elle pédale sur quelques mètres et voit que finalement elle est parvenue à arranger la chaîne. sa satisfaction qui la déstabilise, au point d’en oublier qu’elle était pas sur le bon chemin avant de s’arrêter. puis elle se souvient ève, après quelques mètres elle se rappelle qu’elle était pas sur la bonne route. « putain » qui sort d’entre ses lèvres avant de reprendre la route en sens inverse comme c’était prévu depuis le départ.

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Je ne suis pas trop à l'aise avec l'arc. J'ai la force pour le bander, aucune difficulté à viser tant que la flèche est dans mes doigts, mais on voit bien que celle-ci ne part pas très droit quand je la lâche. Surement que mes doigts sont mal positionnés quelques parts. Et puis il faut dire que c'est corde explose un peu les doigts. Mais au moins, j'avais atteins la cible du premier coup. Alors c'est sans perdre de temps que je décoche une nouvelle flèche, qui cette fois, j'espère irait dans le mille.

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A qui faut-il s'adresser pour échanger ce putain d'arc avec une carabine ou quelque chose s'en approchant ? Histoire de viser dans le mille avec un peu moins de difficulté ? Bon, quelque part, ça faisait aussi parti du challenge, mais je savais que ça pouvait me prendre un petit moment avant de marquer les dix points nécessaire pour passer à l'épreuve suivante. Mais on allait pas abandonner. Il fallait faire honneur à la Currier.

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elle change de route, pendant trouver un raccourcit pour arriver plus vite, rattraper tout le retard qu’elle avait déjà accumulée. mais c’est toujours pas bon, y’a toujours personne là où elle. et ève, elle comprend vite qu’elle a rien à faire là, qu’elle est encore à l’ouest d’où elle doit aller. alors elle rebrousse chemin, reprend la route de base en arrêtant d’essayer d’autres alternatives quand tout se ressemble ici.

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