naissance
dix août mille neuf cent quatre-vingt-dix-neuf à alep.

nom(s) & prénom(s)
khadra, malik.

nationalité(s)
syrienne-française.

origine(s)
syrienne.

orientation sexuelle
hétérosexuel.

statut amoureux
célibataire.

études
journalisme.

bourse
non.

statut social
dans la classe moyenne.

job étudiant
aucun.

maison
si tu as pendant un temps intéressé à l’idée de rejoindre une confrérie, tu n’as jusqu’ici jamais franchi le cap. être un student te va parfaitement jusqu’ici, mais qui sait, un jour peut-être…

sans exception, tu n’as pas manqué de passer les tests que t’as réussis haut la main. cependant t’as sûrement vu les choses en grand voir même un peu trop en postulant notamment à harvard sur un coup de tête. mais tu pouvais néanmoins compter sur tes résultats ainsi que sur ton travail acharné comme atout précieux pour peser sur ta candidature. trois. c’est le nombre exact de pages qu’il t’as fallu pour rédiger ton essay en dévoilant ton histoire, ta motivation et tes ambitions concernant l’avenir. l’entretien a été l’étape où tu as sûrement été le moins impressionnant. assez timide aux premiers abords, faut croire que t’as malgré tout réussi à trouver les bons mots pour convaincre le jury de t’accepter.

malik, il n’a jamais vraiment eu la prétention ni même l’orgueil démesuré que pouvait bien avoir certaines personnes qu’il a bien pu côtoyer dans sa vie. à vrai dire, il s’est toujours vu comme étant quelqu’un d’simple et rien d’autres. malik, c’est surtout c’mec qui ne fait jamais marche arrière dans tout ce qu’il entreprend. de nature détendu ne désirant aucunement s’prendre la tête peu importe la situation et le sourire constamment aux lèvres, sa bonne humeur est une bouffée d’air frais pour les personnes autour d’lui. il cherche seulement à profiter d’l’instant présent aux côtés des personnes dont il estime au plus profond d’lui. mais le jeune homme a cette carapace qui l’empêche de réellement montrer tout ce qu’il peut bien ressentir, que ce soit envers les autres ou simplement au fond de lui. comme si ouvrir son cœur était un péché. alors il se contente seulement d’être présent et leur venir en aide si il faut pour ceux qu’il aime réellement.

