T'as un mal de crâne horrible du à la soirée de la veille. Tu ne te rappelles pas bien ce qu'il s'est passé si ce n'est que t'as ramené une meuf et que Jade t'a crié dessus au beau milieu de la nuit parce que tu as fait trop de bruit. T'es tombé. Ou alors, t'as foncé dans la porte de ta chambre au lieu de l'ouvrir. Enfin bref, tu ne sais plus trop. Tu ne te rappelles pas des détails. Quoiqu'il en soit, ça t'a bien fait rire et t'as fini par mettre la meuf à la porte parce qu'elle était beaucoup trop éméchée et toi aussi. T'as même pas eu le temps de tirer ton coup. La poisse, vraiment. En tant que gentleman, tu lui as appelé un taxi et tu l'as gentiment balancé dans la voiture avant de te recoucher. T'as ronflé toute la nuit même si y a quelques trous noirs qui se dessinent. En tout cas, tu t'es réveillé tout seul et ça t'a fait bizarre. Rares son les week-end où ton lit reste vide. C'est presque décevant. On peut dire que tu as profité de ta soirée de repos comme il se doit mais que la nuit laisse à désirer. Maintenant, faut assumer les conséquences de tes actes. T'as la gueule dans le cul, t'arrives pas à faire un pas sans avoir la migraine. Tu vas tourner au paracétamol toute la journée pour être en forme pour demain. Malgré tout, tu prends la peine de préparer le petit déjeuner aux filles pour excuser ton comportement. Enfin, c'est pas comme si elles commençaient à avoir l'habitude malgré tout. La cafetière fait un bruit d'enfer. Tu regrettes presque tes actes. Tu termines la bouteille de jus d'orange à même le goulot, sans prendre la peine d'en remettre une au frigo parce que ça te sort du crâne. Tu fais cuire du bacon et tu fais griller du pain. Tu t'endors quelques secondes sur le comptoir et tout semble cramé mais, c'est pas si grave. Tu grattes le dessus pour ne pas que ça se voit et t'attaques ensuite aux oeufs. Ça tu gères plutôt bien. Tu sors des tasses à café tout en pianotant sur ton portable. La fille d'hier à apparemment eu le temps d'enregistrer ton numéro. T'es pas certain que ce soit une bonne idée que de lui avoir laissé soit dit en passant. @Julia Steiner

BEST ROOMMATE EVER @Jules Weaver — Julia, tu es matinale, tu es matinale alors que tu te couches assez tard. En fait, tu ne ressens pas tellement le besoin de dormir longtemps, comme tu n'as pas besoin de manger pour te rassasier, c'est peut-être pour ça que tu as une taille aussi fine malgré tes formes joliment dessinées. On va dire que la gamine au fond de toi, se nourrit de ses propres répliques sarcastiques qui ne cessent de fuser, et se repose de ses râleries à tout bout de champ. Car lorsque quelqu'un te rentre dedans par inattention, tu râles. Car lorsque tu n'obtiens pas ce que tu désires, tu râles. Tu es celle qui ajoute toujours son grain de sel, celle qui veut toujours inculquer ses propres règles, celle qui veut toujours plus, celle qui trouve toujours quelque chose à dire. Mais aujourd'hui, tu es plutôt de bonne humeur, comme depuis que tu as commencé récemment ce nouveau boulot dans lequel tu te plais. Alléluia vous direz ? Oui. C'est donc avec cette adorable pensée, que tu te lèves doucement de ton lit pour plonger tes pieds dans tes chaussons. Dehors, il faisait beau, mais un peu froid, même si l'hiver n'avait pas encore déposé entièrement son manteau blanc pour ton plus grand bonheur. Oui princesse, tu ne supportais pas vraiment le froid, tout comme la chaleur d'ailleurs. Oui. Julia, t'es le genre de fille qui se plaint que son café est trop froid, mais qui ne lèvera pas son royal fessier de sa chaise pour aller le réchauffer. Et pourtant, tu as des prétendants à la pelle. Tu te demandes toujours comment c'est possible avec ton sale caractère. Mais qu'importe, toilette du matin terminée, tu rejoins la cuisine en bâillant et en étirant tes bras... Sourire qui se fend immédiatement sur tes charnues à la vue du seul homme qui partage cette colocation. — Weaver ? Tu es bien matinale aujourd'hui ! Ton regard admire le chef-d'œuvre enfin si on peut appeler ça un chef-d'œuvre. — Franchement, toi et moi derrière les fourneaux, c'est dangereux. Heureusement que Jade est là. C'est à peine si tu ne crames pas tout et tu peux constater de jour en jour que c'est aussi son cas. — Par contre, toi t'as une mine qui tue, tu t'es levé du pied gauche ? Rire moqueur qui s'échappe de ta gorge, tu ne peux t'empêcher Julia. Et oui, le monde sait que t'as un sommeil profond, que ton propre réveil, tu ne l'entends guère.

