Tombé sur le mauvais revendeur Còsimo Changretta & @April Townsend Une journée simple s'annonce, tellement que Cosimo passa toute sa journée dans la paperasse avec sont comptable à ses côtés, rien de plus ennuyant pour un homme de terrain comme lui qui préfère sans fois patrouiller avec ses hommes que rester derrière sont bureau. C'est l'une des choses que sont père lui reproche même et aussi l'une des raisons de pourquoi il est ici -même s'il est ici aussi pour surveiller sa petite sœur- sont père la envoyer ici pour acquérir de l'expérience, Cosimo est le meilleur tueur à gage de la Camorra et il excelle dans le travaille d'équipe avec ces anciens coéquipier quand il était qu'un simple membre à l'époque. Et ce que sont père lui reproche c'est d'être rester ce type là, selon sont paternel il dois apprendre à délégué et accepter les pertes humaines et assumé ses décisions. Et Cosimo essaye vraiment d'appliqué les conseils de son père et ne pas se comporter comme un enfant capricieux, il sait qu'au fond de lui sont père à raisons, le fils d'un chef de clan ne doit pas s'impliquait autant dans des affaires au risque de mettre en danger toute l'organisation, mieux vaut un membre ordinaire qui se fait arrêter qu'une personne assez haut dans la hiérarchie et détruire tout l'ensemble. Mais fort de constater qu'il reste du chemin à faire, comme le montre cette journée ordinaire. Après avoir passer plus de quatre heures dans les papiers avec sont comptable, l'italien se lève de sa chaise est annonce qu'il part avant de refermé la porte derrière lui, ce qui surpris a peine le comptable qui commencer à prendre l'habitude de finir le travaille tout seule ou avec le bras droit de Cosimo. Ce dernier fit rassembler une équipe de jeunes recrues accompagnées de deux vétérans pour encadrer les nouveaux, il voulait les voir à l’œuvre. L'un des vétérans annonce la mission du jour, une jeune fille n'a pas payé en temps et en heure la dose de drogue quelle c'est procuré via un de leurs revendeurs. Mission simple peut-être mais Cosimo ne voulait prendre aucun risque avec les nouvelles recrues, alors cette mission était parfaite pour débuter et les tester. Après avoir récolté toutes les informations utiles, l'équipe attend la nuit pour entrer dans le domicile de cette jeune fille en réussissant à ouvrir la porte sans aucune trace d'infraction qui pourrait faire peur à la jeune fille et qui l'inciterait à appeler les flics et la referme juste derrière. Après avoir fini sa journée de travail, elle arrive pile à l'heure sans remarquer que la porte a été ouverte quelques minutes avant, à peine dépasser le pas de la porte que les trois recrues l'immobiliser violemment et finissent part la plaquer contre le mur en refermant la porte dans la fouler. Cosimo lui se retrouvait assis sur le rebord du canapé devant une table basse en regardant la scène en levant les yeux au plafond. << Lascialo >> Ordonne-t-il brutalement en italien qui leur demandait de la lâcher sur-le-champ, ce que les recrues fient immédiatement avant que les deux vétérans viennent se positionner de chaque côté de la jeune fille. << Veuillez pardonner mes hommes mademoiselle, je leur apprends à ne pas se comporter comme de vulgaire gangster de seconde zone. >> Dit-il en faisant un geste de la main à la jeune fille pour l'invité à venir s'assoir sur le petit fauteuil positionné juste devant lui et la table basse, elle comme lui ne pouvaient difficilement se donnaient une idée de leurs visages respectifs du à la distance et que toutes les lumières étaient éteintes.
