@Timothée de Navarre - Accolé à ma fenêtre, main qui presse l'entrejambe en espérant que ça se calme, je me sens défaillir lorsque je vois sa silhouette qui entre dans le bâtiment. Il est vraiment là. Plus réel, je meurs. Je n'entends pas l'interphone, j'attends de longues minutes en espérant qu'il le fasse mais c'est le bruit de la porte qui claque. Il se souvient de tout ? Après tout ce temps ? Je sors de ma chambre et mes yeux détaillent le français. " Tim... " je murmure à son égard. ça me fait bizarre de le voir. Cette ambiance est si douce par rapport au dernier souvenir de nous deux. Et pourtant, ça ne me fait rien le passé. Dans le sens, je n'ai pas de rancoeur. A cet instant, je n'ai que du désir qui fait pulser chacun de mes muscles. Mes doigts serrent l'embrasure à m'en blanchir les jointures, mes joues rougissent... A cet instant, je n'arrive plus à assumer tous ces messages, toutes ces provocations. Et pourtant, j'ai envie d'être à lui. " Sa... Salut... t'es encore plus beau... que dans mes souvenirs. " parce que j'ai tout tenté pour l'oublier. je ne pouvais pas faire autrement.

@Timothée de Navarre - Je déglutis en le voyant me sourire et surtout, face à une réponse qui me donne encore plus le feu intérieur. Ce n'est plus seulement les détails de son physique mais aussi les évidences de mon attirance pour lui. Son charme, j'en suis toujours aussi faible. " J'ai essayé de me persuader que tu étais moche pour ne pas regretter. " de ne plus être avec lui. parce que je dois l'avouer, j'ai besoin de sortir avec des hommes qui sont beaux. ils ont toujours été des sportifs, des hommes de charisme. Et Timothée n'y fait pas exception mais il est très différent tout de même. je sens ma respiration qui se coupe petit à petit qu'il se rapproche, qu'il me touche. " pas vraiment. " plutôt complètement. par message, j'ai toujours un peu d'assurance. Mais là, en réel, c'est une autre histoire. Je ferme les yeux. " c'était il y a longtemps. " alors qu'il venait de me souffler quelques mots, j'approche mon visage du sien, le frôlant sans l'embrasser. " fais-moi l'amour, Tim... " mes deux mains se posent sur le bord de son pantalon, caressant les coutures sans aller plus loin.