―  la queen a du sand dans son arse.

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@Alix Rothschild

ton nouveau coin de paradis. l’horizon qui défile, s’perd dans l’obscurité de la nuit, qui ouvre ton imagination de littéraire aux milles scénarios d’un autre monde au-delà de ces horizons. et non, tu n’étais pas défoncé, p’t’être juste un peu grisé par l’alcool mais le calme t’apportait une paix délivrée par le bruit des vagues. le tableau parfaitement cliché d’un londonien abonné au décor grisâtre et industriel des bas quartiers. c’était pour ça que tu savourais le calme, la tranquillité de la nuit, quand la pénombre faisait fuir toute présence humaine, illégale au milieu de ce décor où la nature reprenait sa vivacité. c’était pour ça que t’avais tanné alix à te rejoindre à ces heures, une seconde fois. présence turbulente et loin d’être sereine à l’image de ce qui se profilait devant toi mais seule présence que t’acceptais de subir. mademoiselle qui se faisait désirer, pendant que tu goûtais déjà à l’eau salée de la mer dans une rapide baignade. l’doute qu’elle débarque au final te taraude pendant quelques instants avant que tu sentes une présence au bord de la plage. la tête sortie de l’eau, tu la tournes pour tomber sur la brune, seule. - T’l’as caché dans les buissons ton garde du corps baraqué ? lippes tirées en coin, dans l’fond ravi de sa venue, avant de sortir de l’eau pour la rejoindre, près de ta serviette.. avalée par le sable. - T’as enterré ma serviette ?! les accusations, direct. 

―  la queen a du sand dans son arse.

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@Quincy Adler

c'était pas si ouf cette soirée. tu t'baladais en ville, t'as entendu de la musique, yavait de l'ambiance. enfin c'est ce que tu pensais d'loin. une fois arrivée là bas, t'as vite déchanté. c'était le bal du club du troisième âge. ouais même à punta cana ya des soirées d'ieuv. et encore, même tes grands-parents ils s'ambiancent plus en soirée que les gens présents à celle ci. tu restes deux minutes chrono, puis repars à la villa parce que t'étais trop blasée pour t'incruster ailleurs. comment t'allais faire pour tenir jusqu'à la baignade de 2 heures du mat ? non parce que tu l'connais l'vieux Q, il part en soirée, il va s'faire embusquer par là par des potes et va surement rentrer à pas d'heures. est ce que t'es du genre à attendre toi ? non. pourtant à l'heure où il t'envoies le message, tu dors pas encore. t'as les yeux rivés sur ton écran, à faire défiler les photos de bbQ. t'as même eu l'droit à une visio en début de soirée grâce à mason. vraiment tu regrettes pas de lui avoir confié, au moins, t'as des photos assez souvent. bichette, il t'manque trop. ni une ni deux, t'arrives à l'endroit qu'il t'as indiqué par messages. démarche de beauf quand il sort de l'eau ― BAH ALORS ??? ON ATTEND PAS PATRICK ? que tu lâches tout en lui montrant la bouteille de vodka - parce que t'es pas branchée pastis - que tu tenais fermement dans ta main, l'sourire idiot aux lèvres faut avoir le ref. un film français sur la vie en camping, que t'as vu et revu. coup d'oeil rapide vers sa serviette rempli d'sable. hausses les épaules, captant même pas pourquoi il t'dit ça, puis tu te baisses pour l'attraper et la secoue dans tous les sens alors qu'il s'approche ― mais non, elle est là, suffit d'la secouer ! aoutch. et là, tu te rends compte que c'était pas la meilleure idée. un coup d'vent au même moment et tu te prends tout dans la tronche !

