but we don't have to grow up, we can stay forever young
→ ft. @Jamal Carreirao
première journée de formation, première fois dans une caserne de pompier, premier moment avec ce .. nous. bon sang mais qu'est-ce qu'on a foutu Jamal ? on se connait à peine, on s'est rencontré récemment, on s'est vu quoi ? trois fois ? mais c'est tout moi ça, douée pour foncer tête baissée quitte à me prendre un mur. ma vie, je veux la vivre à 300% ! je veux pas me dire que je suis possiblement passée à côté de quelque chose. je préfère me dire que c'était pas une bonne idée de tenter cette relation que de me demander ce que ça aurait pu donner. alors on s'embarque tout les deux dans un truc qu'on contrôle pas. je crois que t'as pas conscience de ce que tu viens de faire. tu viens de faire entrer dans ta vie la tornade Olivia. l'ouragan qui va complètement chambouler ta vie. enfin pour le moment c'est ma vie que je chamboule en commençant cette formation. j'en ai envie depuis un moment, alors forcément quand on me dit qu'il y a une place dans cette caserne, je saute sur l'occasion. qui aurait cru que ça allait être là où toi tu bosses ? pour ma première journée, j'arrive dix minutes en avance. le lieutenant du camion de secours est le premier à me souhaiter la bienvenue et je les vois déjà les petits machos de ton équipe, à se demander ce qu'une petite nana de ma taille et de ma corpulence compte faire dans leur caserne. moi je souris intérieurement, même quand je te vois arriver après t'être fait interpeller par l'un d'eux pour leur dire que la petite nouvelle était arrivée. je me présente, serrant les mains de toute le monde avec force. vient ton tour. je te serre la main, souriant légèrement. « Olivia Fairchild. enchantée. » je continue d'écouter le lieutenant avec attention, sans te regarder une seule fois. et puis il te demande de me montrer où se situe mon casier dans les vestiaires. je te suis en silence, jusqu'au dits vestiaires. « merci beaucoup euuuh, c'est quoi votre nom déjà ? » que je dis en me tournant vers toi.

BUT WE DON'T HAVE TO GROW UP, WE CAN STAY FOREVER YOUNG
w/ @Olivia Fairchild
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" Jam " Les yeux se lèvent du téléphone après un énième message pour écouter son collège. " Il y a une nouvelle qui arrive aujourd'hui " Pas de réaction. " Tu t'en fou de pouvoir maltraiter une nouvelle ? " Il hausse les épaules. Il le sait déjà. Les lèvres se plissent tout de même en coin. " Laisses la arriver déjà. " Une tape sur l'épaule. Il ne peut rien dire. Mais elle n'est pas si nouvelle à ses yeux. Quelle idée de la vie a eu de nous foutre sur le même chemin, en plus de bosser au même endroit maintenant. Il ne manquerait plus qu'une intervention et ce sera le pompom sur la pomponette, oui oui, la pomponette. A peine le temps de réfléchir sur l'histoire dans laquelle il se jette que le coup d'envoi est lancé, les deux pompiers sortent des vestiaires pour rejoindre l'origine du bruit. L'équipe est complète, ou presque, beaucoup sont en vacances. En ligne. Machinalement. Les présentations se font. Les mains se serrent. Les regards se croisent quand elle se présentel. " Jamal Carreirao, bienvenue " Il s'empêche de sourire, tente de rester neutre. Le regard du CapVerdien ne la quitte pas. Un coup de coude dans les côtes de son collègue le ramène sur la planète terre, il rie, lui aussi. La consigne est donnée. Acquiescement. " Carreirao. " Qu'il répond. Simplement. " Les vestiaires sont en haut. " Une main qui montre l'escalier. " Après vous. " Il la laisse passer. Monte les marches une à une avant d'arriver à l'étage et de passer devant jusqu'aux vestiaires. Il tourne une fois à droite, fais le tour des premiers casiers pour arriver enfin devant le fameux. Une main se pose sur le métal. " Ton casier ! " Le visage se tourne vers elle. Les lèvres se plissent. La joue se pince à l'intérieur. Et il sourit.

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→ ft. @Jamal Carreirao
je ne suis pas aveugle. je les vois les regards un peu insistant de tes collègues quand j'écoute les explications de ton lieutenant. le pauvre vieux qui se fait chier à me parler de l'histoire de la caserne pendant que ton voisin de gauche me mate ouvertement. j'ai juste envie de lui demander de ravaler sa langue sinon je m'occupe de lui arracher.. mais je suis pas sûr que ce soit une excellente idée. ça doit être sympa pour les filles qui bossent ici, de se faire regarder de cette manière. j'imagine qu'on les emmènent sur les missions les plus à chier genre... décoincer un chaton d'un arbre ? classique. je reste concentrée le temps du cours d'histoire et puis mes yeux se posent sur toi quand on te demande de me conduire aux vestiaires. je te suis, tu me dis de passer en première dans les escaliers et je dois réprimer un petit rire. laisse pas trop trainer tes yeux sur mes fesses Jamal, ce serait dommage de rater une marche. tout droite, à droite, on contourne des casiers et nous voilà arrivés à destination. ta main qui se pose sur le métal de mon casier, m'empêchant même de l'ouvrir. « on se tutoies maintenant ? » je me mets à sourire, plantant mon regard dans le tiens. je laisse ma main glisser sur ta tenue, attrape le zip de ta veste qui est remonté jusqu'en haut et que je le descends jusqu'à la moitié de ton torse. « alors, comment tu trouves la petite nouvelle ? » sourire qui prend place sur mon visage alors que colle mon dos contre la porte du casier, ta main à quelque centimètre de ma tête. le jeu du "on ne se connait pas" il va être vraiment très très drôle si on doit bosser ensemble.