On peut dire que tu as passé une bonne soirée. En ce qui concerne la nuit, tu restes mitigé. Quoiqu'il en soit, tu décides de t'excuser après des filles pour le bordel que tu as pu causé. Tu te mets à faire le petit-déjeuner ou du moins, tu essaies de le faire parce qu'on ne peut pas dire que tu sois le meilleur cuistot qu'il soit. Quelques minutes plus tard, c'est Julia qui te rejoint dans la cuisine alors que Jade dort encore... A moins qu'elle ne se soit éclipsée par la suite pour avoir gâché sa nuit, allez savoir ! Quoiqu'il en soit, tu secoues la tête à la réflexion de Julia avant de te rendre compte que ce n'est pas la meilleure chose à faire. Tu grimaces légèrement, reprenant la parole. J'avoue que je préfère manger ce qu'elle cuisine moi aussi mais... Goûte ça, je suis sûr que ce n'est pas si dégueu ! Tu glisses une assiette pain toasté, bacon et oeuf devant elle avant de lui servir un café et de t'en prendre une tasse par la même occasion. J'ai la gueule de bois. Je suis sorti hier. Je me suis fait engueulé par Jade parce que j'ai fait un bordel monstre en rentrant. Tu m'as pas entendu ? Julia est vraiment incroyable. Quand elle dort, rien ne semble pouvoir la perturber. Bref, je fais pas ça par plaisir t'imagines bien. Je fais ça pour m'excuser. Clin d'oeil adressé à la demoiselle qui sait tout comme toi que tu n'es pas un cordon bleu. @Julia Steiner

BEST ROOMMATE EVER @Jules Weaver — Assise comme si tu étais sur ton trône, avec ton visage si beau, tes traits si fins, ce charisme, cette élégance, et cet air de princesse dans tes yeux. Ah, Julia, la jolie petite femme si charismatique et pourtant si mystérieuse, si incontrôlable... À ce jour, tu es un mystère pour le monde entier. Un mystère qui endormit, devient une petite fleur vulnérable, mais qu'on ne peut pourtant pas cueillir. Les épines font mal et cette cuisine est la preuve que tu ne sauras jamais entretenir ce qui t'est cher. Jules, qui pourtant a préparé ce somptueux petit déjeuner pour vos beaux sourires Jade et toi, tu as quand même trouvé le moyen de lui lancer une petite vanne. — déjà, j'avoue que la vue me fait gargouiller le ventre. Mais en est-il de même pour le goût ? Jamais satisfaite la demoiselle. Regard qui suit chaque mouvement de ton coloc. Coudes qui se posent sur le comptoir et mains qui viennent se plaquer sur tes joues. Admiration. Un homme en cuisine est tout ce qu'il y a de plus sexy. Même s'il galère à te dresser cette assiette. — Tu espères conquérir mon cœur ou alors celui de Jade ? Où alors toutes les deux ma foi ? Sourcils qui froncent, alors c'est donc ça l'argument ? T'as rien entendu Julia, comme d'habitude. Princesse au bois dormant. — Je n'ai absolument rien entendu, je rêvais du prince des ténèbres. Les princes charmants ne sont pas tellement ta came. Toi, tu préfères les échecs, comme tous les grands-méchants dans les histoires. Les échecs, c'est un jeu de logique, de vice, un jeu malsain, un jeu que tu aimes. — Même si cette histoire ne me concerne pas, tu es tout excusé de mon côté. Le plus difficile sera d'avoir le pardon de Jade, si sa nuit a été un échec cuisant. Que tu exprimes en riant et saisissant les ustensiles pour goûter. Première bouchée. Pas mal du tout. Mais l'envie de le taquiner est plus forte. Tu grimaces, main que tu plaques contre ta bouche pour mimer un rejet d'aliments. — Oh mon Dieu Jules, c'est... !!!! Continuant ta petite comédie quelques secondes, tu finis par exploser de rire. — C'est délicieux, je te charie ! Les sourcils qui haussent machinalement, t'en reprends une autre bouchée. — Alors ? La meuf que t'as sûrement ramenée cette nuit n'était pas assez bonne pour que tu la gardes dans tes draps ?

