@Scott Guerin ce soir j'ai encore ambiancer la boîte de nuit le royale et ça me fais tellement du bien depuis que je suis revenue je retrouve mes platines. j'aime tellement ce que je fais, ça ne plaît pas à ma famille mais ça me permets de bien gagner ma vie donc c'est le principal. en sortant de la boîte de nuit il est 2h du matin, je prends ma voiture et je prends la route de mon appartement. jusque la tout vas bien jusqu'au moment où je sens que ma voiture a un problème. oh non ne me lâche pas ! que je dis envers ma voiture. je me mets sur le côté et j'essaye de la redémarrer comme il se doit, mais rien ne se passe. je sors de ma voiture et je commence à pester dans tout les sens, j'y connais rien en voiture moi.

Illumine son ovale, la lumière jaunâtre de la lampe de bureau. La Dudley House en silence, Scott commence déjà à organiser son planning pour la rentrée. D’extérieur, les gens peuvent avoir un avis bien tranché sur sa personne. Pensant ainsi, que le peu d’effort est fourni. Que l’homme préfère les à côté de l’université. Ce qui est tout sauf vrai. Il sait la chance qu’il a d’être ici. Aussi, son travail est acharné, même s’il n’en dit rien. Préférant travailler en nocturne. Loin des regards indiscrets. Après tout, il avait une réputation à tenir. Celle de l’ombre légère. Qui s’amuse et se moque de tout. Distraction. Elle s’infiltre dans son esprit. Une simple envie de boisson énergisante. Une envie qui suffit pour l’arracher de sa studieuse nuitée. Attrapant au passage les clés de sa voiture, le brun part en quête de la précieuse boisson.

Silhouette familière. La gamine s’agite dans l’obscure ruelle. Accrochant la lumière d’un réverbère, sa chevelure dorée attire l’œil. Le visage découvert, il reconnaît Alba. Aussitôt, un sourire goguenard étire ses lippes. « Toujours aussi charmante. » La voiture arrivée à sa hauteur, Scott avait abaissé sa vitre. Les iris pétillantes de malice, il laisse l’ironie prendre possession de ses traits.

@Scott Guerin je porte la poisse ce n'est pas possible autrement. je viens de terminé mon travail et je m'attendais à rentrée tranquillement chez moi au lieu de ça me voilà sur le bord de la route avec ma voiture en panne. je n'y connais rien en voiture je vais devoir appeler une dépanneuse, je commence à sortir mon téléphone de ma poche quand j'entends une voiture approchée et une voix d'homme se fait retenir trace ta route pervers que je dis en soupirant. puis je relève les yeux et je te reconnais, scott un petit rire s'échappe de ma bouche désolée, j'ai cru que c'était un autre mec. tu m'aides ? que je demande en te faisant un petit sourire. tu dois t'y connaître toi en voiture, ok c'est cliché mais la plupart du temps les mecs connaissent mieux ce genre de choses. je te fais même mes petits yeux pour que tu craques, sortes de ta voiture et vient me sauver de ma panne.

Pervers. Amusé, un léger ricanement quitte ses lèvres. C’est que le tempérament de la jeune femme a toujours été une véritable attraction. Quand ils se fréquentaient, Scott n’hésitait pas à la faire sortir de ses gonds juste pour le plaisir de la voir râler. Un peu maso l’garçon. « J’sais pas si tu l’mérite. Tu reconnais même pas ma voix. J’suis déçu. » Il laisse les secondes s’étioler, avant de finalement obtempérer. Soupire exagéré. « Mais j’vais faire comme si de rien n’était. Juste parce que c’toi. » Garant sa voiture en créneau devant la sienne, le brun finissait par rejoindre l’étudiante. « Déverrouille le capot. » Le visage devenu soudainement plus sérieux, l’homme se positionne devant en attendant qu’elle s’exécute.

@Scott Guerin il faut que tu me fasse me remémorer ta voix un peu plus souvent alors comme ça je la garderais en tête que je souris amusé. je sais que tu as toujours été du genre taquin avec moi et je te le rends très bien car ça m'a toujours amusée. oh merci ! je sautille limite sur place toute heureuse que mes petits yeux ont marchés pour que tu puisses m'aider. heureusement que tu ne décides pas de me laisser dans ma merde, j'aurais dû appeler une dépanneuse et j'aurais encore attendu plusieurs minutes ici, seule. tu te gare devant moi et tu me demande ensuite de déverrouiller le capot, je m'exécute et je viens me positionner à tes côtés allumant ma lampe torche de mon téléphone je te donne un peu plus de lumière pour t'aider je te souris, au moins je sais faire ça.

