@Arthur Rothschild on se rapproche toujours petit à petit, ce n'est pas évident on a subis le même traumatisme mais tu n'as jamais rien fait contrairement à moi même si j'avais besoin de l'alcool comme placebo. on y va à ton rythme et jamais je ne pourrais te forcer à aller plus vite c'est juste inconcevable pour moi. ce n'est pas pour le sexe que je t'apprécie sinon je ne t'aurais pas demander à devenir mon petit ami. ça fait bizarre encore de se le dire. je me repose à califourchon sur toi, remémorant la soirée de la dernière fois. forcément notre proximité me la rappelle toujours. un nouveau baiser passionné que tu prolonges et je sens tes mains se poser directement sur ma peau ce qui me donne des frissons. nos langues jouent ensemble et je me colle un peu plus à toi. j'ai vécu tellement de choses aujourd'hui que j'ai besoin de toi, des tes mains sur ma peau, de tes lèvres sur les miennes. je veux me sentir désirée, je veux de l'attachement. je passe une main sur ton torse jusqu'à soulever un peu ton t-shirt aussi pour passer en dessous et caresser ta peau.

Je veux profiter encore ce soir de notre rapprochement. On est en couple. Je me sens juste bien avec elle. Je ne veux plus me séparer de ses lèvres. Cette sensation est vraiment trop bonne. Je finis par m'asseoir sur le canapé lit en l'attirant avec moi, pour qu'elle se retrouve à califourchon sur moi. On se colle l'un contre l'autre. Mes mains passent doucement sous son haut pour pouvoir toucher sa peau de mes mains. Je caresse son dos alors qu'on s'embrasse passionnément. Je sens ensuite ses mains se glisser sous mon t-shirt et je frissonne à cette sensation. Attends... Que je dis ensuite pour m'éloigner légèrement et pouvoir retirer mon t-shirt. Autant la dernière fois je l'étais, mais on était un peu dans le noir, là il fait claire. Je lui souris pour ensuite retourner l'embrasser un petit temps. Tu veux que j'enlève le pantalon ? Ou je te laisse faire ? Que je finis par demander en la regardant.