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@Alix Rothschild

l’accueil digne d’alix quand tu sors de l’eau. un braillement aussi majestueux qu’un élan, aussi beauf que l’vieil alcoolique emblématique de tout bar qui se respecte. tu reconnais tristement la référence de sa réplique, précédemment abonné aux potes aux goûts douteux dans ta vie londonienne et t’es partagé entre l’exaspération et le rire franc. aucun des deux ne l’emporte ceci dit parce que ton regard était automatiquement attiré vers ce qu’elle tenait en main - non sans l’avoir détaillé, elle, de la tête aux pieds aussi, détail. bouteille, vodka. précieux. puis à ses pieds quand tu cherches à t’essuyer. ta serviette, ensevelie dans le sable. drame. double drame quand elle la saisit cette serviette, mentionnant d’la secouer. - Non non non, ne fais p- pas l’temps de protester, trop tard, elle avait déjà sévi dans le crime et les grains de sable vous atterrissent en pleine figure. le sien particulièrement, c’qui était à moitié jouissif. mais y en avait aussi assez sur ton corps mouillé pour que tu te retrouves déguisé colle à sable humain. tes yeux observent d’abord ton corps puis se tournent vers elle, et tu ris bêtement en voyant sa tête. - Si tu voulais tant bouffer du sable, fallait l’dire, j’t’en aurais fait bouffer ! Et tu te serais épargné au passage aussi. - Tu veux t’essuyer ? les prunelles qui scintillent de malice, tu lui arraches la serviette des mains avant de te rapprocher encore plus de la brune et enrouler la dite serviette autour de son corps, l’essuyant et propageant - fièrement - peut-être encore un petit plus le sable sur elle. oops, détail. - Attends tes cheveux aussi ont besoin d’un relooking express.. que tu dis en frottant maintenant la serviette maudite dans ses cheveux.  

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@Quincy Adler

faut pas t'en vouloir. tfais les choses comme elles te viennent sur l'instant. c'est vrai que secouer une serviette remplie de sable, c'est un peu chelou hein. arques un sourcil, en pleine incompréhension quand il semble vouloir t'arrêter d'un truc. sur  l'moment tu captes pas trop pourquoi, puis quand tu te prends le sable dans la tronche, tu te dis que c'était surement ça qu'il voulait t'empêcher de faire. vous avez déjà bouffé du sable ? c'est atroce. ça s'coince entre les dents, ça grince entre les molaires. t'es limite entrain de lâcher une larme. cri aigu qui s'échappe de tes lippes, paupières qui se ferment, fermement. t'as peur de rouvrir les yeux. tu te mets à couiner légèrement tout en les ouvrant, voyant en même temps, quincy s'avancer vers toi. telle une gamine qui a fais une connerie et qui risque s'faire engueuler, tu crispes ta mâchoire en grimaçant. il a du s'en prendre dans la tronche aussi. shit. il va s'venger. salement. tu l'auras bien mérité. ou pas. il s'avance vers toi, pendant que tu clignes plusieurs fois de suite les yeux, histoire de voir si tout est ok. ça a l'air, ouf ― j'ai des grains d'sable entre les dents ? tu fermes ta mâchoires, puis mets tes dents en évidence pour qu'il t'oscules. c'est important. mais il t'arraches la serviette des mains, avec une idée à la con derrière la tête. c'est sur. vu sa tronche, tu l'sens pas du tout. tu dois courir ? tu dois t'mettre à genoux pour le supplier de t'épargner ? non. tu restes juste là, droite comme un piquet, à attendre de voir c'qu'il compte te faire. il est inoffensif c'vieux Q, tu le sais. d'toute manière, il le sait que t'as l'coup de poing facile. à ses risques et périls. il t'enroules de sa serviette encore pleine de grains de sable. les pires. ceux qui restent coincés, que tu sens comme s'ils rayaient ta peau. une horreur. t'aurais pu passer outre, en rire tout ça tout ça. sauf qu'il s'attaque à tes cheveux. tu sautilles sur place, d'une jambe à l'autre tout en criant ― NON PAS LES CHEVEUX ! c'est la merde à faire partir !!!! levé de genou, tu te retiens d'lui briser les bijoux de famille. tu reposes le pied, mais lui donne un coup d'poing dans le ventre. évidement, pas assez fort pour lui faire mal. mais pourtant, t'as donné quasi d'toute ta force hein. la prochaine fois, c'est la gifle. t'attrapes rapidement la serviette, puis essayes d'lui faire un fauche pour l'faire tomber. du cri, tu passes au fou rire tellement tu galères.

