naissance
Né le douze mars 1996 à Los Angeles dans l’état de Californie. Ses parents travaillaient et vivaient dans cette ville, c’est ici qu’il a vu le monde pour la première fois et qu’il a grandi.

nom(s) & prénom(s)
Juan Adrian Medina, Juan un prénom typique mexicain pour faire honneur à ses origines provenant de sa mère. Adrian, un prénom que son père aimait tant.

nationalité(s)
Il est de nationalité Américaine, grâce à sa mère il a pu posséder également la double nationalité. Il est donc américain et mexicain, comme sa mère suite à son mariage avec Monsieur Médina.

origine(s)
Le sang mexicain coule dans ses veines, toute sa famille maternelle vient du Mexique. Du côté paternel, il sait qu’il a des origines anglophones. Un réel mélange qui fait de lui, une personne unique en son genre.

orientation sexuelle
Hétérosexuel, il n’a jamais été attiré autre que par les femmes.

statut amoureux
Son métier à fait qu’il n’a jamais réellement trouvé chaussure à son pieds. Il a cette étiquette qui lui colle à la peau, et il ne trouve pas la femme qui acceptera de le voir partir pendant six mois, et de l’attendre sagement à la maison. Juan a toujours été célibataire, enchainant les petites relations de quelques semaines.

statut social
Dans la moyenne, il n’est pas riche, il n’est pas pauvre pour autant. Son travail lui permet de vivre tranquillement, parfois les fins de mois peuvent être compliqué ou pas. Cela dépend si il est sur base, ou en mission, le solde n’est pas le même.

emploi
Militaire depuis l’âge de ses dix-sept ans, il s’est engagé volontairement dans l’US AIR FORCE. Un métier qui n’est pas simple, mais qui est devenu une passion, pas une obligation. Il est fier de porter le drapeau de son pays, de le défendre. Il sait qu’il risque sa vie, mais pour le bien de son pays.

Déjà petit tu n’en faisais qu’à ta tête et ça ne s’est pas arrangé avec le temps. Tu as toujours eu cette esprit libre, cette envie que personne ne te dicte ce que tu devais et ne devais pas faire. Tu as fait ce choix de prendre cette opportunité et de pouvoir être quelqu’un au sein de l’armée. Ce courage, pas tout le monde là, mais tu es ainsi, tu as besoin de cette adrénaline pour avancer et pour te sentir bien. Tu es ce petit gamin qui avait un paquet de rêves et qui a décidé un jour, de réussir ses rêves et de pouvoir être heureux. Alors, tu t’es donné les moyens que tu pouvais pour y arriver, que ça plaise ou non à tes proches.

La liberté, c’est bien un mot qui te représente totalement, la spontanéité, un défaut comme une qualité. Il est vrai que tu vas répondre du tac au tac, sans même réellement réfléchir aux conséquences par la suite, comme pour tes actes. Tu es une personne qui n’a pas envie qu’on lui dicte ce que tu dois faire (en-dehors du travail bien évidement). Un peu tête brulée sur les bords, tu n’as jamais eu peur du danger, ce besoin d’adrénaline pour être toujours plus fort, aller toujours plus loin. Tu es un peu une force de la nature, toujours repousser tes limites, ne jamais baisser les bras et toujours trouver de quoi positiver. Clairement, tu es le rayon de soleil de ta compagnie, toujours à trouver les mots justes, à faire rire et oublier les malheurs des uns et des autres. Oui, tu penses au bonheur des autres avant le tien, mais tu aimes quand tu vois les gens heureux, tu es une personne très solaire, tout le monde le dit. Cette gueule d’ange qui parfois cache bien son jeu, un peu trop sanguin, un peu trop nerveux. Oui, souvent ça explose dans ton cerveau, ton coeur qui s’emballe et l’envie d’y aller coûte que coûte. Tu travailles sur ça, même si c’est pas le plus simple, mais tu sais que tu finiras par y arriver. Jaloux, possessif, séducteur, dragueur, enfin toute la panoplie qui va très bien avec l’uniforme !

