu’à veiller à sa sécurité. Il sera en quelque sorte la prolongation de son bras, celui qui parviendra à penser comme lui, ni plus ni moins. Le bambin, à l’époque, ne sait pas ce qui l’attend, la pression perpétuelle qui se trouvera sur ses épaules.
- ( 02 )À seulement dix ans, il est en charge de ses deux frères ainsi que de sa sœur. Petits-déjeuners, préparer en toute circonstance, il donne des ordres aux siens, est semblable à un jeune parent. S’amuser, se faire des amis, Clive ne sait pas ce que c’est, mais pour l’heure, cela lui importe peu. Du moins, jusqu’à sa rentrée dans un nouvel établissement.
- ( 03 )Étudiant exemplaire, ayant les meilleures notes, le jeune adolescent commence à être tenté par les rapprochements avec ceux de son âge. Il se fait des amis, rit, commence à découvrir ce que c’est de vivre, et cela lui fait un bien fou en comparaison à ses obligations auprès des siens. Une première dispute éclate avec son paternel tandis qu’il a quinze ans, puisqu’il désire sortir, s’amuser et non pas donner des directives en permanence et tenir le logis. Il a compris que ce n’était pas son rôle et désire s’émanciper, s’éloigner de son paternel. C’est donc d’un coup de poing au visage qu’il met fin à leur discussion où le ton ne cesse de monter.
- ( 04 )Sa relation avec ses parents se détériore, mais dans le fond, cela n’a plus aucune importance. Clive découvre l’alcool, la cigarette et les petites amies, ce qui n’est pas pour lui déplaire, bien au contraire. Il rentre plus tard, oublie de dîner, mais n’occulte jamais de revoir ses cours afin de rester le meilleur d’entre tous, puisque lui veut réussir. « Ne pas être un raté », comme celui qui l’a éduqué, est son plus grand souhait, car ainsi, il lui démontrera qu’il vaut mieux que lui, en tout point. Sa haine envers son père ne fait que s’accroitre avec les années.
- ( 05 )C’est un « oui » définitif qui est proclamé lorsqu’il s’agit d’aider sa tante ainsi que son cousin. Hans en a assez et quitte le domicile, délaisse sa famille. Mais en finalité, c'est pour le mieux, c’est du moins ainsi qu’ils voient tous les choses après un temps d'adaptation et évidemment, sa mère Ann peut compter sur lui afin de poser la tête sur son épaule. Alors qu’il n’a que dix-sept ans, il est l’homme de la famille et il compte bien honorer son nouveau statut.
- ( 06 )Son admission à Harvard se déroule sans encombre. Ann est on ne peut plus fière de lui, tandis que son géniteur a totalement disparu du paysage. Lors de sa première année, il se trouve en résidence étudiante, mais très souvent, il découche pour retrouver la maison dans laquelle vit sa famille. Il n’est présent que pour les soirées arrosées et les réunions d’études qu’il met en place afin que les étudiants de droit avec lesquels il se trouve s’entraident pour obtenir leurs examens. Il ne touche pas à la drogue, se contente de l’alcool et des cigarettes, ainsi que de cafés serrés pour les nuits blanches.
- ( 07 )C’est à l’université d’Harvard qu’il rencontre son tout premier amour. Elle est celle, l’unique, qui fait battre son cœur. Étudiante en droit, ayant deux ans d’écart avec lui, Clive l’aide, apprécie sa compagnie et se laisse aller à la regarder avec tendresse, lorsqu’elle lit ou révise. Il comprend ce que s’est d’aimer et ils vivent une parfaite idylle, jusqu’à qu’il fasse tout foirer.
- ( 08 )L’obtention de son diplôme l’aide dans ses désirs de grandeurs et c’est à Washington qu’il se trouve un emploi, afin d’être juge. Mais celle qu’il aime n’a pas achevé ses études et ne désire pas le suivre à la capitale, ce qui met fin à leur relation. Malgré tout l’amour qu’il éprouve à son égard, ce n’est pas suffisant. Puisqu’il a un objectif : siéger à la cour suprême de Washington et il fera tout afin d’y parvenir.
