Si il y a quelque chose que je n'avais pas vue venir c'est le retour d'Oliver. Je n'avais plus eu de ses nouvelles depuis le summer camp alors je m'étais dis que ça ne serait que l'histoire d'un été. Ce gars, il a un truc que les autres n'ont pas. Il me domine clairement et avec lui je dépasse mes limites rien ne me fait peur. On est compatible à cent pour cent sur le plan sexuelle et en dehors de ça on en connaît rien l'un de l'autre. Ce qui me convient très bien, c'est plus intense. Hier on s'est vue à Harvard, dans une salle de cours et bordel ça valait le coup. Du coup, on a dû faire vite parce que je devais aller à la danse, mais je lui avais promis qu'aujourd'hui j'aurais beaucoup plus de temps à lui accorder. Ne pouvant pas aller chez moi et ne sachant pas où vivait Oliver, c'est dans un hôtel que l'on a rendez-vous. J'arrivais la première et je demandais une chambre. Je ne tardais pas à prendre l'ascenseur pour m'y rendre. J'envoyais un message à Oliver pour l'informer du numéro de celle-ci. Je ressentais une certaine impatience à l'idée qu'il arrive. Je dois dire qu'entre lui et moi s'étaient vraiment le feu. Je ne savais pas encore comment nous allions rendre cette chambre. Un sourire sur les lèvres, il ne manquait plus que lui. .

Je suis la première sur les lieux, ce qui me permet de me changer. Je suis toute excitée, cette relation est tellement grisante pour moi. Dans la chambre, je laisse la porte ouverte, je veux qu'il me trouve. Oliver sait ce faire désirer, mais je peux moi aussi faire grimper le désir en lui. Ayant enfiler ma tenue, il ne manque que lui pour qu'on puisse enfin passer à aux choses sérieuse. Je l'entends passer la porte, ces paroles me font sourire, j'ai désobéis et je n'attend pas sagement sur le lit. Je me mords la lèvre, alors que je fini par ouvrir la porte de la salle de bain et apparaît devant lui. — Ne m'en veux pas, j'ai décidé de ne pas obéir aujourd'hui. Un sourire au coin des lèvres, je m'approche lentement de lui. Je sens déjà le désir qui grimpe en moi. Mon corps est attiré par lui, inlassablement.  Une fois devant lui, je me tourne et me penche pour lui donner une vue imprenable sur mes fesses bien moulés par le cuir. Je viens me frotter contre son entre jambe dans mon mouvement. — Je crois que je mérite une fessée. Je penche ma tête sur le côté pour capter son regard. Le mien brûle déjà d'envie.

Je ne sais pas comment il parvient à avoir ce pouvoir sur moi. Depuis que je l'ai rencontré Oliver a réussi à créer un besoin ou un manque. Tout dépend comment on voit les choses. Je n'avais pas pu résister à l'envie de le revoir très vite. Je ressentais la même la flamme et cette même passion. Alors pour lui, je faisais preuve d'imagination pour toujours rester la seule dans son viseur. Chacun a ses armes pour que l'autre le désire. Oliver joue la carte du retard, se faire désirer et ça fonctionne. Au fond de moi, j'ai envie de me jeter sur lui sans attendre. Ne faire qu'un et sentir son corps contre le mien. Enfin, il apparaît dans la chambre, je lui fais part de mon désir d'être désobéissante. Je la connais la règle parce que je viens tout de suite me mettre à genoux devant lui. Il me donne une fessée et je lâche un petit cri de plaisir. L’excitation est à son maximum. — Je suis vilaine, tu le sais.