De retour à Boston. J'ai bien été obligée de revenir. La dispute avec mon frère m'a littéralement fait un électro choc. Je suis une gamine, c'est un secret pour personne. En manque de maturité et en manque de beaucoup de choses. Il m'a laissé la chance de retourner au USA pour retravailler dans la librairie que j'ai secrètement abandonnée pour m'enfuir en Asie. Je ne vous dis pas la colère de Salmon quand il m'a vu à Tokyo. Furieux, vert de rage, avec des mots qui blessent. Au final, je n'ai que lui, je n'ai que mon frère adoptif. Même mes darons ne veulent pas de moi. J'ai déjà gâché ma vie, je ne veux pas creuser mon trou encore plus profond qu'il ne l'est déjà. Je reprends mes aises dans l'appartement de mon frère, là où il m'héberge. Il n'est pas là ce soir, d'ailleurs, cela fait quelques jours qu'il m'évite. Trop blessé par mon comportement sans doute. Peu importe. Je préfère être seule un moment. Je dis au revoir aux derniers clients puis je ferme la boutique. Je m'arrête à un fast food pour me prendre un burger et je profite du trajet en métro pour me prendre une bière. Arrivée devant le bâtiment, je soupire d'avance de devoir monter toutes ces marches. Ascenseur en panne. Super. Je monte les étages et j'arrive au cinquième. Je sors mes clés, les insère dans la serrure et pousse un long grognement. " gus t'es... " pas le temps de finir ma phrase qu'on me coupe le souffle en me plaquant contre le mur. Des hommes me tiennent fermement et par réflexe, je veux me débattre mais une grosse voix derrière se fait entendre. La trouille de ma vie. Je comprends pas ce qui se passe. Je... C'est quoi ça ? Okay, je réfléchis, je balade mes yeux un peu partout. " apprenez-leur plus fort. " que je réponds sèchement. Je croise les bras contre ma poitrine et fais quelques pas, tendue. " c'est quoi ce bordel ? vous êtes qui vous ? où est gustin ? " je suis une dure à cuire, une vraie bornée assez difficile à impressionner. Des racailles dans la rue, j'en ai eu pendant toute mon adolescence et encore maintenant. Soudain, tout s'éclaire dans ma tête. " aah, vous êtes de mèche avec mes frères c'est ça ? ils vous envoient me casser les pieds ? ou vérifier que je rentre bien à la maison après le travail ? c'est gentil mais je n'ai pas besoin de baby-sitter alors du balai. " je leur fais un signe de main pour leur montrer la porte mais personne ne bouge d'un poil. C'est qu'un putain de sketch, rien de plus. Je souris nerveusement puis passe mes mains dans mes cheveux. On va se détendre sinon je vais littéralement péter les plombs. Je sais que ça pue, je sais que ce n'est pas une visite de courtoisie mais je ne veux pas l'admettre.
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Tombé sur le mauvais revendeur Còsimo Changretta & @April Townsend Cosimo se trouvait toujours sur le canapé dans le salon de la jeune femme qui était devant lui, et ce qu'on peut dire sait qu'il était agréablement surpris de cette dernière. A vrai dire par expérience il s’attendait à quelqu'un de défoncer vingt-quatre heures sur vingt-quatre prêts a pleuré et à supplié pour qu'il lui laisse la vie sauve, mais ce n'était pas le cas, c'était tout le contraire à vrai dire. Dès le début elle ne se laisse pas du tout démonté bien qu'impressionner par son plaquage au mur, elle ne met pas longtemps à se reprendre et à toiser du regard Cosimo sur le canapé. Son premier réplique confirma ses pensées, il se permit même un petit rire vite étouffé quand elle lui dit de leur apprendre plus fort. Elle n'hésite même pas à enchérir en demandes ou plutôt en exigent l'identité de Cosimo et ses hommes et en demandant ou est Gustin. C'est son frère, comment Cosimo sait cette chose ? Avant de venir ici il sait renseigner sur cette femme, c'est grâce à ses renseignements qu'il savait à quelle heure elle rentré du boulot et qu'elle serait seule à être devant la porte d'entrée. Mais après quelques minutes à la regarder et surtout à l'écouter sans dire à mot ni en répondant à ses questions, l'italien remarqua que la jeune femme ne paraissait pas bien saisir dans quelle situation elle s'était mis, elle parle à lui et ses hommes comme s'il était de vulgaire gangster de rue de seconde zone. Et puis quelques secondes après elle se mirent à brusquement relever la tête comme s'il elle venait d'avoir une idée, elle affirma qu'il était lui et ses hommes de mèches avec ses frères pour la surveiller. Dans un premier temps les quatre vétérans qui l'accompagner