- ( 09 )À la capitale américaine, il rencontre une femme de son âge qui a les mêmes désirs que lui. Être importante aux yeux de tous, briller jusqu’à rencontrer président, c’est ce qu’ils désirent. Alors, ils se mettent en couple, se marient. Clive ne ressent pas ce qu’il a autrefois éprouvé, mais ce n’est rien. C’est du moins ce qu’il se martèle afin de ne pas songer au passé, ainsi que regretter.
- ( 10 )Quand il atteint son but, plus rien au monde ne compte hormis la fierté de sa famille. Il écrase ainsi son père, Hans, d’une certaine manière en lui prouvant qu’il lui est supérieur, et cela dure quelque temps, jusqu’à ce que la vie lui rappelle qu’il n’est qu’un homme comme les autres.
- ( 11 )Une fusillade. Un attentat. Il se retrouve parmi les blesser et reste durant de nombreux mois dans un profond coma, pour rester alité. Tout ce qu’il a construit s’effondre et il se rend compte que la haine l’a aveuglé. Clive a oublié de vivre, d’être heureux et de s’épanouir. Il a abandonné l’amour, ce que c'est de s’abandonner à la passion afin d’être un membre siégeant à la cour suprême, mais à quelle fin ? Il n’est plus heureux. Ne l’a point été depuis des années et finalement, il pardonne à son père d’avoir été aussi exigeant, mais aussi d’être parvenu à le formater.
- ( 12 )Le temps passe et il s’éloigne de son épouse qui continue son ascension. Les vœux du président des États-Unis, il n’en a que faire puisqu’il souhaite rentrer chez lui ; définitivement. Son épouse refuse de vivre à Boston, de déménager et elle lui interdit de délaisser son siège, seulement, un événement tragique va le décider à s’en aller pour retrouver les siens. Son frère cadet décède, après un incident dont il ne sait rien et immédiatement, il se rend l’aéroport après avoir garni sa valise de ses quelques affaires, dont il ne peut pas se séparer. C’est un aller simple qu’il s’achète, et lors de ses funérailles, se recueillant sur la tombe de son frère disparu, il signale à son cousin que « c’est sa responsabilité » ce qui s’est produit. Puisqu’il aurait dû rester ici, pour sa fratrie et non pas s’en aller afin de poursuivre ses rêves de grandeurs.
- ( 13 )Après avoir dit au revoir à sou cousin, Clive se rend compte qu’un mot accompagne une couronne d’un blanc immaculé. Soucieux de savoir de quoi il en retourne, l’homme endeuillé qu’il est, est surpris par la note qu’il découvre. Un message personnel provenant d’une certaine Perséphone qu’il ne connait pas, mais qu’il va devoir chercher dans sa ville natale.
- ( 14 )Juge, il ne souhaite plus l’être, même à Boston. Alors, après un long entretien avec la Doyenne de l’université d’Harvard, il est finalement embauché pour le poste de professeur droit. Les connaissances, il les a. Clive ne les a jamais perdus et il souhaite tout bonnement enseigner, afin que ses jeunes qui se trouveront à l’écouter, puissent rendre le monde meilleur. À présent, il vit paisiblement là où il est né. Il rend visite à sa mère, déjeune tous les dimanches avec son frère et sa sœur qui ont leurs propres vies, leurs familles. Il réalise à chaque fois qu’il porte toujours cet anneau à son doigt qui signifie qu’il est l’époux d'une femme. Seulement, li ne l’aime définitivement plus. Mais divorcer est difficile et il ne se sait pas capable de tirer un trait sur son passé.
Les originesturque (père) et américaine (mère)
feat. HANDE ERÇEL
(32 ans) 22.07.1991, née à Washington (USA)
américaine
divorcée, célibataire et hétérosexuelle
enquêtrice à la criminelle
moyen
colérique
bosseuse
franche
émotive
casse-cou
intuitive
Résumé de l'histoire
Carmella ne jure que par le café noir, sans sucre. + Elle continue à pratiquer l'art martial, ainsi que la boxe et court, afin d'entretenir sa condition physique. + Elle raffole de chocolat noir et en mange quelques carrés chaque jour. + Elle reste plus que de raison à son travail, détestant devoir retrouver le silence pesant de son domicile à Boston. + Elle aime lire lorsqu'elle se trouve être obligé de prendre des vacances : il s'agit toujours de polars. + Elle aime déguster de bons verres de vin, mais s'arrête à un, afin de ne pas suivre le chemin de sa mère. + Peindre est l'une de ses activités préférées. Cela la détend. + Elle aime également cuisiner, même si elle ne prépare des repas que pour elle.