i. l’enfant d’alep, cette ville aussi bien connu pour son histoire que pour son caractère rendant parfois les hommes fous. elle est celle qui t’auras vu et entendu crier pour la première fois, cette même terre qui t’as vu naître pour le plus grand bonheur des tiens et grandir jusqu’à devenir l’homme que t’es en c’moment même. et bien qu’tu n’sois plus dans les parages, tu n’en restes pas moins attaché à elle ainsi qu’à ces souvenirs d’hier que tu chéris chaque fois que la nostalgie refait surface.  ii. tu es le fils aîné de la famille khadra auquel se joindra une petite sœur quelques temps après; tes parents ne sont réputé uniquement pour être un simple couple modeste. ton père gagnant honnêtement sa vie en tant qu’agriculteur en prenant naturellement la succession du géniteur et ainsi du terrain familial. ta mère quant à elle, cette femme au grand cœur qui vous aura inculqué à toi ainsi qu’à ta petite sœur les valeurs de respect et de tolérance.  iii. c’est donc sur la terre de tes ancêtres où tu grandis, passant la majeure partie de ton temps aux côtés de ton père, découvrant par la même occasion l’agriculture, comme si ce dernier préparait d’ores et déjà sa succession et de ces récoltes comme héritage. un avenir que tu as également accepté avec l’âge. iv. mars, deux-mille-onze. le printemps approche à grand pas, et les récoltes s’annonce plus que  jamais prometteuse. pour la première fois de ton existence, le paternel était heureux; tu en avais presque du mal à en croire à tes yeux. face à son sourire plus que fier lui qui n’avait jamais l’habitude de laisser transparaître ses sentiments et ainsi que ses yeux éblouis rivés sur la plaine et ses champs de blé à des kilomètres; tu pouvais voir là l’accomplissement d’un travail acharné mais par dessus tout; d’un rêve. celui de rendre fier les siens, lui s’étant juré de ne jamais souiller le patronyme khadra. il ne s’agissait désormais plus qu’une question de temps avant que l’abondance ne soit de votre côté. v. avril, deux-mille-onze. le printemps a finalement fait son apparition, au mauvais moment; la guerre civile faisant ravage sur tous les territoires ne laissant derrière rien d’autres sur son passage si ce n’est destructions et ruines. et au plus grand malheur de ton père, les champs n’ont guère été épargné par le traitement de celle-ci, et ce à seulement quelques jours du début des moissons. tu te rappelles encore de ton père après avoir fait de son possible pour sauver ses derniers espoirs avant de finalement renoncer en se rendant à l’évidence qu’il ne restait plus rien, à terre face à ses rêves envolés, et laisser les larmes de ce dernier exprimer sa peine sous vos yeux. les rêves du père parti en fumée du jour au lendemain et la guerre qui ne cesse de s’intensifier; un beau matin, ta famille et toi avez été contraint de devoir tout abandonner derrière vous et quitter vos terres natal pour votre propre sécurité, mais par-dessus tout vous assurer un avenir meilleur que ce que la syrie pouvait bien vous réserver.  vi. paris comme nouveau départ. cette ville dont tu as tant entendu parler à travers les ragots de ceux qui n’ont fait que l’idéaliser. et pourtant tout est si différent de là où tu viens.. mais ce sont bien là les contraintes pour une nouvelle vie. mais c’est bien loin des rêves de ces âmes romantiques, dans une atmosphère lugubres et dans les recoins sombres de la ville lumière où tu passes tes premières années, le quartier bondé de personne dans la misère à l’instar de ta famille. ton père n’a pour le moins jamais perdu espoir, jusqu’à enchaîner plusieurs boulots aussi ingrats les uns que les autres dans l’unique but de remplir les devoirs d’un père de famille et mari; celui de nourrir sa famille et trouver un moyen de sortir de là et retrouver la vie d’avant. vii. c’est en accompagnant ton père un beau matin dans cette pharmacie que tu fais la connaissance de ton oncle, la raison de cette visite était simple ; ton père avait besoin d’argent, il s’est donc tourné vers son frère pour un emprunt, chose que ce dernier a acquiescé sans la moindre hésitation. avant que la discussion ne se tourne vers toi, ton oncle faisant savoir que ton avenir était plus qu’incertain ainsi, et que la meilleure chose à proposer était qu’il t’adopte et ainsi te garantir ce dont ton géniteur est incapable d’assouvir. ego prenant un vilain coup suivi refus catégorique de ton père, repartant en laissant la raison de sa visite derrière lui. depuis ce jour, tu as vu une autre facette de lui que tu n’as jamais vu auparavant. tu te souviens encore de l’instant où vous êtes sorti de cette pharmacie, te saisissant par ses mains tes joues, les yeux dans les yeux en te promettant qu’il ne vous laissera jamais tomber. et puis malgré les heures de boulots interminables ne rapportant grand chose, il a fini par renoncer. et accepter finalement de te laisser auprès de ton oncle, devenant officieusement comme étant à ses yeux le fils qu’il n’a jamais eu. viii. en découvrant ce qui deviendrait ta nouvelle demeure, tu réalises tout de suite qu’elle était bien différente de ce que tu avais bien l’habitude de vivre. passant de ces endroits lugubres aux quartiers calmes que ça te faisait presque peur. t’avais enfin découvert et compris ce que les ragots te racontait sur cette ville durant ton enfance. seulement, la réalité est qu’elle n’est réservé qu’aux plus privilégiés, dont tu fais aujourd’hui parti en partie grâce à ton oncle et son épouse. désormais "fils" d’un couple gérants d’une pharmacie, ta vie d’avant semblait ne plus être qu’un souvenir lointain. grâce à eux, tu es un pré-ado comme tant d’autres. grâce à eux, tu as également pu reprendre tes études et te faire de nouveaux amis et vivre une vie des plus ordinaires, pour ton plus grand bonheur. rendant par la même occasion visite à ta famille lorsque l’opportunité se présentait, avant que le quartier ne soit complètement rasé à la suite à un incendie. les témoins affirment qu’ils en sont sortie indemne ce soir-là, mais qu’ils ne les ont plus revu dans le coin depuis cette tragédie. ix. le cycle du collège touchant à sa fin, le moment était parfait aux yeux de ton oncle, estimant être ce qu’il y a de mieux aussi bien pour eux que pour toi, qui n’était plus vraiment le même depuis le fameux dénouement, pour prendre un nouveau départ vers le continent américain, new york comme nouvelle maison, avant de prendre ton propre envol trois ans plus tard pour boston, peu après avoir été admis à harvard.

pseudo yac’ (cc c’est rerererererereremoi ui)
âge 21yo.
nationalité fr.
forum connu par... ça remonte hein
ILH, j'en pense quoi ? des souvenirs incroyable, toujours.
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avatar utilisé toni mahfud
crédits images vocivus (tumblr).
nombre de mots par rp 250-500 mots.
type personnage inventé
code bottin
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<span class="pris">TONI MAHFUD</span> <g1>-pris-</g1> @"Malik Khadra"