@Scott Guerin journée assez intense en cours aujourd'hui, je me remets rapidement dans le bain de la danse et j'aime toujours autant ça même si dans quelques mois je vais malheureusement devoir arrêter à cause de ma grossesse. ce soir je n'ai pas envie d'y penser et je n'ai pas envie de rester seule au penthouse de demyan. je vis à présent là-bas vu qu'il a emménager avec sa copine et que mon père m'a mis à la porte. je suis donc sortis au lord hobo, bar que je connais très bien. j'ai enfiler une jolie robe on ne sait jamais sur qui on peut tomber, puis je me rends au comptoir afin de me prendre un cocktail sans alcool bien sûr. je prends place en attendant ma commande regardant autour de moi si je vois une tête connue et mes yeux se posent sur toi qui entre dans le bar. nos messages me remontent en pleine tête et j'ai limite envie de me cacher sous le comptoir.

Décompressé. La rentrée à peine entamée et le planning déjà chargé. Etudiant en septième année d’archéologie, le programme se corsait. Ce qui n’était pas pour lui déplaire. Ayant des facilités, il avait tendance à tout trouver trop simple, mais cette année, promettait d’être différente. Challenge.. Alors, pour s’aérer l’esprit, il avait pris l’initiative de sortir au Lord Hobo. Pas la peine de prévoir quelque chose, il rencontrait toujours une tête connue. Scott faisait partie des gens qui avaient le contact facile. Peu importe l’endroit où il était, il y avait toujours une connaissance sur son chemin. A peine entrée dans le bar, il échange quelques accolades, avant de se diriger vers le bar et de la voir. Alba. Sur ses lippes, un sourire se dessine. En mémoire, leur conversation danse. Pas de malaise chez lui, mais chez lui, oui. Sans équivoque. Amusé, il se dirige vers elle. Traverse la foule jusqu’à s’assoir sur le tabouret conjoint. « Comme d’hab Sean. » Qu’il lance au barman, avant d’apposer ses iris sur sa voisine. « T’es toute seule ?»

@Scott Guerin je suis surprise de te revoir aussi rapidement même si c'est agréable bien sûr. je suis avec mon verre de ce cocktail du jour qui a un goût de fraise très bon d'ailleurs quand tu viens te poser à mes côtés en demandant au barman comme d'habitude. tu me demande ensuite si je suis toute seule et je hoche la tête oui j'aime bien sortir seule dans des bars parfois et toi ? ça me permets de décompresser. le barman revient avec ta commande tu as commander quoi ? que je demande curieuse en te regardant. en espérant que tu ne me demande pas à nouveau pourquoi je ne bois pas d'alcool sinon je serais contrainte de te mentir encore.

« Seul, mais y a toujours moyen d’croiser du monde. » Comme elle. Alors, que le barman lui ramène sa boisson, le brun observe son interlocutrice. Volontairement, il laisse le silence s’étendre, tandis que le rose colore les pommettes de la jeune femme. Il s’apprêtait à poser une question quand elle le devançait. « Une bière » On était en pleine semaine et il préférait commencer soft. Sans compter que plus tard, il comptait se plonger dans ses cours. Prenant une gorgée, il se décide finalement à poser la question qui avait traversé son esprit un peu plus tôt. « C’est moi ou t’as l’air gênée ? » Comment volontairement mettre mal à l’aise quelqu’un. Il faut dire qu’il y prenait un malin plaisir. Une des grandes passions de Scott, consistait à user de ce genre de pratique. Cela lui valait au moins le mérite d’être honnête et de percer les abcès. Tranquillement, il continue de boire. Observant au passage la jeune femme. Iris malicieuses.

@Scott Guerin exactement c'est ce que je me dis toujours à chaque fois que je sors seule je me dis toujours que je rencontrerais sûrement quelqu'un que je connais ou que je vais apprendre à connaître aussi. tu me dis ensuite que tu prends une bière, pour ma part toujours le cocktail sans alcool parfois je me dis que c'est long de ne pas pouvoir prendre un petit verre d'alcool mais c'est pour le bien du bébé qui grandis en moi. tu me demande si c'est toi ou si j'ai l'air gênée ok tu rentres tout de suite dans le vif du sujet hm non ça va pourquoi je serais gênée ? que je dis en te regardant, malheureusement tu me connais donc les expressions de mon visage pourrait me trahir. mais je ne sens pas encore les joues qui prennent feu, mais jusqu'à quand ? car tu aimes taquiner tu l'as toujours fait. je bois une gorgée de mon verre et je repose le regard sur toi je pense ce que j'ai dis par messages tu sais