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@Alix Rothschild

les grains s’étaient envolés, et si toi, assez distant, t’en avais ingurgité plus que de raison, tu doutais pas qu’elle devait taper son meilleur repas de la journée en sable actuellement. et encore une fois, en sa présence, parce qu’elle agissait sûrement sous les ordres de sa mini voix dans sa tête, tes tympans venaient d’être victimes de son cri d’élan en détresse et de ses couinements digne d’un chiot blessé de son propre chef. p’t’être qu’alix était un p’tit chiot. mignon mais incontrôlable. - T’as toujours autant les dents jaunes, rien d’nouveau et inquiétant, t’inquiète. qu’tu rétorques brièvement quand elle te réquisitionne pour une auscultation improvisée de sa dentition quand tu te rapproches. mais sauf que c’pas ça qui t’intéresse toi, le nouveau pot de colle humain fait de sable. c’était la vengeance qui te préoccupait, à sa hauteur. vengeance que tu actionnes instantanément, te saisissant de la serviette que t’enroules et étales autour d’elle, sur ses fringues, son épiderme dévoilé et finalement ses cheveux. la précieuse vodka avait été lâchée au sol, dommage collatéral de vos immaturités. et tu t’en souciais guère, plongé à nouveau dans votre bataille puérile. ses cris et danse de protestation te passaient au dessus de la tête pendant que tu mets un point d’honneur à étaler malicieusement le sable sur chaque espace de sa peau et chevelure. elle tente un lever de genoux, sûrement pour t’affaiblir efficacement mais te surprend au final avec un coup de poing à l’abdomen. frôlements d’une plume. tu arques un sourcil, peu impressionné, l’sourire en coin presque provocateur et elle enchaîne. vole la serviette, tente de te déséquilibrer. encore une fois, ses tentatives en étaient presque adorable. - Tu veux que j’tombe de moi-même pour t’aider et te donner l’illusion que t’y es arrivée ? Ça ira plus vite.. tu l’observes, presque hilare, les mains en l’air, preuve de ta bonne foi. bonne foi qui ne dure jamais éternellement. - Ou j’ai une meilleure idée, tu vas m’aimer.. les sourcils dansants, pupilles qui brillent de malice. tu mets fin à son supplice en la saisissant sans prévenir par la taille et l’embarquer tel un sac à patates sur ton épaule. et tandis qu’elle devait sans doute brailler à en réveiller toute l’île, tu cours vers l’eau et… te jettes dans le grand bain, avec elle. en 2-2, vous étiez immergés dans la mer, et débarrassés de tout sable. de rien alix, c’était cadeau.   

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@Quincy Adler

sourcils qui se froncent quand il parle de tes dents jaunes. wtf, il est sérieux lui ? t'as arrêté le café exprès pour éviter que tes dents virent au jaune ya un peu plus de six mois maintenant. manquerait plus que ça marche pas. tu colles tes lèvres entres elles tout en venant prendre une moue boudeuse. t'aurais du agiter la serviette sur lui tiens. vraiment le pire lui. après il s'plaint que t'es sans cesse entrain de le menacer. un jour, tu mettras tes menaces à exécution, ça va lui faire bizarre ― c'est faux. tu le toises du regard, puis fronces le nouveau les sourcils en l'voyant attraper la serviette. et là, faut espérer que personne soit dans le coin parce qu'ils pourraient penser à une agression, une véritable agression tellement ton cri de détresse est aigu. t'espères même lui défoncer les oreilles. cheveux remplis de sables, t'veux qu'une chose, c'est de te venter. d'abord tu penses au coup de pieds dans les parties, mais eh, heureusement pour lui, t'es bien trop bonne. c'est donc par un coup d'poing dans le bide que tu te venges. c'est limite une caresse tellement t'as plus de force en cette fin de journée. il a d'la chance hein, vraiment. évidemment, c'était sans compter sur lui qui enfonce le couteau dans la plaie en te regardant, l'air limite moqueur. et à sa remarque, tu tentes une gifle pour l'calmer, mais il esquive au dernier moment. putain, t'manques de rapidité alix. il ferait moins le malin si t'avais toutes tes capacités mentales et physiques, mais malheureusement, quand on t'connait bien, on sait que ce sera jamais possible. à deux doigts de l'insulter, il t'coupes la parole en te soit disant présentant une meilleure idée. mains qui viennent se poser sur tes hanches, tu plisses le regard, l'air dubitative ― mh, j'vois pas quo.. EH ! et là, sans que tu puisses faire quelque chose, il vient te saisir par les cuisses, t'portant tel un gros sac d'pommes de terre. tu te mets à frapper son dos, agitant les jambes tout en criant pendant  qu'il s'met à la course. ― REPOSE MOI ! tu m'pinces la peau d'la cuis- ! que tu cries en venant frapper d'grands coups sur ses fesses. mais t'as pas le temps de terminer ta phrase que tu te retrouves engloutie sous l'eau. tu te débats puis remonte à la surface en suffoquant. cheveux devant les yeux, tu les écartes pour rendre ta vision meilleure, et surtout pour arriver à voir où il s'trouve ― QUINCY OH JVAIS TE TUER ! t'es où ? t'es mort ? noyé ? c'est juste derrière toi que tu le trouves. tu lui sautes dessus, t'accrochant à lui tout en venant appuyer sur sa tête pour le couler ― j'v-vais y -arriver à t'no-yer. allez, coule ! mais il résiste, et malgré tes efforts t'arrives à rien. t'as l'idée encore une fois, d'lui donner des coups de genoux, mais t'es pas si violente. donc tu forces, viens lui pincer les hanches pour qu'il se torde et peut-être arriver à le couler, mais en vain. t'y met du tien en plus. et plus tu forces, plus t'éclates de rire.

