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I LOVE HARVARD
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    - fb - night of horror
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    Lien du postSam 20 Fév - 11:04
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    tw : mention de meurtre, sang, terreur.

    night of horror

    a history by adharion
    26 mars 2017, 3h10 - le liquide pourpre qui s’évapore sur le tissu d’un blanc - quelques heures plus tôt - immaculé. on voit les salines qui ont creusé le visage, et les sirènes en alerte qui s’animent dans la rue. impersonnel, le pronom par lequel l’histoire est racontée. des coups de on, jamais de je. je, jeu ? traîne les pieds - et le corps entier sur le sol qui craque, bois stupide, naît ici le brouhaha derrière une discrétion voulue. pourtant l’absence connue, les parents sûrement ailleurs. eux, on les voit, vivre une vie sans ennuis, sûrement dans une de ces croisières pour bourgeois pourris. et là, le trou noir, pour le môme d’un d’entre eux. il observe son reflet, et soudainement, un cri de terreur claque dans l’air - ouais, c’est du sang que t’as sur les mains, t’as essuyé tes larmes avec le liquide rougeâtre, avant d’observer avec honte le corps inanimé de ton ami. et là, je me parle, comme pour me (re)faire prendre conscience. étouffant, l’air qui oppresse, l’odeur métallique de ce qui le rendait autrefois vivant. à enquêter, pourvu que je puisse trouver n’importe quoi - autre chose que l’innocence. frénétique, le mouvement de retrait, à faire disparaître le reflet, puis les mains qui essuient brusquement, pour faire disparaître le crime de mes vêtements. terrifiant, les horreurs qui défilent devant mes yeux. corps ambulant, déambulant dans mes cauchemars, à sombrer dans mes terreurs. “ adhara, adhara, sauve moi… ” l’heure tourne, les suppliques dans le timbre de la voix, et les souvenirs qui reviennent. les cris de l’horreur, à me tordre l’estomac, et la tête qui se cogne là, dans les escaliers, la chute douloureuse - et le môme se noie dans ses larmes, la vision floue, quand j’espère voir ta silhouette, adhara. @Adhara Moon
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    Lien du postDim 21 Fév - 10:34
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    •°*”˜ft. @Orion Moon


    26 mars 2017, 3h10 - le silence pour répondre à l'évidence ; orpheline, la gamine est sans parents, choix de vie insolents. l'étoile brille dans un ciel qu'elle ne partage pas avec les géniteurs moon. qu'à cela ne tienne, elle se construira seule. l'insolente profite de l'absence des géniteurs, profite d'un séjour pour quelque partenaire à londres pour passer voir la plus jeune progéniture. s'invite dans la demeure familiale à la demande d'ozalee et d'orion, à espérer que les parents le verront sur les caméras de surveillance en rentrant. voyez vos dégâts, à refuser de m'accepter, mais vous nous détruirez pas. unité fraternelle, à jongler entre les rendez-vous familiaux et professionnels, c'est seule qu'elle se repose ce soir adhara, la petite soeur chez une amie, le petit frère probablement en train de faire la fête quelque part; poupée de vingt-et-un ans - la fleur de l'âge - enroulée dans un plaid pour conjurer le froid londonien, assoupie devant l'écran immense que son père s'est offert, signe d’opulence exagérée quand il n'est jamais présent pour la regarder. et sans doute est-ce pour ça qu'elle se réveille, adhara. depuis une des chambres, sans doute n'aurait-elle pas su entendre le bruit de tes pas et de ta chute, gamine qui se redresse, traverse l'immense demeure pour te trouver là, petit frère. et de prime abord c'est l'ivresse qu'elle blâme pour la chute, jusque percevoir les sanglots, et l'hémoglobine qui le macule. « ORION ? » se précipite sans hésiter, poupée de cire qui se déride, tire sur la silhouette, guête une plaie quelconque. « t'es blessé ? qu'est-ce qui s'est passé ? » et déjà chercher dans sa poche, fébrile, le téléphone pour appeler les secours de la ville.


