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I LOVE HARVARD
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    hurt me, leave me
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    Lien du postSam 23 Jan 2021 - 14:31
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    a history by yerion
    illusion - utopie. commissure des lèvres peintes d’un sourire, ça reste, abîme les joues depuis des mois. sourire idiot bouffe le visage qui se tire - c’en est presque douloureux. astre qui se complaît, dans elle, s’y perdre quelques fois, les rires qui se taisent dans les draps qui se chiffonnent - elle m’a, n’a jamais eu que moi. livide là, pourtant. cette connerie de se souvenir, comme les évènements qui tournent en boucle. muet, le film, en noir et blanc, vieillerie qu’on me repasse sans relâche, les évènements qui se déroulent dans ma tête - ça va se rayer. déraille, ça y est, les images qui brusquement s’effondrent. c’est là, sous mes yeux, c’est l'inattention perdue sur des mots. se remémorer les lèvres que l’on baise, le souffle qui se mêle, et les insultes à tout va, se détester pour s’aimer, cette connerie jusqu’à finir par être le drogué à son addiction. putain, qui elle est ? tremblant, le môme, envoyer chier l’astre (ça n’a pas de sens, de toute façon) - les mensonges se dévoilent, presque la vérité qui arrache à la subtile réalité. déviant, les pensées qui se bousculent, se battent pour se donner une place, reines de moi, pantin de yeri. menteuse, menteur, c’est quoi les sentiments juste - juste un amas de conneries, c’est futile, puis c’est le rire nerveux. vivre pour juste ressentir cette sensation - trahi, ça ressemble à ça ? cette douleur pesante dans la poitrine, à suffoquer là, plus savoir comment respirer, et les larmes qui s'assèchent, salines. la voix comme écho, à cracher l’amour quand il n’a même plus de saveur - et là, le visage qui se déforme, plus vraiment savoir si elle me bouffe ou me fait du bien. lourds, les pas qui se traîne, le grand corps devant elle, frêle presque (c’est à en perdre la force). “ c’est des conneries, nan ? 18 ans, c’est des conneries, hein, yeri ? t’oserais pas être conne à ce point avec moi ? ” - quand tu mens, à me faire croire à la belle idylle. timbre de voix qui déraille, ça pulse là, contre la peau, et au final, ça fait juste mal.@Yeri Warner
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    Lien du postSam 23 Jan 2021 - 14:45
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    a history by yerion
    est-ce que ça avait vraiment un sens ? le tout, la vie en général. se perd parfois dans les histories qu'elle ne comprends pas, oublie presque qu'elle a inventé tant de choses. et face à toi, au regard haineux qui lui déchire les entrailles, elle ne sait plus qui elle est. peut être étais-ce de l'inattention. moment de calme où elle avait cessé de prêter attention à tout, à oublier la pièce qu'elle avait construite sans jamais réussir à s'en défaire. tu lui fais du bien tu sais ? à canaliser depuis si longtemps tout ce qui la consume en général, à savoir faire taire la violence qui venait trop souvent rythmer ses inspirations. et maintenant quoi ? prise au piège, les mains qu'elle passe sur son visage comme pour chasser l'angoisse pesante quand rien ne viendra la sauver. c'est pas ce que tu crois mais qu'est-ce que tu pourrais croire quand trop de choses n'ont été que mensonge. quand c'est aria qu'on la nomme, que la majorité est à peine atteinte et qu'harvard n'a jamais rien été d'autre qu'une illusion. poison. voilà ce qu'elle avait toujours été à venir s'infiltrer dans la vie des autres pour mieux répandre sa toxicité. l'angoisse visible quand elle n'ose plus bouger, à observer tes traits pour mieux analyser la situation. j'voulais te le dire mais.. le courge avait manqué. elle était tombée amoureuse subitement et n'avait pas su faire remonter à la surface tout ce qui aurait pu te pousser à la laisser. t'avais même pas les cartes en mains, à pas savoir le danger qu'elle pouvait être, le passé qui lui collait. respire bébé, ça va aller parce que le reste était vrai. les nuits chez toi, les instants à te retenir à elle quand tu t'effondrais quelques mois auparavant. l'amour murmuré entre les draps et les baisers passionnés. les ressentis réel qui valait bien plus que tout le reste. et elle minimise yeri, jamais vraiment consciente de ses actions, la presque insolence dans le regard. @Orion Moon
