@Astra Rothschild | Quelqu’un peut te dire pourquoi as-tu décidé de venir avec elle à cet événement d’Halloween ? Tu ne le sens pas trop. Tu la connaît Astra, tu sais qu’elle pourrait très bien avoir caché dans son sac à mains, un couteau pour te poignarder dans un coin sombre et faire passer ce meurtre sous le coup de la terreur nocturne qui plane dans ce labyrinthe maudit. Bon, peut-être que tu exagères un petit peu, mais elle peut être fourbe la belle blonde, ça tu le sais. La connaissant assez, tu sais très bien jusqu’où elle peut aller et comment elle peut être surprenante, par moment. C’est comme toi, tu peux très bien lui rendre la monnaie de sa pièce. « T’es certaine d’être prête ? Tu n’vas tout de même pas t’accrocher à mon cou à tous les coins, hum ? » Petite blague à part, tu lui donnes un léger coup de bassin, étant beaucoup plus petite que toi, avant de lui sourire à pleines dents. T'espère seulement qu'elle ne s'est pas poudré le nez ou encore avaler une petite pilule pour voir la vie en rose. Ce que tu peux détester lorsque les gens font ça. T'as assez eu de problème dans le passé avec les drogues...

with @Devon Van Allan Elle adorait le mois d'octobre, c'était l'arrivée de l'automne, mais aussi de la saison d'Halloween. C'était sa fête préférée et elle n'échappait jamais aux festivités. Lorsqu'elle avait entendu parler du labyrinthe installé en ville, elle n'avait pas à hésiter à faire la proposition à Devon. Pourquoi ? Elle en savait trop rien, elle ne cessait de se répéter qu'elle passait déjà bien trop de temps à ses côtés. Mais faut croire que c'était un mensonge qu'elle se faisait à elle-même, elle prenait bien trop plaisir à s'acharner. Mauvais coups et taquineries qui s'enchainent, guerre déclaré à présent depuis des années, c'était devenue comme un jeu pour elle, un jeu auquel elle était vite devenue accroc. Sourire accroché sur les lèvres une fois qu'elle entrait dans le labyrinthe à ses côtés, indemnisé du sentiment de la peur "grâce" à sa maladie, c'était le genre d'endroit qui l'amusait beaucoup plus qu'il pourrait l'effrayer. Oh, on peut parier si tu veux, j'suis certaine que ça va être toi le trouillard. Sourire en coin accroché sur les lèvres, elle parlait très peu de sa maladie, voir jamais, elle pouvait donc en profiter pour en jouer. J'me demande même qui va t'effrayer le plus ce soir, les monstres qu'on va trouver ou moi. Rire presque trop diabolique qui s'échappe, voulant se prendre au jeu de l'ambiance des lieux qui les entourent. Sourire qui reste accroché, silhouette féminine qui continue d'avancer et d'observer les recoins, déjà en quête du mauvais coup qu'elle pourrait lui faire.