"J'assume être ce que je suis, un homme à femmes oui ! Certaines femmes se jouent de moi aussi, mais je ne peux rien dire après tout", je répond en hochant la tête. J'aime leur corps, leurs formes, leur lèvres pulpeuses....Je suis un charmeur, un dragueur mais moi aussi, je fais parti d'une liste de sexe et je m'en fout. Je ris, alors qu'elle dit avoir un emploi de temps de ministre, puis lui souris quand elle me dit avoir hâte d'en savoir plus, sur l'histoire de ce cocktail. Nous poursuivons avec un jeu de fléchettes, Cheryl décide que ce lui qui loupe sa cible, retire un vêtement. Pas de soucis, ça me va. D'ailleurs, elle est déjà la première à devoir en retirer un. "Ouais, à moins que tu veux déjà te mettre à poil ?", bien sûr que j'aurais choisi d'autres vêtements avant, mais je préfère y aller doucement et la mettre en confiance. C'est à mon tour, on reprend la partie. Après quelques flèches, je perd. Cheryl décide de me faire retirer mon haut, prétextant ne pas être gentleman, ce qui m'arrache un rire. "Tu es une coquine Burrows !", dis-je en retirant mon t-shirt, lui laissant apercevoir mes abdos, bien loin d'être Nutella, bien que j'en mange pas mal. Bref, nous continuons de jouer. Je gagne, elle gagne, je gagne, elle perd. Je la regarde alors avec un petit air coquin. "Retire ton haut !", dis-je en ne perdant pas une miette.

Il y avait une différence entre être honnête et profiter des gens. Lui il était honnête et c’était bien plus qu’appréciable. Surtout dans ses moments , où de nous jours tout le monde se cachait derrière des masques, des faux semblants pour servir leur intérêt. Lui assumait pleinement qui il était. C’était vraiment agréable d’avoir à faire à quelqu’un de franc. D’entier. Et c’est pour ça que le jeu est sain, pas de non dit, pas de cachotterie ou de double sens non assumé, tout était étalé sur la table comme on dit, et enfin on pouvait profiter, envisager une soirée bien plus qu’agréable.

Je pourrais danser sur le bar, pas de soucis, vaut mieux sobre que ivre, ivre trop de risque de me casser une jambe, mais pour le moment ce sont les fléchettes qui nous intéresse. Mes chaussures retirées, « Non non, enfin ca dépend ce que tu comptes me faire après. » Clin d’oeil et la partie reprend, il perd, son t-shirt, je veux qu’il retirer le haut. « Coquine? Non, j’aime seulement les belles choses. » Et j’avais eu l’occasion de le voir en photo , autant en profiter en vrai. On joue, et je perds. « Il faut dire que tu me déconcentres là. » Je ris et retire alors mon t-shirt. Dévoilant une lingerie fine, blanche tout en délicatesse. Je dépose mon t-shirt sur une chaise. « A toi.. » Mon regard se fait étrangement plus sensuelle, ca faisait bien longtemps que je n’avais pas jouer à ce jeu.. Le flirt..

Je ne suis pas contre une petite danse, bien au contraire, mais pour le moment, on a autre chose à faire. On a un jeu à gagner, enfin, j'ai un jeu à gagner contre la belle brune. Cheryl étant la première à perdre, je suis gentil, je ne lui demande de retirer que ses chaussures. "Ouuh la liste est bien longue ma belle", dis-je en imitant son clin d'œil. Par contre, quand c'est à mon tour de perdre, la jeune femme ne perd pas une minute à me faire retirer mon haut, pour découvrir mon corps. Cheryl avoue apprécier ce qu'elle voit, ce qui me fait bien plaisir. Nous continuons, elle perd à nouveau après quelques fléchettes. Je lui demande donc de retirer son haut. "Je te déconcentre...vraiment ?", dis-je d'une voix des plus sensuelle. J'admire son corps, sa poitrine, sa peau et je ne me cache même pas. Je joue, je gagne, je joue, je perd encore. Putain. "Alors ?", je lui demande en me retournant vers elle.

Ce flirt, ce jeu, ses petits sous entendus sexuels, je dois avouer que tout ça est en train de me donner chaud, et je ne peux nier que cette flamme que je pensais disparue à jamais est en train de revenir petit à petit. Et c’est lui qui en est le responsable. J’aime ça. Je ris et moi je suis bien moins gentleman que lui, en même temps j’étais une demoiselle … madame, pas un gentleman.

Je le laisse retirer son haut. Appréciant la vue, celle de mon téléphone ne lui rendait pas justice, en vrai c’était bien plus agréable. Et cette fois je perds. Et il ne compte pas être sympa. Je le sais, je le lis dans son regard taquin. J’hoche la tête. Oui oui j’ai perdu à cause de lui.. Et de .. ses potes sur son ventre, qui sont musclés et qui me perturbent un peu trop. Mais je retire mon haut. Dévoilant un soutient gorge des plus sensuel.
Je ne loupe pas son regard qui me déshabille encore plus. Je ris et nous continuons. Et il perds. Je me mords la lèvre lorsqu’il se retourne vers moi.. Si je veux qu’il retire le bas, il doit retirer ses chaussures pas le choix. « Les chaussures, .. Mais attention au prochain tu es en caleçon.. » Je ris et prends sa place, mes seins suivent mon mouvement, et je lance. Perdu. J’étais vraiment pas doué ce soir. L’alcool commençait deja à monter, et mon audition était peut etre fautive de cet état aussi.. Je me tourne vers lui, mon regard dans le sien, je n’ai pas peur. J’ai hate de voir ce qu’il va me demander de retirer.. "J'attends tes instructions."

Cette soirée est plutôt agréable pour le moment, Cheryl est une jeune femme très belle et semble être fun. Notre jeu débute, elle perd des chaussures et un t-shirt. On continu, elle joue et perd, mettant tout sur mon dos. Elle perd par ma faute, à ses dires, ce qui me fait exploser de rire. Serait-elle mauvaise perdante, ou aimerait-elle que je perde plus de fringues qu'elle ?. Cheryl enlève son haut, je n'en perd pas une miette, tellement que ce spectacle est si doux à mes yeux. C'est à mon tour, certains flèches se plantes dans la cible, puis d'autres non et me font perdre. Merde. Je me retourne vers Cheryl, attendant ma sentence. "Mes chaussures ?", je demande en riant, exécutant son ordre, alors qu'elle me dit déjà mon prochain vêtement en moins. "Retire mon pantalon déjà...", je la provoque, alors qu'elle récupère ses flèches pour les lancer. Elle perd dès le premier lancer, ce qui me fait hausser un sourcil, un sourire au coin de mes lèvres. Je m'avance alors vers elle. Mon regard se plonge dans le sien, alors que mes doigts viennent s'occuper des boutons de sa jupe. "Je veux ça en moins", dis-je en continuant de défaire son vêtement, laissant apparaître son sous-vêtement. "Tu es très belle", dis-je en chuchotant dans la bonne oreille, sans le savoir J'attrape les flèches, je loupe à mon tour. "Oops, j'ai perdu".