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I LOVE HARVARD
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    starry night
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    Lien du postSam 6 Fév - 19:44
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    starry night

    a history by heester
    l'impressionnisme au bout des lèvres, après les baisers, les touches de couleurs qui s'animent. caressent la peinture fraîchement sèche sur le bout des doigts - en connaître les variations, c'est la corde (vocale) qui s'est épuisée contre elle, à raconter les histoires moroses d'amour mourant et naissant. pulpe des craies qui commencent à s'amuser, drôle d'enfants qui peignent l'art qui choque et qui évoque - les arts que l'on admire et amsterdam au bout des yeux. van gogh, aux passions de beauté faussement laide, à peindre ta folie artistique sur des murs autrefois peinés. je t'aime quand vient l'aube, je t'admire quand vient l'aurore, et les fleurs d'amandier sont le jardin de mes espoirs. vaincre tantôt la nuit, les insomnies avec lui, les salines autrefois sillons de mon visage qui fuient, les baisers à marquer la peau - sa marque qui disparaît pas, et finalement en tomber follement amoureuse. les craies grincent, la grimace sur mes lèvres, les éclats de rire qui se déposent là, sur la nouvelle naissance. parfois arrêter, l'embrasser comme-ci c'était le dernier jour - et voilà que je crève de peur chaque matin, de le perdre encore, connerie dans l'esprit, putain c'est d'un ennui. et là le môme, il est beau, avec ses mèches brunes qui tombent sur son front, c'est comme l'ombre du soleil, mais qu'il me prenne encore, à être mon plus beau fantasme. je l'aime, j'en crève, putain van gogh, savez-vous à quel point c'est bon ? je parle de lui à la lune, quand au balcon je l'attends. j'ai les airs d'une juliette en détresse, à avoir cru à l'amour interdit, en aimer un autre pour enterrer celui-là. mais que des broutilles. l'avoir enfin aimé quand il est revenu, fiévreux et mort dans mes bras. la nuit avoir épousé la forme de son visage sous la pulpe de mes doigts, avoir rêvé éveillée - de ses lèvres mouillées de fièvre. et elle m'a emporté, elle aussi, la fièvre. et là, je te peins, avec lui. l'observer, intensément. voir son visage enfantin, quelques fois se demander où est le mal, le bien, je sais plus vraiment. elle grince encore la craie, me fait frissonner. c'est la fièvre qui monte encore, à trop l'admirer - putain j'en suis folle, j'appelle presque au secours, je crève d'envie d'être à lui. " tu ferais un bon peintre. " lâcher les mots sans réel intérêt, là, sur les notes du piano, je sais pas quelle musique il a mit pour me charmer, si c'est son but de m'aimer sans en désirer sombrer dans les folies. s'approcher de lui, encore un peu, sentir qu'il est là - dans le secret juste un peu croire en ses promesses autrefois futiles. marquer sa peau de la craie bleue, parce que c'est lui mon œuvre, avoir délaissé les fleurs pour lui, le bleu qui marque la peau colorée - adieu la peau livide, le cadavre ambulant, l'homme est vivant, avec ses fossettes où je veux déchaîner les passions. le regard attentif, dessiner là l'amandier. il est esthétique, c'est presque idyllique. " tu me passionnes, t'es beau, je voudrais tellement te garder là, comme ma muse... t'es beau, les fleurs te vont bien, je pourrais dessiner des heures sur ta peau. " murmuré et poétique, à la commissure de mes lèvres le sourire fier. l'amour là, au bout de la craie. et le mur me réclament, le noir dans le choc, qu'on me peigne et qu'on m'empoisonne d'encre et de pureté. je te peins, toi peindre impressionniste, à avoir subjugué des peintres et des muses. l'art au bout des doigts, je maquille l'autrefois, des espoirs futiles d'une fois qui a suffit à aimer le garçon trop foutu.@Aster Kang

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