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    Lien du postSam 23 Jan 2021 - 16:24
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    a history by yerion
    néant, dans le regard rien n’a plus de sens. se bousculent et s’abîment, jamais foutu de se ranger dans la norme. c’est deux gamins incapables de savoir s’aimer commes les autres, toujours trop différents. on a jamais été les autres, on sera jamais les autres, juste foutus, bousillés l’un par l’autre - et pourtant à être sous le charme. et les doigts tremblants, serrent le bout de papier entre les doigts (c’est dur, le plastique, tranche presque l’épiderme). à foison, les sentiments qui bataillent, j’suis en guerre contre elle, sans même savoir la détester entièrement. you were beautiful - le regard noir, l’air insignifiant, à la commissure des lèvres l’arrogance, perdue dans l’immensité du néant. à m’y laisser pendre, funambule qui observe le crépuscule, s’y évanouir. tu me faisais du bien, tu sais, à canaliser les mauvaises émotions, à me faire voir que ça pouvait exister les jolies histoires des gars qui changent. tu me faisais du bien tu sais, et là, tout bascule, comme un mauvais piège, presque à rire à gorge déployée - c’est certainement un mauvais rêve, et j’observe encore les mots. aria warner, dix-huit ans. imprime les mots dans ma tête, et l’air de rien s’en sert pour mieux souffrir (suffoque, la douleur est insoutenable). analyse la situation, s’imprègne de l’atmosphère pesante, étouffe dans les grands airs de tristesse, j’me noie petit à petit, jusqu’à m’en décrocher le cœur pour arrêter de ressentir cette immense douleur. “ m’en parler, et t’as juste tout caché, j’sais plus si on a du sens. ” si tout n’est qu’un rêve, si tu m’as fait croire à une illusion. envoûté pour mieux être crevé par la suite, jamais croire que c’est possible - on a jamais été foutus d’être comme les autres. les larmes salines qui commencent à creuser les joues. sillons du désespoir. “ je peux pas croire que tu puisses me faire ça, à moi. ” jette la carte sur le canapé - geste vif, jusqu’à m’éloigner d’elle, les mains rugueuses dans la chevelure, à tirer dessus, la respiration qui brusquement s’arrête, bute contre les lèvres. putain, qu’est-ce que c’est mal foutu, d’aimer un peu trop. @Yeri Warner
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    Lien du postSam 23 Jan 2021 - 18:00
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    a history by yerion
    peut être qu'elle minimise. tente de refouler au loin la tempête qui s'annonce. celle où elle devra faire face au poids de ses erreurs. celle où elle devra assumer de ne plus t'avoir avec elle. elle redoute, transpire la peur quand son visage reste impassible. les yeux qui trahissent mais les traits qui restent de marbre. ne m'appelle pas comme ça siffle entre ses dents. jamais comme ça. le prénom jeté comme si elle était un chien que l'on devait nommer quand elle n'avait jamais eu la moindre importance. on a du sens, t'es en colère mais tu sais qu'on a du sens elle et toi, vous deux. c'était forcément écrit quelque part. t'avais réussi l'impensable, t'avais pu canaliser toute la colère qui l'avait pourtant dicté jour après jour. t'avais réussi à l'éloigner de tous les vices dans lesquels elle n'avait eu de cesse de plonger à répétition. ça avait du sens. s'il te plaît, écoute moi le corps qui