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I LOVE HARVARD
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    Lien du postJeu 14 Jan - 14:56
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    Le froid ne me va pas à cause de mes soucis de santé et m’étant déjà aventurée dehors, j’essaye de me réchauffer et de calmer mes douleurs qui me donnent la nausée. Pourquoi sortir lorsqu’il fait dans les moins dix degrés alors que l’on sait que le froid nous fait du mal ? Sans doute parce qu’on est idiot, ce qui signifie que je suis sotte ou du moins que je me sens ainsi. « Suis-moi, mon toutou. » Je souffle au chien de Rebecca, une très bonne amie qui m’a prié de le garder, car elle se trouve à l’hôpital auprès des siens et que je souhaitais faire quelque chose pour elle, afin de lui apporter mon aide, mais aussi parce que moi-même, je désire avoir un animal de compagnie. « Je vais avoir besoin de ta douceur et tendresse. » Je continue, tandis que nous nous rendons dans ma cuisine ouverte, puisque je réside dans un immense loft au quartier de Downtown, dans le centre de Boston. « Direction antidouleurs. » Je prononce, pour me pincer les lèvres puis fermer les yeux et grimacer à cause de la douleur. Me saisissant de mon poignet me faisant le plus mal - le droit - avec ma main gauche, je pousse un bon soupir pour reprendre ma marche et ouvrir le tiroir où se trouve de coutume la boite contenant ses derniers. « Merde ! Merde ! Merde ! » Je jure, quand je commence à chercher du regard l’endroit où se trouve mon smartphone. Lorsqu’enfin, je l’aperçois, je manque de le faire chuter sur le sol et parviens à appeler un numéro se trouvant dans mes favoris, celui de Rakel, une jeune femme que je considère comme la sœur que je n’ai jamais eu. « Rakel, ma chérie ? C’est moi, Gabriella. Dis… » Je commence, pour me pincer les lèvres et l’écouter avant de reprendre : « En fait, j’aimerais que tu me rendes un service. Pourrais-tu aller à la pharmacie pour moi ? Je t’envoie les coordonnées ainsi que mon ordonnance par e-mail. J’ai besoin de médicaments et… » Que dire ? Elle ne sait pas de quoi je souffre, puisque personne n’est au courant de ma pathologie. « Et ça te dirait de rester au loft avec moi ? Prends un sac avec quelques affaires, ainsi, on se tiendra compagnie. » J’esquisse un sourire rien qu’à l’idée que nous allons passer du temps ensemble, puisqu’ainsi, nous nous sentirons moins seules, et puis je l’adore réellement et ce sera comme si nous étions deux sœurs qui vivent ensemble durant ne serait-ce que quelques heures. « Je suis contente. Merci, vraiment. Je t’envoie tout par e-mail tout de suite dès que je raccroche. » Je continue, pour finalement lui souffler que je l’embrasse et encore la remercier. « On va avoir de la compagnie, mon toutou. » Je dis au chien de Becca qui me fixe, se trouvant assis à mes pieds et c’est toujours en grimaçant que je lui envoie mes documents afin qu’elle puisse passer à la pharmacie. « En attendant ma petite sœur de cœur que tu vas adorer, nous allons nous réchauffer auprès du poêle à gaz, viens. » Je murmure à l’attention de mon partenaire d’infortune avec qui je me serre les coudes. M’installant sur mon immense canapé d’angle, je me love sur ce dernier, fait signe à mon ami à quatre pattes de me rejoindre pour nous couvrir d’un plaid afin de nous réchauffer. « Heureusement que t’es là, toi. » Je lui dis, pour finalement fermer les yeux et m’assoupir jusqu’à ce que je perçoive que l’on frappe à ma porte d’entrée. « J’arrive. » Je dis, ensommeillée, mon compagnon à ma suite, sans me rendre compte que les heures se sont écoulées et qu’il s’agit déjà de Rakel. « Ma chérie ! » Je m’exclame, dans un doux sourire. « Entre vite, je t’en prie. » Je lui susurre, pour refermer derrière elle avec difficulté, à cause de la raideur et des douleurs dans mes mains et poignets.
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    Lien du postVen 15 Jan - 15:15
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    C’était ce que l’on pouvait appeler une journée de repos. J’étais à jour dans mon travail, j’avais même terminé de réviser, il faut dire qu’il y avait eu des examens la semaine dernière, du coup, plus rien à faire. Enfin si on pouvait appeler ça comme ça. Je m’étais offerte une grâce matinée, et il y avait bien longtemps que je n’avais pas aussi bien dormis, ça faisait du bien. J’avais prévu de passer un après midi shopping, même si le froid ne donnait qu’une seule envie, celle de rester sous la couette. J’étais en plein essayage dans une boutique de luxe lorsque mon téléphone se mit à sonner. Une photo d’une belle blonde apparu me tirant un sourire ravie. Gabriella, il y avait trop longtemps à mon goût que nous nous n’étions pas vu. Cette femme avait joué le rôle de la sœur que je n’avais jamais eu lorsque j’étais au plus mal lors de mon adolescence, et depuis elle était un membre à part entière de ma famille, la seule à qui je pouvais tout dire et qui pouvait surtout tout entendre sans me juger, sans doute la plus belle chose que m’avait apporté ma vie en Italie.

    « Salut ma belle, aucun soucis, je fais au plus vite. Ça me fera plaisir. Ça fait une paie qu’on ne s’est pas fait une journée entre filles.»

    J’abandonnais la cabine d’essayage et les vêtements qui attendait d’être acheté, reportant à une autre fois mon shopping. Quoi qu’avant de partir je décidais de mettre de côté quelques vêtements, mon body guard viendra les chercher, j’envoyais un sms pour lui faire savoir.  Je passais vite fais chez moi pour récupérer un sac avec des vêtements, juste de quoi tenir quelques jours, et surtout mon pc, on ne savait jamais réellement quand le travail pouvait tomber. Je passais en suite à la pharmacie pour récupérer les médicaments pour mon amie. Je n’étais pas du genre curieuse, et je ne pris même pas le temps de lire l’ordonnance, ni même de vérifier le contenue du sac, si elle voulait m’en parler, elle le ferait. Histoire de ne pas avoir à chercher de place je pris un taxi qui me déposa directement devant chez mon amie.