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@Alix Rothschild

situation qui dégénère, visiblement comme à chaque fois qu’elle se situait dans les parages. une bataille de grains de sable, une pique placée sur sa dentition - presque parfaite mais ça, tu ne l’avouerais pas - puis quelques tentatives de coups à ton égard et te voilà porteur d’un sac à patates nommé alix en direction de la mer. idée plus que brillante, si vous vouliez ton avis, l’épargnant de trop d’efforts physique en essayant de te faire tomber et vous lavant par la même occasion de tout ce foutu sable collé à votre peau. mais évidemment, alix l’entendait pas de cet oreille là, se débattant sans merci sur ton épaule, te martelant de coups dans le dos et manquant d’te briser le nez par ses jambes et pieds agités à côté de ton visage. tu t’en préoccupais guère, ne répliquais pas à ses protestations, à fond dans ta course, l’rire résonnant sur cette plage vide. le choc de sa chute dans l’vaste océan la coupa de toute façon dans ses cris, et elle disparaît du large, à ton image. sauf que toi, t’avais eu l’temps de la préparation de la plongée surprise pendant qu’elle, suffoquait en remontant à la surface. à ton tour remonté, tes lippes s’étirent en ce sourire insolent quand elle te cherche. - Essaie pour v- à peine retournée, elle te saute dessus, d’ores et déjà prête à prendre sa revanche, s’accroche pour y replonger ta tête. l’effet de surprise te fait t’engloutir sous la surface mais tu te ressaisis assez vite et résistes face à sa force toujours autant faiblarde.   - J’attends toujours que tu m’noies. l’insolence à l’état pur qu’elle fait taire la seconde d’après en te pinçant les hanches. tu vacilles légèrement en te tordant. - Héééé, j’vais avoir un bleu ! principale préoccupation, pas qu’elle réussisse à te noyer. tu la chopes en retour par les hanches pour l’immobiliser quelques secondes. - J’t’aide à te débarrasser du sable de tes cheveux et c’est comme ça qu’tu me remercies.. l’air faussement scandalisé, d’une main, tu te saisis de quelques unes de ses mèches rebelles pour appuyer tes dires.. avant de l’ébouriffer et de la décoiffer encore plus qu’elle ne l’était déjà. - Voilà, t’es parfaite comme ça !