se regarder mutuellement l'air de se demander si vraiment elle saisissait vraiment la situation tandis que les novices émis quelques rires, seul Cosimo ne laisser rien paraître à vrai dire tout s'expliquer pense-t-il, elle se souvient vraiment pas quelle doit de l'argent à un dealeur ou ne savait-elle pas vraiment que ce dealeur était lié à la Camorra ? << Je crois que nous ne sommes pas sur la même longueur d'onde. >> Dit-il avant de poser ses mains sur ses genoux pour prendre appuie et se lève en douceur du canapé, il demande à ses hommes de se retirer de l’appartement, mais vétéran proteste dans un premier temps préoccuper pour la sécurité de Cosimo mais fini par obtempérer en prenant avec eux les novices. Cosimo les raccompagne jusqu'à la porte et la ferme en faisant dos à la jeune femme, exprès pour voir ce qu'elle allait faire, à peine qu'elle commença à regarder vers la cuisine l'italien réplique aussitôt en se retournant. << Tous les couteaux ont était enlever par mes hommes >> Dit-il avant de marcher à nouveau pour revenir dans le salon en face de la jeune femme. << Et pas besoin non plus de chercher ceci aussi >> Dit-il en sortant un 9 mm de sa veste pour le déposer sur la petite table basse devant le canapé, un flingue que ses hommes ont trouvé dans la chambre de la jeune femme. Pourquoi avait-il fait sortir ses hommes ? A vrai dire il ne le savait pas encore très bien, juste que cette fille l'intriguer et quelle n'était pas comme les autres drogués. << Vous ne savez pas réellement qui je suis n'est-ce pas ? >> Demande-t-il avant de rejoindre le canapé et de s'asseoir à nouveau dedans confortablement. << Laissez-moi vous donner un indice mademoiselle. >> Lance-t-il avant de sortir un sachet de drogue sur la petite table basse à côté du flingue qu'il venait de déposer quelques minutes avant, allez telle faire le lien ou faire semblant de pas savoir où serait-elle vraiment sincère et l'aurait-elle déjà oublié ?
C'est un rêve, juste un mauvais rêve. Des gens qui débarquent baraqués de leurs muscles en béton armés. C'est pas juste, je ne fais pas du tout le poids avec eux. Une gamine d'à peine vingt ans, 1 mètre 65 pour une cinquantaine de kilos. Je ne me laisse pas impressionner pour autant, prétextant que tout cela est une bonne blague de mon frère. Ce n'est pas vraiment le genre de Gus de faire ça, mais peut-être Salmon ? Mais pourquoi faire ça sans profiter du spectacle alors qu'il est au Summer Camp, à des milliers de kilomètres d'ici ? Je le connais, je fais souvent des choses dangereuses, m'en foutant de ma sécurité. Il est toujours là pour me rattraper. Allez Salm, t'es où ? Je sursaute presque quand les hommes se mettent à rire et le boss les jette à la porte. Directement, mes yeux se posent un peu partout, cherchant un échappatoire. J'ai un flingue dans ma chambre mais elle est bien trop loin. Si je me mets à courir, cette masse va me sauter dessus et dieu seul sait ce qu'adviendra par la suite. L'homme revient vers moi, explique que toutes les potentielles armes blanches sont retirées. J'échappe un frisson lorsqu'il sort mon arme sur la table. Mon visage reste impassible jusqu'à ce que j'étire un sourire en coin des lèvres. " mh un psychopathe ? j'ai toujours voulu en rencontrer un. " ferme-là idiote. L'homme sort un sachet de poudre blanche et je fronce les sourcils. Donc c'est un dealer, okay, et il vient me faire pression car je l'ai pas encore payé. " vous faites erreur, je n'ai jamais eu affaire avec vous. " que je lance fièrement et soulagée d'un poids. Le dernier dealer était un homme assez maladroit et débile. Il suffisait que je joue de mes charmes et il me laissait du temps supplémentaire pour payer. Bizarrement, il ne s'est plus jamais manifesté. Je fronce les sourcils et risque la question : " vous travaillez avec le dealer pré-pubaire à la casquette rouge ? car si c'est lui, sachez qu'il m'a offert de son plein gré quelques extras. " menteuse, mais je peux tout de même essayer de m'échapper de ce calvaire en remettant la faute sur quelqu'un. " et pas qu'à moi, je l'ai vu en soirée, donner des petits sachets à qui va. à votre place, j'irai plutôt faire votre petit cinéma chez lui. " rire narquois. Je pose mes mains sur mes hanches et défie l'homme du regard. Je vois enfin son visage, éclairé par la lune et la lumière de la ville. Un homme mûr, bien plus âgé et plus grand que moi, un homme avec de l'expérience, dans tous les domaines, j'en suis sûre...