    Mon appartement était sympa, mais ça n’avait rien à voir avec le sien, l’immeuble avait ce cachet incroyable, et son loft était d’un cosy incroyable, on aurait dit un intérieur de magasine. Je frappais à la porte et la voix de mon amie, légèrement endormie, retentit derrière la porte.

    « Service à domicile mademoiselle. »

    Je lui adressais un sourire en brandissant le sac de médicaments. Alors que je m’avançais dans ce loft, une petite boule de poils s’avançait vers moi.

    « Tiens tu as un chien maintenant? »

    Je caressais l’animal, j’adorais les chiens, mais je ne pouvais pas en avoir, je n’étais quasiment jamais à la maison, je ne pouvais pas laisser un chien seul, au moins le Chat se débrouillait très bien seul, je me demandais même si il se souciait si j’étais là ou pas.

    « Se que tu es chou, toi ! »

    Je posais mon sac à côté du canapé, et observais les traits tirés de ma sœur de coeur.

    « Installe toi, je vais nous faire un chocolat chaud, mais avant je te ramène un verre d’eau pour tes médicaments. »
           

    @Gabriella B. Mitchell
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    Lien du postLun 18 Jan - 3:42
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    Je me sais chanceuse de pouvoir compter sur Rakel et bien que j’ai quelques amies, c’est à elle que j’ai immédiatement pensé, rapport à mes médicaments, mais surtout à quelques jours ensemble, au sein de mon immense loft. Après tout, à cause de ses cours ainsi que de son travail dans un cabinet d’avocats et de mon travail, nous n’avons pas réellement eu la chance de nous voir depuis un certain temps, plus exactement les fêtes de fin d’année. Cela me mine d’y songer, puisque j’ai passé les miennes en compagnie du toutou de Rebecca, mon amie d’Harvard qui a des soucis bien plus importants que les miens, le fait est que je m’essaye à relativiser, étant donné que je vais plus ou moins bien, que mes parents se trouvent en Italie avec mes grands-parents, alors qu’elle a dû rester à l’hôpital afin d’être au chevet de son époux ainsi que de son fils se trouvant dans un coma permanent depuis leur accident de la route. *Pauvre Becca chérie.* Je songe, peinée, des larmes dans mes prunelles bleutées, car je suis émotive et que je souffre à cause de mes douleurs, ce qui fait que je suis à fleur de peau. C’est pour cela que je me décide à m’allonger avec le toutou de Becca, tout près de mon poêle à brûler, afin d’être au chaud et ainsi moins souffrir de mes maux, puisque le froid provoque de terribles douleurs et qu’en ce moment, on peut dire que les températures ont chuté à Boston. « Juste une petite sieste. » Je termine de souffler puisque mes paupières pèsent lourd et que je sais que je vais terminer par m’assoupir, quelque peu.
    À demi-endormie, c’est ainsi que je me déplace pour trouver mon vestibule et ainsi ouvrir ma porte d’entrée, étant donné que l’on frappe contre celle-ci. Je ne me suis pas rendu compte que le temps avait défilé à vive allure tandis que je dormais profondément et un sourire s’inscrit sur mon visage lorsque je réalise qu’il s’agit de ma petite sœur de cœur : ma belle Rakel. « Tu es adorable, merci beaucoup. » Je prononce, soulagée, puisqu’enfin, je vais faire taire mes maux grâce à ma médication et actuellement, c’est tout ce dont j’ai besoin. « Pardon ? » Je lui demande, quand je comprends ce qu’elle m’a demandé et passant une main, lasse, sur mon front, je dis : « Hm… Non. Ce n’est pas le mien. » J’en affiche une petite moue contrite. « C’est le toutou d’une amie, professeure, à Harvard. Elle heu… Elle a des soucis et elle m’a demandé si je pouvais garder son chien, étant donné que j’aimerais avoir un compagnon à quatre pattes. C’est une sorte de test pour moi, puis je lui rends service. » Je hausse les épaules, je suis vannée. Toutefois, je suis véritablement heureuse que ma belle brune soit présente et je m’en veux de ne pas être au meilleur de ma forme. « Il est adorable, me suit partout et m’offre énormément de tendresse. » J’ajoute, puisque c’est le cas et je me sens chanceuse de l’avoir eu à mes côtés durant cette maudite tempête. « Je suis d’accord avec toi, il est chou. Je pense qu’il le sait, au jour d'aujourd’hui. » Je dis, dans un sourire plus large, car je ne cesse de lui répéter à longueur de journée, alors il doit l’avoir assimilé. « Encore merci, pour mes médicaments. » Je prononce à l’intention de Rakel, qui me propose de me réinstaller tandis qu’elle va nous préparer des chocolats chauds. « Fais comme chez-toi. » Je dis, bien qu’elle en ait l’habitude, puisqu’elle est ma sœur, que je la considère comme tel et qu’ainsi, elle se trouve chez elle lorsqu’elle est à mon loft. « T’es vraiment un don du ciel ! » J’ajoute alors qu’elle me dit qu’elle m’apporte de l’eau pour mes médicaments. Me penchant afin d’atteindre le sac à pharmacie, je m’en saisis pour sortir l’une des boites d’antidouleurs que je ne parviens pas à ouvrir. « Merde. » Je jure entre mes dents, faisant la grimace à cause des douleurs présentes dans mes mains pour finalement pousser un soupir, clore mes yeux et m’avouer ainsi vaincu. « Rakel. » Je commence, pour baisser le regard et m’empourprer. « Est-ce que tu pourrais… » Je ne sais pas comment le formuler, comment le dire, alors je mâchouille ma lèvre inférieure et trouve le courage afin de reprendre : « Je n’arrive pas à ouvrir la boite et je ne parviendrais pas à sortir le médicament de son truc en plastique alors, est-ce que tu pourrais m’aider ? » Je terminer de souffler, mon regard clair empli de larmes, à présent.
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    Lien du postJeu 21 Jan - 17:16
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    La vraie définition de l’amitié, c’était ma relation avec Gabriella, nous pouvions ne pas nous voir pendant des semaines, ça ne changeait rien aux sentiments que nous avions l’une pour l’autre. Gabi était réellement une sœur, elle était tout aussi importante que mes parents dans ma vie, elle connaissait tout, et je savais qu’en cas de besoin, je pouvais débarquer chez elle à n’importe quelle heure et que j’aurais toujours une épaule sur laquelle compter. C’était bien sûr réciproque, alors que je n’avais pas hésité une seule seconde pour la rejoindre. Tout en caressant le toutou, je l’écoutais me raconter que sa véritable propriétaire était une autre prof d’Harvard. En tout cas l’idée d’avoir un chien était une merveilleuse idée, Gabriella avait de l’amour à revendre et une petite bête à poil serait forcément heureuse avec elle.