Les anecdotes
- ( 01 )Carmella a vu le jour dans un hôpital public de Washington. Ce fut atrocement douloureux pour sa mère, Erica. Son père, Can, nourrissait un grand espoir, en sachant que leur petite fille allait enfin voir le jour, mais rien ne s'est passé comme il se l'imaginait. Aussitôt sortie, son épouse a repris son amour pour la boisson, bien plus fort que celui qu'elle n'a jamais éprouvé envers son époux ou encore, sa propre fille.
- ( 02 )En grandissant, Carmella se rend bien compte que quelque chose cloche avec sa mère. Elle se retrouve très souvent endormie sur le canapé, une bouteille non loin d'elle. Bien sûr, elle ne comprend pas et essaye de la réveiller, vainement. Alors qu'elle a sept ans, la petite brune s'essaye à faire les choses à la place de sa mère, dans le but de l'aider. Mais elle se blesse avec le feu de la gazinière et c'est son père qui la retrouve en pleure dans l'appartement. Sa femme n'a pas émergé de son sommeil, son odeur ayant des relents d'alcool. C'est la goutte de trop et il décide de lui poser un ultimatum : soit elle se fait soigner, soit elle disparaît de leur vie.
- ( 03 )Carmella est malheureuse, à cause du départ de sa mère. Bien sûr, elle n'était pas des plus présentes, ni même forcément gentille avec elle, mais elle l'aimait. Elle l'aime. Alors, les débuts à deux sont difficiles. Elle ne cesse d'interroger son père qui ne sait pas quoi souffler. Elle remarque que lui aussi est profondément malheureux, et elle se dit qu'ils pourront tout surmonter à deux. Sauf qu'il rentre tard de son travail d'ouvrier. Ainsi, c'est généralement la voisine qui garde Carmella, ayant une fille de son âge. Cela arrange bien Can, mais il sait qu'il ne pourra pas continuer ainsi, à demander de l'aide en permanence autour de lui.
- ( 04 )Erica retrouve Carmella, en bas de l'immeuble. Elle lui assure qu'elle a cessé de boire, qu'elle va bien mieux et qu'elle désire rentrer à la maison. Mais voilà, elle n'est plus une petite fille et est à présent adolescente. Âgée de quinze ans, elle souffle à sa mère qu'elle ne peut pas être ici, puis lui demande si Can, son père, est au courant. Ce qui n'est pas le cas. Elle veut lui faire une surprise, mais Carmella sait d'ores et déjà que ça ne fonctionnera pas. Depuis quelque temps, il a recommencé sa vie, avec celle qui la gardait, et la jeune femme se doute que cela peut briser celle qu'elle n'a pas vue depuis des années. Lorsque Erica l'apprend l'annonce à l'effet d'une bombe. Elle veut empoigner cette autre femme, en venir aux mains, mais sa fille s'interpose et prend une gifle épouvantable. Sa tête cogne la porte d'entrée avec force et Carmella est emmenée à l'hôpital, ayant perdu connaissance. Après ce terrible accident, Erica lui souffle dans sa chambre qu'elle s'en va et qu'elles ne se reverront plus. Mais également qu'elle l'aime et qu'elle se trouve désoler pour ce qu'il s'est passé.
- ( 05 )Une fois remise, Carmella se trouve être en colère ainsi qu'angoissée. Ayant de nombreuses crises, elle commence à voir un psy qui lui conseille de pratiquer un sport afin de décompresser. Elle choisit la boxe, afin de pouvoir se défendre, si jamais il lui arrive d'être à nouveau attaquée, et une idée émerge dans son esprit : celle d'entrer dans la police dans le but de prendre la défense des plus faibles. Avec cette idée en tête, elle prend soin de choisir au mieux la direction qu'elle veut prendre dans l'enseignement, cherchant d'ores et déjà une université à Washington qui pourrait enseigner la criminologie.