se projette pour te retenir quand la carte vole dans la pièce. les instants idyllique désormais bien loin, laissent place à la trahison ultime où affronter ta douleur et sa seule solution. je te promet que j'allais t'en parler c'était juste.. c'était juste difficile terrifiant. les paralysies soudaine quand elle tentait de laisser filtrer les mots. à sans cesse reculer sans jamais avoir le courage de sauter. l'âge ne change rien orion ni les personnes, ni les sentiments. elle t'aime en tout temps, sans le moindre doute. les mains nerveuses qu'elle agitent quand l'esprit s'embrouille face à sa propre faiblesse. tu sais au fond que ça change rien l'enfant terrible qui tente de retourner la situation, de garder le contrôle.@Orion Moon
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    Lien du postSam 30 Jan 2021 - 16:14
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    a history by yerion
    sûrement le drame - la tragédie dans le manque, ce fût trop long, l’idylle un peu trop parfaite. ça doit avoir des relents de merde. ça siffle, entre ses lèvres, c’est sûrement la vérité qui déplait. commissure des lèvres étirées dans le sourire faux, ça blesse presque l’épiderme, à foutre en l’air les papiers qui me sont sautés à la gorge. jusqu’au moment où devra assumer qu’on ne sera plus ensembles - parce que finalement, c’est compliqué, sans elle. les mots qui claquent dans l’air, ça n’a certainement aucun sens dans ma tête, ça s’embrouille, ça s’emmêle - y’a aucun moyen que ça puisse m’aider, la manière dont t’as besoin de te démerder de tes ennuis. c’est le chaos, i loved you, shit, it’s okay ? tremblants les doigts qui glissent dans la chevelure plate, à s’inquiéter de la respiration qui fout le camp. “ tu te justifies, t’as toujours besoin de te justifier. ” l’histoire qui prend sens sous les excuses, ça croule sous les pensées qu’on pense jamais réellement. la main qui claque contre le mur - c’est la douleur qui me fait me sentir vivant, à croire que la poitrine qui se serre est pas assez suffisante. putain, l’insulte qui siffle entre les dents. corps qui brusquement lui échappe, la surplombe, aux iris noires comme le crépuscule - la lumière qui s’éteint, y’a aucun filtre, ce sont les mots qui partent plus vite que les pensées meurtries, bourreaux des songes - comme j’aimerais me souvenir de nous, dans l’autrefois pas si vieux. “ tu sais au fond que ça change tout, t’as tout ruiné. ” à assassiner l’espoir, parce que la voix est brute. perles salines qui creusent les sillons dans la peau, pousse le corps frêle loin de moi, m’éloigne - parce que c’est toxique, de rester là, devant toi. “ tes mensonges ça m’bouffe, j’suis incapable de pouvoir te faire confiance. ” et ce qu’on ne pense pas, à cracher le mensonge encore une fois. @Yeri Warner
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    Lien du postMer 3 Fév 2021 - 19:52
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    a history by yerion
    minimise pour te retenir quand la peur lui noue le ventre. à plus savoir comment respirer quand elle a la sensation quand uen fraction de seconde, tu pourrais t'en aller. les mots qui s'emmêle, balbutie comme une gamine prise sur le fait, à plus savoir comment expliquer le pourquoi du comment, à pas vraiment avoir de raison valable de l'avoir fait. et maintenant ? parce que c'est toute sa vie qui venait soudainement d'être mise en jeu, à avoir l'impression que l'explosion était imminente. le voilà le problème, voilà la raison pour laquelle elle ne voulait pas de toi au début. parce que tomber amoureux allait de paire avec sombrer dans la dépendance. gamine si solitaire qui n'imaginait pourtant désormais plus que le scénario duo. et la colère éclate, fissure les semaines e calme qu'elle avait pourtant réussit à construire grâce à toi. la ferme ! à se faire bousculer plus loin comme si rien n'était assez bien. comme si elle ne pouvait