    « Si tu te décide tu me le dis, on ira ensemble au refuge pour trouver l’heureux élu ! J’adore les chiens, mais je suis jamais chez moi, au moins j’en aurais un à câliner chez toi. Ein mon beau ! »

    Je pris la tête du chien dans mes mains caressant ses joues poilues. Ca me rappelait les bon moments passé avec mon chien lorsque j’étais enfant, celui qui avait été le seul ami que je n’avais jamais du abandonner à cause de mes nombreux déménagements.

    « C’est quoi son petit nom? »

    Un chien, un poêle bien chaud, un chocolat chaud, c’était le genre de chose qui permettait de passer une bonne journée par ce temps maussade. Je regardais ma jolie blonde en ramenant son verre d’eau, elle n’avait pas l’air en forme du tout.

    « Pas de soucis, donne moi ça. »

    Je posais le verre sur la table basse à côté des chocolats chauds avant d’attraper la boite de médicament et de donner les médicaments dans la main de mon amie. La voyant avec les larmes aux yeux, je sentis mon coeur se serrer, je n’aimais pas la voir dans cet état.

    « Ca a pas l’air d’être la grande forme... Tu veux en parler ?»

    J’attrapais le le verre d’eau pour le donner à mon amie.

    « Ce soir tu veux manger quoi ? Je vais te préparer un bon repas, et … Et en faite si tu veux bien manger il faut peut être mieux commander !  Quoi qu’il en soit je te promets on va faire en sorte de te faire oublier tout ça, on va passer une super soirée.»

    Je n’avais jamais été une grande cuisinière et il fallait avouer que je manquais de temps pour me mettre à la cuisine. Et puis honnêtement Malone était bien plus doué que moi en cuisine alors j’aimais autant le laisser faire. Je m’installais auprès d’elle dans le canapé, attrapant ma tasse de chocolat chaud, et la portant à mes lèvres, ça faisait tellement de bien après le froid de l’extérieur.    

    @Gabriella B. Mitchell
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    Lien du postVen 29 Jan - 2:50
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    Le froid me fait atrocement mal et avec mon sauvetage récent, je m'en suis fait, sciemment. C’est donc en partie de ma faute si je suis dans un tel état et la fatigue ne m’a pas aidé, avec la douleur, à vérifier que j’avais toujours de quoi la calmer. *Je suis une pauvre idiote.* Je me souffle intérieurement, tandis que ma petite sœur de cœur chérie est là. Elle répond toujours présent pour moi, ma Rakel et réciproquement. Elle est ma seule famille ici, alors je m’essaye de prendre au mieux soin d’elle, mais cette fois, c’est moi, qui ai besoin que l’on s’occupe de moi. C’est pour cette raison que je l’ai appelé, car je sais que je peux compter sur sa présence, sa douceur, ainsi que sa compassion à mon égard. « D’accord. Je pense sincèrement que je vais passer le cap et adopter un compagnon à quatre pattes. » J’en esquisse un sourire. « Tu seras l’une de ses tantines, il va t’adorer ma chérie. » J’affirme, puisqu’elle me dit qu’elle n’a pas le temps de s’occuper d’un chien, d’en avoir un, ce que je peux comprendre parfaitement. N’étant pas en forme, je me laisse avancer en traînant des pieds, quand je me stoppe à sa nouvelle interrogation. « Oh. Il se nomme Shadow et c’est un… » Je réfléchis, puisque je me suis promis de ne jamais oublier sa race et pourtant, ma mémoire défaille. « C’est un Shiba ! » Un immense sourire orne mon visage de poupée puisque je me sens comme « victorieuse » d’avoir retrouvé ce qu’il est, mon compagnon de tempête. Puis je vais retrouver mon immense canapé d’angle, mon plaid ainsi que mon poêle, tout en faisant signe à Shadow de me rejoindre puisque j’ai besoin de son amour. Mais avant cela, il faut que je me saisisse de l’une des boite d’antidouleurs que ma Rakel m’a rapporté, seulement, après m’être saisi du sachet en papier, je ne parviens pas à extraire la pilule de son emballage plastique. « Merci beaucoup, ma petite sœur chérie. » Je souffle, mes prunelles claires emplies de larmes puisque je souffre, que je ne suis pas capable de faire grand chose, et cela, me mine, bien évidemment, comme depuis toujours. « T’es vraiment un ange. Mon ange. » J’ajoute, pour esquisser un frêle sourire à cette pensée et pousse un long soupir d’épuisement. Devrais-je dormir ? J’en aurais tout le luxe ce soir, lorsque nous nous serons couchées avec ma belle Rakel. Pour le moment, ce qui prime est de calmer ma douleur, mais aussi de profiter d’elle, puisque nous ne nous voyons pas aussi souvent que je le voudrais. Une fois les médicaments au creux de ma main, je les place dans ma bouche et me saisis du verre d’eau afin de les avaler. Fermant les yeux, je me dis que mon calvaire va bientôt s’arrêter ou du moins, que je souffrirais bien moins, ce qui sera indéniablement un soulagement. « Non, ce n’est pas la forme. » J’en hausse les épaules et fixe mes mains afin de fuir le regard de ma belle petite sœur. « Je… » Suis-je prête à le lui dire ? Ne vais-je pas fondre en larmes ? Je sais très bien que si. Le fait est que mes prunelles sont déjà emplies de ses dernières. « Je… Disons que… » Je ne trouve pas les mots, je ne sais pas comment les placer afin de former une phrase qui puisse avoir du sens. « J’ai une maladie. » Je prononce donc, pour faire au plus simple, et cela, fonctionne. « S’il te plaît. Je ne veux pas… » Des trémolos sont perceptibles dans ma voix. « Je ne veux pas en parler. » Faisant « non » dans un mouvement de tête, je m’essaye à essuyer ses quelques larmes qui désirent rouler sur mes joues. « Merci. » Je souffle alors qu’elle s’empare de mon verre d’eau pour me le tendre à nouveau et j’avale quelques gorgées. « Je ne serais pas contre un bon fast-food bien gras. » Je la fixe, mes joues s’empourprant légèrement. « Genre un McDo ou un KFC. Tu préfères quoi ? » Je demande à ma belle pour déposer l’une de mes mains sur sa cuisse avec douceur, afin de lui faire part de toute ma reconnaissance à son égard. « Je sais que tu vas tenir parole et que l’on va passer une superbe soirée. Bien plus belle que celle qui m’était destinée avant que je ne t’invite chez-moi. » J’appuie mes propos dans des mouvements répétitifs et positifs avec ma tête avant de sourire plus largement. « On prendra un dessert. Il faut toujours terminer un repas par une note sucrée. » Puis je suis gourmande, je l’admets sans mal.
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    Lien du postLun 1 Fév - 15:20
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    Il n’y a pas à dire, j’adore les chiens, j’avais toujours vécu avec des poilus jusqu’à ce que je m’installe ici à Boston pour mes études. Gabriella avait connu mon favori Athénas notre Rottweiller de mon enfance lorsque j’étais en Italie, s’en suivit plusieurs autres, ma mère étant trop effrayée pour vivre sans chien durant les absences de mon père pour son travail. Le dernier en date étant un berger suisse un peu neuneu, j’avais insisté pour l’appeler Volt en hommage au disney du même nom.  Sauf qu’un chien c’est du boulot, et une implication que je ne pouvais pas avoir en ce moment. Peut être plus tard mais en attendant je profitais des chiens chez les autres, surtout que je n’étais pas persuadée que le chat serait content de partager le confort de mon appartement, et que Malone ne serait pas ravi de jouer les petsitters. En tout cas l’annonce de Gaby me fit sourire, l’idée m’enchantait et je mourrais d’envie de déjà parcourir les refuges, associations ou élevage pour lui trouver le compagnon de ses rêves.

