@Macy Harmon
- how you like that ?

Aujourd’hui, tu ne travaillais pas, ou du moins si, disons simplement que tu étais de garde et donc tu avais ta journée libre même si tu te gardais ton après midi pour dormir, faire une sieste prendre des forces avant la nuit que tu t’apprêtais à passer aux urgences. Ce matin tu avais prévu de passer au kkum parce que tu n’avais pas eu l’occasion d’être là à l’inauguration à cause de tes horaires de boulot et que tu te devais de rattraper cette erreur. Alors, jolie surprise, tu avais fait croire à Macy que tu te rendais à l’hôpital pour parfaire la stupéfaction quand tu passerais les portes du kkum. Il était encore un peu tôt mais tu voulais profiter du temps que tu avais pour découvrir les lieux, la carte et cetera, tu voulais une véritable visite guider même si tu avais déjà un peu vu l’endroit lorsque tu étais venue aider, là c’était totalement fini et ça n’avait rien à voir avec ce que tu avais vu.
Presque une heure que macy avait quitté l’appartement pour se rendre au kkum, et désormais c’était à toi de faire le trajet. Poussant les portes, tu voyais alors son visage s’illuminer, se demandant ce que tu faisais là, posant plein de questions sur ta présence ici. « je ne travaille qu’à partir de 21h en fait… » disais-tu doucement avec un air rieur, « alors j’me suis dit qu’avant ma sieste, j’avais beaucoup de temps pour que tu me fasses découvrir ton bébé »

@Macy Harmon
- how you like that ?

Des yeux qui brillent d’admiration face à cette fille qui ne s’est jamais laissé abattre, face à cette fille qui a vécu l’horreur et qui pourtant aujourd’hui renaît de ses cendres tel un phoenix, tu est fière oh oui, qui ne le serait pas, si fière d’elle et de tout ce qu’elle arrive à accomplir malgré ce qu’elle a vécu. Évidemment tu n’as jamais douté du fait qu’elle se relèverait, du fait qu’elle y arriverait, parce que tu la connais ta macy, tu sais qu’elle est forte et déterminée.
Coup d’oeil vers cet endroit qui est le sien désormais, reposant finalement ton attention vers elle, sourire qui s’affiche sur tes lèvres, elle semble contente de ta petite surprise. Tu secoues la tête alors qu’elle te propose de visiter, d’aller voir ses tableaux, tout le boulot qu’ils ont accomplis, bien sûr que tu veux, mais tu aimerais d’autant plus que ce soit elle qui te fasse visiter « tu as le temps pour me faire visiter ? Me montrer tout ça ? J’tiens à avoir une visite guidée tu vois.. » un coup d’oeil aux clients présents « yeon peut s’occuper d’eux non ? » petite moue angélique qui s’affiche sur ton visage.

@Macy Harmon
- how you like that ?

Tout ce que tu avais espéré pour ta meilleure amie se retrouvait ici, le calme, le plaisir de l’art, t’avais eu peur, peur qu’elle perde son amour pour la peinture comme lukas semblait perdre celui pour la musique, cette histoire de talent, cette fausse histoire de talent même, les avait fait douter et c’était légitime. Pourtant ils en avait, tout deux. Heureuse de voir que macy redevenait enfin la véritable. Coupable de n’avoir pu te rendre à l’inauguration tu espérais qu’elle ne t’en ai pas voulu, en tant que fan numéro un tu aurais tout fait pour être là, mais on ne pouvait pas dire que ton boulot permettait les aménagements d’emploie du temps qui t’arrangeait. Excitation de découvrir les lieux, surtout si macy te faisait visiter « on peut attendre qu’elle arrive, de toute façon j’ai un peu de temps » macy s’éloigne quelques instants, va voir yeon, son ex, son ami, son associé désormais. Elle revenait vers toi, large sourire qui s’affichait sur tes lèvres, curieuse tu te laisser guider alors qu’elle te présentait les lieux « oh c’est top ça ! » tu portais ton attention sur l’épicerie en question « tu me feras découvrir les trucs hein ? On en prendra » t’avais toujours aimé découvrir le monde, pas forcément la possibilité de voyager souvent, mais tu ne te fermais pas à l’ailleurs pour autant.

@Macy Harmon
- how you like that ?

Mon soutient, tu l’auras toute ta vie, toute notre vie, parce que toi et moi c’est un peu jusqu’à ce que la mort nous sépare, et encore, même là-haut je te collerais aux basques, parce que je ne peux pas m’imaginer ma vie sans toi. Tu es la famille que j’ai choisi, c’est bien ce qu’on dit de l’amitié non ? Mon visage s’éclaire d’un sourire alors que tu m’annonces que tout ce temps que tu as tu vas le passer avec moi, et j’suis heureuse, heureuse parce que j’ai un boulot prenant et que t’es également plutôt prise avec l’ouverture du kkum, on a chacune notre vie, et même si on vit ensemble, on partage pas autant de temps que je le voudrais.
Tu ris doucement à ses paroles « mais non, mais j’comptais bien tout t’acheter … » un rire qui s’échappe d’entre mes lèvres avant de te suivre dans les escaliers, ma main dans la tienne, tu me guides vers l’endroit qui m’intéresse le plus, celui qui t’appartient. Je reconnais déjà tes toiles accrochées, je les reconnais parce qu’il y en a des semblables qui jonchent les murs de notre appartement. Ta fan numéro une, tu le sais, c’est bien moi. « vous avez des flyers ? J’pourrais en mettre à l’hôpital, qui sait, peut-être qu’on a des artistes en guise de patients », c’est pas une bêtises, on sait jamais, aux urgences, toute sorte de gens.