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    Lien du postMer 24 Fév - 19:27
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    tw : mention de meurtre, sang, terreur.

    night of horror

    a history by adharion
    frayeur, tâches pourpres sur l’épiderme, à tacher ce qui est d’un pur blanc, vulgaire peinture de l’expressionnisme - on voit l’horreur, les larmes qui creusent les joues, les trous du désespoir, et le corps qui s’abandonnent contre le mur. même là, je m’étale, sur les murs, l’erreur d’une nuit, sûrement l’ivresse encore trop présente - on espère le cauchemar. à crier son nom, secouer le corps inerte, mort là sur le carrelage de luxe. et résonnent encore, les sirènes de pompiers, les couleurs vives, tantôt rouges, et bleues, à rendre aveugle, à l'ineptie sur le moment. gorge déployée, rire clownesque, presque terrifiant comme l’on devient fou, quand le corps que l’on admirait, si tard au crépuscule, est mort là. tremblantes, les mains expertes en souvenirs, songent encore à la froideur d’un corps qui respirait, à espérer que la poitrine se soulève - et le nom de la sœur, à répéter son nom, pourvu qu’elle s’éveille, se réveille, se rapproche, m’entoure de son étreinte. putain, je suis perdu, là, dans les erreurs de mes frayeurs, mes brutales pensées, j’en sais plus rien. et là, elle dévale, les pas sont brutaux, martèlent les touches de bois, escaliers en plainte. maculé de rouge et elle, elle est comme l’ange, de pureté elle est faite, et elle vient s’empoisonner là.  “ il est mort, adhara, je sais pas si je l’ai tué… ” prouesse parlée, les mots hachés, c’est presque étouffant, de savoir aligner une phrase. et à revoir son corps, recroquevillé, crier à en rendre sourd, le doigt tendu vers le vide - et la crise de mes larmes, à me rendre coupable. “ ted is dead, he’s dead, fuck he’s dead, look ! ” regarde là-bas, adhara, là où mes cauchemars rythment ma réalité. et là, bercé des démons, monstres sous le lit, je m'aveugle du liquide pourpre, et des crises de larmes des coupables de la nuit.
    @Adhara Moon
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    Lien du postMer 3 Mar - 12:10
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    •°*”˜ft. @Orion Moon


    c'est la panique qui vient orner les traits, à ne pas comprendre, à chercher à recoller les pièces, mais trop de morceaux qui manquent. explique-lui, orion, car l'étoile panique, le souffle court, ça s'agite dans la cage thoracique, à se faire les pires scénarios sans effleurer même l'enfer qui t'habite. quand les mots frappent, brisent le silence. il est mort. les mouvements se figent, lâche le téléphone, appel abandonné, le regard fixe sur la carrure semi-inerte, terrassée par les larmes, juste là, devant elle. « qu...quoi ? » gamine de vingt ans, à ne pas comprendre les mots comme s'ils étaient étrangers, venus d'une autre langue, jusqu'à ce qu'il répète, pointe du doigt le vide, le cri qui déchire les entrailles, fait frissonner la gamine. t e r r e u r nocturne, mais bien réelle, et les doigts qui s'enroulent autour de ceux du petit frère. « y a personne orion. » les bras s'enroulent autour du corps tremblant, si grand déjà, quand il n'est pas sorti de l'adolescence. les iris noirs sont rivés vers le vide, à en inspecter les recoins, à vouloir nier et en même temps, fatalement croire à l'horreur. « il est pas là, orion, y a personne, y a que toi et moi. » au milieu des escaliers, à caresser les mèches noires souillées par la pluie, le sang, les larmes. « il faut que tu changes de vêtements. et qu'on nettoie ça. reste pas là. » elle tente de garder son sang froid adhara, à chaque fois, de s'imposer cette distance et cette froideur de marbre, quand les doigts insufflent une autre émotion, tremblants, serrés autour de ceux d'orion. besoin de protéger le petit frère de ses démons. elle se redresse, tend les doigts, paume tendue pour l'aider à se relever, s'éloigner de là. « je suis là... j'suis là, tout ira bien. » crois en elle, orion. crois en moi.