    « Oh oui tati Raky, comme pour les gosses je lui offrirais des jouets qui font du bruit et je le pourrirais de cadeaux. Par contre j’insiste je veux être là quand tu iras le chercher, comme ça je conduirais et tu pourras lui faire des tonnes de câlins pour pas qu’il soit stressé. »

    Je trouverais bien une place dans mon agenda pour un événement pareil, ce n’était pas tous les jours que l’on avait un nouveau membre dans notre famille.

    « Et avant il faudra aller faire du shopping, pour son panier, sa laisse, son collier, et tout et tout ! Ein Shadow tu es d’accord.»

    Bon ok je m’emballais peut être un peu vite, elle venait juste de me dire qu’elle allait sans doute franchir le pas, on n’était pas encore à préparé son arrivé, mais honnêtement une bonne nouvelle de temps en temps, ça faisait du bien. Mais rapidement la joie de ce petit interlude laissa place à autre chose. Je voyais bien que Gaby n’allait pas bien, il ne fallait pas être un génie pour le comprendre, ses traits du visage étaient tirés, elle avait l’air fatigué, et puis ce n’était pas son genre de rester dans son canapé comme ça, c’était forcément que ça n’allait pas, je l’avais compris à l’instant où elle m’avait demandé d’aller à la pharmacie pour elle. J’observais ma grande sœur m’annoncer qu’elle avait une maladie. Je sentis mon coeur se serrer, imaginant un instant que je risquais de la perdre, perdre quelqu’un qui avait été mon repère pendant si longtemps et que j’aimais tant. Mais je me repris vite, ça ne servait à rien de dramatiser comme ça, il y avait d’excellents médecins aux Etats Unis, et rien ne me disait qu’il s’agissait d’une maladie mortelle. De tout façon Gabriella n’avait pas besoin de ça, elle avait besoin de quelqu’un de fort à côté d’elle pour l’aider à passer cette épreuve, et il fallait que j’endosse ce rôle. Je lui tendis son verre d’eau pour qu’elle puisse prendre quelques gorgées pour calmer ses larmes avant de la prendre dans tes bras.

    «  Ne t’en fais pas c’est pas grave, tu sais que je suis là si jamais tu as besoin d’en parler. Quand tu veux à n’importe quelle heure, on est bien d’accord? »

    Je la serrais dans mes bras pour faire passer son chagrin, si seulement je pouvais prendre un peu de sa douleur pour la soulager. C’était important qu’elle sache que peut importe ce dont elle avait besoin je serais là à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit même pour aller enterrer un cadavre. Après tout la famille ça sert à ça. Terrible question que celle ci, il fallait donc choisir mais lorsqu’elle me dit qu’il nous faudrait un dessert, le choix fut tout de suite plus rapide.

    « Si on prend un dessert je dirais KFC, j’adore leur Kream ball au nutella ! »

    Je m’installais confortablement sur le canapé, de manière à ce que Gabriella puisse voir mon écran.

    « Jvais faire la demande de livraison maintenant comme ça on aura pas besoin d’attendre des plombs quand on voudra manger, 19h30 ça te va ? »

    Je fis défiler le menu pour voir se qu’il y avait.

    « Tu préfères un bucket ou une big box ?  Ou on prend un de chaque et on partage, comme tu veux ! »

    En tout cas une chose était sûre, nous allions passer une super soirée, et je ferais oublier à mon amie tous ces problèmes. Et comme pour m’aider, un SMS de Malone s’afficha sur mon écran, me demandant où j’étais encore passé. Gabriella avait entendu parlé de mon body guard, et surtout à quel point je m’en plaignais à mon arrivée à Boston, je n’avais pas envie d’avoir un toutou qui me suivait partout pour pouvoir raconter à mon paternel toutes mes actions, mais depuis notre relation c’était bien améliorée.

