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I LOVE HARVARD
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    i just wanna be yours (nolena)
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    Lien du postLun 27 Juil - 1:14
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    Patience mise à rude épreuve. Deux corps qui se réclament. Des regards qui se happent. Des souffles qui s’écrasent, l’un dans l’autre. Amants qui s’aimantent, amoureux qui s’appellent dans le désespoir. Le besoin ardent qui brûle les épidermes, qui aident les démons à se jouer de nous. Le désir dans la patience, le plaisir dans l’attente qui s’apparente à l’éternité. Oui, l’éternité qui s’abat sur nous, pauvre gamins amoureux. Jeu perdu, c’est un échec, on se happe, on est bouffés par l’absence oubliée. L’inconscient n’est plus, désir évanoui de se souvenir, je m’oublie dans mes émotions. Coup de tête, pieds qui foulent de nouveau le sol des mes oublis. On se donne une nouvelle chance, on se permet de s’évader l’un dans l’autre, et tout s’enfuit lorsqu’elle m’échappe. Semaines éternelles, cauchemars incessants, vie mouvementée. Esprit occupé par l’amour d’un autre, aveugle enfant devant l’aphrodite de sa vie. Rappel incessant à elle, tout me rappelle à elle, lié par le sentiment de n’appartenir qu’à elle. On me pousse dans la chute, n’est guère terrifiante lorsqu’il s’agit d’elle. S’évader en elle, se perdre dans ses soupirs, se voir dans le reflet de son regard. Tendre jolie poupée qui m’appartient, pour qui je foule la terre de l'inconscient. Coup de tête, besoin de me retrouver en elle. Vacances écourtées pour le malheurs de quelques uns, pourtant pour faire le bonheur d’une personne. Esprit qui divague, qui se permet de rêver, peut-être un peu trop. Gamin heureux, le sourire aux lèvres, toujours si fier. Persuadé de s’offrir sur un plateau d’or, persuadé de faire bien. Vacances écourtées, pour le pire. Le meilleur semble s’être échappé, pauvre con. Lippes qui effacent ce sourire enjôleur, la colère qui tape contre la tempe. Corps paralysé, comme la jalousie est un délicieux poison qui s’écoule. Colère qui marque l’épiderme, mâchoire douloureusement serrée, avoir cru pouvoir être le seul. Putain d’idiot, rire nerveux qui s’échappe d’entre mes lèvres. Cette porte, pourquoi a-t-elle fallu qu’elle soit entrouverte ? Pourquoi la curiosité m’a-t-elle menée à découvrir une pièce que nous aurions pu partager ? Pauvre imbécile. L’inconscient aimé ? Crois-je donc aux plus beaux contes de fée ? Lippe inférieure torturée dans des dents enragées, alors que mon visage n’a guère de sympathie. La colère me ronge, la haine me tente. “ Putain, je pensais pas que j’allais être remplacé aussi vite. Sympa d’me dire que j’te manque, mais apparemment ça va mieux, ça doit te plaire de tromper ton copain. ” homme trop proche d’elle, esprit qui se bouscule, imagination qui me torture. Les démons de retour, ils se jouent d’un pauvre gamin perdu, rient devant le spectacle. “ Reste donc avec lui, j’existe plus. De toute façon, après l’accident, j’ai clairement arrêté d’exister. J’me casse. ” pas déterminés, escaliers déformés, regard brouillé par les larmes. Trop sensible, sang chaud. Ai-je réellement existé après cet accident ? Violence à moi-même, arrêt dans l’escalier, tête qui tourne, je perds la tête, je deviens fou. Pauvre gamin blessé. N’est-elle vraiment plus à moi ?   
