Si je m'attendais à ne pas recevoir de roses à la saint-valentin depuis que j'étais veuf, découvrir une rose blanche de la part d'Olivia, alors que de mon côté, après la bénédiction durant un des nombreux rêves que je faisais de ma femme où elle m'a donner sa bénédiction, j'avais osé. Je lui avais envoyer une rose déclarant mon attirance pour elle et maintenant, je me sentais mal à l'aise, craignant qu'elle n'apprécie pas que celui qui l'a engager pour un job lui fasse des avances et il fallait que je règle tout ça. J'avais aussi reçu une rose orange de la part de mon frangin et une rose de quelqu'un d'anonyme pour que je sache quelqu'un avait une attirance pour moi. J'étais assez touché par l'attention, même si je pensais surtout à cette rose blanche et au fait que c'était une déclaration amicale. Du coup, après être rentrer au petit matin du travail et récupérer ma fille chez ses grands parents, ils l'avaient habiller et fait déjeuné, du coup je la déposais à l'école, je n'avais même pas sommeil, je pensais qu'à cette rose et il fallait que je vois Olivia. Je me dirigeais donc jusqu'à chez elle sur un coup de tête, ayant pris des cafés et des viennoiseries sur le chemin pour ne pas débarquer les mains vides. Arriver en bas de son immeuble, je garais ma tesla sur le parking, j'attrapais ce que j'avais pris et me diriger jusqu'à l'entrée. J'en profitais que quelqu'un sorte pour rentrer à l'intérieur et je montais jusqu'à son étage. Arriver devant sa porte, je souffle un bon coup et je sonne en espérant ne pas la déranger où qu'elle ne me giflera pas pour cette allusion. Finalement Olivia ouvre la porte, je lui offre un petit sourire en retour. "Bonjour Olivia, j'espère que je ne te dérange pas ?" Je marque une légère pause en me raclant la gorge. "Est-ce qu'on peut parler ? J'ai ramené le petit dej." Dis-je en lui montrant les cafés et le sac de viennoiseries. Je rentre à l'intérieur lorsqu'elle accepte, posant le tout sur le comptoir de sa cuisine et je me tourne vers elle. "Hum... si je suis venu aussi tôt ce matin, c'était pour te parler de la rose que je t'ai envoyer. Si jamais la signification de cette rose t'as mises mal à l'aise, je préférerais que tu oublies, car la dernière chose que je souhaite, c'est qu'il y est un malaise entre nous et que tu décides de ne plus être la baby-sitter de ma fille. La dernière chose que je souhaite, c'est qu'elle soit malheureuse à cause de moi." Voilà, j'avais tout dit et pour être tout à fait honnête, j'étais mal à l'aise tout autant qu'Olivia je pense puisque je n'ai jamais été doué pour ça. Au moins, aujourd'hui, je ne bégayais plus, mais dix-huit ans en arrière, quel carnage, mais au moins, on a éviter celui là et c'est tant mieux.

Depuis que j'avais reçu cette rose de la part d'Olivia, je ne pouvais que penser au fait que de ma part, elle en avait eu une dont la couleur signifiée de l'attirance, attirance qui n'était pas partager puisqu'à par une rose anonyme de la même couleur, d'Olivia, je n'avais eu qu'une blanche, signifiant de l'amitié. Du coup, j'étais rester des heures à réfléchir après avoir reçu ça, même au poste, j'avais l'esprit ailleurs et donc, j'ai décider que le mieux était que nous parlions. Je ne voulais en aucun cas la faire fuir avec cette rose et que ma fille perde sa nounou qu'elle aimait tant. Alors, j'étais passer prendre des cafés et des viennoiseries après avoir déposer ma fille à l'école afin que nous parlions tous les deux. J'étais arriver de bonne heure devant chez elle, sachant qu'elle n'avait pas cours à la première heure ce jour là, elle me l'avait dit par rapport à ma fille et au fait si elle pouvait la déposer à l'école ou non. Du coup, me voilà devant chez elle, un peu anxieux et lorsqu'elle ouvre la porte, je lui offre un petit sourire en lui montrant ce que j'ai ramené. Lorsqu'elle accepte que je rentre, je ne me fais pas prier et part tout déposer ce que j'ai ramener. Immédiatement, je pense à ma fille et à la relation qu'elle a avec sa nounou, voulant à tout prix préservé ça, même si ça veut dire, la croiser que très peu pour ne pas la mettre mal à l'aise, mais à ses paroles, je fronce les sourcils. "C'est vrai ?" Lorsqu'elle m'affirme que c'est le cas, je soupire de soulagement. "Tant mieux, je craignais déjà la réaction de ma fille lorsque je lui dirai que tu ne viendrais plus, du coup je te remercie." J'étais assez nerveux, je n'avais plus l'habitude de ce genre de situation moi puisque j'étais avec quelqu'un depuis mes dix-huit ans et marié depuis dix ans, alors les situations malaisantes comme ça, je n'étais plus habituer. Je hoche la tête aux paroles de la jeune femme en prenant place à table. "C'est une bonne idée." J'attrape mon café, je commence à boire quelques gorgés de celui-ci et je me racle la gorge. "Avant que nous commençons, je veux que tu saches que cette rose que je t'ai envoyer, c'est sincère, pas une blague ou autre à cause de ce qui c'est passer cet été. Tu es la première femme à qui j'envoie ce genre de choses depuis le décès de ma femme, alors c'est pour ça que je suis aussi nerveux. Je ne suis plus habituer à tout ça..." Je préférais être honnête pour lui montrer que je ne faisais pas ça avec tout le monde, qu'elle était la première depuis très longtemps et qu'avant, c'était à la mère de ma fille que je faisais des déclarations. Au moins, elle saura que je ne suis pas un playboy qui profite de son statut de flic et de noble pour séduire toutes les nanas qui passe, bien au contraire.