- ( 06 )C'est finalement dans le Missouri qu'elle emménage afin de gagner les rangs de l'université de Lindenwood. Son père l'aide à payer les frais de scolarités tandis qu'elle s'essaye à trouver un emploi à côté de ses nombreuses heures d'études. C'est dans un studio à St-Charles qu'elle réside. Là-bas, elle y rencontre Douglas, un jeune homme d'affaires en devenir, qui héritera de l'immense empire de son paternel. Jamais elle n'a eu pour ambition de l'intéresser, mais au fur et à mesure qu'ils passent du temps ensemble, ils tombent amoureux l'une de l'autre.
- ( 07 )Rapidement, elle accepte de vivre avec lui, mais aussi de devenir sa fiancée, malgré ses études en parallèle. Il la soulage de sa dette financière, puisqu'il la prend en charge et ainsi, son père, Can, n'a plus à s'en soucier. Ils filent le parfait amour, mais des choses commencent à clocher. Il y a des instants où ça sonnent faux, dans la dynamique de leur relation, mais cela n'a pas d'importance, du moins, c'est ce qu'elle imagine.
- ( 08 )Douglas prend peu à peu le contrôle de Carmella. Il lui dit quoi faire, comment agir, quand elle doit manger et ce qu'elle doit manger, en lui assurant que c'est uniquement afin qu'elle soit la plus performante ainsi que la plus concentrée possible afin d'en terminer avec ses études. Il ne veut que son épanouissement, selon ses propos, et elle le croit. Seulement, dès lors qu'elle ose lui souffler qu'il la contrôle, il se met dans un état de rage et lui indique qu'elle ne serait rien sans lui. Son argent lui a permis de payer ses études et être à ses côtés, loin des autres, de la garder la tête dans ses cours plutôt que de traîner avec des étudiants qui l'auraient amené à faire de mauvais choix. Il la fait culpabiliser, la minimise et lui fait perdre toute confiance doucement, mais surement.
- ( 09 )Le piège s'est refermé sur Carmella qui ne peut pas revenir en arrière dans leur relation. Elle se retrouve être enceinte alors qu'elle a commencé à travailler dans une brigade criminelle de Washington, tous deux y ayant déménagé. Une fois qu'elle a accouché, elle ne met pas bien longtemps à reprendre du service : erreur qui lui est fatale. Un incident a lieu lors d’une intervention et elle se trouve gravement blesser. Sa convalescence se trouve durer plusieurs mois. On lui prescrit des antidouleurs et, en prenant dès lors qu'elle souffre, Carmella ne se rend pas compte qu'elle en devient dépendante. Lorsqu'elle commence à aller mieux et cesse d'en prendre, elle ressent les effets indésirables du manque. Alors, elle avale l'une des pilules et tout semble aller bien mieux. La descente aux enfers commence. Épouse de Douglas Fitzgerald, l'enquêtrice à la criminelle prend ses fichus médicaments sans même s'en rendre compte. Contrairement à son époux qui la met au pied du mur. Elle doit se désintoxiquer ou partir. Quitter leur domicile, définitivement, et tirer un trait sur lui et sa fille.
- ( 10 )C'est à Washington qu'elle s'y rend, après avoir abandonné sa propre famille. Elle choisit de faire les mêmes erreurs que sa génitrice, après une dispute qui se terminera en violence physique et verbale avec son époux. Le plus difficile pour elle est de délaisser son Eden, l'amour de sa vie : sa petite fille. Mais elle n'a pas d'autre choix, Douglas est puissant et il lui interdit de revenir. Alors, plutôt que de souffrir en demeurant à Washington, elle s'installe à Boston. Y rejoignant une brigade criminelle, elle prouve à son équipe ainsi qu'à ses supérieurs qu'ils peuvent lui faire confiance. Aujourd'hui, elle ne vit que pour cela : son travail. De temps à autre, elle se rend à des réunions afin d'écouter ceux qui parlent de leur addiction, pour y puiser de la force, pour ne jamais retomber dans ses travers.