« J’sais pas. A toi de me le dire. » Il a une petite idée de la cause. Quand à savoir s’il affabulait, il n’y avait qu’à voir son visage. Au rose qui envahit ses pommettes, alors qu’elle lève son visage vers lui. À ses iris qui se font fuyantes. Enfin, l’allusion à leur échange. Aux messages qu’ils s’étaient envoyés. Scott garde le silence. S’abreuver de sa bière comme pour gagner de précieuses secondes. De réfléchir à la connerie qu’il pourrait balancer pour cacher sa propre gêne. Pour éviter de penser à ce qu’aurait pu être leur couple s’il avait su son passé avec les hommes. Si elle serait restée. Mais surtout, si lui-même l’aurait retenu. Pourtant, il déteste ça. Ressasser le passé. Rester coincé. « T’voulais juste soulager ta conscience ou t’as autre chose en tête en me disant tout ça ? » Bière déposé sur le bois.

@Scott Guerin je ne vois pas non plus que je dis en riant légèrement, de toute façon mon visage rrahis clairement mes émotions je deviens rouge facilement et le pire c'est que je n'arrive pas à contrôler ça. j'aimerai bien ne rien laisser paraître, mais mon visage en a décider autrement. soulager ma conscience ? que je demande curieuse de savoir pourquoi je te dirais tout ça pour soulager ma conscience, je ne porte pas un poids. peut-être que c'est juste la vérité non ? je te regarde dans les yeux. depuis que l'on se revoit j'ai des flashbacks de nos moments ensemble, moments câlins, moments de rire et je me demande toujours si je t'avais avouer mon passé avec les hommes comment on aurait finis tous les deux ? tu aurais été la pour moi jamais dans le jugement, mais j'avais trop peur de ça. mais je n'aime pas avoir ces questions en tête sans réponses ça me perturbe trop depuis quelques jours.

Son rire. Il illumine son visage. Accroche l’attention du brun. Parmi une foule, il l’aurait remarqué. La solaire Alba. Toujours égale à elle-même. « Ouais, mais t’aurais pu l’dire avant. » Comme si le temps qu’elle avait mis pour le lui dire, avait de l’importance. Le goulot porté aux lèvres, il boit une lampée. Rive ses émeraudes sur la blonde. Autour d’eux, la musique se fait forte. Emplis leur sens. Pendant de longues secondes, il garde le silence. Observe sans détour celle qui avait été bien plus qu’une amie. Puis enfin, il reprend la parole. Laisse les questions de côtés pour se concentrer sur l’instant présent. « T’racontes quoi ? Les études ça s’passent ? » La rentrée avait commencé il y a quelques jours et déjà, le campus était en ébullition. Entre les devoirs à rendre, les projets etc.

@Scott Guerin ma peur des hommes ou le fait que je te veux à nouveau dans mon lit ? que je demande en te regardant droit dans les yeux avant de poursuivre la peur des hommes on en a déjà parler par message c'est délicat oui.. et le fait que je te veux à nouveau dans mon lit je voulais savoir si tu étais réceptif avant de tenter je termine mon verre d'une traite je peux c'est sans alcool de toute façon, mais ça tu ne l'a pas remarquer alors je feins une petite grimace. tu contourne ensuite le sujet pour me parler des études, peut-être que ça te mets mal à l'aise et je peux le comprendre c'est intense la danse, mais je me donne toujours à fond et toi ça se passe bien ? la confrérie est top cette année pour le moment ? je sais que tu fais partie de la dudley house.

Direct Alba. Et ça lui plait Scott. De la voir délier sa langue. Dire ce qu’elle pense. « Tu devrais pas attendre que l’autre soit réceptif. T’peux pas vraiment l’savoir. Alors qu’est-ce que t’as à perdre à l’dire directement ? » La vie était trop courte pour s’encombrer de détails. De retenue. A quoi bon ? « Toujours. » Il avait de la chance Scott. Il excellait dans son domaine. Et sa mémoire auditive était une précieuse alliée. « Ça s’passe. Y a d’bonnes recrues. » On avait toujours une appréhension à l’arrivée de nouveaux membres. Pas de stress, mais plutôt de devoir se coltiner des personnes qui ne correspondraient pas à l’esprit de la confrérie. Qui la dénaturerait. Déposant sa bière sur le comptoir, le brun attrape une de ses mèches. « Tu m’montres comment tu danse ? J’suis pas sûr de m’en souvenir. »