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Tombé sur le mauvais revendeur Còsimo Changretta & @April Townsend Maintenant il en était sûr, elle avait du cran pour faire ce genre de réflexion devant un inconnu, il était évident quelle était le genre de personne à cacher leur nervosité ou leur peur derrière des blagues ou prendre tout ceci au deuxième degré. Et quand elle lui dit qu'elle a toujours voulu rencontré un psychopathe un petit sourire se dessina sur le visage de l'italien, es-tu sûr de vouloir en rencontrer un réellement ? Se demande-t-il intérieurement, soit dans ce cas. Il remarque très vite sa réaction et sont attentions quand il sort de sa poche le petit sachet de poudre blanche sur la table, il avait réussi à avoir toute son attentions et le piège commence tout doucement à ce renfermé. Alors qu'il s'attendait à ce qu'elle se confesse, ce ne fut pas le cas, bien au contraire elle continue à surenchérir en déclarant qu'elle n'avait jamais eu affaire à Cosimo. Elle continue en demandant s'il travailler avec un jeune homme à la casquette rouge, ce qui était vrai, sait bien lui qui est venue le voir en déclarant que cette jeune April ne lui avait pas payé, mais pour sa défense elle ajoute qu'il lui avait offert quelques extras supplémentaires et de son plein gré, ce qui pouvait être possible à vrai dire, bon nombre de dealer faisait leur petite affaire à côté et il en était bien conscience. Mais ce qui trahit aussitôt la jeune demoiselle se fut la suite, en déclarant quelle avais remarqué que ce dealer à casquette rouge donnait des sachets à qui en voulait, ce qui était difficile à croire pour un dealer sain d'esprit à moins qu'il souhaite mourir dans l'heure, donnait autant de drogue devant autant de témoins signeraient aussitôt son arrêt de mort. Cosimo se lève de nouveau du canapé et rejoint sont invités. << Disons que ce jeune prépubère que vous parler est un homme à moi >> Déclare-t-il en commençant à faire un cercle autour de la jeune femme, bien entendu ses mauvaises habitudes reviennent au galop et ne pu s'empêcher de regarder les charmantes formes féminines, particulièrement ses fesses avant de lâcher un petit rire, décidément son dealer était tombé dans le panneau si facilement et ceux même s'il savait que la jeune femme en rajouter pour essayer de se sauver il avait déjà quelques petits soupçons sur son dealer en question. << Tu sais quoi ? >> Dit-il avant de s'arrêter juste derrière elle, on pouvait constater qu'il faisait largement une tête de plus qu'elle, il se penche à son cou. << Je te propose quelque chose, tu vois ce sachet de drogue sur la table basse ? Prends-le et essaie de me le vendre, si tu y arrive pas ton souhait de rencontrer un psychopathe se réalisera ma belle >> Dit-il en susurrant à l'oreille de la jeune femme en insistant bien sur ses derniers mots, quoi ? Un peu de challenge et de divertissement ne feraient pas de mal non ? Alors qu'il s'attendait à une drogué fini qui aurait presque de la peine pour elle de la réprimander, le voilà devant une jeune femme qui montrait un certain talent pour le mensonge et retourné une mauvaise situation à son avantage alors voyons comment va-t-elle s'en sortir sur un homme expérimenté et non prépubère, avec le flingue juste à côté du sachet.