Sourire aux lèvres quand tu vois Julia heureuse de pouvoir goûter à ce petit déjeuner de champion, tu ne peux t’empêcher d’être fier de toi et de te dire que tu n’es finalement pas le pire des colocataires qu’il soit. T’es pas un cordon bleu mais tu te débrouilles malgré tout et puis au pire, ça serait la volonté de bien faire qui serait soulignée. Tu secoues la tête quand elle te demande si le goût sera au rendez vous parce que tu es certain que le bacon prendra forcément le dessus et tu es sûr de la cuisson de tes œufs. Tu t’attaques alors au dressage sous ses yeux amoureux. Ouais ouais, t’es persuadé qu’à l’heure actuelle, elle est totalement en train de tomber amoureuse de toi à l’heure actuelle. Peut-etre les deux. J’espère que tu vas m’apporter mon petit-déjeuner au lit un de ces quatre avec tous les efforts que je fais pour toi. Tu lui adresses un clin d’œil avant de pousser l’assiette en sa direction : Regale toi bien ! T’en profites également pour voler un morceau de bacon que tu ne finis même pas, trop absorbé par la tête dégoûtée qu’elle décide de faire après la première gorgée. Pourtant t’as fait attention pour que Alva ne soit pas trop degueu. Au final, elle admet que c’est délicieux tout en rigolant parce que pendant une minute, t’es devenu livide en te disant que t’étais encore plus nul que ce que tu espérais. Aha très drôle mademoiselle ! Sache que c’est la dernière fois que tu me vois en cuisine si tu recommences ! Tu la menaces du bout du doigt avant d’esquiver un petit sourire. Tu t’installes en face, prends un tabouret pour goûter à ta préparation tout en faisant la causette à madame je veux tout savoir. Elle était trop bourrée. Et sûrement que moi aussi. J’ai même pas essayé au final. Tu hausses les épaules et décides de la taquiner à ton tour même si dans le fond, tu penses vraiment tes mots : Et puis, faut reconnaître que j’ai mieux à la maison ! Tu lui adresses un clin d’œil avant de remplir ta bouche. Une fois avalé, tu la relances : Alors ? J’étais dans ton rêve ? Ego surdimensionné bonjour ! @Julia Steiner

BEST ROOMMATE EVER @Jules Weaver — — Ah, j'vois, monsieur compte battre le record des cœurs volés ? Pourquoi pas ? J'te préviens, t'as en face un adversaire de taille ! Par contre, ne m'demande pas de mettre la main à la pâte parce que tu risques d'bouffer un petit dej cramé. Sauf si tu peux te contenter de sandwich et de fruits ? Ça, c'est réalisable ! T'es infâme lorsqu'il s'agit de cuisine, t'y peux rien si tu ne sais même pas comment te servir d'une poêle. Tu joues d'ailleurs la comédie pour lui faire croire que son plat est dégueulasse, mais en réalité, tes papilles s'émoustillent. C'est exactement comme ça que tu aimes le petit dej. Chaque bouchée te régale. — Si c'est pour avoir un petit-déjeuner comme ça tous les matins, je crierai haut et fort que t'es un vrai cordon bleu. Rire qui résonne dans la pièce, tu piques un petit morceau de bacon dans son assiette. Cependant, tes sourcils froncent lorsqu'il te met dans la confidence. Très étonnée qu'il ne se soit rien passé avec la demoiselle. — T'as mieux à la maison ? Tu parles de qui ? Parce que dans tes souvenirs, vous n'avez partagé qu'une seule nuit tous les deux. Contrairement à Jade et lui qui se font presque souvent des visites dans leurs chambres. T'es curieuse pour le coup. — C'est ton désir le plus fort ? Que tu sois dans mes rêves ? Comment répondre à une question par une autre version Julia. En réalité, oui, tu as déjà rêvé de lui après votre première nuit, mais est-il prudent d'en parler ? Tu ne veux surtout pas qu'il gonfle son ego et qu'il te provoque avec ça tout le temps. T'aimes bien avoir tes petits secrets Julia.

Après tout, t'es un mec qui a besoin de décompresser lorsqu'il n'est pas au travail. T'as deux colocataires charmantes alors, tu ne peux t'empêcher d'en profiter un minimum. Tu préviens Julia qu'en échange, t'aimerais bien qu'elle te serve un petit-déjeuner au lit un de ces quatre mais, elle ne semble pas emballée par l'idée. Tu grimaces légèrement en essayant de trouver une solution. Au pire, y a une boulangerie pas trop loin. Tu peux aller chercher quelques trucs avec tes petites jambes. Bien évidemment, tu la taquines et lui offres un clin d'oeil en rigolant pour lui montrer que tu n'es pas sérieux. Tu te contenteras donc de sa présence ! Heureusement, y a toujours Jade qui se débrouille en cuisine. Et toi apparemment, c'est pas si mal que ça ! Malgré tout, elle n'aura pas droit à ce traitement de faveur tous les jours non plus. T'auras jamais le temps ni même l'énergie. Sourire qui se dessine sur tes lèvres quand elle te demande des précisions sur tes propos, tu laisses planer un petit peu le mystère en décidant de ne pas lui répondre tout de suite. A l'heure actuelle ? Ouais, je crois que c'est ce qui me ferait le plus plaisir. Alors vas-y, balance Julia, quels sont tes plus grands secrets. Elle est trop mystérieuse la gamine, t'aimes bien creuser, savoir ce qu'elle pense de toi, qu'elle flatte un peu ton égo aussi. Bon après si je n'étais pas dedans... tant pis. Tu pourras toujours remédier à cela ! Tu souris bêtement avant de prendre une nouvelle bouchée de bacon. @Julia Steiner