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    Lien du postLun 27 Juil - 12:33
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    le besoin de s’occuper l’esprit continuellement. de sans cesse être accaparée pour éviter de penser au manque qui la ronge chaque jour un peu plus. oh, elle n’aurait jamais pensé que tu puisses lui manquer à ce point, que ce soit aussi dur de traverser une journée sans ta présente. et elle compte lena, chaque moment la séparant de toi. se couche le soir en se répétant que c’est une nuit de moins, un moment de plus où elle se rapproche inévitablement de ton retour. probablement un mal pour un bien, l’occasion de réellement tester la solidité des promesses que vous vous étiez faites. et si souffler les mots en continue dans son esprit réussissait parfois à l’apaiser, se retrouver seule était chaque fois le pire enfer. où est-ce que tu étais ? avec qui ? est-ce que tu pensais à elle comme elle pouvait penser à toi ? est-ce que tu ressentais le manque de sa présence ? est-ce que tu souhaitais par dessus tout la retrouver ? et puisque yeri était retournée chez son père pour la semaine, c’était kaiden qui était venu en renfort. promesse de la divertir en parlant de tout, de rien. bien être dingue dans lequel il allait plonger,  sentiment de bonheur à l’idée de se rapprocher chaque jour un peu plus de l’amitié qu’ils avaient mit à rude épreuve avec toutes leurs conneries. et elle est heureuse lena. de te voir rire, de sentir que chaque seconde tu te détaches des épreuves ayant chercher à te mettre à mal. réussit à placer noah un peu plus loin et se contente de rire à tes récits, joue avec les nouilles commandées alors que tu lui parles de cette fille en particulier. le canapé qui devient lieu de vos échanges, aucune attention prêté aux images de la boîte noire qui anime l’écran. il reste encore un mois. se plaint une nouvelle fois de noah et son absence sous les yeux amusés de son meilleur ami qui s’approche soudainement. comment t’as réussis à te mettre de la sauce dans les cheveux ? louche sur la mèche en question qu’il s’applique à essuyer, rire qui résonne dans la pièce, coupée soudainement par les mots qui claquent. mots absents des protagonistes principaux mais dont la voix paraît trop familière. et ses opales se décalent sur l’entrée, silhouette apprise par coeur, le sourire qui surgit par automatisme avant de faire la malle lui aussi. trom.. regarde kai sans comprendre, laisse les accusations tomber sur son épiderme, les informations lente à monter jusqu’à son cerveau. non noah att.. fin de la scène, stature qui disparaît soudainement alors que le visage choquée de lena surplombe l’ambiance. interdite une fraction de seconde, revient soudainement à elle. noah appelle dans les escaliers, pas de course qui martèle les dalles froides, n’a pas prit le temps d’enfiler des chaussures. noah yun ! crie plus fort cette fois pour attirer l'attention, manque de glisser dans l'escalier une nouvelle fois. mais qu'est-ce que tu t'imagines putain ? désespoir palpable devant le manque d'écoute.
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    Lien du postLun 27 Juil - 13:07
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    Psychose, songes et tortures qui se bousculent. Dans ma tête, tout s’entrechoquent. Douleur dans la nuque, doigts tremblants qui s’y appuient, main frêle qui s’accroche ardemment à la rampe de l’escalier. Nom qui résonne. Écho de sa voix. Un fragment de seconde, la vue se trouble. Larmes tentatrices qui s’échouent sur mes joues, sensation de perdre la raison pour laquelle il est si bon de vivre. Tachycardie. Poison qui se déverse contre l’épiderme. Homme penché vers elle, attraction entre eux, tourments qui se moquent de moi. Envie de tout foutre en l’air, de repartir, de ne plus revenir en arrière. Homme penché vers elle, attraction évidente, songes et tourments. Abîmé par la vision. Psychose. Noah, noah, noah, écho de sa voix, prénom qui me hante. Noah, noah, noah, lointain son, colère qui