J'ai encore du mal de savoir si tout ceci est réel ou pas. Mais plus le temps s'écoule, plus je me dis que c'est vraiment réel. Ces hommes, et lui. L'homme le plus imposant et sans doute le plus séduisant. Il a clairement le physique charmeur d'un homme à qui tu dois pas te frotter si tu ne veux pas te brûler les ailes. Mais il ne m'impressionne pas. Il a cet espèce de charisme, je le reconnais, mais en aucun cas je me sens en danger. Pourtant, le danger, c'est mon quotidien. Toujours fourrée dans des trucs louches, à jouer avec ma vie. La preuve, faire miroiter un dealer est quelque chose de stupide. Mais je suis la stupidité humaine, ne l'oubliez pas. Je me mords la joue lorsqu'il se rend compte de mon mensonge. Enfin, presque mensonge. J'ai quand même donné la description exacte du dealer. Un homme à lui donc. J'éclate de rire. " je vois, donc vous êtes du genre à envoyer vos petits soldats pour faire votre sale boulot hm ? " cette remarque semble le chiffonner car il se lève et vient tourner autour de moi. Tel un requin qui veut étouffer sa proie. Je croise les bras, fais comme si je ne sentais pas sa présence imposante derrière moi. Mais impossible. Ses mots déboulent dans ma nuque jusqu'à mon oreille. Son souffle uniquement arrive à me faire frissonner. Mes yeux fixent le petit sachet de drogue sur la table et je fronce les sourcils. Je vois l'arme à côté. Déchargée, évidemment. J'aurais aimé sauter dessus et le viser pour qu'il foute le camp. Mais n'oublions qu'il y a ses petits soldats de l'autre côté de la porte, prêts à courir au moindre bruit suspect. Je fais volte-face pour faire face à l'homme et je lève le regard vers lui. " combien ? vous me donnez combien si je vous vends votre merde ? " l'argent m'a toujours fasciné. Je suis comme un âne qui doit avancer avec la carotte devant. Dealer ne me fait pas peur tant que j'ai une bonne rémunération. Je peux me foutre dans des mauvais bails si vous voulez, mais il faut avoir une récompense à la clé. " vous allez me donner une arme pour me défendre en cas de pépin ? " regardez mes yeux qui brillent. Comme la gamine s'enfonce un peu plus dans les ténèbres. Proposer de mettre sa vie en danger est surement la proposition qu'elle préfère le plus.
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Tombé sur le mauvais revendeur Còsimo Changretta & @April Townsend Lui qui s'attendait à voir une jeune fille prise de panique prête à tout pour se faire pardonner, ce n'est visiblement pas le cas et sait pas pour lui déplaire. En temps normal les gens qui ont du potentiel sont rares et ce soir ont dirait bien qu'il a rencontré une petite perle rare avec du caractère et qui excelle dans le mensonge. Alors qu'il tourne autour de la jeune femme pour accentuer le stresse, enfin c'était l'idée de départ mais il constate vite que cela n'avait que peu d'impact sur elle, avait-elle l'habitude de ce fourré dans ce genre de situation au point d'en prendre l'habitude ? Pour preuve elle se permet même quelques minutes auparavant de le taquiner en lui demandant s'il était le genre d'homme à envoyer ses hommes faire le sale boulot. << La preuve que non, je suis ici devant toi sans personnes d'autres dans ton appartement, mais peut-être devrais-je les appelait pour venir nous rejoindre ? >> Avait-il répondu à ce moment-là pour la taquiner à son tour, Cosimo est plutôt vieux gangaster dans le sens qu'il n'ait pas du tout comme les nouveaux chefs de gang à déléguer le boulot à leurs hommes de main mais préfère aller sur le "terrain", ce que lui reproche son paternel et l'une des raisons de sa présence ici pour apprendre à diriger l'antenne de la Camorra à Boston. Il s'aperçoit assez vite que l'attention de son interlocutrice s'arrêta quelques instants sur le flingue poser sur la table basse devant elle, un geste totalement fait exprès pour voir sa réaction. Encore une fois elle le surprend en voyant qu'elle n'avait pas pris la décision de ce jetée sur le flingue, soit par peur de se voir rattraper par Cosimo où avait-elle penser que le chargeur était vide ? Ce qui était le cas à vrai dire, on n'est jamais trop prudent dit-on. Elle se lève et répond sans aucune hésitation pour lui demander combien était-il prêt à lui donner pour vendre sa drogue, un rire s'échappa de sa gorge, décidément cette femme n'avait vraiment peur de rien, ou serait-ce de l'inconscience de jeunesse ? << Combien ? Hum... >> Dit-il en s'avançant un peu plus vers elle pour finalement éliminer les derniers mètres qui les séparent au point de sentir le parfum de la jeune femme. << Que dirais-tu de ce boulot en