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<l>@"Pseudo" ✧</l> description du lien.
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Lien du postDim 2 Avr - 14:24
ayçaaaaa 
entre turques, nous faut un lien
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Lien du postDim 2 Avr - 14:26
@Kamila Khan je t'attendais de toute façon, tu dois le savoir. 
Tu me réserves le meilleur ? 
Je vais lire ta fiche !!
Tu me réserves le meilleur ? Je vais lire ta fiche !!InvitéInvité
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Lien du postDim 2 Avr - 14:51
@Meryana-C. Hutton j'ai entendu en effet, et merci d'avoir été aussi cool 
Kamila vient de débarquer en ville du coup elle connaît vraiment personne encore, donc ce serait une rencontre super récente. Ou sinon, on peut trouver un lien familial côté paternel avec le père biologique de Meryana ? Enfin, s'il est turque, ou peut-être qu'il s'agit que de la mère ?
Kamila vient de débarquer en ville du coup elle connaît vraiment personne encore, donc ce serait une rencontre super récente. Ou sinon, on peut trouver un lien familial côté paternel avec le père biologique de Meryana ? Enfin, s'il est turque, ou peut-être qu'il s'agit que de la mère ?
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Lien du postDim 2 Avr - 16:17
@Kamila Khan oh excellente idée ! 
Les deux sont turques, son père ainsi que sa mère biologique, qui a elle, un nom de famille américain, comme sa propre mère en a épousé un. 
Quel est ton idée ? 
Et je t'en prie.
Les deux sont turques, son père ainsi que sa mère biologique, qui a elle, un nom de famille américain, comme sa propre mère en a épousé un. Quel est ton idée ? Et je t'en prie.
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Lien du postDim 2 Avr - 21:03
@Meryana-C. Hutton oh bah on peut partir sur un lien de cousines par rapport au père biologique de Meryana qui est décédé. je me dis que si c'était du côté de sa mère, le côté Khan aurait fait en sorte de maintenir le contact. alors que là, le fait qu'eux soient en Italie et Meryana à New-York, elles se seraient jamais connues. elle aurait entendu parler de ça y'a fort longtemps, mais sans s'être trop attardée dessus ! et du coup la vraie rencontre à Boston.. ça peut être bête, juste un test adn en rapport à un site internet qui leur aurait donné l'identité de l'autre
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Lien du postDim 2 Avr - 21:51
@Kamila Khan c'est possible le site internet qui donne l'identité de l'autre ?
Et oui, tu as raison. Elles ne se seraient pas connues, c'est vraiment pas mal du tout. D'autant qu'elle a été orpheline et a grandi avec d'autres orphelins alors apprendre qu'elle a de la famille ça va la bouleverser !!!
Et oui, tu as raison. Elles ne se seraient pas connues, c'est vraiment pas mal du tout. D'autant qu'elle a été orpheline et a grandi avec d'autres orphelins alors apprendre qu'elle a de la famille ça va la bouleverser !!!
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Lien du postDim 2 Avr - 22:04
@Meryana-C. Hutton oui y'a eu plein d'histoires de personnes qui ont trouvé des liens familiaux comme ça 
suffit qu'elles aient utilisé le même site genre myheritage 
et qu'elles aient rempli leur identité pour recevoir une notification quand y'a des ajouts à l'arbre généalogique et ça aurait pu se faire comme ça ! au début à pas y croire, puis finalement entamer une conversation
suffit qu'elles aient utilisé le même site genre myheritage et qu'elles aient rempli leur identité pour recevoir une notification quand y'a des ajouts à l'arbre généalogique et ça aurait pu se faire comme ça ! au début à pas y croire, puis finalement entamer une conversation InvitéInvité
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Lien du postDim 2 Avr - 22:29
Je ne connaissais pas du tout, mais j'aime beaucoup. cette idée ! D'autant qu'orpheline, elle aurait voulu savoir, remplir les informations sur le site; sans vraiment y croire aux résultats obtenus !
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