s’empare de moi, mâchoire tendue, serrée jusqu’à la douleur. Corps paralysé, râle rauque, tête qui menace d’imploser. “ Pourquoi tu me fais ça, toi, pourquoi tu me fais ça, toi, toi, y’a toujours toi, pourquoi tu me fais ça. ” l'inconscient confus. On se sait guère on s’emmène. Larmes dévastatrices, visage épuisé. Main qui s’accroche plus encore à la rampe de l’escalier, corps qui ne lui fait guère face. Incapacité d’affronter son regard, psychose, myocarde affreux. Guerre en moi, champ de bataille détérioré. Pourquoi elle ? Pourquoi l’amour est si douloureux ? Et si là-bas, j’avais appris que l’amour pouvait être toxique. Si cette fille que mon ami chéri tant m’avait appris que parfois, il fallait souffrir pour aimer. Tête secouée, mauvaise pensée, juste deux personnes qui se voilent les yeux. Nous, c’est différent, et pourtant. “ Il était là, penché vers toi, il s’est approché de toi, et t’étais là, tu bougeais pas, il était là, et toi aussi. ” voix brisée, rage contenue. Miracle. Sang chaud. Il ne fait qu’un tour. Doigts qui se délient de la rampe, corps qui se tourne enfin vers elle, faire face à l’objet de mes souffrances comme de la manière dont je crève d’amour. Visage creusé par les larmes, fatigué, trop abîmé. “ Pourquoi tu me fais ça ? J’suis quoi ? J’suis mort, c’est ça ? Depuis l’accident, est-ce que je suis mort ? Est-ce que tu penses que j’existe pas ? Putain, j’suis vraiment trop con, beaucoup trop con pour avoir de l’espoir. ” mots destructeurs, je suffoque à la fin de cette phrase. Yeux qui se ferment, douleur persistante. Manque de trébucher. Accident qui revient, gamin qui s’enfuit, besoin de prendre l’air, tremblant, peureux. Et je pleure, spectacle déprimant devant des passants insignifiants. Reprendre le volant, s’enfuir. Vue brouillée, un arbre, voiture emboutie. Rien, pas d'égratignure, juste les pleurs, le poing qui frappe contre le volant, acier abîmé, garçon bouffé par ses démons. Spectacle peu plaisant, le monde qui s’amasse, je suffoque, qu’on m’aide. Qu’on m’aide. Je ne sais plus où je suis.    
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    Lien du postLun 27 Juil - 13:38
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    il faut que tu l’écoutes noah. que tu arrêtes ne serait-ce que pour quelques minutes de porter des conclusions sur quelque chose qui n’existe pas. écoute là. elle te supplie du regard, cherche vainement à te faire entendre raison. elle n’a rien fait de mal tu sais ? jamais. c’est toi, toujours toi. et elle t’aimes tant noah, comment aurait-elle pu ne serait-ce qu’une fois envisager d’aller voir un autre que toi ? ridicule, sans sens. elle t’aimes trop pour ça. l’esprit contaminé par le besoin de ta personne, de ta présence. pourquoi tu ne l’écoutes pas ? j’ai rien fais noah, j’ai rien fais, s’il te plait, je.. elle est prise de court, au dépourvu. elle n’arrive même pas à saisir comment est-ce que tu as pu t’imaginer un truc pareil. elle suffoque devant tes larmes, ta peine. avance d’un pas, jambes tremblantes quand tu ne sembles décemment pas écouter un seul de ses mots. c’est mon ami bébé, j’avais juste un truc dans les cheveux mais.. c’était rien. rien d’impardonnable. rien qui ne poussait à imaginer le pire. pourquoi tu faisais ça ? à te mettre dans un état pareil, à ne pas l’écouter quand la vérité était que son coeur ne battait que pour toi. elle t’aime noah, elle t’attends depuis trop longtemps pour vouloir aller voir un autre que toi. et elle ouvre la bouche sans son, se fait acculer par les mots, les accusations. le corps entier qui se bloque, refuse d’avancer plus loin quand l’impact sur son épiderme est trop douloureux. c’est ça l’image que tu as d’elle ? ce que tu penses de sa personne ? porte sa main à sa poitrine, douleur du myocarde trop intense, trop difficile à gérer. et toi qui t’enfuis une nouvelle fois, la laisse là, dans les escaliers. j’ai rien fais murmure sans que tu l’entendes, les secondes d’avance qu’elle te laisse avant de se reconnecter. repars à ta poursuite, incapacité