    « Tu vois moi, c’était lui mon compagnon de tempête… Comme j’avais plus internet pas moyen de bosser, alors j’ai décidé qu’il m’aiderait à entretenir mon splendide corps dans mon lit. »

    Je ne pu qu’afficher un petit sourire satisfait.

    « Et vu comment on a donné je peux me permettre de manger comme un petit cochon ce soir. Tu devrais voir ces abdos Gabi, je me suis plains de sa présence trop souvent, maintenant je me rends compte que j’ai eu de la chance, mon père aurait pu me coller un vieux sur le dos pour me surveiller, là il y a clairement des avantages… Alors certes ça fait des mois que je n’ai pas de petits amis mais je me console comme je peux ! »
     

    @Gabriella B. Mitchell
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    Lien du postVen 19 Fév - 2:02
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    @Rakel Peleonor
    Ma jolie brunette est la seule famille qu’il me reste, ici, sur Boston. Alors lorsque je défaille ainsi, à ce point, je ne peux que songer à elle en premier. Ma Rakel est à l’image d’une sœur pour moi, ma petite sœur et je ferais l’impossible, l’inimaginable pour elle. C’est ce que nous faisons pour nos proches, surtout lorsque nous les aimons et je l’aime, ma chérie. Je voudrais que l’on se voie bien plus souvent, j’ai même songé à lui demander à de multiples reprises de s’installer ici, avec moi, mais je n’ai pas envie de devenir un fardeau pour elle et lui avoir demandé mes médicaments, car je suis incapable de me déplacer, m’en donne déjà la terrible sensation. Je suis gênée d’être malade, de souffrir ainsi, puis aussi, je m’en veux qu’elle ne sache pas quelle est ma pathologie et depuis quand j’en souffre. Après tout, elle est ma « sœur » alors ne devrait-elle pas être au courant ? Rien qu’elle ? Cela m’ôterait un véritable poids sur mes épaules alors j’y songe, véritablement. Je m’en pince même férocement les lèvres, jusqu’à revenir à nous, puisque Shadow jappe et que Rakel reprend, se trouvant emballer rien qu’à l’idée de devenir la tantine d’un futur compagnon à quatre pattes. J’en souris, de sa joie, son envie, puis du fait qu’elle veuille d’ores et déjà le pourrir de cadeaux, jouets, qui font du bruit. Elle me redonne l’envie de rire, plaisanter, plutôt que de m’effondrer et pleurer. « Tu vas être la meilleure des tantines. » Je lui souffle, pour acquiescer dans un mouvement de tête à sa requête. « Nous irons avec Becca, ma meilleure-amie, la maman de cet adorable toutou. OK ? » Je lui dis, pour jeter un coup d’œil à la peluche vivante qui garde un œil sur moi. « Je lui ferais tout un tas de câlins, ça, tu peux en être certaine. Autant qu’à toi, mon beau. » Je souffle aux deux, pour retrouver le visage de ma Rakel qui s’emballe davantage et évoque déjà tout ce qu’il va falloir acheter. « OH. » Je souffle, ma bouche légèrement entrouverte. « Tu as raison. » Je prononce dans un murmure pour froncer les sourcils et dire, finalement : « Il va falloir que l’on monte une liste, afin que je n’oublie rien. » Je souligne mes dires dans un seul hochement de tête. « Tu la liras avec moi, la monteras avec moi, afin que l’on n’oublie rien. » Je continue, puis ajoute : « Peut-être que Shadow pourra également nous accompagner, afin de lui dire bienvenue. Tu en penses quoi, mon beau toutou ? » Je l’interroge pour caresser le sommet de son crâne et sourire plus encore. « J’ai hâte que ce jour arrive. » Cette fois, ce sont les prunelles de Rakel que je retrouve. « Je pense que se sera parfait un week-end. Un samedi, du coup. Étant donné que l’on travaille en semaine. » Puis je me stoppe et commence à ressentir plus intensément encore mes douleurs. Grimaçant, des larmes perlant dans mon regard azur, je termine de demander à ma Raki de l’aide, pour lui souffler que je souffre d’une pathologie et un silence de plomb règne, soudainement. Je sais que je l’inquiète, qu’elle doit se poser tout un tas de question au sujet de ma santé, se demander si elle va me perdre très bientôt et je voudrais la rassurer, seulement, pour le moment, ma gorge se trouve nouée. Je sais que si je venais à prendre immédiatement la parole, j’en viendrais à fondre en larmes, alors, je n'en fais rien et après avoir avalé plusieurs gorgées d’eau, lui avoir tendu mon verre, je prends place dans ses bras avec plaisir. « Merci d’être là. » Je murmure quand elle reprend pour m’affirmer qu’elle est là et qu’elle le sera toujours, afin que je lui en parle, ce qui me donne du baume au cœur. « Merci mon ange. » Je réponds, pour dire tout bas : « Je ne vais pas mourir, je préfère te rassurer. » J’en esquisse un sourire, bien que je rougisse de part mes mots, puisqu’il y en a des personnes qui périssent, à cause de leurs maladies. « Je souffre de… » J’ai du mal, beaucoup de mal, alors je déglutis : « Je souffre de polyarthrite rhumatoïde. C'est au niveau de mes membres aux extrémités. Mains, pieds, chevilles et poignets, dans mon cas. Cela peut rester stable ou empirer, cela dépend des cas, je crois. » J’en hausse les épaules pour minimiser les choses. « Mais n’en parlons pas davantage, je meurs de faim. » Alors j’évoque ainsi mon envie de fast-food, pour proposer un KFC ou un McDo. « Hum… » Je pince mes lèvres et approuve rapidement à ses mots. « Tu as raison, j’en raffole moi aussi. » J’esquisse un large sourire. « Nutella, évidemment. » Parce que c’est une évidence pour moi, étant donné que je pourrais en manger à tous les repas. « Dix-neuf heures trente, ça me va parfaitement. » Je dis, tandis que je regarde ce qui défile sur son téléphone. « Hum… Je pense qu’on peut prendre une big box, mais je veux des Crispy Tenders, si tu veux bien. Puis une grande frite, voir deux. » J’en réfléchis à voix haute, je suis une ogresse : je dévore. « Puis évidemment, je veux notre dessert et en boisson, un soda. Un coca ! » Voilà, mes choix sont faits et j’en meurs déjà d’envie. « Ça me donne si faim, tu n’imagines même pas. » Je souffle à ma Rakel lorsqu’un message apparaît sur son téléphone et que je le lis, évidemment, puisque je suis curieuse et ma petite sœur chérie le sait. « Il est canon ton compagnon de tempête ? » Je l’interroge immédiatement, quand elle continue et me souffle qu’il l’aide à s’entretenir dans son lit. « Tu couches avec lui ? » Ma bouche forme un « O », absolument parfait. « Mais je suis tellement fière de toi ! » Je reprends, pour ajouter : « Est-ce que je peux voir une photo ? » Mais déjà elle reprend et je l’écoute, son mini laïus. « Mais justement, montre-moi ses abdos ! » Puis je lui mets un léger coup sur l’épaule. « Ne sous-estime pas les hommes plus âgés, certains en valent vraiment le coup. » J’en soupire d’aise, car j’en connais un avec qui je passais de délicieux moments au lit. « Alors, petit un : je veux une photo. Puis petit deux : tu as raison, console-toi comme tu peux. » C’est un clin d’œil complice que je lui offre après mes dires, mais aussi un sourire des plus ravissants, des plus fiers, également.
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    Lien du postVen 5 Mar - 15:32
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    Peut être que je pourrais me réjouir à l’idée de devenir la tante d’un enfant, comme la plus part des jeunes de notre âge, mais nous n’étions pas comme la plus part de jeune de notre âge. Nous étions l’élite du pays, et honnêtement je ne me voyais pas entourée de marmots, un chien, c’était bien plus amusant, et clairement moins de responsabilités. J’aurais pu ressentir une pointe de jalousie lorsqu’elle me fit mention de sa meilleure amie, mais nous avions dépassées ce stade, et je crois que j’avais eu ma dose de jalousie, et de loin après avoir croisé Dutch. Rien que d’y penser, j’étais épuisée. Et puis si Gaby aimait cette fille, c’était qu’elle était forcément géniale, après tout avoir une amie de plus à Boston, ça ne serait pas de trop, au moins je ne risquais pas de lasser Gaby ou Lauren avec mes histoires.