BEST ROOMMATE EVER @Jules Weaver — Tu n'es pas douée pour faire de petites intentions Julia, t'es une fille, mais le romantisme et toi, ça fait deux. — Mh, avec ce petit-déjeuner copieux que tu nous as préparé, tu mérites vraiment que je me creuse les méninges pour toi ! T'sais quoi, j'vais même tenter de te préparer un petit-déjeuner digne de ce nom ! Toutes tes dents blanches s'alignent. Ton sourire laisse à désirer, tout ce que tu vas réussir à faire, c'est soit l'empoisonner, soit l'intoxiquer, le résultat sera le même, il finira à l'hôpital pour sûr. — À l'heure actuelle ? Pourquoi à l'heure actuelle ? Regard curieux. — Julia ne rêve pas souvent, encore moins des gars qu'elle fréquente. Ce serait beaucoup trop significatif et Julia n'a pas besoin de ça. Ah ben voilà que tu te mets à parler de toi à la troisième personne. En vrai, pour toi rêver d'un homme en particulier, serait la fin de ton règne, ça voudra dire que tu y es attachée plus que tu ne le voudrais. Et tu ne veux pas devenir sentimental Julia, te laisser berner par un homme ne fait pas partie de tes plans. Tu t'en empêches depuis toujours. — C'est-à-dire ? Il m'faut de l'inspiration pour que je rêve de toi. Sourire malveillant aux lèvres, comme si ton cerveau ingénieux mijotait encore quelque chose de mauvais. Et tu réfléchis.

Quand on te voit aux premiers abords, t'es un mec sûr de toi, souriant, charmeur. Tu déconnes, tu fais bien ton taff mais hormis cela, on ne peut pas dire que tu sois le mec le plus attentionné qui soit. Aujourd'hui, tu décides de faire une bonne action pour excuser ton comportement de la veille même si Julia ne semble rien avoir entendu. T'es adorable mais au pire tu sais, y a le Starbucks pas trop trop loin... Comme ça, elle risque pas de t'empoisonner avec une mauvaise cuisine. Vous discutez de tout et de rien. Tu essaies de savoir ce qui hante ses nuits. Rien de bien intéressant à partager apparemment. Tu hausses les épaules avant de rajouter : Pas forcément de mecs alors... peut-être que Julia rêve d'autres choses. Tu te mets à rire parce que si elle décide de parler d'elle à la troisième personne, toi aussi tu peux le faire. Quoiqu'il en soit, t'es plutôt ravi du petit déjeuner que tu as préparé. Tu te ressers même avant de faire couler un nouveau café et de remplir la tasse de Julia par la même occasion. Oublie ça. Y a déjà beaucoup trop de filles qui rêvent de moi sur cette planète. Ça risque de me perturber. Tu grimaces légèrement avant d'esquiver un sourire amusé. T'es insupportable ! @Julia Steiner

BEST ROOMMATE EVER @Jules Weaver — Toute bonne action mérite une récompense non ? Tu sais qu'il le mérite, Jules, ce n'est pas le gars le plus attentionné de la terre, mais il te fait quand même sourire. C'est déjà une marque d'attention sans le savoir. Regard de braise, flamme dansantes dans tes prunelles, tu accuses les vraies raisons de ce petit-déjeuner. — C'est juste pour te faire pardonner, Ouuuuu... C'est parce que tu n'as pas pu tirer ton coup hier, alors ce petit-déjeuner est une sorte de compensation ? S'ayez, tu fonces droits dans tes délires Julia. Mais t'en rigoles. Tes canines de vampire font surface. — Tu ne préfères pas mourir de mes mains ? Ce serait plus théâtral non ? Il touche un point. Tes rêves ? Julia, tu ne rêves que très rarement. T'as le sommeil paisible. Si tu étais ce genre de princesse de pacotilles, tu serais sûrement la belle au bois dormant. Dormante paisiblement sur ce lit qui pourrait devenir ton cercueil. — Comme ? Je serais le genre de fille à rêver de quoi ? Question que tu poses. Tu cherches toi-même la réponse. Tu veux te connaître. Parce que jusqu'à aujourd'hui, tu ne sais pas qui tu es réellement Julia. Ça te pèse contre la poitrine. Te pince la peau... — Que ce soit moi qui rêve de toi, te perturbera ? Douée pour retourner la situation en ta faveur. Mais tu es comme ça. Tu aimes bien provoquer. Taquiner. Ça va, tu n'es pas chiante comme meuf. Juste un peu...