à te laisser imaginer qu’elle aurait pu te manquer de respect comme ça. scène qui se déroule trop vite, ta voiture qui déjà s’en va, elle, nu-pieds sur le béton du trottoir, impuissante face au départ. flanelle de son pyjama qui attire l’attention, spectacle étrange qu’elle offre aux rues de boston, crissement des pneus qui font battre son coeur plus vite. vision d’horreur, cours lena. cours vers la voiture à l’arrêt, collision presque immédiate avec un arbre. poussez-vous murmure en battant des mains, en se faisant une place parmi la foule qui s’amasse. POUSSEZ-VOUS ! hurle cette fois pour réussir à atteindre la boîte de fer, tire la portière, le son des ambulances se faisant déjà entendre. sors de là s'il te plaît. tu peux sortir ? t'as mal quelque part ? trop de questions, les peurs qui s'enchaînent. elle ne te perdra pas, ne peut pas. noah s'il te plaît dis moi que ça va..
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    Lien du postMar 28 Juil - 1:10
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    Pauvre gamin égaré. Songes qui me torturent, larmes assassines qui creusent mon visage. Insomnie éternelle, bourreau de moi-même. Espoir étouffé. Folie de l’imaginaire qui me pousse dans le vide, la chute est longue. Que faire ? Pourquoi suis-je ainsi ? Pourquoi suis-je si torturé ? Pauvre gamin qui se blesse à trop aimer, inconscient qui se laisse crever d’amour. Fille unique. Fille parfaite. Mirage dans mon esprit, souvenirs qui se bousculent, mémoire vive, besoin que l’éveil me torture. Supplice, ne sens-tu pas sa voix, écho douloureux, dans ton esprit ? Oh, noah, reprends-toi. Ami, amitié, amour évident, amour différent. Torpeur. Esprit en bordel, je suffoque, souffle prit de court, on m’étouffe. Et le bourreau, c’est moi. Mois, années, éternité. Sans elle, à vivre sans savoir l’aimer comme je pouvais l’aimer. Un amour d’antan, un amour inavoué, étouffé dans le secret. Épidermes qui s’épousent, souffles mêlés et lippes qui s’appartiennent. Mémoire vivante, tête qui se plaint, c’est trop douloureux là-dedans, là où tout se bouscule, là où tout s’arrête brusquement. “ T’as rien fait, ouais, j’deviens qu’un putain de parano, pas vrai ? ” psychose. Trop peur de la perdre, la femme de tes rêves. Celle qui te hante, celle que t’a attendu parce que t’étais trop long pour te souvenir. Gamine abandonnée une fois de plus, et gamin trop brisé par lui-même. Je m’étrangle, putain d’imbécile. S’oser à perdre celle qui me fait perdre pied, bonheur à quelques mètres, juste le besoin de tendre la main. Accident. Sang. Fumée. Pleurs. Cris. Doigts qui touchent le nectar écarlates, vision qui se trouble, une voix qui résonne dans ma tête. Mémoire arrogante, métro qui grince, bruit crissent, bruit qui offre les torpeurs, les horreurs. Impossible, ça recommence, nouvel accident, nouveau désespoir, qu’est-ce que je fais ici ? Sa voix, opales qui observent les mains tremblantes, tête secouée. Paralysé, gamin qui crie de toutes ses forces, triste spectacle. Les passants qui observent, les passants qui se questionnent, et tout se chamboule. J’suis sur le fil de mes cauchemars, je crie de toutes mes forces, je pleure, perdu, que l’on me rappelle, que l’on me tende la main. “ Aide-moi, aide-moi, je veux pas mourir, je veux exister, Selena, j’ai peur, j’ai peur, aide-moi, par pitié aime-moi  ” mots qui se bousculent, sincères, égarés dans les pleurs. Corps qui se détache du tas de ferraille, corps qui s’écroule au sol, grimace sur le visage, incapable de tenir debout. Je me sens comme l’enfant oublié, terrifié du monde nouveau après le décès de ma mémoire. Garçon qui ne sait plus qu’il existe. Démons qui le bouffent, tête qui crie la douleur. “ Qu’est-ce que j’ai fais, je vais te perdre, je suis dingue de toi, et j’suis trop con pour savoir te garder avec moi. Je peux pas vivre sans toi, j’vais crever sans toi. ” cœur qui se confie sur les draps de la mélancolie, de la peine qui me ronge, garçon qui essaie de venir à elle, Selena, ma douce Selena.     