    « Super, j’ai tellement hâte ! »

    J’étais tellement excitée à cette idée, il n’y avait pas plus adorable qu’un chiot. J’avais tellement hâte de le voir évoluer. D’ailleurs même si elle choisissait un chien adulte, il serait amusant de le voir évoluer, et devenir un chien pourri gâté. Ah l’idée d’une check-list me plaisait, j’étais une personne qui aimait l’ordre, et d’ailleurs j’avais du mal à me la jouer à l’improviste, alors j’attrapais mon téléphone et créa un fichier partagée avec ma sœur, nommé Check list Doggy, ajoutant le collier, le panier, les gamelles.

    « Voilà, plus qu’à ajouter tout ce à quoi on pense. »

    Je perdis assez rapidement mon sourire lorsque je vis mon amie défaillir. Visiblement elle allait réellement mal, et il ne suffisait pas de lui changer les idées pour arranger les choses. Je la serrais contre moi, essayant de la rassurer.

    « Tu sais que je serais toujours là. »

    Je m’inquiétais, mais je ne pouvais rien dire, je ferais part de mes problèmes à Malone, il n’avait pas d’autres choix que m’écouter, et puis même si ça le saoulait, je savais qu’il le faisait de bon coeur. Face à son aveux je la serrais un peu plus fort dans mes bras. J’aurais aimé dire quelque chose de réconfortant mais que dire ? De toute façon elle voulait que l’on change de sujet, et quel meilleur sujet que la bouffe ? Après tout ça soignait beaucoup de douleur surtout quand il s’agissait de fast-food bien gras.

    « En tout cas je suis contente que tu m’en parles, tu sais juste que quand tu as besoin tu peux m’appeler, n’importe quand. »

    Je posais un baiser sur sa joue avant d’attraper mon téléphone et d’ouvrir l’application Uber Eat et de commencer par la commande des glaces, Nutella off course. Au fur et à mesure j’ajoutais ses choix, et rajoutais les miens.

    « Il me faut la sauce Too Hot ! Du coup une Big Box et un bucket de Crispy tenders, c’est pour 4 mais bon on a bien besoin de ça avec la journée que tu as passé. Donc 2 Coca pour toi et 2 orangina pour moi. »

    Il va falloir que je fasse attention les prochains jours après avoir mangé comme ça si je ne voulais pas finir avec des kilos en trop. Mais qu’importe, le gras, c’est la vie. Je venais de valider la commande, il ne nous restait plus qu’à attendre que le livreur arrive. Mon ventre se mit à grogner, pourtant je n’avais pas l’impression d’avoir si faim que ça avant de passer notre temps à parler de mal bouffe, vivement qu’il arrive. La conversation dériva sur les gars, un autre de mes sujets favoris après la bouffe.

    « Terriblement. »

    Je poussais un petit soupire, ou il y avait pas plus sexy que Malone, il fallait l’avouer. En tout cas j’étais réellement fière de moi, j’avais réussis à changer les idées de mon amie, et radicalement, je m’amusais à la faire poireauter, puis j’attrapais finalement mon téléphone.

    « C’est pas forcément facile, il est pas comme les mecs de mon âge à faire des selfies non stop, attends je chercher je vais bien finir par trouver . Tiens j’ai celle ci quand on a été chercher mon sapin de Noël. »

    I need you by my side. 7-min

    Je tendis mon téléphone à mon amie, plutôt fière, il fallait être honnête Malone était incroyablement sexy.

    « Je dois en avoir une de cet été attends. Quand j’étais en France, regarde. »

    Je tendis une nouvelle fois mon téléphone.

    I need you by my side. 1-min.jpg

    « Son seul vrai soucis, c’est qu’il est juste incapable de s’imposer alors ça ne finira jamais autrement qu’en plan cul, jamais il assumera d’avoir couché avec moi devant mon père. Ah les mecs… »

    Je poussais un soupire et secouais la tête.