Je ne me considérais pas comme le meilleur en terme de relations, car même si ma relation et mon mariage avec la mère de ma fille a durer longtemps, c'est parce qu'elle était en parti là. De mon côté, je bégayais face à elle, j'étais timide et pas du tout à l'aise, du moins lorsque nous nous sommes rencontrer et que nous avons parler. Elle me plaisait tellement de loin qu'une fois en face, j'ai paniqué et catastrophe, mais elle n'a pas fuis, au contraire. Du coup, tout recommencer à zéro avec quelqu'un, ce n'était pas du tout facile pour moi. La preuve était que je me trouvais face à Olivia et que j'étais mal à l'aise. Du coup, lorsqu'elle me rassurer en me disant qu'elle ne va pas démissionner, je soupire de soulagement pour ma fille en prenant place face à elle. Je buvais quelques gorgés de mon café en ayant envie de fuir à toute vitesse ce qui était entrain d'arriver, j'en avais la boule au ventre, du coup j'écoutais Olivia parler tranquillement tout en buvant quelques gorgés et je le repose devant moi. En pensant qu'elle voulait que je parle, j'allais me lancer, mais voilà qu'elle reprend et qu'elle rentre dans le vif du sujet, ce qui me fait avaler ma salive difficilement. "En ce qui concerne la dernière fois, j'étais mal Olivia, ça faisait un an que ma femme était décédée, un an que je me débrouillais tout seul avec notre fille, un an que j'étais seul, car je peux t'assurer qu'il y a eu personne. J'en étais incapable, même pour m'amuser, car ça, c'est pas mon truc." Je marque une légère en jouant nerveusement avec mes mains pour ensuite reprendre, cherchant les mots exact. "Olivia, ça faisait un an que je survivais sans elle, alors comme je n'avais pas ma fille ce jour là, j'ai beaucoup bu, ce qui ne m'arrive jamais hormis cette fois là et... je ne sais pas, tu es arriver et j'ai eu une hallucination, c'est pas toi que j'ai vu, c'est elle et quand j'ai réalisé ce que j'avais fait, je me suis senti coupable vis à vis d'elle. C'est pour ça que je t'ai dit que c'était une erreur, mais ce n'était en aucun cas à cause de toi. Bien au contraire, j'ai aimer ce baiser malgré les circonstances. De plus, un gentleman n'embrasse pas une jeune femme sans son autorisation et c'est ce que j'ai fait, du coup, je suis désolé pour ça aussi." Je préférais la rassurer de ce côté là, pour qu'elle sache qu'elle y était pour rien, qu'elle n'était pas responsable de ce qui c'était passer ce jour là, que c'est juste moi qui a fait n'importe quoi et qui le regrette. Je n'étais pas prêt à ce moment là, mais maintenant je le suis et aussi, parce que ma femme est apparue dans mes rêves et qu'elle m'a donner sa bénédiction. C'est pour cette raison que j'ai envoyer cette rose, pour lui montrer qu'elle me plaisait malgré tout et que j'étais prêt maintenant. "Si je dois me montrer tout à fait honnête avec toi Olivia, je rêve de t'embrasser encore et encore depuis ce jour là. J'ai refoulé tout ça par loyauté pour ma femme sauf qu'elle m'a donner sa bénédiction, que tout ce qu'elle souhaite, c'est que je sois heureux et c'est pour cette raison que je t'ai envoyer cette rose. Je voulais que tu saches que j'ai envie de t'embrasser encore." Je ne pensais vraiment pas que tout ça sortirait de ma bouche un jour, au contraire, je comptais nier et continuer ma vie avec ma fille, mais mon coeur et ma tête en ont décidaient autrement, ainsi que ma défunte femme qui m'a clairement dit dans mon rêve qu'Olivia était mon âme soeur. Du coup, on verra bien si elle a raison après tout ce que je viens de dire à la rouquine.