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w/ @Olivia Fairchild
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Dès le premier jour il a su qu’elle lui plaisait. Pas simplement physiquement, il fait partie de ces mecs qui savent reconnaître une belle femme, et bien sûr qu’elle l’est ! Mais surtout, il est le type de mecs à les respecter. Plus que de raison peut être. Il a été éduqué ainsi, sans doute. Plus il passe du temps à discuter avec Olivia et plus il se rend compte que le physique n’est pas la seule chose qui lui plaît … La tornade l’attire dans son tourbillon. « on se tutoies maintenant ? » Un haussement d’épaules innocent. « On ne doit probablement pas, toutes mes excuses mademoiselle Fairchild. » Une légère révérence, il faut rester professionnel. Il le sait, cela sera difficile. Mais terriblement excitant. Un vrai jeu du chat et de la souris. Même si, tôt ou tard, le masque tombera, il en est certain. Il suffira simplement du retour de Sofia à la caserne après ses vacances et la mascarade sera levée. Mais pas aujourd’hui. Pas pour le premier jour. La main qui glisse sur la veste. Le zip qui se relâche. Les lèvres qui s’étirent dans un sourire. « alors, comment tu trouves la petite nouvelle ?» Un doigt qui s’empare de la fermeture éclair pour la refermer, le regard qui brille. « Vous essayez de corrompre votre supérieur dès le premier jour ou je rêve ? » Les lèvres qui se pincent, qui se perdent un instant au travers des dents qui mordillent. Le regard qui la transperce, la dévisage. Le pas en avant pour lui faire face. La main qui vient chercher la nuque. Naturellement. Le visage qui se penche, s’engouffre dans la proximité. Le souffle qui caresse. Le murmure au creux de l’oreille. « Cette tenue te va très bien. » et les lèvres qui se posent un instant sur la joue. Puis le visage qui s’écarte. La proximité qui rend le moment intense. Les lèvres qui viennent capturer celle d’Olivia. Pour un doux baiser. Innocent. « Bonjour. » Le sourire en coin, amusé, presque excité à ce nouveau rythme de travail qui se présente.

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→ ft. @Jamal Carreirao
je sais pas si on peut parler d'un coup de foudre, mais en tout tu m'as plus dès le début. et je sais ce que je veux, ce que je ne veux pas et je fais tout pour avoir ce que je désire. t'es pas un pari, ni même un objectif que je me suis fixée. j'ai juste sentie l'alchimie et je me suis dis que je devais pas te laisser partir. le fait de bientôt travailler ensemble, ça me conforte dans l'idée que nos chemins doivent forcément se croiser et que ce n'est pas qu'une simple coïncidence. je dis pas que je crois au destin, mais je pense que y a des raisons si on se retrouve sur des tas de point de la vie. « tu peux m'appeler Olivia » petit clin d'oeil. est-ce que j'essaie de faire du charme à mon supérieur ? oui. est-ce que je te drague ? encore oui. mais il parait que aujourd'hui c'est différent, parce qu'aujourd'hui, on est ensemble. je tente de t'amadouer, descendant le zip de la fermeture de ton uniforme. mais t'es fort. t'es vraiment fort à ce jeu. « nope, c'est pas une impression. je te drague ouvertement. » je me mords la lèvre, me plaquant un peu plus contre mon casier. t'imagine pas comment je me sens prête pour cette journée. celle à. la caserne mais avec toi aussi. ton visage qui se penche vers le miens, ton souffle qui caresse ma joue alors que je ferme les yeux quelques secondes quand tu me murmures que ma tenue me va très bien. je passe ma langue que mes lèvres, souris. j'ai chaud, très chaud. tu poses tes lèvres sur ma joue, réveille en moi un brasier avec un geste seulement. c'est le goût de l'interdit, de se faire attraper et puis l'excitation du début. je plante pour regard dans le tiens, te suppliant enfin de m'embrasser. et tes lèvres attrapent enfin les miennes. doucement. délicieusement. « bonjour. » que je te réponds avant de passer une main sur ta nuque et devenir coller mes lèvres aux tiennes encore une fois, cette fois ci de manière plus langoureuse. je crois que je pourrais vraiment m'y habituer.