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    Lien du postMar 28 Juil - 15:46
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    elle essaie désespérément. de garder la tête froide, de ne pas se laisser happer par les sentiments pour réagir de la meilleure des façons. mais c’est les larmes qui roulent sur ses joues, la colère de voir les gens qui les entourent. spectacle offert pour une curiosité humaine bien trop dérangeante. les opales brouillés, elle passe ses mains sous ses yeux, recule d’un pas face à la folie qui t’anime. qu’est-ce qu’elle est censée faire au juste ? c’est toi qui pousse, toi qui n’écoute pas. toi qui l’accuse de mille maux sans chercher à écouter rien qu’une seule fois. toi qui la catégorise coupable sans même lui accorder un procès. accusations déchirantes à son encontre quand elle n’avait strictement rien fait. et regarde là à te courir après, à tenter le tout pour le tout quand tu ne le mérite pas. elle comprends pas ce que tu cherches lena, ne saisit pas pourquoi tu lui fais ça. est-ce qu’elle le mérite ? est-ce qu’elle t’as donné une seule occasion de douter d’elle ? c’est l’entièreté qu’elle remet en cause, sensation d’avoir fait un bon dans le passé et de devoir gérer à nouveau les accès de colère, la jalousie maladive quand vous ne vous apparteniez pas. en pire. parce que cette fois, tu pouvais lui renvoyer au visage chacun de ses gestes. tout interpréter, tout lui reprocher. équipe de secours qui se font une place, regarde le drôle de schéma de l’homme à terre, de la gamine effrayée, nu-pieds, vêtue d’un pyjama. ça soit être risible pour les autres, une scène de ménage que l’on ne voit que dans les films. et de l’index, elle te pointe du doigt. il est rentré dans un arbre, je crois qu’il est surtout choqué. la voix qui tremble un peu alors qu’elle retomber sa main le long de son corps, le silence qu’elle offre à tes supplications. t’as pas su écouter les siennes, elle ne dira rien pour le moment. (…)

    c’est des heures plus tard, entre les murs blancs, qu’elle attends. a prit le temps de passer se changer pendant que noah était transporté à l’hôpital pour une routine, pour écarter toutes les probabilités. kaiden de retour chez lui et elle qui déambule dans l’attente, incapable de tenir sur place. blouse blanche qui s’approche, les mots échangés pour rassurer. il va bien. tout va bien et il peut rentrer. hoche la tête doucement, déconnectée du monde, poupée mécanique qui suit jusqu’à la chambre, reste dans l’embrasure de la porte. prends tes affaires, je te ramène. les choix qui te manquent de toute façon, ta voiture saisit pour le moment. les décharges à signer, multitude de papier et enfin un soupçon de brise sur le visage. sa voiture qu'elle déverrouille, trajet dans le silence, les doigts nerveux qui ne cessent de tapoter sur le volant jusqu'à destination. appuie sur les warning, opales toujours fixés sur la route. tu peux descendre.
