naissance
london, uk. la capitale britannique et plus précisément dans une des prestigieuse clinique privée d’la ville, qu’la vie a tout bonnement décidé que tu pointerais l’bout d’ton nez, le tout lors d’un soir pluvieux le treize avril mille neuf cent quatre-vingt-seize.

nom(s) & prénom(s)
al fayed. à vrai dire bien plus qu’un simple nom approprié ; un héritage qui aura fait couler énormément d’encres au cours de ces dernières décennies et qui t’as été légué de la part d’ton géniteur ainsi que les tiens qui t’entourent. zian ainsi que mansour ; prénoms qui t’ont été donné seulement peu après ta venue au monde par ce même homme.
nationalité(s)
la nationalité anglaise qui t’as été acquise sans la moindre difficulté à toi et ainsi qu’au reste d’ta fratrie, contrairement à ton géniteur.

origine(s)
ton visage ainsi qu’l’indentité qui n’dupe personne. les cheveux aux couleurs noir corbeaux ainsi qu’le teint mat; t’es l’fruit d’une union exotique aux multiples origines. l’doux mélange venu tout droit d’europe du nord et d’afrique nord-est, celui d’un père égyptien et d’une mère finlandaise. et probablement tant d’autres dont tu ignores encore actuellement.

orientation sexuelle
hétérosexuel. attiré par la gent féminine qui sont les seules à t’faire vibrer. un simple sourire, un regard échangé de leur part suffit pour que l’myocarde finisse par s’emballer et s’attacher à elles.

statut amoureux
t’es un d’ces idéalistes d’l’amour qui ont été piqué par la flèche et aussitôt méprisé par cupidon. célibataire à la recherche d’la femme parfaite et l’désir de s’caser qui devient oppressant maintenant qu’le quart de siècle a été atteint. au point d’enchaîner les mauvais choix à travers ces idylles et relations foireuses qui ne mènent à nul part. éternel amoureux patientant malgré lui l’fameux moment où la bonne décidera de s’dévoiler enfin.

études
relations internationales.

bourse
non. pourquoi s’contenter d’une bourse, quand on a les moyens?

statut social
aisée. bien loin d’toi la misère et les galères financière, toi qui est issu d’une famille aussi riche que tristement célèbre.

job étudiant
aucun.

maison
currier house

si le soutien de ton père qui aura été probablement d’une très grande aide pour ton admission à harvard, on n’peut toutefois pas dire que tu n’aies pas donné le meilleur de toi-même pour parvenir à ton objectif. tu pouvais également compter sur tes résultats ainsi que sur ton travail acharné comme atout précieux pour peser sur ta candidature. trois. c’est le nombre exact de pages qu’il t’as fallu pour rédiger ton essay en dévoilant ta motivation et tes ambitions concernant l’avenir. l’entretien a été l’étape où tu as sûrement été le moins impressionnant. assez réservé aux premiers abords, faut croire que t’as malgré tout réussi à trouver les mots juste pour convaincre le jury de t’accepter.

zian, il n’a jamais vraiment eu la prétention ni même l’orgueil démesuré que pouvait bien avoir certains membres d’sa fratrie ou encore même les autres "fils de" d’son genre. à vrai dire, il s’est toujours vu comme étant quelqu’un d’simple et rien d’autres. zian, c’est c’mec qui ne fait jamais marche arrière dans tout ce qu’il entreprend. de nature détendu ne désirant aucunement s’prendre la tête et ce peu importe la situation ainsi qu’le sourire constamment aux lèvres, sa bonne humeur est une bouffée d’air frais pour les personnes autour d’lui. il cherche seulement à profiter d’l’instant présent aux côtés des personnes dont il estime au plus profond d’lui. mais zian, c’est également l’gars romantique à n’avoir d’yeux que pour l’amour ; à idéaliser un amour qu’on ne voit que dans les films et les livres au point d’être capable de tomber amoureux et imaginer un futur avec l’être en question en un simple regard. l’genre d’happy ending qu’il rêve d’pouvoir raconter à ses enfants plus tard. alors il s’laisse guider par ses sentiments, même lorsque la raison essaye tant bien qu’mal de l’en empêcher, mais il préfère largement avoir l’coeur net et d’le regretter par la suite plutôt que d’se demander pendant le restant de ses jours ce qui aurait pu se passer si il avait franchi le cap. zian, il a parfois l’impression d’être incompris. d’avoir la sensation que personne n’arrive vraiment à s’mettre à sa place. mais qu’importe, car à ses yeux ; le cœur aura toujours raison face à la raison.