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    Lien du postSam 6 Mar - 15:36
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    a history by adharion
    à la terreur nocturne qui m’arrache les entrailles. les cris assourdissants qui m'arrachent encore, les larmes des pauvres gamins de dix-sept ans qui font écho. c’est blessant, à les entendre dans le coin de cette pièce, et observer le corps inanimé de mon ami, au liquide pourpre qui s’étale sur le parquet parfaitement bien ciré - ça tache le luxe, entrave les beaux rêves, et la richesse qui s’effondre, à cause du bouffon héritier. à tenter d’imaginer, les autres scénarios, l’histoire hilarante pour les autres, le piège qui se referme sur des gamins qui ont cru apercevoir l’ombre de la mort, et l’ami au sourire idiot qui e ferait qu’une simple blague, à respirer de nouveau, à sûrement se reprendre, à prendre le droit chemin. et pourtant, je le vois encore, inerte, la poitrine qui s’est éteinte. et elle, elle comprend pas. il s’est éteint trop loin d’elle, la gamine de vingt-ans, elle sait pas, s’enfonce dans les horreurs de son frère. et y’a personne, sauf les fantômes du passé - y’a juste des heures qui nous séparent, et la fuite d’une bande de gamins dans leur trauma. elle enlace, adhara, l’étreinte qui rassure, et elle, elle essaie de garder la tête hors de l’eau tandis qu’on me noie là, à me laisser dans mes déboires. suffoquer, exploser, supplier que le sang s’arrête de s’écouler, et que subitement, le muscle myocardique se remette à battre (frénétiquement). “ il est là, dans ma tête, je l’ai tué, on l’a tué. ” et aucun souvenir de la frénésie commune, à préférer l’hallucination. mèches noires souillées de ça, du sang, de la pluie qui fait semblant de laver les péchés, elle m’attire, adhara, je m’offusque contre elle, le souffle court, à le revoir là où mon regard se pose. il est n’importe où. “ je vais aller en prison, je vais finir enfermé. ” trace de la peine lourde contre le mur, à traîner le corps jusqu’à la salle de bain. iris d’ébène qui m’observent dans le miroir - le reflet qui m’écœure, ça creuse le visage, cette fatigue insoutenable. “ je suis laid, regarde-moi. ” à porter ce fardeau, des années après, encore.
    @Adhara Moon
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    Lien du postMar 16 Mar - 15:26
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    •°*”˜ft. @Orion Moon


    et malgré tout le sang froid dont elle peu faire preuve, elle a peur, adhara. à ne pas savoir quelle est l'étendue des dégâts, démêler le vrai du faux dans le flot incohérent de sa peur, de son épuisement. il martèle, il assure, rien n'a de sens, pièces du puzzle manquantes. je l'ai tué, on l'a tué, mais qui, orion, quand, quoi, où ? tant de questions qu'elle n'ose pas poser, addie, parce que sa priorité, c'est d'abord lui. à tirer sur ses bras, chercher à l'emporter loin des escaliers maculés du sang qui teinte ses vêtements. « y a personne, orion, y a personne.. viens, tu vas m'expliquer, mais d'abord viens. » grande silhouette qui n'a pas encore finit sa croissance, dépasse déjà largement l'étoile qui tire, qui traîne jusque la salle de bain. secoue la tête en poussant la porte, cherche à rassurer le petit frère comme elle le peut, quand elle n'a pas la moindre idée de l'avenir qui l'attend. « ça va aller, on va.. on va trouver une solution d'accord ? » qu'importe laquelle. elle déploierait tous les moyens nécessaires. elle se dresse, addie, vient entre orion et son reflet, à le forcer à s'abaisser contre la baignoire, venir descendre à hauteur de ses doigts quand déjà, elle trempe une serviette dans l'eau et vient l'appliquer sur son visage. « arrête. » les doigts le forcent, dévient la trajectoire, jusqu'à la rencontrer elle, aînée autoritaire, douceur pourtant dans les gestes quand elle éponge son visage. « retire ta chemise, elle est foutue. » elle se détourne, rince le tissu, demande d'un ton plus doux : « tu n'es pas blessé ? » il faut qu'elle sache. qu'il lui dise. requête de la jeune fille, qui se tourne de nouveau vers lui : « il faut que tu m'explique ce qui s'est passé orion. je ne pourrai pas t'aider si je n'ai qu'une partie des informations. »


