le regard se fait doux lorsqu’il se pose sur son visage; à s’attendrir sous ses expressions. « at least you know it » les mains qui entourent toujours son visage. à ricaner faiblement quand le bout de son nez se fronce. « and it’s okay to be like that, it makes you babe » qu’il enchérit presque immédiatement; à vouloir l’aider à avancer mais surtout à s’accepter. chose qu’elle semble incapable de faire. parce qu’il sait que beaucoup de choses ne sont que façade et parure. il n’est pas dupe. « i thought that we were clear about that. who are you to tell me what i deserve or not. hm ? if i say i want you, it’s my choice. » à se redresser, relâcher son visage pour lui attraper les hanches, la rapprocher de lui. « look. you’re fucking strong and brave, you’re a survivor babe, and you deserve so much more and i am who i am to say that. you need to accept your feelings eunji, they are valid »

cesserait-elle un jour ? d'être un poids pour les autres ? un poids pour le monde ? l'espoir de réussir à vaincre une fois pour toute tout ce qui venait l'obscurcir, l'empêcher de vivre comme les autres. ❝ don't be angry.. — à plonger ses prunelles dans les tiennes quand elle sait que tu détestais à chaque fois qu'elle remettait en doute ta présence. poupée laisse ses doigts glisser sur ta joue, souffle doucement quand ce n'est rien d'autre qu'un sourire triste qu'elle arrive à esquisser. ❝ i try.. you know i try — et y avait eu une amélioration, ne serait-ce que depuis cet été. à se battre plus fort pour aller mieux, à accepter pleinement sa relation avec toi. elle essayait tous les jours un peu plus et parfois, les doutes venaient la submerger, lui faire remettre tout en question. ❝ i accept the fact that i love you. but.. i'm so afraid you know ? my mind is just an incredible mess and sometimes, i can't stop thinking that you are not coming home — imaginer bêtement que tu finirais par te lasser et ne plus revenir.

« i am but mostly sad » qu’il murmure; s’adoucit quand ses doigts glissent contre sa joue, accepte le sourire qu’elle peine à dessiner sur ses lèvres. le regard s’abaisse, se fige sur le creux de sa poitrine - coffre fort d’un coeur brisé. qui souffre sans cesse. et il aimerait le soigner, il se bat pour le faire ((à se sentir impuissant de trop nombreuses fois)) « i know » il faut qu’il arrête d’en trop demander, mais il est incapable de s’imaginer sans elle à ses côtés. « but ji’ you are my home » qu’il laisse entendre. à se redresser, gonfler les poumons d’air mêlé à son parfum. « you need to have faith in me, trust me please. it’s you. » à s’agripper à ses hanches. « i’m not leaving you. never. ok ? you’ll be my wife. » et c’est une promesse qu’il tient depuis tant d’années. « eunji, you need to accept yourself, you’re beautiful, please, love yourself. you have to, your need to.. even if it’s ‘broken’. you are a fucking masterpiece, you need to accept your pain, please. »

est-ce que c'était possible d'ailleurs ? que ça se produise ? qu'un jour tu ne franchisses par la porte de l'endroit que vous occupiez à deux ? ferme les yeux pour oublier l'idée, à se flageller de toujours imaginer le pire. i know.. i know louis qu'elle pouvait avoir confiance, que d'aussi loin qu'elle se souvienne, t'avais jamais quitté ta position. mais qu'est-ce qu'elle y pouvait si son esprit était son pire ennemi ? à lui jouer des tours en laissant les pires scénarios prendre le dessus. i try.. we already had this conversation.. you need to let me try. i can't accept everything in two seconds et elle faisait des efforts monstres, continuellement. pour pas se laisser happer, pour que tout aille mieux. à se battre contre elle même pour tenter de garder la tête hors de l'eau. y en avait eu des progrès, un nombre incalculable. poupée qui sourit plus souvent, ne cherche plus le conflit sans raison. et c'était sûrement le temps qui arrangerait le reste si seulement on le lui laissait.

et s’il devait lui répéter la même chose, s’il devait la rassurer à chaque seconde de leurs vies ensemble, il le ferait louis; sans réfléchir, sans rechigner. le coeur trop amoureux pour la laisser de côté, pour la laisser se faire bouffer par ces doutes contre lesquels ils se battent ensemble. « and i’m so proud of you for that babe, i know you’re fighting everyday » qu’il murmure, le sourire qui se fait doux sur les lèvres. les mains qui relâchent les hanches pour venir se poser sur ses joues. « you’re so perfect » à embrasser ses lèvres. « i love you »

si seulement elle cessait de mettre elle même des barrières sur sa propre route. était-elle capable de faire ça ? canaliser l'esprit qui lui envoyait le pire à chaque fois ? et elle sourit fébrilement poupée, laisse tes lippes la gagner quand c'est sûrement tout ce dont elle a besoin. toi et ta présence, toi pour l'aider à avancer encore et encore. i love you too souffle doucement, sa tête qu'elle vient blottir contre ton cou à juste vouloir rester là pour l'éternité. elle est toi contre le monde, comme ça avait toujours été.

rp terminé