@Sully Carmichael Au fond tu connais pas grand chose du Carmichael. Sauf son gout certain pour l'interdit et son appétence à réussir à te tirer dans son lit. Pourtant toi, tu vas sans broncher, et t'es même souvent à vouloir en redemander, même si tu sais à quel point tu devrais pas. "je suis sure que tu pourras y remédier. t'es parfait dans ton genre lorsque t'y met un peu du tien." Tu viens mordre ta lippe, t'es pas avare de compliments juste car tu sais que ça peut flatter son égo. Il t'offre un regard surpris auquel tu réponds d'un haussement de sourcil. Tes mains descendent toujours encore plus dans son short, ne se contentent plus de rester sous la couture de l'élastique mais commencent réellement à aller là où tu découvrir du bout des doigts que t'es pas la seule dans cette pièce à être prise d'un certain désir. Tu soupires longuement à sa question, avant de répondre, lasse de son faux numéro de timide "est-ce que tu veux vraiment que je les retire ?"

@Rhéa Fitzsimmons Il y a que votre attraction interdite que tu sais de la jeune femme ainsi que son métier peu valorisant à tes yeux, on va dire. Pourtant, tu as le don de l'attirer vers toi à chaque fois que vous vous trouvez dans une pièce rien qu'à deux. Vous ne cessez d'en redemander mainte et mainte fois, malgré que vous refusiez d'assumer ceci. « il faut vraiment que je sois de bonne humeur. » Lorsque tu n'es pas dans ton assiette c'est tout l'inverse. Heureusement, pour elle. Elle n'a pas encore connu Sully sous son mauvais jour. Tant mieux, tu as envie de dire. Un sourcil arqué de ta part vers Rhéa lorsque ses mains descendent de plus en plus vers l'interdit. Elle ne résiste pas au fait d'aller plus long avant de poser sa question fatidique. « Je ne recule jamais devant l'acte final. Première règle à savoir de moi. » balances-tu avant de prendre possession de ses lèvres pour échanger un baiser fougueux. Tu viens à déchirer sa robe pour que tes lèvres parcourent son corps. Tu veux augmenter la température qui règne dans la pièce pour que le final soit explosif. Comme à leur habitude, avant de le regretter amèrement par la suite.

@Sully Carmichael Sur le coup tu le crois bien. t'as jamais vu ce côté de sa personnalité pourtant t'as pas de peine à croire qu'il peut se transformer lorsque quelque chose vient à le contrarier. Ca se voit sur lui, et pour les rares fois ou t'as tenté de lui résister, t'as bien vu qu'il n'était pas une personne du genre à juste accepter et s'écraser. Dans ton quotidien tu rencontres beaucoup de gens capricieux mais lui… c'est différent. C'est pas du caprice, c'est semble-t-il un besoin viscérale de vivre au jour le jour et de se laisser à toutes ses pulsions, bonnes comme destructrices. Au fond toi tu t'en fiche, tu viens juste prendre ce que tu veux, ce dont t'as besoin, avant de t'envoler, de retourner à ton quotidien morose. "je sais." tu t'amuses à le provoquer car, du peu que tu le connais déjà, c'est facile de le deviner. Il approche, tu réponds avec fougue à son baiser et laisses ta langue venir rencontrer sa jumelle. Tu remontes une main dans sa nuque, laisse tes doigts froisser ses épis tandis que l'autre main reste en bas et se fait de moins en moins timide. Ses mains a lui déchirent ta robe et tu recules la tête avec une grande exclamation "heeeyy t'es en train d'allonger ta note !" Tu l'adorais cette robe, t'es dégoutée. Il ne te laisse pas plus le temps de râler car déjà ses lèvres parcourent ton corps dans le but de t'arracher des frissons.

@Rhéa Fitzsimmons Tu as un côté sombre que t'essaies de dissimuler le plus possible à tout le monde. Une noirceur abominable que seulement sa soeur Maëlys et sa meilleure amie Megara connaît. Ce soir, elle a de la chance que ta noirceur n'est pas prise possession de ton âme. Tu as su te contenir au niveau de l'alcool. La bouteille de champagne n'était qu'un prétexte pour la voir. Pour la dompter encore une fois. De laisser parler nos corps l'un contre l'autre. Par ailleurs, tu l'embrasses avec fougue pendant que tu lui arraches la robe. Tu t'en fiches si c'est une robe qu'elle appréciait ou pas. Tu lui donneras de l'argent où une robe de grands créateurs de ta soeur qui traîne dans ton appartement pour qu'elle puisse déguerpir d'ici à l'aube. « C'est le cadet de mes soucis. » annonces-tu avant de déposer à nouveau tes lèvres contre sa peau délicieusement sucrée. Par moment ta langue dérape pour venir titiller sa peau. Tu n'as pas envie que ça s'arrête rapidement. Tu n'as pas envie de tirer ton coup avec elle et, lui dire de partir. Non, tu veux prendre ton temps. Que le désir grimpe doucement, mais sûrement.

@Sully Carmichael Lui s'en fiche totalement tandis que toi, t'avais compté les jours et fais attention à tes économies pour te l'offrir… encore une preuve que vous vivez totalement dans deux mondes complétement différents, malgré le fait que vous respiriez de concert le même air. Tu râles, pas satisfaite de sa réponse mais à sa manière il te fait taire. Avec les gestes, avec les lèvres, avec ses baisers qu'il dépose partout sur ta peau qui s'embrasse un peu plus à chaque secondes. La robe est complétement déchirée, tu te tortilles doucement pour la faire couler jusqu'au bas de ton corps et la faire tomber par terre en la repoussant du bout du pied. "je veux la même." tu lâches entre deux soupirs pour l'embêter. Tu connais très bien sa réponse d'avance, mais l'une de tes nouvelles passions semble-t-il est de le piquer. Entre vous deux, vous ne connaissez pas encore les limites de l'un ou de l'autre, t'es pas vraiment sure de vouloir découvrir les siennes mais pourtant t'y va quand même.

@Rhéa Fitzsimmons Ce n'est qu'un simple bout de tissu cousue et recousue. Cela s'arrête ici pour toi. Tu n'es pas matérialiste. Tu t'en fiches de ruiner un vêtement qui vaut cher. Tu as l'argent de tes parents pour t'acheter ce que tu veux. Tu lui donneras la somme exacte de sa robe, elle ira ce racheter le lendemain matin. Tu continues les baisers sur sa peau pendant qu'elle n'arrête pas de râler pour sa robe. Sur l'instant, tu ne répliques pas. Tu préfères te concentrer sur ce que tu es en train de faire. C'est tellement plus important à tes yeux. Puis sa phrase, elle est de trop. « Tu vas vraiment me casser les couilles pour un bout de tissu ? » grognas-tu en posant ton regard sur elle.