Le réveil a été difficile. Tu étais bien là, dans les bras de Morphée et dans ceux d'Isaie. Tu aurais donné n'importe quoi pour remonter le temps d'une ou deux heures mais cela est impossible. Tu t'es levé et as pris ta douche. Tu retournes dans la chambre à pas de souris, sur la pointe des pieds. Tu attrapes ton caleçon et l'enfiles rapidement. Petit coup d'oeil vers Isaïe, tu ne peux pas t'empêcher de sourire malicieusement. Avec un peu de chance, tu vas réussir à te préparer sans le réveiller. Après le caleçon, c'est au tour de ton t-shirt d'épouser ton corps. Sans un bruit, tu te mets à la recherche de ton pantalon. Il a dû se perdre dans la bataille.

w/ @Isaïe Bernadotte

Lorsque la fatigue m'a gagné, je tenais Leo contre moi. Lové contre mon torse, il était comme "à moi". Besoin de possession, inlassablement incorrigible. Forcément, son absence se fait ressentir dans le lit. Au petit matin et que mes yeux papillonnent en voyant ses bras enfiler son tee-shirt. * Shit * Retourné à cette longue semaine sans le voir, j'ai pas envie. Je lâche un soupir, essayant de trouver mes forces pour me lever du lit. je ne me cache pas de mon réveil. - Tu pensais partir comme ça, Pinault ? Mon corps vient se dresser près de lui, le tirant par les haches pour que son corps vienne rencontrer le mien. Ma main se glisse sur sa gorge pour ramener sa tête en arrière, mes lèvres venant souffler sur son oreille. - Je t'ai dit que je veux pas que tu partes. prince capricieux, je finis par entourer ses hanches de mes bras, pour l'emprisonner. - Viens au lit avec moi, bébé.

Mais où est ce foutu pantalon ? Tu grognes silencieusement, sans un bruit. Tu te redresses en entendant la voix d'Isaïe. - Non, je pensais partir sans te réveiller, c'est raté. Rendors-toi mon beau. Ton sourire s'élargit en le voyant se lever. De ton côté, tu ne lâches pas des yeux le sol en espérant y trouver ton pantalon. Te voilà basculé en arrière, enroulé par les bras musclés de ton amant. Tes yeux se ferment quelques secondes alors que ta tête se pose délicatement contre son épaule. - Isa ... il faut que j'aille en cours, soupires-tu. Son odeur parvient à tes narines. - C'est important... Ton visage se tourne vers lui, vers son cou. - Jsuis déjà à la bourre.

w/ @Isaïe Bernadotte

Je suis tel un aimant qui cherche celui qui l'attire. Ou un enfant capricieux qui ne veut pas laisser son jouet. si toutefois, il en était vraiment "un". Contre moi, je suis déjà prêt à m'emporter. Dans la chaire. La sueur. Il a beau me donner tous les arguments, je n'écoute pas. - Raison de plus si tu es déjà à la bourre, ça ne sert plus à rien. Mes lèvres s'écrasent rapidement sur les siennes avant de le pousser sur le lit. je viens m'asseoir à califourchon sur ses hanches. Je ne suis pas gêné de ma nudité, au contraire, j'ai envie qu'il me regarde. Je pose mes mains de part et d'autre de sa tête. - Accepte-le, bébé. T'es à moi et tu partiras pas comme ça. je ris. machiavélique capricieux.

- Je ne peux pas me permettre d'arriver en retard et tu le sais ... Si je rate cinq minutes de cours, je suis largué, que tu lances en rigolant, avec une pointe de vérité dans la voix. Les traits de ton visage se détendent alors qu'il t'embrasse. Tu n'es qu'un faible, Léo. Tu ne résistes pas aux attentions qu'il te porte. Tu rigoles encore alors que tu te retrouves sur le lit. Isaïe grimpe sur toi, tu t'efforces de fixer ses yeux et de soutenir son regard.

w/ @Isaïe Bernadotte

w/ @Isaïe Bernadotte