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    Lien du postMar 28 Juil - 16:39
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    Ça retentit encore. Le bruit incessant des sirènes, mes sanglots qui crient ma peine, mes peurs, l’effroi d’être moi. Se mentir à soi-même, tout va bien. Tout va mal. Bien. Mal. Je ne sais guère. Garçon égaré dans ses effrois, tandis que je danse sur le fil de ma maladresse. Jalousie maladive, pauvre conne qui me bouffe. A ne plus y croire, que nous deux n’a guère d’échappatoire, pourtant si belle histoire. Que l’on conte mes conneries, que l’on conte à quel point elle fût merveilleuse, gamin qui ne mérite guère son amour. Occasion de déballer le passé, de crier combien nous avions souffert l’un pour l’autre, gamins trop toxiques l’un pour l’autre. Amour interdit pour nous deux, par nous deux. Trop idiots pour se rendre compte que le sexe ne résout guère un cœur en peine, que la marque laissée sur l’épiderme n’est rien comparé aux corps dévastés par la haine de s’engager. Le temps s’écoule, le temps m’échappe, le silence me tue, m’étouffe dans le remord. Mort à l’intérieur, bouffé jusqu’à la moelle, seul fautif. Corps qui se paralyse, cauchemar qui reprend sans cesse, et je vais bien. Aucune ecchymose. Aucune séquelle physique.Un corps qui fonctionne, prêt à reprendre le chemin de la sentence accordée dans son esprit. La corde au cou, je m’inflige mes propres supplices. Tissu qui glisse sur l'épiderme, vêtement remis après les examens, cicatrice de l’accident apparente, nuque dévoilée, blessure qui me tape encore trop fort, contre les barreaux, clown qui rit aux éclats, rire à en glacer le sang. Et je sens sa présence, besoin que ses doigts se glissent sur l’épiderme, toucher addictif. Opales perdues sur les draps blancs, pauvre con qui se perd, avec elle et l’amour qui suit. Lippes scellées, aucun mot qui s’y glissent, entre elles se cachent le mystère, la peine, l’envie de crier de nouveau. A genoux devant soi, périr ou crever. Trajet trop long, ambiance pesante, bourreau de nous deux qui se tait, choc encore évident sur le visage, creusé par l’envie de crever quelque part. Sensation amère dans le fond de la gorge, main hésitante qui se retient, privé de ressentir le nous. Les insomnies seront longues. Opales fixées sur la route, là où s’étend l’ailleurs, là où j’aimerai m’évader. “ Tu peux descendre avec moi. ” mots envolés, regard qui n’affronte guère la colère imminente. Prêt à encaisser. Doigts qui s’empare des siens, d’un coup sec, qui les écrase contre ma poitrine, sous le tissu qui m’effleure. Myocarde sous le fil des tachycardies, bat à tout rompre, peut s’échapper de ma poitrine à n’importe quel moment. “ Sens-le, s’il te plaît, je sais que j’suis un con, que j’suis juste un putain de jaloux maladif, mais putain je t’aime. J’suis terrifié à l’idée de te perdre, à l’idée que ma mémoire me joue des tours, que tu sois qu’un rêve. ” opales qui s’y risquent, attention que j’apporte aux traits de son visage, besoin de l’happer, besoin de lui appartenir, pitié qu’elle m’accorde miséricorde.