échange de ta... liberté ! >> Ajoute-t-il en effleurant ses doigts sur le visage d'April avant de les retirer, il n'en a pas dit un mot mais il savait très bien que la jeune femme devant lui savait pourquoi il était venu maintenant qu'elle savait que le dealer à qui elle doit de l'argent appartient à la Camorra, on parle d'une somme assez conséquente. A vrai dire sans le savoir encore, sa vie était dans les mains de Cosimo, si ça aurait été son paternel il aurait fait sa à l'ancienne, une balle entre les yeux mais son fils est bien plus subtile et joueur, la preuve avec ce qui allait suivre. Elle lui demande si l'italien allait lui donner une arme pour se défendre, décidément elle n'avait peur de rien mais elle avait aussi ce côté inconscient qui contraster sa personnalité assez unique il faut le souligner. << Une arme ? >> Répète-t-il avec cette fois un air bien plus sérieux, une énième façon de la tester où est-ce que l'italien est réellement sérieux sur ce coup ? Il se dirige vers la table basse et prendre le flingue et sort une balle de 9mm de sa poche pour l'introduire dans la chambre avant de charger et revenir vers sa future dealeuse. << Alors va falloir t'apprendre à tuer, à voir la mort en face ! >> Dit-il subitement avant de prendre les deux mains de la jeune femme et lui mettre le pistolet entre ses doigts pointer sur Cosimo. << Tue-moi ! >> Rajoute-t-il avec un sérieux implacable en soutenant du regard la jeune femme mais s'aperçoit très vite quelle hésite beaucoup au point de trembler légèrement, quelle décision prendra-t-elle, l'inconscience et l'instinct primaire de l'être humain ou bien l’intelligence prendra-t-il le dessus ?
Rencontre plutôt atypique en cette douce soirée. J'ai l'impression d'être dans un film, mais de ne pas être la demoiselle en détresse qu'il faut sauver, non. J'ai plus l'impression d'être l'héroïne dans l'histoire qui s'allie avec les méchants pour pouvoir mieux les percer par la suite. Enfin quelque chose d'amusant qui se passe dans ma vie. Vraiment, ça commençait à devenir un peu trop barbant. Je m'amuse de la situation, même si au départ, l'homme et ses petits soldats me foutaient les jetons. J'analyse les paroles de l'homme, le scrute du regard, et lâche une question qui me démange. " pourquoi me garder en vie ? " qu'est-ce que ça vous rapporte ? J'imagine que les clientes de mon genre, on se fait pas chier à les sermonner en débarquant chez elles en faisant les yeux doux. J'imagine qu'on leur réserve un sort plus dramatique que le mien. J'ai déjà dealer étant gosse. Gamine encore plus immature que maintenant. Mais dealer gratuitement. Non, je ne suis pas d'accord. Si je perds déjà du temps à vendre ses sachets en plus de mon travail et de ma vie privée, il va falloir être plus convainquant que ça. Je défie donc le boss typé, me plante en face de lui, les bras croisés. J'attends une proposition alléchante. Sauf qu'elle n'arrive pas. Je fronce un sourcil, laisse bizarrement ses doigts m'effleurer et j'éclate de rire lorsqu'il arrête de me toucher. " je suis libre depuis toujours, personne n'a le droit de m'acheter. " si tu veux être malin, donne-moi un petit mensonge. Je tombe facilement dans le panneau. Dis-moi que je vais recevoir une récompense, n'importe laquelle, et ça suffira. Mais jouer avec la chose la plus précieuse à mes yeux ; ma liberté, c'est non. Et la question de trop, celle d'une débutante inconsciente qui ne connait encore rien du métier, qui s'imagine que c'est la mafia comme dans les films. Une arme, pour me défendre. L'homme fronce ses gros sourcils, adopte un air plus sérieux et tout se passe très vite. En quelques secondes, j'ai l'arme chargée entre mes mains, pointée sur son front. Je tressaille, mon coeur bat vite de peur et mes yeux ont du mal à la regarder en face. J'ai déjà fait des choses horribles, mais gâcher ma vie en tuant un chef de mafia ? Et puis quoi encore ? Je détends les bras et arrête de le viser. Soupire. " j'ai dit que je voulais une arme pour me défendre, pas pour tuer. " pour faire peur, pour faire fuir. Qu'il me donne même un pistolet à eau pour faire peur, ça m'est égal. Je lui rends l'arme dans sa main et je le regarde, le menton redressé. " Prenez tout ce que vous voulez, mais pas ma liberté. " plus déterminée que jamais, je le défie du regard encore une fois, ne laisse rien paraitre. Je peux simplement lui vendre sa came s'il me fait un prix, ou si j'ai droit à d'autres services. Mais dans ce monde de brute, j'ai appris qu'il ne fallait rien faire gratuitement. J'veux pas me faire piétiner, je veux marcher sur les autres.
