naissance
culiacán. douceur étrange, mauvais mélange. spectres aux allures d’anges. peau hâlée, l’épiderme immaculée d’une humidité lassante. rivière qui s’dessine, souvent tina, elle a pensé de s’y noyer. caliacán, ville de rêve ou ville de fièvre. l’pieds entre deux mondes contradictoires, entre délices et vices. fardeau invisible qui oppresse les âmes, tina elle connaît que trop bien la réalité d’ce mensonge, l’envers du décor, les rues aux pavés amputés.

nom(s) & prénom(s)
valentina soufflé comme un murmure, comme une caresse, comme un dernier supplice. valentina, creusée dans les abysses d’une mère agonisant sur une putain d’chambre d’hôpital. enfant égoïste, semant la mort pour récolter la vie. sa vie. laissant derrière elle une dépouille baignant dans ses entrailles. rosas. fin et écorché, cinq minables lettres liés à un paternel qui daigne à peine la regarder. rosas, héritage merdique dont elle aimerait s’dépiauter.

nationalité(s)
américo-mexicaine.

origine(s)
mexicaine gravée dans la roche mélangé au sang australien de sa grand mère maternelle.

orientation sexuelle
elle aime les courbes indomptables, les poignes fermes qui savent la rendre docile parfois. les hommes, son péché mignon.

statut amoureux
coeur volage, organe défectueux, foutu en miette depuis l’gun sur la tempe. trahison douloureuse qui reste accroché au myocarde autrefois rêveur, charmeur. brisée, tina qui ramasse encore les morceaux sans savoir comment les rassembler. des bouts de cendre qu’elle finira par disperser quand ils finiront pas être trop lourds à garder.

études
en 1ère année dernière maitrise et politique et économie internationale.

bourse
tina elle a de grandes capacités intellectuelles, sûrement un QI qui dépasse la norme mais elle s’en tape un peu tina. tout ce qu’elle voulait c’était fuir le Mexique et les secrets qui l’entourent. alors elle a passé les examens, pété lors d’son passage aux sats parce qu’elle a jamais voulu de l’argent sale de papa.

statut social
richesse entretenue par le sang et les vices. fille d’un grand politicien mexicain qui trempe dans des affaires contraire à ce qu’il représente. l’homme au double costume, homme d’affaire le jour, à la tête d’un cartel la nuit.

job étudiant
danseuse au badgirlz et plus si affinité.

maison
aucune.

les feuilles volantes sous le nez, tina qui tient la clé de la fuite entre ses mains. le coeur lourd et les tempes pleines d’adrénaline quand elle fait couler l’encre sur le papier. elle a pas le droit à l’erreur tina, c’est maintenant ou jamais. partir ou rester. l’image du paternel féroce passe et repasse, pression qu’elle absorbe, qu’elle dévore parce qu’elle n’a qu’un seul souhait tina. s’barrer d’ici. loin de lui et des démons qui les tiennes en laisse. tina elle rêve d’un ailleurs exaltant, différent. elle veut se sentir vivre et harvard c’est l’opportunité qu’elle a choppé avec les dents. quelques semaines plus tard, la lettre arrive à destination. c’est le coeur battant qu’elle ouvre l’enveloppe le regard hésitant. c’est oui, bienvenue à Harvard Mademoiselle Rosas.

v a l e n t i n a. planète abîmée. écorchée. asphyxiée. tina c’est l’courant d’air qu’on rêve d’attraper, d’détester, d’abîmer. fleur sauvage née au milieu d’rien, monde à ses pieds, foutue princesse inventée. tina c’est l’sarcasme ambulant, c’est la gueule trop grande ouverte, c’est les coups bas. tina. piège vivant, créature reptilienne. langue aiguisée, charme balafrée. tina c’est l’enfer qui danse, les démons qui s’déhanchent, c’est le feu hargneux qui t’consume et qui t’ronge. tina c’est l’mensonges et les rêves, c’est l’agonie et les chaînes. c’est l’poison dans les veines.  tina c’est l’autodestruction, c’est l’envie d’exister, c’est l’mal pour y arriver. tina qui s’cherche encore une part d’humanité, tina c’est l’tout et le rien. c’est le début et la fin. tina c’est tout c’qu’elle veut t’faire croire, tina qu’on efface jamais. douce morsure au venin acérée. les yeux fermés, tina c’est le rêve enchantée. mauvaise graine qu’on aurait jamais dû planter. aimer. amer, est l’goût qu’elle laisse. tina et ses viles caresses.