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    Lien du postMar 28 Juil - 17:51
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    le reste coincé dans sa gorge. les mots qui bloquent. la part d’elle qui aurait voulu profiter du retour inattendu, rester dans tes bras des heures pour rattraper le temps perdu. colère qui domine. encore une fois, tu lui as manqué de respect. la faire passer pour la pire sans même lui laisser le droit de se justifier. poser tous les tords sur ses épaules comme si elle était la pire personne de l’univers quant elle serait prête à n’importe quoi pour toi. la voix résonne froide, sèche. garde les yeux fixés au loin, dans l’attente que tu t’exécutes. elle a pas envie de se lancer dans les mots de trop, de t’hurler sa colère. cassure qu’elle demande pour l’instant mais à laquelle tu n’accèdes pas ; évidemment. ferme les opales, sifflement qui filtre de ses lèvres. l’agacement palpable quand tout à l’intérieur d’elle bouillonne. tu gâches tout et tu ne t’excuses pas. et c’est sa main prise en otage qui la force à tourner les yeux vers toi, posée sur la cage thoracique, emplacement du coeur. t’es un abruti. ni plus ni moins. sur ce coup là, t’as joué à l’idiot. t’as transgressé des limites que t’aurais pas du. retire sa main vivement, contact qu’elle coupe avant de sortir de la voiture, le besoin d’air qui se fait pressant. et c’est ta portière qu’elle vient ouvrir, t’indique l’extérieur, colère visible sur les traits fins. je t’ai supplié de m’écouter. je t’ai supplié noah. mais t’as rien écouté, t’as pas cherché à savoir. j’ai traversé le monde pour toi, sans savoir où ça nous mènerait et tu oses m’accuser de tromperie ? quand elle n’avait rien fait d’autre que t’attendre inlassablement. à te réclamer encore et encore, malheureuse de ne pas être avec toi. je suis quel genre de personne noah ? c’est comme ça que tu me vois ? et elle rit lena. son nerveux qui sort soudainement, la voix qui monte dans les aigus. à quoi je m’attendais, je suis aguicheuse, provocante, vulgaire énumère du bout des doigts les qualificatifs que tu lui as attribué par le passé. peu importe ce que je pourrais te donner, ça ne sera jamais assez. ça n’a jamais été assez. et cette fois, c’est la tristesse qui vient prendre le dessus, profonde peine que tu lui offres. oh noah, si tu veux pas la voir dans le pire des états, disparait de là.
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    Lien du postMar 28 Juil - 22:04
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    Paroles assassines, pas plus que les tiennes, pauvre con. Douleur qui persiste, goût amer qui persiste dans la gorge. Sentir la colère, sentir l’idiotie d’une imagination loufoque. Le soleil qui nous frappe, et je tombe dans l’illusion qu’elle pourrait me pardonner. Jalousie maladive. Empêche de rêver. La chute est effroyable : idiotie forte, forte incompréhension de moi-même. Perdu la confusion, myocarde qui désire s’arrêter de crier ainsi,. Incapable d’y croire plus d’un instant : pourquoi ai-je été si con ? La confusion, vertige de l’âme. Se mettre à genoux, demande miséricorde lorsque la langue a craché le venin, s’autoriser à être aimé, s’autoriser à aimer encore, et encore. Abandon, abandon de l’esprit là où les songes torturent, s’amusent de l’espoir, l’arrache, l’écorche, le vole jusqu’à en faire pleurer les innocents. Soupire qui glisse entre mes lèvres, main qui glisse sur un visage livide, enfermé dans son esprit sombre, traits du visage à l’abandon. Je murmure, je sais, je sais que je l’ai été. Mais sa main qui s’éloigne, brusque, m’arrache. Poitrine qui se serre, poing qui se serre, je frappe dans mon reflet, encore, encore, pourvu qu’il m’aide à me réveiller. Jalousie maladive qui me bouffe. Puis je me souviens, la chute est terrifiante. Les opales qui se glissent dans les siennes, la terreur qui s’y lit. Le venin que j’ai pu lui cracher, il me revient, le passé s’abat sur moi, ma mémoire s’autorise la vie, mais je l’assassine, lui en veut, rejette son aide lorsqu’elle aurait pu m’être précieuse. Cet être blessant, ce bouffon qui s’amusait bien, l’antan