i. ; londres comme point d’chute. elle est celle qui t’auras vu et entendu crier pour la première fois, cette même terre qui t’as vu naître pour le plus grand bonheur des tiens et grandir jusqu’à devenir l’homme que t’es en c’moment même. et bien qu’tu n’sois plus dans les parages de la capitale anglaise, tu n’en restes pas moins attaché à elle ainsi qu’à ces souvenirs d’hier que tu chéris chaque fois que la nostalgie refait surface. largement pour revenir lorsque l’opportunité s’présente. ii. ; troisième fils et avant-dernier dans la hiérarchie d’la fratrie al fayed ; t’es l’fruit issu de la seconde union du paternel. pas forcément désiré, ni même rejeté ; seulement un cadeau du ciel aux yeux de tes géniteurs. marié à ta mère, une ancienne mannequin célèbre en finlande, ton père est un homme d’affaire aussi reconnu pour son parcours que pour ses multiples scandales durant ces dernières décennies. il est notamment connu pour avoir possédé par le passé divers compagnies, dont harrods ou encore le club londonien, fulham football club. mais également et par-dessus tout pour être le propriétaire du prestigieux hôtel ritz à paris et ce depuis maintenant près de quarante ans. iii. famille pleins aux as, on n’peut pas vraiment dire que tu aies manqué de quoique ce soit en vingt-ans d’existence. fut un temps où tu prenais même un malin plaisir à baigner pleinement dans c’train de vie luxueux qu’on t’as été offert depuis si longtemps sur un plateau en diamant. entre somptueuse demeure complètement hors de prix le tout se trouvant au cœur du coin le plus huppé de la ville-monde et école réputé où tout les fils à papa d’ta trempe se retrouvaient; tu étais le genre de prince qui tout ce dont il désirait finissait par l’obtenir en un simple claquement de doigt et qu’importe le prix à payer. hormis le manque d’un père constamment à l’autre bout du globe, perdu dans ses voyages d’affaires interminables et qui à travers son absence, n’cesse de s’faire ressentir au sein du domicile familial. iv. tu n’avais qu’un an seulement au moment des faits. trop jeune et insouciant pour se souvenir du moindre détail survenu ce soir-là, si ce n’est à travers les histoires qu’on pouvait bien te raconter. ce trente-et-un août mille-neuf-cent-quatre-vingt-dix-sept qui demeurera à jamais une date tragique pour les al fayed ; le fameux soir où victime d’un accident d’voiture dans la ville lumière, dodi n’a pas survécu. un dénouement aussi médiatisé que fut son idylle avec la célèbre diana et qui n’aura malheureusement duré que le temps d’un temps estival, s’achevant de la pire des manières pour ces derniers. près d’un quart de siècle se sont écoulés depuis, et tu peux clairement voir et sentir que la plaie n’a toujours pas voir jamais cicatrisé. à travers cet air triste qu’il tente tant bien qu’mal de dissimuler à chaque fois que le nom de ton frère aîné est mentionné ; la souffrance d’ton père est toujours là, intérieurement. et elle demeurera à ses côtés jusqu’à son dernier souffle. v. l’absence du premier-né a mit peu de temps à se faire ressentir dans la vie de chacun d’entre nous. surtout auprès de père. si bien que cette tragédie a permis à ce dernier d’ouvrir les yeux sur certaines choses concernant la vie. ce qui lui a valu le courage de prendre du recul et d’s’éloigner peu à peu du monde des affaires, et passer un peu plus de temps avec vous ou encore même en fondant sa propre fondation, de venir en aide aux enfants les plus démunis, dont trois d’entre eux seront adopté par le milliardaire un an après le choc. fratrie reconstitué, et plus soudé qu’avant. vi. dodi n’étant plus, ton père a fini avec le temps par jeter son dévolu et voir en toi comme étant le digne héritier de l’empire qu’il a bâti depuis tant d’années. et bien qu’sa réussite soit une source d’inspiration et de motivation pour tes ambitions d’avenir, on n’peut pas vraiment dire que le business soit quelque chose qui te passionne depuis petit. mais toujours à la recherche de ta voie, t’as quand même fini par suivre ce chemin malgré tout, l’temps de savoir ce que tu voulais vraiment faire plus tard, mais aussi -et surtout- pour faire plaisir à ton daron. l’accompagnant de temps à autre dans ses voyages, partant à la rencontre des autres élites, mais également auprès des autres enfants à travers la fondation. vii. ; seize ans; l’âge où l’amour s’est de manière inattendue présenté à toi pour la toute première fois. avec celle qui au-delà de son charme qui n’te laisse tout sauf indifférent, n’a pas fait grand chose pour se démarquer des ces femmes que tu n’as aimé que le temps d’une nuit solitaire pour chambouler tout d’un coup ton monde. entre vous c’était à la fois fou et magique ; des premiers sourires échangés, les prémices d’une complicité unique jusqu’à votre première nuit ensemble et devenir cette drogue qu’on ne peut se plus se passer si facilement en venant conquérir ce qu’aucune autre n’avait réussi à faire jusqu’ici ; ton cœur. chose que tu as toujours nié envers toi-même, trop peu courageux de franchir le pas et mettre un mot sur votre relation. et pourtant tu l’as vu la voir heureuse... dans les bras d’un autre homme que toi. la première déception, la fin d’une histoire laissant derrière toi un goût amer pleins de regrets, te promettant de ne plus refaire les mêmes faux pas. viii. ; le cycle du lycée avait enfin touché à sa fin. au fond d’toi, tu ressentais ce profond désir d’aller voir ailleurs et d’poursuivre tes études loin d’chez toi. et si tes géniteurs ont pendant un temps tout fait pour te convaincre de les continuer en europe, et notamment en france. c’est finalement sur le continent américain où tu jetteras ton dévolu. et c’est finalement harvard où tu poseras tes bagages. ix. ; jeune adulte ne savant pas vraiment quoi faire de sa vie, si ce n’est être condamné à continuer de devenir un élève radieux et suivre les pas de son idole qu’est son paternel dans l’unique but d’être comme lui. c’n’est qu’après l’obtention de ta maîtrise dans le tourisme que t’as enfin fini par trouver ta voie en réalisant c’que tu aimais par-dessus tout était de venir en aide aux autres, alors t’as finalement décidé de te réorienter vers les relations internationales en rejoignant la falculté de droit du campus.

pseudo yac’
âge 21 yo soon.
nationalité fr.
forum connu par... beaucoup trop longtemps pour que je puisse m’en rappeler.
ILH, j'en pense quoi ? depuis l’temps… vous devriez le savoir.
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<span class="pris">MENA MASSOUD</span> <span class="inv"></span> @"Zian Al Fayed"