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@Quincy Adler

heureusement, que t'as pas la phobie de l'eau. avec lui, t'aurais été trauma à vie. quoi qu'on dit souvent qu'il faut combattre le mal par le mal; pour vaincre ses phobies faut les affronter. t'avais la phobie des motos et aujourd'hui, c'est plus le cas ? enfin bref, ya pas de question à s'poser puisse que la phobie de l'eau tu l'as pas. c'pas pour autant que t'as pas peur ou que t'as aucun mal à te situer quand on te balances dedans comme il l'a fait. tu pourrais faire ta drama queen et hurler que t'as peur, que c'est à cause de lui, que t'as failli te noyer sous la panique. ouais, t'aurais pu. mais tu préfères le chercher pour te venger. tu retrouves vite tes capacités. ouais c'est quand ça t'arranges. et une fois que tu l'as en ligne de mire, tu lui sautes dessus. on se sent toujours plus légers dans l'eau. t'arrives à t'accrocher à lui, faisant appui sur son crâne pour l'couler. mais c'pas si facile. il plonge rapidement la tête sous l'eau sous l'effet d'la surprise et aussi parce que t'as trop d'force, mais ça ne dure que quelques secondes. il remonte à la surface puis résistes, tandis que toi tu ne faiblis pas. toujours en tête d'le noyer. enfin, d'lui mettre la tête sous l'eau plus de trente secondes, ce serait déjà pas mal. l'pire c'est qu'il t'cherches ― ouais ouais bah- j'vais réussir, t'vas v-voir.. et tu 'forces', contractant tous tes 'muscles', tellement que ça t'en fais mal au bide. son qui s'échappe de ta bouche, entre le son du désespoir, et celui de l'amusement. puis tu viens à l'pincer, t'y arriveras à la noyer. par n'importe quel moyen. il cri au bleu et toi tu continues en pinçant sa 'graisse' entre tes doigts, ça fait encore plus mal. allez tord toi de douleur. ― M'EN FOUS ! et telle une gosse qui sait pas s'arrêter, il est obliger d'user de force pour te canaliser. c'était souvent le cas quand t'étais gosse, que tu jouais avec tes frères et que t'arriver plus à t'arrêter, tellement que s'en était agaçant. obliger de te crier dessus ou d'user de force pour te stopper. la petite furie à couettes. bah ça n'a pas changé. sauf que t'as plus d'couettes. tu te stoppes quelques secondes, essayant de calmer ta respiration, parce qu'on dirait pas mais se remuer dans l'eau ça fatigue hein ?c'est du sport ! mais il vient ébouriffer tes cheveux de nouveau. tu te recules, venant frapper la surface de l'eau pour l'éclabousser. wow, ça fouette ! ta paume en feu, tu couines quelques secondes, puis essayes de te calmer toute seule. ouais t'en fais toujours trop d'un coup. c'pas bon pour ton coeur rothschild ― pfiou, tu m'as épuisé. tu disparais sous l'eau quelques instants, puis remontes à la surface en remettant tes cheveux en place ― excuse toi d'me malmener tout l'temps ! sourcils froncés, tu pointes un doigt menaçant vers lui, venant lui claquer l'bout du nez avec ce dernier.

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@Alix Rothschild

quelques toux d’étouffements te parviennent aux oreilles sous l’eau. l’idée qu’elle puisse se noyer dans ta baignade nocturne surprise te traversa brièvement l’esprit mais s’envola aussitôt quand elle t’attaque sans répit à peine la tête ressortie de l’eau. prévisible mais fair-play. tu ne t’attendais pas à ce qu’elle accepte l’attaque sans rétorquer, le contraire t’aurait plus pris par surprise que sa première tentative de noyade. qui s’avérait être la seule fructueuse. contrairement aux tentatives qui suivent, te confirmant son coup de chance au premier assaut. ses mains forçaient pour te replonger entièrement mais tu ne bougeais presque pas d’un poil. c’en était presque reposant face à ses efforts désespérés si on en croyait les grognements qui s’échappent de ses lèvres. - J’bouge même pas, fais un effort. qu’tu la nargues, dans un fou rire incontrôlable. t’oses même lever les mains en l’air, flottant sans appui, pousses dans la provocation. mais elle décide de contrer d’une autre manière, te pinçant d’abord légèrement puis continue la persécution en tordant ta peau malgré ta première protestation. - Mais arrête de torturer mon corps, tu vas me marquer à vie ! tu tentes de te saisir de sa main pour qu’elle cesse le martyr mais incontrôlable qu’elle était, tu choisis plutôt l’immobilisation radicale. quelques instants. l’temps que tu intègres la douleur dans une comédie dramatique digne d’alix, l’temps que la mini tornade redescende, l’temps que tu t’en prennes à ses cheveux. encore. tu ris, elle t’éclabousse en retour, c’qui dédouble encore plus ton fou rire. tu prends même pas la peine de répliquer son mouvement, constatant avec une malice non dissimulée qu’elle s’était elle-même fouettée. chose qui semblait l’avoir au passage définitivement calmée vu son propre plongeon sous l’eau dont elle en ressort moins turbulente. essoufflée mais la tornade s’était apaisée. - J’fais travailler ton endurance physique, c’est pas pareil. le sourire angélique collé aux lippes, et qui perdure quand elle essaie dorénavant d’endosser un rôle menaçant, qui te réprimande. - JE te malmène ?! les yeux qui louchent sur son doigt claqué sur le bout de ton nez, les traits presque ahuris par cette accusation. - Tu m’fais bouffer du sable, tu viens d’me marquer de bleus sur les hanches mais je te malmène ?! ok, t’étais peut-être un peu aussi fautif dans la bataille, mais pour l’effet dramatique dont elle t’avait visiblement contaminé, tu joues sur cette attaque pour ta défense. tu lui attrapes même le doigt, que t’abaisses et remontes ta poigne au niveau de son poignet tandis que ton autre main restait sur sa hanche. histoire de garder le contrôle de tout part si jamais elle tentait encore de te noyer. - La seule raison pour laquelle je m’excuserai c’est de ne pas t’avoir laisser le temps d’te déshabiller au préalable. Le reste, c’est toi qui l’a cherché, Rothschild. parce que toi t’étais déjà en maillot de bain mais elle, était encore habillée, détail que tu notes à l’instant en observant son haut lui coller à la peau. dommage que le tissu n’était pas blanc.