anecdote une seize ans. premier amour incandescent, toi, t’étais plus vieux qu’elle, t’étais même majeur alors t’avais pas le droit d’être là. pourtant t’étais partout en elle, elle t’avais respirer une fois et l’odeur n’est plus jamais partit. tina, le coeur vacillant, sentiments rencontrés, les papillons qui dévorent l’estomac. c’est l’attente encore et encore, d’en avoir plus, d’en connaître plus. tina et sa soif de toi. t’étais beau putain, tellement beau mais pas pour elle. tu faisais partit du camp adverse, de ceux que les rosas détestent plus que tout. fils et fille de deux grands cartels rivaux. une histoire à la roméo et Juliette du ghetto. tu l’as aimé, plus que toi même, tina c’était ton rêve devenu réalité. c’était les doigts entrelacés, les caresses passionnées. mais vous vous êtes perdus là bas, parce que chez les rosas l’amour ne suffit pas. ta maison a brûlé, parait que tu dormais, que t’as rien sentit et que t’es mort asphyxié. paraît que t’es plus là et que t’as laissé tina dévastée. anecdote deux foutue maladie qui colle à la peau, la mère à qui on découvre un putain d’cancer. toi, le rayon d’soleil, la petite lumière qu’on laisse allumer dans l’noir. toi t’étais douce, toi tu l’aimais tina, plus que personne. t’étais là comme un voile protecteur qui l’empêchait de sombrer, qui lui soignait le coeur. mais toi aussi, en quelques mois t’es vite partit. tina elle t’en veux de pas lui avoir accordé plus de temps, elle en veut au ciel aussi de pas t’avoir rendue à elle. ciel égoïste qui t’ramène à lui alors qu’elle avait besoin d’elle. tina elle dégringole, elle touche un peu à tout c’qui faut pas pour oublier. pour t’oublier. pour l’oublier. cercueils qu’elle a dû trop de fois venir enterrer. anecdote trois tina fille unique d’un empire mexicain ou peut être pas si unique que ça, le padré qui s’tape toutes les chiennes du pays. anecdote quatre drogue douce. drogue dure. tina elle se fusille le cerveau et s’remplit les veines de tout ce qui est capable de la faire planer. tina qui tente de crever à petit feu, déjà morte à l’intérieur, plus un signe de vie. anecdote cinq  elle vend son corps pour pas grand chose. elle espère naïvement retrouvé un peu de lui chez eux, de retomber un jour sur son odeur, des mimiques qui lui ressemblent, des mots qu’elle rêve d’entendre encore une fois. mais ils sont tous pareils, ils se ressemblent tous et y’a jamais rien de lui qui fait surface.

pseudo j’en ai pluuus pour l’instant mais dydy c’est bien
âge vingt-six piges
nationalité française.
forum connu par... moi-même y’a quelques années déjà.
ILH, j'en pense quoi ? ILH c’est un peu l’aventure à vivre, avec des hauts, des bas mais le fond ne change pas. ça reste un forum plein d’vie et d’histoires
autres comptes ? nope.
avatar utilisé tamika fawcett
crédits images all-souls, Tumblr.
nombre de mots par rp Hmm ça dépend des rps mais environs 500 mots.
type personnage inventé.

code études
politique et économie internationale ;; faculté de droit ;; cinquième ;; 2021-2022

Code:

@"valentina rosas" » <i>(politique et économie internationale)</i>

pour les jobs étudients :

code métier
badgirlz + danseuse :

Code:

@"valentina rosas" » <i>(danseuse)</i>

code bottin

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<span class="pris">TAMIKA FAWCETT</span> <span class="inv/scena/pl"></span> @"Valentina rosas"