    « Alors certes je veux bien croire que les plus vieux on des avantages, mais tu oublies qu’avec cette histoire avec Dutch, j’ai du mal à voir du sérieux avec qui que se soit, je pense que c’est pour ça que ça fonctionne si bien entre Mal’ et moi, on est incapable de s’engager ni l’un ni l’autre, alors bon… Et toi niveau coeur, raconte. »  

    @Gabriella B. Mitchell
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    Lien du postMer 10 Mar - 22:10
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    @Rakel Peleonor
    Lors de ma précédente vie, à Rome ainsi qu’à Florence, je me serais imaginé sans mal avec une famille au début de ma relation avec Francisco, mais cela a rapidement évolué et au jour d’aujourd’hui, je ne me vois plus qu’avec un compagnon à quatre pattes. La raison ? Je suis incapable de me poser avec qui que ce soit puisque la blessure infligée à mon cœur se trouve toujours ouverte et devenir une mère de famille sans époux, ne m’intéresse pas. Puis au final, est-ce que je souhaite devenir mère ? Ma réponse à ce jour est : non. Cependant, l’adoption d’un Samoyède me tente réellement, surtout depuis que je m’occupe de Shadow, l’adorable toutou de mon amie Rebecca. Le truc, c’est que je ne pense pas encore avoir fait part de la race que je désire à ma Rakel et pour cause, je suis exténuée à cause de mes douleurs. Cela se lit sur mon visage de poupée, que je suis épuisée, mais cela ne signifie pas que nous n’allons pas passer une superbe soirée, toutes les deux, avant que je ne me repose et que l’on profite réellement demain, d’une journée entre nous. « Moi aussi, j’ai vraiment hâte. » Je souffle donc, dans un sourire avant de reprendre et de dire : « C’est un Samoyède, que je voudrais. C’est une race de chien qui sourit. Je trouve cela vraiment adorable. » Puisqu’on a besoin de bonheur dans notre existence et qu’il saura m’en apporter, j’en suis intimement convaincu. Alors, je propose une idée de liste, afin que l’on omette rien, puisqu’il va lui en falloir des choses, à mon futur compagnon à quatre pattes. « Ajoute des jouets. » Je dis à ma Rakel alors qu’elle me propose que l’on ajoute au fur et à mesure ce dont on terminera de songer, pour finalement perdre la face puisqu’elle ne sait pas que je suis souffrante, étant donné que je souffre d’une pathologie dont je n’ai parlé à personne. « Je sais ma chérie. Je le sais. » Je prononce, des trémolos dans ma voix, avant de lui faire un rapide résumé de ma pathologie. Je lui en souffle le nom, mais j’ajoute rapidement que je ne souhaite pas en parler, au vu de mon état, puisque je me mettrais à fondre en larmes, littéralement et que je serais bonne à ramasser à la petite cuillère. « Merci, de me comprendre. » Je souffle en séchant une larme. « Je sais que tu seras toujours présente pour moi et réciproquement. » Je m’essaye à lui offrir un sourire, mais c’est avec mal que je m’y applique, jusqu’à ce que nous parlions de nourriture, puisque je suis une véritable ogresse, comme chacun sait. Cela ne se voit pas, mais je dévore. Le fait est que mes antidouleurs me permettent de rester mince, puis mes crises d’angoisse m’aident bien, elles aussi. « Une sauce Too Hot ? » Je ne la connais pas et je ne préfère pas essayer, puisque lorsque ça brûle de trop, je termine avec ma bouche sous l’évier, le robinet ouvert à fond. « D’acc. » Je prononce tandis qu’elle énumère le tout et puis, je laisse ma tête trouver le dos de mon canapé, afin de m’y reposer. « Je crois que c’est bon. Puis je te fais confiance. S’il me manque quelque chose, je te grignoterai le bras durant la nuit. » Je plaisante, bien entendu et un léger rire s’extirpe enfin de mes lèvres. Le fait est qu’un sujet plus brûlant fait son apparition, puisque nous parlons mâles et que ma Rakel évoque un certain Malone que je désire voir, par sa faute. « Tu sais que je suis curieuse, alors montre moi une ou des photos, aller ! » Je la presse, je ne le lui laisse pas le choix et je lui offre même des petits coups, afin qu’elle se saisisse de son téléphone pour m’en montrer. « Cesse de rêvasser toute éveiller et cherche ! ! » Je m’exclame, quand après m’avoir fait patienter intentionnellement, elle m’explique qu’il ne passe pas sa vie à se prendre en photo, comme les jeunes de nos jours. « Hum. » S’échappe d’entre les lèvres et lorsque je le vois, mes prunelles bleutées se font toutes rondes. « Merde ! C’est dommage qu’il ne se prenne pas plus en photos ! » Je dis pour comprendre pourquoi elle le trouve si sexy. « Oh ! Montre-le moi torse-nu. » Je prononce, pour sautiller sur place et trépigner d’impatience, jusqu’à ce qu’elle me le montre et que je pose une main sur ma poitrine. « Profite de lui, souvent, très, très souvent même. » Je dis, encrant mes prunelles dans les siennes. « Consommer à fond. On a qu’une seule vie après tout. » Puis je l’écoute et grimace légèrement. « Je vois. Je comprends. » Je me contente de souffler pour me demander si ce n’est pas plus mal, au final. Dans mon cas, cela le serait, mais est-ce que Rakel désire plus ? Ça, je ne le sais pas, mais je devrais sans doute le lui demander. « Tu veux plus, toi ? » Je demande pour reprendre : « Enfin, tu voudrais plus ? » Et elle me rappelle Dutch, ainsi que le fait qu’elle ne se voie plus avoir une relation dite sérieuse avec qui que ce soit, justement. « Ne t’en fais pas, s’il y a bien quelqu’un qui peut te comprendre… » Elle connaît pertinemment la fin de ma phrase. « Oh ! Moi ? » Je suis toujours surprise lorsque l’on me demande ce que je deviens, sentimentalement parlant. « J’ai retrouvé une sorte d’amour, qui date de l’époque de Rome et ça a été torride, quelques heures, après nos retrouvailles. Il m’a fait gémir de plaisir, encore et encore. C’était… » J’en pousse un soupir d’aise. « Il se nomme Victor, il est DJ, sexy à sa façon, gentleman et il me fait des choses. » J’en humecte mes lèvres. « Il connaît chacune de mes faiblesses afin que je hurle pour en réveiller l’immeuble. » J’appuie mes dires dans plusieurs hochements positifs de la tête pour le voir apparaître sur ma rétine et soupirer encore, de contentement.
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    Lien du postMar 30 Mar - 15:00
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    Un chien qui sourit, je devais avouer que je n’en avais jamais entendu parler, mais je n’étais pas une grande pro des chiens, je ne connaissais que les races basiques que nous avions l’habitude de croiser dans la vie de tous les jours.

