Tu ne comptes plus les jours depuis la disparition de Rosalia, maintenant plusieurs semaines se sont écoulées et Katalia est au plus mal. Tu y penses assez souvent même si tu as détesté Rosalia pendant longtemps, elle ne méritait pas de disparaitre comme ça et de se faire kidnappé par un fou furieux. Aujourd’hui, tu es déterminé à la retrouver, principalement pour @Katalia Borgia , pour ne plus la voir s’auto-détruire comme elle le faisait, car même si elle faisait bonne figure devant les autres, Katalia est devenue une épave. Tu arpentes les maisons abandonnées, munis d’une lampe de poche dans l’espoir de trouver un disparu. « Rosalia ? » Peut-être que cette maison c’est la bonne ? Tu continues de l’appeler dans l’espoir de la trouver. Des bruits comme si quelqu’un frappait pur se faire entendre, un bruit qui t’appelait. Tu te dirigeas vers la cave, pour tomber sur une pièce en béton, la lumière vers le mouvement et le bruit que tu entends, tu découvres une femme enchainée par un pied avec un bâillon sur la bouche. « Rosie, c’est toi ?» Amaigri c’est le mot qui te vient à l’esprit mais pourtant tu reconnaissais ses yeux entre mille même si ils sont remplis de détresse, tu arrives presque en courant vers elle, loupant pratiquement la dernière marche. Tu lui enlèves le bâillon, pour lui demander comment ça va. «Rose ça va ? On t’a cherché partout ! » Tu l’attrapes par les épaules pour l’amener contre toi, enfin tu l’avais trouvé.

w/ @Rosalia C. Borgia

Une chaîne au pied, un baîllon collé bien trop ardemment sur mes lèvres, les asséchant tout comme ma bouche et ma gorge. Le noir est bien trop présent, apportant la peur en moi mais aussi une envie de revanche contre tous ceux qui sont la cause de mon enfermement. Parmi eux @Jayson King, @Katalia Borgia entre autres. Ces morveux qui sont devenus mes meilleurs ennemis, ils ont fini par m'achever, m'enfermer, me ruiner. J'ai beau crié chaque jour un peu plus fort, personne ne vient, non personne. Le bruit métallique provoqué par mes chaines contre cette cage inhumaine, quels salopards tous ceux là. Puis une lumière apparaît au loin, la lumière de la vie, la lumière de la mort. Des pas et le son de sa voix, Jayson est là. Il retire le baîllon, se la jouant héros, mais wtf mec c'était ta faute tout ça, c'est ta haine envers moi qui m'a meurtri, condamné. Le contact de ses bras sur mon corps, comme une provocation. Je le repousse plus gentiment que mon esprit l'aurait souhaité mais mon corps fatigué ne m'écoutait qu'à peine. Me touche pas Jayson ! Je sais que c'est ta faute ! Que c'est toi qui m'a retenu ici pendant des jours ! T'es qu'un moins que rien ... si petit comme vengeance ! dis je sans le quitter du regard. Son regard innocent, qui ne comprend rien, mais assumer sa culpabilité n'était jamais facile.