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@Quincy Adler

tu pourrais le marquer à vie ou du moins le marquer un peu plus longtemps qu'un vulgaire bleu sur l'corps. t'pourrais faire plus que le pincer. tu pourrais le mordre, mais t'en es pas encore arrivée à ce stade avec lui. encore heureux pour lui. tu lui mets - du moins t'essayes - assez de coups de poings, de pieds, de genoux, de gifles comme ça. mais t'es sympa, t'y mets pas toute ta force. il s'plaint que tu le menaces souvent, mais il t'cherche tellement lui aussi. t'pourrais y mettre toute ta force, mais c'est le meilleur pote de tes frères, t'as pas envie de l'abimer. ça t'vénères encore plus quand il s'met à rire aux éclats. le genre de rire qui t'donnes envie de le violenter encore plus. sourire crispé, tu serres les mâchoires, les poings, te retenant de rire aussi. moue boudeuse aux lèvres, t'arranges vite ta chevelure de rêêeve en regagnant la surface de l'eau après avoir plongée dedans quelques secondes. plus de sable dans les cheveux, normalement. mains qui viennent caresser le sommet de ta tête pour te recoiffer correctement. index légèrement menaçant qui vient lui claquer le bout du nez, tandis que ta petite moue boudeuse digne d'une alix âgée de huit ans, se transforme en une alix offusquée par ce qu'il vient de te dire ― heeein ? oui TU me malmènes ! MOI J- EH, AIE MON DOIGT ! que tu dis quand il vient saisir ton index puis l'abaisses. rooh. t'essayes de tirer dessus pour libérer, mais rien. il reste en place et tu l'sens même craquer un peu. ― t'sais que j'peux même t'marquer encore un p-! t'essayes de ta main libre, de venir le pincer, mais te stoppes quand il saisit ton poignet. tu notes quand même qu'à chaque fois ça s'termine en 'bataille' vous deux. un jour, tu l'auras; ta main libre vient saisir la sienne posée maintenant ta hanche depuis quelques secondes. tu presses ses doigts pour qu'il te lâches, mais encore une fois, tu te fatigues pour rien. il va encore s'foutre de toi, t'auras envie de le claquer et c'est une histoire sans fin. et tes sourcils se haussent, l'air interrogateur, quand il parle de tes vêtements. t'aurais presque oublié ta robe de plage, tellement elle est légère. tu lâches sa main pour venir tirer le tissu qui te colles à la peau, laissant apparaitre la pointe de tes seins ― euh.. ouais. par contre, j'me baigne qu'avec un tanga... mais si c'est trop gênant, j'garde ma robe. t'as l'habitude de faire du monokini. mais t'aurais peut-être du prendre un haut de maillot sachant  que t'allais être seule avec lui ? t'y as clairement pas pensé. au pire, tu garderas ta robe, c'est bien aussi. tu l'avais même pas senti jusqu'à présent. le tissu se recolle immédiatement à ta poitrine. et tu te racles la gorge. c'pas gênant un peu comme situation ?