    « Un chien qui sourit, ça c’est une excellente idée, quel meilleur moyen de garder de moral que d’avoir un compagnon qui nous souris. »

    On ne pouvait pas dire que mon chat était particulièrement souriant, ni même qu’il en avait quelque chose à faire quand je rentre ou non à la maison. J’attrapais mon téléphone pour faire une recherche par image avec le nom qu’elle m’avait donné, apparu ensuite une flopée de petit chien blanc avec une mine à croquer.

    « Oh ils sont trop chou, c’est clair c’est ça qu’il te faut, pas trop gros, le blanc ça va avec tout, ils ont l’air tout doux, et en plus il a une de ces petites têtes à faire craquer n’importe qui. »

    J’aimais beaucoup les chiens, même si je devais avouer que je n’avais pas envie d’en avoir un à la maison, pas en ce moment, le laisser seul toute la journée ça ne serait pas une vie pour lui ... Quitte à prendre un compagnon autant le rendre heureux, et inversement. C’était pour cette raison que cette idée était parfaite pour Gabi, elle était plus disponible que moi, et rendrait cette petite bête aussi heureuse qu’il ne la rendrait heureuse. Prenant mon amie au mot, j’ajoutais sur la liste des jouets.

    « Faut qu’on en trouve des costauds, et qui ne risque pas de finir en morceaux, ya rien de plus dangereux que ces petits morceaux de plastiques qui risque de se loger dans l’estomac, pareil avec les cordes à nœuds, trop dangereux ! »

    J’avais l’impression que l’on était en train d’écrire une liste de naissance pour un bébé, mais après tout, ça serait son « bébé » un peu poilu certes mais un bébé quand même. Le sujet dériva tout en restant aussi agréable, la bouffe. La malbouffe était pour beaucoup mauvais pour la santé et la ligne, mais je crois que je faisais bien pire avec le stress, les anxiolytiques, et l’alcool, mais c’était ça d’être étudiante, et encore plus dans le droit. Qu’importe, le choix était fait, au diable la ligne et le régime aujourd’hui, c’était du plaisir et rien que ça, il fallait bien profiter de temps à autre.

    « C’est une sauce piment, j’adore le piment, je trouve que ça relève super bien le poulet. »

    Et ça me rappelait certains plats que je mangeais quand je vivais en Espagne, j’avais d’ailleurs toujours regretté que mon père restait qu’en Europe, j’aurais adoré voyage dans les îles ou en Afrique, leur bouffe était clairement ce que je préférais, bon peut être après les fast food. Je ne pu que sourire à sa remarque avant d’ajouter :

    « Chérie si tu as faim au beau milieu de la nuit, ça pourra s’arranger, on vit en Amérique maintenant, et la meilleure des choses lorsque l’on vit ici c’est qu’on peut se bouffer un Mcdo à 4h du mat’ si on a envie. »

    Et oui ça changeait beaucoup de la plus part des autres pays, même si en France il existait des Drives Mcdo 24h/24h c’est plus rare qu’ici. Je souris face à sa réaction vis à vis de Malone, il faut dire qu’il faudrait être difficile pour ne pas l’apprécier physiquement, ce mec était un dieu, dommage qu’il avait tout de même pas mal de défaut autre, ne serait ce que sa confiance en lui, se qui expliquait aussi le manque de photos. Je devais avouer que Gabi venait de mettre le point sur une question dont je n’avais pas réellement la réponse. Je devais avouer que je restais un peu silencieuse devant sa demande, qu’est ce que je voulais, même moi je ne le savais pas. Heureusement elle répondit à ma question avant que je n’eus à répondre à la sienne. Je comprenais ce qu’elle ressentait, Dutch avait été le seul mec à me faire ressentir une telle chose, je n’étais clairement pas guérie de lui, et pourtant ça faisait plusieurs années.

    « Pour l’instant je ne veux rien de particulier de la gente masculine, on verra quand je serais inscrite au barreau, avec un peu de chance j’aurais oublié Dutch d’ici là…. »

    Je fis une grimace, ça faisait toujours mal de se pencher sur ses propres démons, on découvrait des choses que l’on se cachait à soit même et que l’on préférait oublier.

    « Je comprends pas que je pense toujours à cet idiot... »

    Et que j’ai encore des sentiments pour un type qui m’avait mit plus bas que terre, peut être parce qu’on est toujours plus marqué par les gens qui nous font du mal que par ceux à qui nous faisons du mal.

    « Il m’a humilié en me trompant avec cette morue et pourtant je n’arrive pas à l’oublier. »

    Je me serais bien pris un verre, dans le genre fort, ou peut être une petite dizaine de mojito pour oublier ce vilain sentiment qui m’attaquait en traître, mais malheureusement ça ne serait pas compatible avec les médicaments de mon amie, alors autant oublier, et oui ma grande il faudrait vivre avec tes démons ce soir.

    « Et bah dis donc ce Victor à l’air super doué, finalement le niveau de Malone vient de descendre en flèche je crois, le pauvre. »

    Je me pinçais les lèvres avant de finalement éclater de rire. J’essayais de prendre ça à la rigolade, il n’y avait que cette façon de faire les choses, il fallait prendre les choses avec philosophie.

    « Je t’avoue que la dernière fois que j’ai crié à en réveillé le voisinage c’était avec mon ex... »

    Et oui malgré le fait qu’il n’était pas mon seul ex, il était clairement le seul dont je parlais comme ça, les autres je n’en parlais pas réellement et si je les mentionnais c’était par son prénom.

    « Et du coup ça va devenir sérieux ou en tout cas régulier de réveiller le voisinage? »

    Un petit sourire mutin sur les lèvres, j’observais mon amie.

    @Gabriella B. Mitchell
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