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Tombé sur le mauvais revendeur Còsimo Changretta & @April Townsend Désormais on peut le dire, il était plus qu'heureux d'être sortie de son bureau et être allez avec ses hommes sur le "terrain", parce que à rester trop longtemps dans un bureau loin du terrain on oublie souvent les choses basiques de la vie d'un mafieux. Et cette rencontre en fait partie, prendre des décisions rapidement, soigner son image et celle de la Camorra auprès des habitants de la ville, tant de chose qu'on peut apprendre que sur le terrain, c'est pourquoi Cosimo aime aller avec ses hommes s'occuper des affaires alors que sont paternels au contraire lui reprocher de s'impliquer trop directement à ses affaires illégales au lieu déléguer ses dossiers sales aux autres. Elle lui pose une question des plus intéressantes, pourquoi la garder en vie ? Bonne question, les films ne sont guère de bonne référence pour en avoir une idée assez précise de ce que sait une mafia, souvent incarné par des brutes sans cervelle qui tire partout. La réalité est bien plus contrastée à vrai dire, parce que s'il doit avoir une fusillade il faut que toutes les autres options soient épuisées et que cela soit vraiment nécessaire, parce que des fusillades attirent la police et de longues enquêtes qui perturbe les affaires et donc moins d'entrée d'argent. Mais ne vous tromper pas, si Cosimo est plutôt gentil avec les habitants de cette ville il l'ait bien différent avec les véritables mafieux adverses qui ne leur laissent pas une chance. Mais pourquoi la garder en vie ? Si ça aurait été son père, l'affaire aurait était vite expédier en effet, mais Cosimo est un peu différent malgré ses apparences d'homme froid et strict, il a toujours aimé se confronter à ses ravisseurs et voir leurs véritables natures, après tout on peut faire ressortir la véritable personnalité d'une personne en l'acculant dans des situations qu'il ne contrôle pas, c'est en côtoyant la mort de prêt qu'on apprend une personne dit-on. << S'il faut garder une personne en vie pour savoir ce quelle a dans les tripes, c'est un prix que je suis prêt à payer ! Une personne m'a dit un jour qu'on reconnaît un homme à ceux qui l'entourent, le tout est de savoir choisir. >> Certes il avait remarqué que la jeune fille était peut-être un immature ou plutôt inconsciente mais derrière sa il pouvait voir des qualités qu'il apprécie beaucoup, la détermination et la débrouillardise. Comme par exemple toute ta l'heure quand elle a essayé avec audace de mentir ou bien de lui tenir tête pour éviter de montrer ses faiblesses.