Je n'ai jamais eu vraiment l'habitude avec les débuts de relation, je me montrais toujours nerveux à l'idée de parler et d'ouvrir mon coeur comme maintenant. De plus, avec de qui c'était passer l'année dernière, elle devait ne pas comprendre, ce qui était compréhensible après tout et puis, en plus de ça, j'étais renfermer à une éventuelle prochaine histoire, enfin jusqu'à maintenant. Après m'être poser et avoir réfléchi, j'ai finalement fait parvenir cette rose jusqu'à chez elle et j'espérais vraiment ne pas avoir fait d'erreur. Mais Olivia se montrer comme à son habitude attentionnée en me rassurant, ce qui faisait que je lui offrais un sourire automatique. Je savais très bien que j'avais développer des sentiments pour elle et que ma fille l'aimait vraiment beaucoup. Du coup, c'était facile d'apprécier Olivia, c'est ce qui a conduit toutes ses interrogations et finalement que je comprenais que je ne l'aimais pas comme une amie, mais bien plus que ça. C'est pour cette raison que j'étais là aujourd'hui, je voulais savoir si elle allait démissionnée, bon j'étais rassurer de ce côté là, mais je n'allais plus me taire, surtout après cette rose et donc, elle allait savoir ce que je ressentais. À ses paroles, je l'écoute attentivement, comprenant ses inquiétudes, je me lève donc pour me placer à côté d'elle et je prends ses deux mains dans les miennes. "Je suis absolument sûr de ce que je ressens Olivia, sinon je ne serais pas là et je ne changerais pas d'avis. Je dois juste arrêter de me voiler la face en n'assumant pas le fait que j'ai des sentiments très fort pour toi, alors qu'ils sont là depuis un petit moment maintenant. Je voulais juste ne pas trahir ma femme, mais... elle m'a en quelques sorte donner sa bénédiction dans un rêve donc... je me suis lancer et je t'ai ouvert mon coeur, mais je ne t'oblige à rien. Je voulais juste que tu saches que je commence à tomber amoureux de toi Olivia et que ta présence au quotidien remplie ma vie de joie. Mais encore une fois, je ne t'oblige à rien." Je venais de tout lui dire, au moins, elle savait que j'avais des sentiments très forts pour elle, mais que si elle préférait que nous restions amis, alors je l'accepterai sans problème et je passerais à autre chose comme l'adulte que je suis sans faire la moindre histoire, car on ne peut pas obliger à un coeur d'aimer.

Toujours face à Olivia, je n'avais pas lâcher ses mains des miennes, je n'en avais pas envie et elle ne les retirer pas, donc elle n'en avait pas envie non plus, bon point pour moi ça. Je l'écoutais attentivement, surpris par les révélations qu'elle me faisait; mais rassurer aussi de savoir que ce que je ressentais n'était pas à sens unique, que je n'allais pas me prendre un gros stop de sa part et tout gâcher pour Victoria. Je ne la quittais pas des yeux, écoutant chaque mot qui sortait de sa belle petite bouche. Encore plus lorsqu'elle m'avouait que la rose attirance que j'avais reçu en anonyme était en réalité d'elle. Je ne pouvais pas m'empêcher de sourire face à ses révélations. Moi qui pensait qu'en réalité, elle avait mal pris tout ça et qu'elle allait stoppé son job avec Victoria, en réalité c'était tout le contraire et ça me rassurer beaucoup. "Tu as eu raison, ça m'a fait sourire et tu sais quoi ? Tu as été la seule à m'envoyer une rose attirance ce jour là ce qui la rend encore plus spéciale." Dans tous les cas, elle le devenait pour moi vu qu'elle venait d'Olivia, maintenant que les explications étaient toutes donner, je me raclais la gorge. "Maintenant qu'autant toi que moi, nous ne ressentons pas que de l'amitié l'un pour l'autre, est-ce que tu me ferais l'honneur d'accepter de dîner avec moi demain soir ? Je termine tôt, Victoria dors chez ses grands parents donc si tu n'es pas prise, j'aimerais beaucoup avoir ce premier rencard avec toi." En espérant qu'elle acceptera, sinon tant pis, je ne la forcerais pas. Peut-être qu'elle va craindre que je fasse à nouveau marche arrière, j'en c'est rien, mais dans tous les cas, j'ai vraiment envie d'essayer quelque chose avec elle. Je me lève finalement de ma chaise. "Bon, je dois y aller, j'ai pas mal de choses à faire, mais j'ai adoré ce moment avec toi Olivia et je suis impatient de te revoir." Je dépose un baiser sur sa joue, lui offre un dernier sourire et quitte son appartement pour aller faire ce que je dois faire et puis, elle doit avoir cours dans pas longtemps, alors autant la laisser libre et de toute manière, je la revois bientôt.