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    Lien du postJeu 18 Mar - 18:25
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    a history by adharion
    martèle les mots, à coup d’incohérence révélatrice d’un équilibre désordonné. en réalité, c’est la peur qui ronge, les sensations des barreaux gelés contre l’épiderme qui retiennent le bon sens. liquide rougeâtre qui perturbe le tableau idyllique, à cracher des gouttes de sang sur le parfait portrait familial - l’ange en perdition. il lui manque des pièces du puzzle, l’énigme est trop compliquée - c’est pas aisé, les maux brisés là, étendus sur le sol, en quête du cauchemar éternel. corps inerte, à seulement quelques centimètres, le fantôme d’un mort qui hante. répéter la culpabilité, ça écorche les lèvres, blesse entre un peu plus - l’égo qui s’effondre, comme les autres me faisaient pitié, à pleurer autant, et comme moi, j’ai pu me dégoûter, à m’être pensé coupable des souvenirs effacés. black-out, l’illégal dans les veines, l’odeur âcre de l’alcool encore dans les narines, c’est de mauvais goût, la clope, aussi. ça se bouscule, adhara, si seulement tout pouvait cesser de tourner, juste un peu. “ expliquer quoi, expliquer quoi, je te dis qu’on l’a tué, je te dis qu’on l’a tué. ” c’est dystopique, pas vrai ? on pourrait être ces mômes, ayant découvert un ami, à l’abandon de sa vie, si seulement le sang ne tachait pas nos peaux, si seulement nous n’avions pas bousillé nos vêtements. et nos jambes à la fuite, à courir, éperdus d’une liberté qui n’a aucun mérite. le corps las, à se tirer vers la salle de bain, le reflet dans le miroir que je désire briser - un coup de poing, juste pour balayer le démon qui se tient fièrement là. ça va aller... tu crois adhara ? enlève ta chemise, elle est foutue. comme moi, adhara. tu n’es pas blessé ? et nous ? on a blessé le monde entier, claquer la main contre le marbre, une fois, deux fois…. trois fois, une dizaine de fois, la colère qui s’installe, incapable de savoir reprendre mon souffle. ça étouffe, ça macère là, au fond de ma gorge. “ on a bu, on s’est drogués, j’sais plus après. et on s’est réveillés, il était mort, notre pote, il a baigné dans son sang, y’en avait partout, sur lui, le sol, nous… ” et c’est pas cohérent, tous ces mensonges qui paraissent comme la vérité. mais nous sommes condamnés, à n’être que des pantins de nos cauchemars, pas vrai, adhara ?  
    @Adhara Moon
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    Lien du postVen 19 Mar - 21:59
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    •°*”˜ft. @Orion Moon


    écorché à vif, il semble vide, creux, à ne pas comprendre le sens de sa question, continue de marteler les mots avec férocité, convaincu du vice, convaincu du crime. le ton se hausse, la poupée précise : « les circonstances, orion, putain ! je sais que tu peux pas avoir fait ça volontairement. » elle sait, addie, elle sait que nier et remettre en question ne l'aidera pas, préfère alors accepter la fatalité tout en y mettant des parenthèses, celles d'une histoire trop floue. en attente des détails qui pourront le sauver. elle l'entraîne, le guide, se fait aînée quand luna n'est pas là pour être celle apportant la sagesse, l'étoile habituée à être celle qui fait rire, qui séduit, et non pas celle qui fait preuve de sévérité et de sérieux. elle s'improvise actrice, quoique la réalité l'imprègne, à ne pas vouloir s'amuser de la scène. et les doigts tremblent un peu, peinent à appréhender le stress, poupée tente d'organiser ses pensées, de les rendre rationnelles. pas de blessures, ok. la chemise, à jeter. besoin d'apaiser le petit frère avant qu'on ne l'interroge et qu'il ne dise quelque chose d'incriminant. le protéger, objectif vital. et la colère ronge, gronde, à lui en faire peur, quand il martèle, quand il explique, discours incohérent et chaotique. « donc t'étais inconscient ? vous aviez consommé quoi ? c'était y a combien de temps ? » organiser le schéma, adhara qui relâche la serviette, attrape la chemise retirée pour la jeter à la poubelle. reprendre le visage de son frère entre ses doigts, puis ses mains pour suspendre sa colère. « tu sais pas orion, ok ? tu sais pas ce qui s'est passé, il a.. peut-être eu un accident, ok ? » les pupilles oscillent, gauche, droite, s'arrêtent sur les marbrures de la salle de bain, tente de mettre de l'ordre. « il va falloir qu'on prévienne papa. ça pourra pas être caché si vous étiez plusieurs, y a forcément des témoins. » écarte la fuite, sourcils froncés. et sans réfléchir, c'est dans ses bras qu'elle l'attire, addie, tente d'apaiser orion, son grand orion, d'insuffler sa chaleur et sa présence. « je suis sûre que t'as rien fait, ok..? t'aurais pas du boire ou consommer.. ça. et ils t'emmerderont pour ça. mais je sais que tu pourrais pas être responsable. » confiance aveugle vouée au sang, à la famille, aux moon, bien loin des vices qui tâchent chaque membre de la fratrie.


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