Subitement elle se mit à rire de sa proposition en lui répondant quelle a toujours été libre et que personne a le droit de l'acheter, ce qui le fait rire à son tour, décidément elle avait vraiment encore pris conscience dans quel pétrin elle c'était mis, pensant qu'elle pouvait négocier. << Tout se vend crois-moi, même cette fameuse liberté que tu chéris tant, nous la vendons simplement d'une manière différente. >> Une fois de plus elle le surprend, à vrai dire il savait au fond de lui qu'elle n'allait pas presser la détente, en tout cas il avait pris le risque pour le vérifier. Elle arrête de le viser et lui dit quelle voulait une arme non pas pour tuer mais pour se défendre, ce qui fit immédiatement sourire l'italien. << Les gens au grand cœur et généreux ne font pas longtemps dans mon univers, parce que crois-moi que ceux que tu trouvera en face de toi n’aurons aucune pitié pour toi. >> Cosimo reprend l'arme qu'elle lui tendait avant de dire avec détermination qu'il pouvait tout prendre sauf sa liberté et avec en plus un regard qui soutenait le sien, cette fois il reprit son air sérieux et soutien lui aussi regard pour jauger le niveau de sa détermination. << Un petit conseil, pause tes conditions quand tu es en position de force >> Répond-il en premier avant à poursuivre. << Sache que d'autres auraient pu te proposer bien pire, en temps normal c'est la mort mais ça aurait pu être aussi dans le circuit de la prostitution. >> Il voulait lui faire prendre conscience qu'elle est responsable dans cette histoire et qu'elle devait assumer, après tout ce n'est pas à celui qui s'est fait voler de payer le voleur pour travailler pour lui. À bien y réfléchir, ça lui revient la première question qu'elle lui avait posée, pourquoi épargner sa vie, peut-être parce qu'elle lui fait penser à sa propre petite sœur Monica, cette façon de se mettre dans des histoires pas possibles, être têtue, contre la violence, elles ont pas mal de points communs, mais il ne le dira pas.
Je suis un peu entre les deux, entre le fait d'être intriguée de la situation et le fait de ne pas vouloir y faire partie. Concrètement, est-ce que j'ai peur de vendre cette drogue ? Non, disons que mon passif a un petit goût de drogue aussi. Est-ce que j'ai peur de lui et de ses hommes ? Non plus. J'ai juste peur de me faire avoir. Je ne veux pas un avenir derrière les barreaux. J'aime la violence, le danger, l'adrénaline, mais comme je lui ai expliqué, personne n'a le droit de prendre ma liberté, pas même la prison, pas même lui. Et je suis têtue, je ne m'inclinerai pas devant lui. " tu veux juste me choisir pour mes petits yeux de biche, mh ? impossible à soupçonner celle-là, elle est bien trop sage. " que je dis en croisant mes bras, le défiant du regard. Je reconnais que c'est une bonne idée. Il est préférable de me choisir moi plutôt qu'une personne qui a déjà le nez dedans depuis trop d'années et qui pourrait facilement être reconnaissable. L'épisode du flingue est toujours en train de trainer dans ma tête. Il a voulu me tester d'une quelconque façon qui m'a fait froid dans le dos. Je refuse de tuer, je veux juste me défendre. L'homme rigole et sort encore ses phrases qui me rendent nerveuses. Se moquant de ma sensibilité. " alors raison de plus pour pas me prendre. " sourire en coin. Je joue, tu vois, j'essaye de jouer car je veux montrer que je vaux mieux que ça. Je veux pas n'être qu'un pion, je veux viser haut. Mais bon, autant lui faire croire le contraire pour le moment. Mais méfie-toi Changretta, la April a plus d'un tour dans son sac. " si je peux pas me protéger, qui le fera ? " vous peut-être ? S'il m'arrive une merde, ne me dis pas que la mafia va se plier en quatre pour me venger. C'est que du business, on s'en fout des petits employés. Je croise les bras, fais quelques pas par-ci, par-là, alors qu'il me raconte que mon sort aurait pu être bien pire. C'est vrai que comparé à une mort rapide ou vendre mon corps à tout va, je préfère encore vivre mon train train quotidien en dealant de temps en temps. Je m'arrête devant l'homme et je finis par relâcher mes bras. " parfait. de toute façon, je n'ai pas le choix. mais je vous préviens, si je me retrouve en taule, je me ferais un plaisir de tous vous balancer. " sourire en coin. Donc à vous de veiller mes arrières car si vous niquez ma vie, je vais niquer la votre, et pas qu'un peu. Méfiez-vous du loup qui dort en moi.
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