« Moi qui m’croyais inoubliable.. » Capitulant, l’homme ne tardait pas à la rejoindre. Il est presque attendrie en la voyant sautiller comme une gamine, mais comme à son habitude, seule ses pupilles le trahissent. Les boots foulant le bitume, Scott se positionnait face au capot. Une fois ouvert, il fut rejoint par la douce Alba. A la lumière de son gsm, elle éclaire le moteur. On ne peut pas dire que l’étudiant est un professionnel en mécanique, mais il connaissait les bases. Alors par précaution, il commençait par un basique : contrôler le fusible du démarreur. La pièce ne coûtait rien, mais pouvait être la cause d’une voiture qui refusait de démarrer. Tirant dessus, il en observait les finitions. «  J’suppose que t’as pas de fusible de secours dans ta caisse. » Se tournant vers elle, il braquait des iris sur son ovale. « Le fusible du démarreur à cramé. »

@Scott Guerin tu l'as été pour autre chose rassure toi que je dis en riant légèrement. finalement tu acceptes de m'aider et heureusement car je suis une vraie quiche en terme de voiture, de mécanique très peu pour moi. je déverrouille le capot de ma voiture, puis je te rejoins en allumant la lampe torche de mon téléphone heureusement que ça existe ce genre de trucs. de fusible de secours ? alors la ça ne me dit rien non ! j'ai juste une roue de secours je hausse les épaules, ouais je ne me balade pas avec autre chose dans ma voiture. tu me dis qu'un fusible a cramé et je soupire oh super il fallait que ça m'arrive.. j'appellerais une dépanneuse alors et la voiture ira faire un tour au garage.

Les mots sortent avec innocence de ses lèvres. Mal interprété , elle pouvait donner lieu à toutes sortes de significations. « Pour autre chose hein » Énigmatique expression sur l’ovale, l’ironie finit pourtant par reprendre le dessus. Se penchant sur le moteur, l’origine de la panne ne tardait pas à être découverte. Rien de drastique en soit. «  Dramatise pas. Ça coûte une misère en magasin. T’auras juste à l’changer toi même. » L’ombre imposante, l’homme se tourne vers la jeune femme. « J’te ramène. » Ce n’était pas une question. Juste un fait. « T’peux remercier ta bonne étoile, c’est ton jour de chance. »Lui intimant de se reculer, l’homme refermait le capot. Claquement qui résonne. La ruelle est à nouveau plongé dans le silence. Sans vie. Seul leur silhouette témoigne d’une présence.  

@Scott Guerin oui pour autre chose, mais je vais garder ça secret que je dis te faisant un petit clin d'oeil, nouvelle taquinerie envers toi ça me permets de décompresser au vu de ma situation actuelle. a le changer moi même ? dois-je te rappeler que je suis nulle en voiture je te regarde en me pinçant les lèvres, je n'y connais absolument rien là dedans moi du moment que ça roule ça me va très bien. tu me dis ensuite que tu me ramène et he hoche la tête merci je préfère oui je préfère ça que de rentrer chez moi à pied seule dans la nuit. je l'ai déjà fait, mais je n'étais pas sereine. c'est plutôt toi que je remercie ! merci scott ma bonne étoile je te souris et je viens déposer un baiser sur ta joue avant de refermer ma voiture et de l'abandonner ici pour le moment. je viens ensuite prendre place dans ta voiture vu qu'il commence à faire frais dehors.

« Dommage. Moi qui espérais qu’tu partages. » Sourire en coin sur les lippes, l’homme se détourne d’elle pour examiner son moteur. La cause de sa panne trouvée, il l’en informe. Aussi, sa réaction ne l’étonne pas. Les yeux levés au ciel, il soupire. « Abuse pas. T’as juste à foutre un truc comme ça » Tourné vers elle, il brandit le minuscule fusible. « Mais s’tu veux je m’en occuperait. » Plongeant l’objet dans une des poches de son jean sombre, l’homme reprend, tout en fermant le capot. « T’sais que t’as pas besoin d’ça pour m’voir. J’sais que j’te manque, mais quand même, t’pourrais être plus crédible. » Redevant sérieux, il se propose pour la ramener. Suite logique étant donné le lieu et l’heure. Rapidement, les deux protagonistes finissaient par rejoindre l’habitacle chaleureux de son Audi. Cadeau du papy barge. « Au fait, t’comptais faire quoi si j’étais pas passé par là ? Continuer de gesticuler devant ta voiture ? » Les lèvres moqueuses, il appose son regard sur elle, tout en démarrant la voiture.