anecdote une Né à Los Angeles, qui ne rêverait pas de vivre dans cette magnifique ville ? Tu es arrivé après neuf long mois où ta mère cochait sur un calendrier chaque jour qui passait. Ta chambre était prête déjà depuis plusieurs mois, une baby shower avait été faite pour indiquer ton sexe aux proches de tes parents. Pour faire simple, il ne manquait plus que toi pour que la famille de tes parents soient parfaite. Tu es arrivé comme une fleur le douze mars 1996 vers les 18H35, l’heure du repas ! Un accouchement qui s’est passé en délicatesse et correctement, sans embûche particulière. anecdote deux Tu as grandi dans une magnifique villa, dans un quartier un peu huppé. Tes parents travaillaient dur pour pouvoir subvenir à tes besoins, ils n’ont jamais rien lâché. Même pendant les moments difficiles, tu peux être fier d’eux et les prendre comme un exemple. Ton père est le PDG d’une entreprise dans la micro-technologie, tu n’as jamais réellement compris le but, tu savais juste qu’il vendait des pièces pour des entreprises dans le médicale et également dans l’armement. Quant à ta mère, une brillante avocate, défendant en général les accusés, un métier qui n’est pas vraiment simple, mais qu’elle aime plus que tout. Pour faire simple, il n’a jamais manqué de quoique ce soit, ses parents gagnent très bien leur vie. anecdote trois C’est durant son enfance qu’il a rencontré Kenzo, c’est devenu son meilleur ami. Il n’a malheureusement pas eu de chance dans sa vie contrairement à toi. Sa mère n’était plus venu le chercher un jour qu’il était chez toi pour jouer et échanger un bon moment. Depuis ce jour, tu ne l’as plus jamais quitté, tu le considérais un peu comme ton propre frère, un amour qu’on retrouve pas une seconde fois. Il est ta plus vieille connaissance, une rencontre dans les bacs à sable, et tu as toujours gardé ce contact. Même avec le temps, la distance ne s’est pas réellement créée, c’était une réelle amitié, la seule, la vraie. anecdote quatre Les années sont passées et c’est en 2011, quand tu avais quinze ans que tu as du déménager pour te rendre dans l’état de New-York pour le travail de ton père. Un changement radical, le paysage était bien différent, la population, les coutumes et l’état d’esprit également. Ça n’avait pas été un changement très simple pour toi, mais tu n’avais pas eu d’autre choix que de t’y faire. Heureusement que tu avais cette faculté à te faire des nouveaux amis, gardant toujours contact avec Kenzo via e-mail, téléphone etc. anecdote cinq Tu as rencontré cette jeune femme via l’école, mais également de ton nouveau groupe d’amis. Flora, cette demoiselle qui a réussi à te faire tourner la tête en seulement quelques semaines. Une amitié qui s’est poursuivi et qui a vite changé d’allure. Malheureusement, cette demoiselle ne plaisait pas à tes parents, trouvant qu’elle te tirait plus vers le bas que vers le haut. Ils faisaient tout pour que tu ne sortes pas avec elle, que tu passes le moins de temps possible. Alors, à la suite de ces événements, et contre toute attente, un accord parfait, une relation secrète. Une relation intense,  tu étais tellement bien avec elle, le coeur qui s’emballe quand tu te retrouvais près d’elle. Relation qui s’est terminée quand tu lui avais avouer que tu partais à l’armée, que tu avais réussi les tests et que tu prenais ton poste en septembre 2013. Un désaccord total, une engueulade qui avait duré des longues heures pour finalement se terminer, tes parents n’en revenaient pas de cette décision. Mais elle te revenait, il était trop tard pour faire marche arrière, tu t’envolas pour Boston. anecdote six Les premiers mois n’étaient pas simple, bien au contraire, mais pourtant tu as tenu bon, tu as serré les dents et tu as continué. Tu as ce caractère fait pour l’armée, c’était une certitude et plusieurs de tes chefs l’avaient dit. Plus le temps passait et plus la difficulté s’envolait, tu passais ton temps à faire du sport, tu t’entrainais au tir, passant des nuits sur les terrains. Tu n’avais pas beaucoup de temps pour toi, la première année fut rude et pourtant, tu appréciais. C’était la meilleure chose que tu avais pu choisir, t’engager dans l’US AIR FORCE. Tu retournais voir ta famille et tes amis dès que tu avais des vacances, jusqu’au jour où le grand départ arriva. Une mission extérieure, six mois en-dehors du pays, direction le Mali. anecdote sept Le départ fut compliqué, les pleures de ta mère, un long message envoyé à Flora après des mois sans aucune nouvelle de sa part. Un simple message pour la remercier de ces mois avec elle, de ce qu’elle t’avait fait devenir. Mais surtout le fait qu’elle devait prendre soin d’elle, de ne jamais douter d’elle et qu’elle deviendrait une merveilleuse femme. Tu t’es envolé par la suite, des longues heures de vol, un sommeil entrecoupé, la musique dans les oreilles. Les jours sont passés, les mois les uns après les autres. La boule au ventre, mais cette mission s’était bien passée dans l’ensemble. Il y avait eu des moments forts, des moments plus creux. Tu avais reçu lors de cette mission, une lettre d’une jeune correspondante, écrivant pour permettre de faire passer un peu le temps aux militaires sur le terrain. C’est comme ça qu’une relation bien particulière s’était créée. anecdote huit Tu grandissais toujours un peu plus, devenant une autre personne. Tu continuais de rendre visite à tes proches, tu te forgeais un caractère plus solide, un corps d’athlète. Tu voulais évoluer au sein de l’armée et tu comptais y arriver, rien ne pouvait t’en empêcher. Tu as eu quelques flirts, quelques relations le temps que tu sois sur base, mais grand amateur de mission, dès que tu pouvais, tu partais. Au bout de ta quatrième année, tu passais caporal, entre tes missions réussies, ton bon travail en base arrière, tu méritais ce grade et tu comptais bien continuer sur cette lancée. Un vrai militaire dans l’âme, tu avais décidé de vivre en-dehors du camps, c’est pour cette raison, que tu avais pris un grand logement pour accueillir des colocataires. N’étant pas là pendant plusieurs mois dans l’année, il faudrait bien quelqu’un pour s’en occuper. anecdote neuf Dernière mission en date, le retour fut très compliqué. Le visage tiré, creux, la tête totalement ailleurs, tu venais de perdre ton meilleur allié. Une embuscade qui avait coûté la vie à plusieurs de ses coéquipiers, une douleur intense au niveau de la poitrine. La tête ailleurs, il était impossible pour toi de penser à autre chose. Les funérailles étaient le plus dur, accepter ce départ, lui espérer qu’il sera en paix la-haut. Depuis, tu n’es pas encore repartie, tu es passé Sergent, mais tu es encore suivi psychologiquement, car dans le fond, tu es détruit. Tu ne passes pas une nuit sans y repenser, sans revivre cette scène. Plus d’une fois tu t’es mis à hurler en plein milieu de la nuit, le corps tremblant, suant à grosse goutte. Tu es loin d’être soigné, mais tu sais qu’il faudra y retourner.

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