pas tenter de réparer les choses, comme si ça n'avait plus d'importance. t'es sérieux là ? à jouer à celui qui hurlera le plus fort quand t'avais aucune idée de ce qu'elle était capable. tornade humaine tout juste libérée, prête à tout faire péter autour d'elle. et quitte à te perdre, qu'est-ce que ça pouvait bien faire ? t'as voulu de tout ça, pas moi ! à constamment lui courir après quand elle n'avait fait que te repousser à l'infini, déterminée à ne pas se laisser attendrir par tes beaux yeux. au final, pour quoi ? pour rien. puis merde, va chier orion ! à plus savoir quoi faire pour te garder avec elle quand elle sait pourtant qu'elle s'écroulera sans toi.@Orion Moon
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    Lien du postSam 6 Fév 2021 - 18:13
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    a history by yerion
    c’est la colère qui explose. n’être qu’un échec. à sombrer dans la haine de l’autre, et la tristesse de l’un. comme ça a toujours été, le jeu incessant de deux mômes qui se pensaient trop faibles pour aimer, et trop forts pour s’adorer. sombrer ensembles dans une paranoïa colérique, à pulser là contre la peau, la voix qui claque dans l’air, à repousser systématiquement le corps en ébullition. on ne devrait plus s’aimer, comme avant, on ne devrait sûrement pas s’aimer comme l’avenir. le grand môme qui recule, le regard sombre, presque à tuer l’écho des tachycardies, on se hait dans l’essence de nos colères. pitoyables comme des enfants en crise, envoyer chier les roses et les chocolats pour les mensonges - théâtre iconique qui se dévoile, les curieux auraient pu miser sur nous deux, sur l’incapacité à savoir bien se comporter. “ t’as suivi, t’aurais pu encore me dire d’aller me faire foutre, j’aurais fini par entièrement te détester. ” parce qu’elle a fini par m’aimer. c’est l’horreur, sur son visage, puis sur le mien, les traits de mon visage qui se durcissent, les faux airs d’homme de colère, et c’est la peine qui commence à bouffer, le poignet qui arrache presque la porte à sa douce maison. “ casse-toi d’ici, maintenant. casse-toi, j’refuse de te voir. ” l’horreur dans la peine, délicieuse tristesse qui j’endure. ça pulse là, douloureux, et elle, que je tente de fuir, comme pour arrêter de savoir respirer. @Yeri Warner
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    Lien du postDim 7 Fév 2021 - 16:03
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    a history by yerion
    elle a le coeur en morceaux, sensation d'être comprimée, l'air qui quitte ses poumons, la laisse sans la moindre force à suffoquer. alors elle fait ce qu'elle fait de mieux yeri, répondre avec sarcasme. laisser l'agressivité prendre place, à se moquer ouvertement de tout comme si ça n'importait pas. c'est les cris qui redoublent d'intensité, à s'envoyer toute la haine au visage, l'incapacité à communiquer. à préférer s'hurler dessus que laisser la peine prendre réellement le dessus. elle souffre la poupée, consciente de ses erreurs, peu encline à te laisser partir. et que pouvait-elle faire pourtant quand rien chez toi semblait vouloir en accepter davantage. arrête de tout me remettre sur le dos putain ! à jouer à celui qui criera le plus fort, drame intense qui se joue au creux de l'appartement, la porte qui s'ouvre à la volée. et puis quoi ? juste ça ? la mettre dehors et faire d'elle une simple pièce du passé ? les doigts qui accrochent le pendentif offert, rage mordante quand elle tire dessus, le jette au visage. violente colère dans les gestes, les mots, déguise la peine sous la haine. va te faire foutre, vraiment à haïr l'instant, les fausses promesse, l'éclat soudain. à se détester de pas avoir su dire, à te détester de ne pas comprendre. à souffrir intensément quitte à en perdre le souffle, à se sentir périr intérieurement.@Orion Moon


    fin du rp :heaart:
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