qui je ne désire guère revoir pourtant j’observe les dégâts. Tête secouée, je chasse les démons, qu’on me laisse être bouffé par autre chose qu’eux, qu’on cesse de m’écorcher de la sorte, qu’on me laisse voir l’avenir. “ Tout ça, c’est plus ça, ça a jamais été ça, t’es pas ça, c’est moi qui suis trop con, pardonne-moi. ” et je supplie, la voix brisée, tandis que le corps bouge enfin. La brise effleure l’épiderme, me transporte ailleurs, profonde inspiration, corps qui s’évade un court instant. Le temps m’échappe, je le sens, seul contre moi-même. Laisser partir l’impossible, le laisser s’enfuir loin du poison. Doigts qui attrape son poignet, qui l’attire vers moi, peine que je m’offre à moi-même. Tout est assez, tout avec elle est toujours ce que j’ai désiré. “ Je te demande pardon. ” larmes qui roulent, perlent sur l’épiderme, mâchoire contractée, celui qui s’en veut à lui-même. “ Je t’aime, t’es l’amour de ma vie, t’es celle pour qui j’pourrais crever. T’es la plus belle chose de ma vie, j’ai été un connard, le pire des salauds, même avant, mais là, j’te veux toi, et j’crois… Qu’un part de moi savait ce que je t’ai fait endurer dans le passé, et quand j’te vois avec un autre, j’ai peur de pas être assez bien. Mais je t’aime, je t’aime tellement, je t’en supplie, pardonne-moi. ” doigts qui glissent sur ses joues, qui l’attirent vers moi, que je possède son regard. Sincérité à l’appui, je t’en supplie mon amour, pardonne-moi.
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    Lien du postMar 28 Juil - 23:37
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    feat. @Noah Yun


    c’est trop. pas comme ça qu’elle a imaginé les retrouvailles. ça aurait dû être beau pas vrai ? t’étais censé passer cette porte et elle courir dans tes bras. t’étouffer sous des milliers de baisers et te souffler à quel point tu lui avais manqué. ton manque de discernement avait empêché tout ça. lui lancer au visage une culpabilité non existante. des larmes qui n’auraient pas du naître sur son visage. pas après tout ce temps à attendre ton retour. et elle t’en veux lena. elle souffre. le coeur qui hurle son désarroi, l’incompréhension. tu te rends compte de ce que tu lui fais subir ? à pas lui laisser le temps de respirer, de conter la vraie version de l’histoire. tu l’accules sous une situation non existante, inventé par ton propre esprit. et même encore là, c’est elle qui prends soin de toi. à attendre des heures des nouvelles, à te raccompagner chez toi. c’est elle qui s’occupe de tes douleurs quand tu fais naître les siennes. profonde injustice. elle craque lena, pas encline à supporter ça. l’auto destruction constante quand elle ne cherche rien d’autre que t’aimer encore et encore. pourquoi tu ne la laisses pas faire noah ? pourquoi est-ce que tu continues à pousser dans les retranchements ? il n’en sortira rien de bon, pas avec vous, pas avec vos frasques perpétuelles. non, non, stop. trop facile. trop facile de faire mal et de demander pardon en pensant que tout s’effacerait. y a rien qui s’efface, les peines toujours présentes quand tu martèles sont épiderme du poison de tes mots. et elle tourne les talons lena, préfère s’enfuir quand tes doigts accrochent son poignet pour la retenir. et qu’est-ce qu’elle est censée faire dans tout ça ? nouveau spectacle que vous offrez aux curieux dans la rue, éternelle scène qui se répète. tu crois que je t’aime pas ? question lourde de sens, opales qu’elle ferment quand les doigts glissent sur sa joue. respiration haletante, te regarde finalement en silence. celui qui s’éternise avant qu’elle ne se décide à reprendre la parole. je suis restée là. même quand tu n’avais aucune idée de qui je pouvais être je suis restée là.. comment tu peux penser que je ne veux pas rester avec toi ? y avait aucun sens à ce discours, aux pensées négatives. j'ai dis que je voulais emménager avec toi et.. t'épouser aussi. qu'est-ce qu'il te faut de plus ? qu'est-ce qu'elle est censée faire pour que tu adhères à ses mots, que tu les imprègnes. je t'aime toi. pas le autres, jamais les autres.
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